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Val-d’Oise. Un élagueur gravement blessé après être tombé d’un arbre à Beauchamp

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Les pompiers ont été alertés à 12h50, lundi 4 février, à la suite de l'accident à Beauchamp (Val-d'Oise).

Les pompiers ont été alertés à 12h50, lundi 4 février, à la suite de l’accident à Beauchamp (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

L’accident est survenu vers 12h50, lundi 4 février. Un élagueur qui coupait les branches d’un arbre de l’avenue Jules-César, à Beauchamp (Val-d’Oise), à dix mètres de hauteur, est tombé pour une raison inconnue.

Pris en charge par les pompiers et les médecins du Samu, l’homme de 30 ans a reçu les premiers soins sur place avant d’être transporté en urgence absolue au centre hospitalier de Pontoise.


AU CINÉMA. "Un beau voyou", un premier film trop écrit, trop joué et hésitant

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Charles Berling et Swann Arlaud sont à l'affichde de ce premier film.

Charles Berling et Swann Arlaud sont à l’affiche de ce premier film. (©Pyramide distribution)

Il faut toujours être plein d’empathie envers un réalisateur qui présente au public son premier long-métrage. Chacun sait combien ce film est un souhait ardemment entretenu depuis parfois de très nombreuses années.

Chacun sait aussi, par expérience, que ce film est une somme de mille et mille choses qui vont se télescoper, se fracasser l’une contre l’autre, au risque de mettre la vraie histoire en péril, voire carrément entre parenthèses.

Scénario de Lucas Bernard

Sur un scénario signé de lui-même, Lucas Bernard tombe dans le piège. Et Dieu sait si tous les éléments pour une magnifique et subtile histoire étaient ici réunis.

Le Commissaire Beffrois (Charles Berling lunaire…) part à la retraite. Juste avant, il tombe sur une affaire de vols de tableaux de moyenne valeur. S’en suit une improbable rencontre avec Bertrand, le voleur (Swann Arlaud pas très convaincant non plus).

Une véritable fascination pour cet Arsène Lupin mystérieux va pousser le commissaire, bien que retraité, à poursuivre son enquête.

Facilités scénaristiques

Trop écrit, trop joué, avec des errements, pour ne pas dire des facilités scénaristiques qui nous valent un montage paresseux, et voilà la belle idée qui tombe à l’eau.

Dommage car les thèmes tout juste effleurés ici pouvaient donner matière à des traitements moins timides, ce qui aurait permis de tracer des portraits un peu plus convaincants. Certes quelques plans nous disent combien ce directeur de la photographie, métier de base de Lucas Bernard, a du talent. Certes, mais cela n’a jamais suffi à faire un film.

Robert Pénavayre

Un convoi de près de 70 m pour acheminer un rotor à Flamanville

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Un convoi exceptionnel du même type avait quitté Flamanville en mai dernier.

Un convoi exceptionnel du même type avait quitté Flamanville en mai dernier. (©La Presse de la Manche)

La salle des machines de l’unité de production n° 2 de la centrale EDF de Flamanville, actuellement en arrêt pour sa visite décennale, va recevoir un nouveau rotor d’alternateur, une pièce de quinze mètres de long et 233 tonnes.

Pris en charge par le Service des transports lourds d’EDF depuis l’usine d’Alstom en Belgique, le rotor a tout d’abord été acheminé fin janvier au port de Charleroi pour remonter, par voie fluviale, jusqu’au port maritime de Rotterdam.

A LIRE AUSSI : EDF Flamanville : l’unité de production n°1 de nouveau à l’arrêt

Depuis dimanche à Cherbourg

Il est arrivé dimanche au port de Cherbourg.

Ce lundi 4 février, le rotor a été chargé sur une impressionnante remorque de plusieurs dizaines de mètres de long, afin de permettre son acheminement par la route jusqu’à la centrale EDF de Flamanville.

Et ce mardi à 14 h 30, un tracteur remorque de près de 40 mètres de longueur entamera la traversée de Cherbourg.

Arrivée prévue en fin d’après-midi

A l’approche de la RN 13, une fois sorti des routes étroites de la ville, le transport du rotor sera renforcé par deux tracteurs pousseurs, formant un convoi de 67 mètres de longueur.

L’arrivée du rotor à la centrale EDF de Flamanville est prévue en fin d’après-midi. Il sera monté sur l’alternateur dès les prochaines semaines.

Une telle opération avait déjà été réalisée il y a moins d’un an, pour la visite décennale de la tranche 1.

A LIRE AUSSI : Réacteur EPR de Flamanville : les essais « à chaud » débuteront mi-février

Commerce. Un nouveau caviste s'installe à Arbois

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Une large gamme de vins à découvrir bientôt dans la Grande Rue

Une large gamme de vins à découvrir bientôt dans la Grande Rue

Voilà dix ans déjà qu’Antonin Gauthrin est sommelier. Après avoir officié auprès d’étoilés Michelin en France comme en Allemagne et en Belgique (il a été élu « Sommelier of the Year » pour la province du Luxembourg belge en 2013), le voici de retour non loin des sources familiales. Né en Bourgogne à Château-Chinon (Nièvre), issu d’une famille de vignerons installée en Champagne près de Bar-sur-Aube (Aube), déjà gérant d’un site de vente sur Internet de vins et spiritueux baptisé la vinothek.com, il vient de trouver un local à Arbois pour y installer sa boutique. « En dur », cette fois.

« À force de travailler dans de nombreux établissements, j’avais envie d’un commerce fixe pour y présenter mes produits et mes coups de cœur », souligne le jeune homme, titulaire d’un bac professionnel en services en restauration et d’une mention complémentaire en sommellerie obtenue à Chamalières près de Clermont-Ferrand.

Le lieu a déjà été trouvé : ce sera au 13, Grande Rue à Arbois. Celui-ci proposera une sélection de vins pour compléter l’offre digitale.

« Je suis inscrit en tant qu’entrepreneur depuis mi-août en France et cela faisait déjà un an que j’avais lancé un site Internet depuis la Belgique. J’y propose une sélection de vins et je donne régulièrement des conseils. La présence d’un magasin réel va me permettre d’avoir une vraie vitrine et une autre visibilité sur le secteur d’implantation. Au niveau du site Web, je vends aussi bien en Bretagne qu’au Luxembourg, en Belgique et en Allemagne mais moins localement… »

Un prêt de 3 000 € de l’Adie

Situé juste en face du restaurant des Arcades, le commerce devrait ouvrir à la fin du mois. Il proposera sur 85 m2 de nombreuses productions situées hors du Jura : « Des Bordeaux, des Bourgogne, des vins allemands, de Belgique et du Luxembourg. C’est ce qui manque un peu ici. J’ai sélectionné des maisons familiales qui ont un respect du produit ».

Pour ouvrir sa boutique, le sommelier caviste a obtenu un microcrédit de l‘Adie de Besançon (Association pour le Droit à l’initiative économique) de 3 000 € indispensable à son installation.

Cette somme, remboursable sur 3 ans, va lui permettre de financer la location du local.

« Au niveau du retour, c’est l’idéal. Entre les devis et les premiers papiers, j’ai eu une réponse en deux semaines. Sans cette aide, je n’aurais pas pu financer ce projet. Je suis allé voir des banques et j’ai essuyé quatre à cinq refus à Arbois, faute d’apport financier. On m’avait conseillé d’avoir au moins un tiers de l’argent demandé que je n’avais pas. Je recommande l’Adie, aussi bien pour l’aide au financement que pour l’écoute et le suivi quotidien d’un projet. Après la signature du crédit, on n’est pas lâché dans la nature ».

En attendant Antonin reste sommelier au restaurant gastronomique Le Bois Gourmand de Champagnole. La boutique sera dans un premier temps ouverte deux jours par semaine, les mercredis et jeudis de 9 h à 19 h.

« Mais je serai toujours disponible au téléphone et sur Internet ».

Contact : https ://www.la-vinothek.com/ et https ://www.adie.org/ et tél. : 07 71 74 97 81

Antonin Gauthrin va devenir caviste à Arbois.

Antonin Gauthrin va devenir caviste à Arbois. (©Christophe Belhomme)

Quimper : les 3 infos du mardi 5 février

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Être plutôt qu'avoir est projeté le 5 février.

Être plutôt qu’avoir est projeté le 5 février. (©DR)

Projection de Être plutôt qu’avoir

Le Cinéville propose en avant-première le film Etre plutôt qu’avoir . Un débat suivra avec Clémence Grenapin de l’OCCE 29 et Paskall Ledoeuff de Bretagne Vivante.

Ce documentaire d’Agnès Fouilleux porte sur les systèmes éducatifs alternatifs qui proposent plus d’autonomie, de coopération, d’égalité, de relation avec les autres et avec la nature. Inventés il y a plus d’un siècle par des pionniers, Montessori et Freinet en tête, ils remettent en question un modèle dominant façonné par l’histoire.

Infos pratiques
Mardi 5 février à 20 h au Cinéville à Quimper.
Tarif: 5,50€

Journée d’action à l’appel des syndicats

Le collectif « S’unir pour ne pas subir » appelle à manifester pour dénoncer la politique d’austérité du gouvernement devant le Medef. Ce collectif est composé de syndicats (CGT, FO et Solidaires du Finistère), associations, collectifs et partis.

La section PCF du pays de Quimper et les Gilets jaunes manifesteront également.

Infos pratiques
Mardi 5 février à 10 h 30 devant le siège du Medef à Quimper, 5 rue Félix Le Dantec.

Rencontre sur les mobilités douces

Le groupe local de Kerné organise un café-débat à l’Effet papillon sur le thème La mobilité douce et l’effet positif sur la ville. Le CAUE du Finistère et Kernavélo animeront aussi cette rencontre. 

infos pratiques
Mardi 5 février à 20 h à l’Effet papillon,
22 rue de Douarnenez à Quimper.

Emmanuel Carrère cherche à louer un appartement ou un studio à Caen

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Emmanuel Carrère cherche un appartement à Caen.

Emmanuel Carrère cherche un appartement à Caen (Calvados). (©Emmanuel Carrère/Wikipedia Commons)

« Les repérages sont en cours et nous aimerions trouver le plus rapidement possible… » Emmanuel Carrère cherche un appartement ou un studio pour tourner l’adaptation du livre de Florence Aubenas, Le quai de Ouistreham, à Caen (Calvados). Son film produit par Curiosa Films sera tourné à Caen et à Ouistreham

LIRE AUSSI : Casting. Emmanuel Carrère recherche un homme qui vit à Caen ou dans la région pour son prochain film

Les critères de l’appartement

Surface : studio de minimum 20m2 équipé d’une kitchenette, salle de douche. Ou appartement ayant un séjour de minimum 20m2

Caractéristiques : Le studio ou le séjour de l’appartement devra avoir une fenêtre donnant sur la rue, commerçante de préférence. Le personnage du film vit avec très peu d’argent, le studio peut donc être modeste, pas nécessairement en bon état. Pas de rez de chaussée.

Localisation : dans l’idéal secteur de la gare, rue d’Auge, quartier Saint-Jean, rue de Falaise, dans un immeuble années 50, 60 ou 70, mais d’autres propositions peuvent être étudiées si les principaux critères sont réunis. 

Location dès maintenant

L’appartement devra être au minimum disponible un mois avant le tournage, c’est-à-dire deux jours prévus mi avril 2019. Une rémunération est évidemment prévue.

Si un studio ou appartement est libre de suite et qu’il semble convenir, nous pouvons le louer dès maintenant. Les visites seront possibles pendant la durée de la location, excepté la semaine du tournage.

Pour en savoir plus ou proposer votre appartement, écrivez à tournagequaideouistreham@gmail.com

Saint-Hilaire-du-Harcouët : quand le krav-maga se frotte aux autres disciplines

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Au premier plan : Philippe Cadiou et Jonathan Foyer. Debouts, de gauche à droite : Bastien Claire, Julie Lys et Jean-Yves Viel.

Au premier plan : Philippe Cadiou et Jonathan Foyer. Debouts, de gauche à droite : Bastien Claire, Julie Lys et Jean-Yves Viel.

Le club de krav-maga de Saint-Hilaire est un des seuls de la région. Le principe, comme le rappelle Jean-Yves Viel, instructeur, réside dans le self-défense.

« Si on peut éviter de se battre… Quitte à passer pour des dégonfler », s’amuse-t-il.

L’idée est de confronter les élèves à des situations réelles pour pouvoir réagir en cas d’attaque.

Contre des karatékas, judokas…

Si le club participe à peu de compétitions, il était représenté à Saint-Lô le dimanche 27 janvier 2019 pour une compétition interdisciplinaire à l’échelle de la Manche qui réunissant une trentaine de participants.

Des pratiquants de diverses disciplines se sont affrontés en combat libre : boxe thaï ou anglaise, viet vo dao, karaté, etc.

« Des règles sont définies : pas le droit aux coups de coude, de genoux, ne pas toucher au dos ou aux parties génitales, etc. C’est un moyen pour les élèves de se confronter à des interdits ».

Quatre élèves représentaient le club de Krav-maga de Saint-Hilaire et trois d’entre eux ont fini premier dans leur discipline, en fonction de leurs poids et leur âge : Jonathan Foyer, Bastien Claire et Julie Lys. Philippe Cadiou termine quant à lui deuxième dans sa catégorie.

Fougères : l'association Anne Boivent a un nouveau président

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Le nouveau conseil d'administration de l'association autour du président Jean-Claude Leguérinel (au premier rang les mains croisées).

Le nouveau conseil d’administration de l’association autour du président Jean-Claude Leguérinel (au premier rang les mains croisées).

L’Association Anne Boivent est née en 1998 à Fougères suite à des regroupements d’établissements médicaux-sociaux tenus par la Congrégation des Sœurs de Rillé afin de poursuivre leur mission auprès des personnes âgées dépendantes et des personnes en situation de handicap.

Après seize ans d’engagements au sein de l’association dont huit ans comme président, Jean-Claude Godbert a souhaité passer la main tout en restant administrateur.

Durant ces huit années, l’association s’est développée et transformée, faisant passer son effectif salarié de 540 personnes à 725 sur la période, et engageant près de 50 millions d’euros d’investissements pour construire, réhabiliter et moderniser les Établissements.

Aujourd’hui, l’association gère sept Ehpad, un service de soins à domicile (SSIAD) et sept Établissements pour personnes en situation de handicap, soit une capacité d’accueil de 980 résidents.

19 recrutements prévus

Un plan de recrutement de 19 collaborateurs est prévu en 2019 sur les fonctions d’agent de service hospitalier, aides soignantes, aide médico-psychologique, médecin coordinateur et ergothérapeute. L’association possède un site internet avec un espace recrutement à disposition des personnes intéressées.

Tout récemment, l’association s’est dotée d’une nouvelle gouvernance. La présidence a été confiée à Jean-Claude Leguérinel, cadre bancaire en retraite qui avait rejoint le conseil d’administration en 2015. Il sera accompagné au bureau de 10 personnes dont deux vice-présidents, Michel Janvier et sœur Marie-Angèle Fauvel, d’un trésorier, Robert Garnier et d’un secrétaire, Bertrand Cortyl.

Le conseil d’administration est composé d’une vingtaine d’administrateurs bénévoles qui œuvrent au côté du directeur général Paul Béranger et des salariés.

Le président et son conseil d’administration « s’inscrivent dans la continuité des actions menées jusqu’à présent. Ils souhaitent notamment concrétiser les projets immobiliers de la Maison de Chaudeboeuf à Saint-Sauveur-des-Landes et celui de l’Ehpad de Pontmain et accompagner les évolutions dans un environnement qui bouge beaucoup. »

Un nouveau projet associatif est aussi à écrire pour dessiner l’avenir de l’association à l’horizon de 2025.


[GRAND FORMAT] Crécy-la-Chapelle. Un an après les inondations : quelles leçons ?

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La commune de Crécy-la-Chapelle a subi des inondations en 2016 et en 2018.

La commune de Crécy-la-Chapelle a subi des inondations en 2016 et en 2018.

 

Patrick Septiers veut repasser certaines routes de Seine-et-Marne à 90 km/h

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Pour Patrick Septiers, il serait possible de limiter à nouveau certaines routes à 90 km/h.

Pour Patrick Septiers, il serait possible de limiter à nouveau certaines routes à 90 km/h en Seine-et-Marne.

Vendredi 1er février, Patrick Septiers, président du Conseil départemental de Seine-et-Marne, est intervenu en direct sur France Inter pour évoquer la limitation de vitesse sur les routes départementales.

4 300 km de routes départementales

Face à Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière, le président du Département est revenu sur la méthode ou plutôt l’absence de concertation pour passer les routes départementales à 80 km/h.

Patrick Septiers regrette que les Départements n’aient pas été consultés. « Nous entretenons 4 300 km de routes départementales. Au cours du dernier trimestre, 19 personnes sont mortes sur ces routes, contre 21 sur les routes nationales et les autoroutes qui ne représentent que 400 km ».

A LIRE AUSSI : Moins 8% d’accidents liés à la vitesse dans le département

Un sentiment d’insécurité à 80 km/h

Si le président du Département a affirmé qu’il était nécessaire que certaines routes restent limitées à 80 km/h, il a néanmoins indiqué que « pour d’autres, il faut revoir la limitation. En roulant à 80 km/h, à la même vitesse que les camions, vous créez un sentiment d’insécurité car les voitures ne peuvent plus doubler les camions ».

Un sentiment à nuancer selon le délégué à la sécurité routière, « pour doubler un camion qui roule à 80 km, si vous roulez à 90 km/h, il faut un kilomètre, c’est énorme. La perception influence les choses, mais est différente de la réalité ».

Pour autant, Patrick Septiers a indiqué vouloir lancer une étude pour déterminer quelles routes pourraient repasser à 90 km/h, « des routes sécurisées et où il n’y a pas eu d’accidents. Le Premier ministre a indiqué que vouloir ouvrir le débat sur le sujet ».

Orne. La chasse rapporte environ 364 000 € par an en forêt domaniale d'Écouves

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À l'ONF, Hervé Daviau s'occupe de Chasse mais également de travaux et des amphibiens

À l’ONF, Hervé Daviau s’occupe de Chasse mais également de travaux et des amphibiens

Comment est gérée la chasse en forêt domaniale ?

Une adjudication a lieu tous les douze ans.

La dernière date de 2016.

Mais, nouveauté, les lots peuvent désormais être résiliés à l’amiable tous les trois ans.

On y est donc.

Plutôt « une bonne chose », selon Hervé Daviau, le Monsieur Chasse à l’ONF*. En effet, s’engager pour douze ans peut être long.

Cette révision concerne-t-elle notre secteur ?

Oui. Cinq lots en Basse-Normandie dont quatre dans l’Orne : un en Bellême, un en Perche-Trappe, celui de la forêt de Bourse, un en Écouves (le lot 6, au nord-ouest, sur La Lande-de-Goult, là où l’on chasse tous les dimanches et le 28 février).

Et un lot en forêt de Perseigne.

« La passion l’emporte »

Concrètement, comment cela se passe ?

Le dossier est téléchargeable sur le site internet de l’ONF.

Il faut candidater d’ici le 8 février 2019.

Les dossiers recevables sont autorisés à soumissionner, c’est-à-dire déposer une offre sous pli cacheté.

Les plis seront ouverts le 11 mars 2019 à Rambouillet.

Qui sera retenu ?

« Celui qui aura fait l’offre la plus élevée, sous réserve qu’elle soit supérieure au prix de retrait ».

Autrement dit, l’ONF peut ne pas attribuer le lot si l’offre n’est pas suffisante.

L’ONF accepterait donc qu’un territoire soit non-chassé ?

« En théorie oui, en pratique non ».

Et « la passion l’emporte ».

Il y a donc de la demande.

« Restaurer ou préserver l’équilibre forêt-gibier »

Quel est le profil du chasseur ?

« C’est un passionné » qui exerce un sport relativement cher, représentant un engagement financier.

Le chasseur doit être responsable et fait face à une hostilité certaine de la société.

La moyenne d’âge est plutôt élevée : on trouve peu de « perdreaux de l’année » en gilet orange dans les sous-bois.

H. Daviau qualifie le chasseur de « sérieux et rigoureux ».

 Les plans de chasse respectés ?

Combien d’animaux peuvent être tués chaque année ?

Chaque année, un plan de chasse détermine le nombre de cerfs et chevreuils qui peuvent être prélevés afin de « restaurer ou préserver l’équilibre forêt-gibier ».

Il est adopté par une commission réunissant chasseurs et leur fédération, agriculteurs, État, propriétaires privés…

Il existe six lots de chasse en Ecouves : cela fait un plan réparti en fonction de différents critères.

Globalement, « les plans de chasse sont respectés à 90-100 % ».

Dans le cas contraire, l’ONF, détenteur du droit de chasse, pourrait sanctionner mais « on préfère inciter à mieux faire ».

Et les chasseurs sont « aussi des clients ».

Début janvier, le point est fait : si les chasseurs à courre voient qu’ils ne vont pas respecter leur quota, ils peuvent rétrocéder des bracelets à des chasseurs à tir.

 De bonnes relations ?

Quelles sont les relations ONF-chasseurs ?

« Très bonnes. Ils sont au contact des agents, sur le terrain. Une rencontre annuelle permet de faire un bilan ».

Il existe bien quelques problèmes ?

« Quelquefois : un animal tiré qui n’aurait pas dû l’être, le comportement avec un riverain… ».

Ça braconne ?

« Oui mais très peu ».

Quand un mauvais chasseur rencontre un mauvais randonneur…

Y a-t-il frictions entre chasseurs et autres fréquenteurs de la forêt ?

« À la marge. Quand un mauvais chasseur rencontre un mauvais randonneur… ».

Chaque année, à différents carrefours de la forêt, est affiché le plan (des lots) avec les dates de chasse.

Une carte est publiée dans l’Orne Hebdo, et elle est téléchargeable sur le site internet de l’ONF.

Le souci, c’est que « peu de gens savent ce qu’est une action (pas au sens financier) de chasse ».

Une information sera faite en septembre.

La population de cervidés augmente-t-elle ou non en Écouves ?

« On ne connaît pas le nombre. On essaie d’évaluer la tendance d’évolution, en fonction de différents paramètres.

Ce n’est pas scientifique : avec la Fédération de chasse, on n’est pas forcément d’accord. On sait surtout que le territoire est vaste ».

Ecouves, ce sont environ 13 000 ha de forêt domaniale et privée, et des bosquets. Beaucoup d’animaux logent à l’extérieur.

Eh oui, les cerfs ne respectent pas les frontières.

Quelle est la « tendance d’évolution » ?

« Sur dix ans, la population a plutôt baissé.

Mais il existe une belle population de beaux et grands cerfs ».

Parlons argent

Combien rapporte la chasse à tir ?

« 35 € l’hectare ». Un coût « assez proche du privé ».

La forêt domaniale d’Ecouves s’étendant sur 8 177 ha, cela fait environ 286 195 €/an.

En Écouves, il y a six lots de taille similaire, soit 47 666 €/lot.

Chaque lot peut être chassé durant 20 ou 21 jours, soit 2 306 €/journée.

Ce qui fait le prix ?

« L’environnement immédiat » (un massif découpé comme l’est la forêt du Pin-au-Haras est moins prisé), « la capacité d’accueil du milieu « (beaucoup de résineux denses, cela tire le prix vers le bas), « la proximité de grands axes de circulation » (risques de collision), « la superficie »…

Qui pratique la chasse à courre ?

En Écouves, trois équipages chassent à courre :

– Kermaingant, le cerf, les mardis et samedis jusqu’au 30 mars

– La Passée, le chevreuil, deux mercredis par mois jusqu’au 30 mars

– Le Vautrait du Perche, le sanglier deux mercredis par mois jusqu’à fin février

Combien rapporte la chasse à courre ?

9 à 10 € l’hectare, soit environ 77 680 €.

On compte environ 76 jours de chasse à courre. Cela fait environ 1 000 € la journée.

 

* Agence territoriale de l’Office National des Forêts, qui couvre l’ex-Basse-Normandie. Mais la compétence Chasse d’Hervé Daviau englobe également les Hauts de France et l’Ile-de-France.

Une boutique éphémère Milka vient d'ouvrir ses portes au Havre

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La marque Milka ouvre une boutique éphémère au Havre (Seine-Maritime) : l'occasion de faire la promotion de sa nouvelle pâte à tartiner et de ses chocolats.

La marque Milka ouvre une boutique éphémère au Havre (Seine-Maritime) : l’occasion de faire la promotion de sa nouvelle pâte à tartiner et de ses chocolats. (©Capture d’écran / YouTube)

Voilà une nouvelle qui devrait faire plaisir aux gourmands ! La marmotte ne sera peut-être pas sur place pour mettre le chocolat dans le papier alu, mais la marque Milka a ouvert au Havre (Seine-Maritime), mardi 5 février 2019, une boutique éphémère 100 % dédiée à ses produits.

Chocolats, biscuits et pâte à tartiner

C’est plus précisément au sein de la galerie Auchan Grand Cap, située dans le quartier de Mont-Gaillard, que la célèbre marque de chocolat s’installe. Dans les rayons, on trouvera bien sûr le nouveau produit phare de la marque, Patamilka, une pâte à tartiner inspirée de son chocolat au lait.

LIRE AUSSI. VIDEO. « Mais bien sûr » : la marmotte de Milka est de retour

Seront également à (re)découvrir, les tablettes de la célèbre marque qui se déclinent sur tous les tons ou presque avec des goûts noisettes, caramel ou riz soufflé, mais aussi Daim®, Oreo® ou encore Granola®, tout comme les confiseries et tous les biscuits et cookies développés par Milka ces dernières années.

Attention, il s’agit là d’une boutique éphémère, qui ferma donc ses portes samedi 16 février !

Avis à tous les gourmands…la boutique Milka vient d'ouvrir ses portes dans notre galerie.Beaucoup de produits, pas…

Publiée par Auchan Le Havre sur Mardi 5 février 2019

Informations pratiques
Centre commercial Le Grand Cap Auchan Le Havre.
Boutique ouverte de 10 heures à 20 heures.

Marlène Schiappa en Lot-et-Garonne, lundi 11 février

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La secrétaire d'Etat vient participer à un débat, à l'invitation du député local, Olivier Damaisin.

La secrétaire d’Etat vient participer à un débat, à l’invitation du député local, Olivier Damaisin. (©Wikipédia)

Le député de la troisième circonscription de Lot-et-Garonne, Olivier Damaisin, vient de le confirmer par communiqué: la secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, la très médiatique Marlène Schiappa, viendra en Lot-et-Garonne, lundi 11 février.

Plus précisément à Sainte-Livrade, à 17h, dans le cadre du Grand débat national, et « à l’invitation d’Olivier Damaisin ».

Le thème de la réunion

Le thème à l’origine de jeunes femmes « gilets jaunes » de Sainte-Livrade sera consacré à l’égalité hommes/femmes, la place des femmes dans notre société, aux difficultés que rencontrent les familles, les familles monoparentales notamment, les femmes isolées.

A lire aussi: Tonneins aussi aura son grand débat

Le rendez-vous a été fixé à la salle polyvalente Charles de Cacqueray, 23 avenue Jean Moulin, à Sainte-Livrade. 

Olivier Damaisin n’oublie par de « remercier vivement le maire de Sainte-Livrade, M. Pudal, ses équipes, pour leur mobilisation et leur aide, ainsi que les services de la sous-préfecture et de la préfecture pour leur réactivité et leur support dans l’organisation de cette réunion publique ».

Val-d'Oise. Le gala du Multi-Boxing Club de Persan sur Canal + Sport

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Le Persanais Karrar Hammodi (à gauche) sera l'une des têtes d'affiche de la 9 Nuit des combattants, gala international de boxe pieds-poings retransmis sur Canal + Sport.

Le Persanais Karrar Hammodi (à gauche) sera l’une des têtes d’affiche de la 9 Nuit des combattants, gala international de boxe pieds-poings retransmis sur Canal + Sport. (©D.R.)

Le Multi-Boxing Club de Persan (Mbp, Val-d’Oise) organisera en 2019 l’un de ses plus grands événements au gymnase Jacques-Duclos.

« Le samedi 6 avril à partir de 19h, la 9e édition de notre gala, La Nuit des combattants, aura une dimension internationale. En pancrace 93 kg (3×5′), nous accueillerons la revanche entre notre représentant Karrar Hammodi et le Marocain Hassen Rahat (lauréat de la ceinture Hfc11 en 2017 en Mma). Une affiche attendue, qui aurait dû initialement avoir lieu en septembre dernier à Bâle (Suisse). Ce devrait être l’une des rencontres les plus spectaculaires de la soirée, parmi les treize combats proposés », annonce le président Hassan Azza.

Une revanche pour Karrar Hammodi ?

Plusieurs autres combattants persanais seront au programme. En préparation de la défense de son titre de champion du monde, Mohamed Karbal défiera l’Italien Lilo Picchi (K1 3×3′, – 63,5 kg).

En muay thaï +91 kg, Fabrice Gnedré, qui affrontera dans la foulée Nicolas Guéret en finale du Championnat de France pro des poids lourds, rencontrera le redoutable Brandon Mobi (10 victoires en 13 combats). Enfin, en boxe éducative, Quentin Bonix (champion Île-de-France cadet des – 50 kg en muay thaï) sera la principale attraction.

« Notre compétition, soutenue par le Conseil départemental, la préfecture, la Ville de Persan, l’Oms, Val-d’Oise Habitat, Axa Assurances et Qfd, sera retransmise pour la première fois en direct, sur la chaîne Canal + Sport. La récompense de près de dix ans d’efforts », souligne Hassan Azza, qui a planifié à cette occasion les rencontres internationales de Wilfried Carien face à l’Italien Gargano (K1, – 91 kg) et d’Isaev Hasambek contre l’Italien Senatore (pancrace, – 65 kg) et la prochaine échéance d’Audrey Serrier, lauréate de la Coupe de France de kickboxing en 2017.

Julien BIGORNE

L'affiche du gala.

L’affiche du gala. (©.)

Dans le centre-ville de Louviers, un bras de l'Eure légèrement pollué par des hydrocarbures

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Un boudin absorbant a été installé par les services de la communauté d'agglomération pour parer au problème de pollution.

Un boudin absorbant a été installé par les services de la communauté d’agglomération pour parer au problème de pollution. (©La Dépêche de Louviers)

Ce lundi 4 février, dans l’après-midi, les services de la communauté d’agglomération Seine-Eure ont été avertis de l’existence d’un problème de pollution aux hydrocarbures dans le centre-ville de Louviers, notamment au niveau de La Poste.

L’eau semblait en effet légèrement plus trouble que d’accoutumée, ce qui a alerté des passants qui ont rapidement remarqué le phénomène et l’ont notifié sur les réseaux sociaux.

« C’est une petite pollution, rassure la collectivité. On a installé un piège à hydrocarbures, sous forme d’un boudin absorbant. On va essayer de pomper et de voir d’où ça peut provenir. »

Une intervention rapide

Pour l’instant, l’origine du problème n’est pas clairement identifié, mais les précipitations ont pu entraîner un « lessivage des routes », explique la communauté d’agglomération.

Le boudin a été installé vers 16 h 30, soit environ une heure après que l’alerte n’ait été donnée. Toute fois, le service chargé de la qualité de l’eau se veut rassurant. « Ça n’a pas eu de conséquences sur les poissons, par exemple. Mais il faudra surveiller cela », indique, prudent, un responsable. 

Cyrille Crespy


Pilier droit, Willemse, centre : que feriez-vous à la place de Jacques Brunel face à l'Angleterre ?

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Le sélectionneur du XV de France, Jacques Brunel.

Le sélectionneur du XV de France, Jacques Brunel. (©Icon Sport)

La pression est sur les épaules de Jacques Brunel. Battu d’entrée par le pays de Galles, le sélectionner du XV de France joue gros lors du déplacement dimanche 10 février en Angleterre. Le sorcier gersois va-t-il revoir tous ses plans ? Va-t-il s’appuyer sur les éléments qui ont brillé lors du premier acte contre le XV du Poireau ? Certains joueurs sont incertains et d’autres sur la sellette. Actu Rugby zoome sur trois postes. On attend vos choix en réponse…

LIRE AUSSIXV de France. Un duo Ntamack – Fickou au centre face à l’Angleterre ?

Pilier droit : Avec ou sans Atonio ?

Le contexte. Le pilier droit rochelais Uini Atonio a été touché à un genou lors du premier match face au pays de Galles. Le staff du XV de France, bien conscient qu’il n’a guère de solution à ce poste, se laisse entre 24 et 48h pour juger de la présence ou non du solide gaillard face à l’Angleterre. Atonio s’est entraîné ce mardi mais il n’a pas pris part à l’entraînement avec contact. Par ailleurs, sa prestation contre le XV du Poireau avait été décevante, éprouvant bien des difficultés.

Les choix possibles. Derrière Atonio, il reste Demba Bamba et Dorian Aldegheri. Le premier nommé ne compte que deux sélections et jouent en Pro D2. Le second n’a encore jamais porté le maillot du XV de France.

L’avis d’Actu Rugby. Si Atonio peut jouer, le staff du XV de France le mettra titulaire. Surtout qu’en face, Mako Vunipola est un sacré client. Si le Rochelais doit renoncer, on opte pour le choix d’Aldegheri, vrai pilier de mêlée. Bamba a montré ses limites contre le pays de Galles dans ce secteur. Il pourrait faire plus de bien en fin de partie.

LIRE AUSSIXV de France. Uini Atonio et Wesley Fofana vont-ils être remplacés avant d’affronter l’Angleterre ?

Felix Lambey, deuxième ligne de Lyon, a été sélectionné à une reprise en équipe de France.

Felix Lambey, deuxième ligne de Lyon, a fait une excellente rentrée contre le pays de Galles. (©Icon Sport)

Deuxième ligne : Lambey in, Willemse out ?

Le contexte. Avec le forfait avant même le début de la compétition de Bernard Le Roux, le XV de France s’est retrouvé avec uniquement trois deuxième ligne. Contre le pays de Galles, force est de constater que la deuxième ligne française n’a pas été à son avantage. Paul Willemse, pour sa première, a eu un rendement des plus quelconques alors que Sébastien Vahaamahina est coupable sur l’essai de la victoire des Gallois.

Les choix possibles. Il y en a trois : Paul Willemse, Sébastien Vahaamahina et Félix Lambey, auteur d’une entrée en jeu vraiment remarquée. Il y a l’option Arthur Iturria, mais il semble indéboulonnable désormais en troisième ligne aile.

L’avis d’Actu Rugby. Félix Lambey mériterait vraiment d’avoir sa chance. Pourquoi ne pas le tester avec Willemse ?

Wesley Fofana (XV de France) a été victime d'une béquille à une cuisse face au pays de Galles.

Wesley Fofana (XV de France) a été victime d’une béquille à une cuisse face au pays de Galles. (©Icon Sport)

Centre : Qui pour remplacer Wesley Fofana ?

Le contexte. Titulaire contre le pays de Galles, Wesley Fofana a reçu une béquille sur une cuisse. Le Clermontois est incertain et, comme pour Atonio, une décision sera prise d’ici peu. Il s’est entraîné ce mardi, mais lui aussi a évité les contacts. Face au tandem anglais Tuilagi – Slade impressionnant lors de l’exploit en Irlande, il sera impossible de ne pas être à 100 %

Les choix possibles. Là, il y a du choix. Romain Ntamack et Geoffrey Doumayrou étaient sur la feuille de match contre le pays de Galles. Le Parisien Gaël Fickou est, lui, rentré en cours de match sur une aile. En tribunes, Mathieu Bastareaud a rongé son frein.

L’avis d’Actu Rugby. Le duo Ntamack – Fickou fait rêver. Selon Midi Olympique, ce serait l’option privilégiée. Dans ce cas-là, cela signifierait l’absence de Wesley Fofana. Mais dans cette optique, il serait bien de placer Mathieu Bastareaud sur le banc…

Et vous, quels choix feriez-vous à ces trois postes ? Laissez votre commentaire sur notre page Facebook… 

Les tipis du bonheur de vivre. Indian legends, un spectacle inédit à Brûlon

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Jean Lemoro (créateur du spectacle) avec Kevin Dust (un amérindien Crow) et Alain LLorca qui a écrit la musique de la chanson Indian Legend.

Jean Lemoro (créateur du spectacle) avec Kevin Dust (un amérindien Crow) et Alain LLorca qui a écrit la musique de la chanson Indian Legend. (©DR)

Jean Lemoro organise les 13 et 14 septembre 2019, le premier spectacle sur les indiens d’Amérique. Installé depuis 2003 à Maigné puis en 2008 à Brûlon, Jean Lemoro peut être fier du parcours réalisé grâce à la création du camp, les Tipis du Bonheur de vivre. Aujourd’hui, avec 20 tipis disponibles, il précise : 

 C’est le plus grand camp en Europe.

Si la formule fonctionne toujours c’est aussi grâce à l’ambiance qui y règne. Aux Tipis du bonheur de vivre, les touristes dorment dans un lieu insolite mais pas seulement… « C’est un esprit avant tout familial, bienveillant. Un lieu de bien-être ». Et puis, il y a toujours cette volonté du gérant : « Faire connaître la culture amérindienne ».

A LIRE AUSSI. « La légende c’est nous », le nouveau clip du spectacle Indians Legend à Brûlon

 J’ai la certitude que les peuples premiers qui ont gardé cette sagesse ont des choses à nous enseigner.

Alors pour continuer sur ce chemin, il a décidé de créer un spectacle baptisé « Indian legends ».

Hors de question pour lui de faire les choses à moitié. Après 3 années d’écriture, c’est un véritable hommage au peuple amérindien qui a été imaginé. L’histoire, la culture, la manière de vivre des Amérindiens sont retracées dans tout le spectacle à travers 12 tableaux différents.

Pour mettre en scène un spectacle de cette envergure, il fallait trouver un producteur capable de se lancer dans l’aventure. C’est chose faite grâce à Hugues Gentelet qui est connu pour être à l’origine de la tournée « RFM Party 80 ».

Pourquoi le faire à Brûlon ? « Je ne voyais pas le faire autre part qu’à Brûlon. C’est une manière de remercier la ville, la région, le département et tous nos partenaires », explique Jean Lemoro.

Un projet fédérateur

C’est également l’occasion pour les acteurs locaux de s’investir. « Depuis octobre, à l’AMFR de Coulans-sur-Gée, les jeunes fabriquent des vêtements et il y en a certaines qui vont être figurants ». Il poursuit : « Des élèves de Coulans-sur-Gée vont également décorer tous les commerçants pour annoncer le spectacle ».

L’histoire

Différents thèmes sont abordés tout au long du spectacle : le respect de la femme, le thème de l’écologie, la hoop danse (la danse des cerceaux), les chevaux, les bisons… mais aussi les préceptes et les valeurs des Amérindiens. Le fil conducteur de départ est « une adolescente qui va vers son grand-père et lui explique qu’elle n’a pas envie d’aller au traditionnel « Pow wow ». Appuyant sur le fait que c’est un peuple qui se meurt. Phrase à laquelle son grand-père lui répond : « il faut que je te raconte notre histoire » ».

Entremêlant musique, danse, théâtre, le spectacle Indian Legends promet d’être surprenant. Sur scène, le public découvrira des danseurs amérindiens qui ont traversé l’Atlantique uniquement pour eux. « J’ai moi-même sélectionné les danseurs. Il y a aura aussi des chanteurs », explique Jean Lemoro. Il y aura notamment Jerry Hunter, « l’un des plus grands danseurs au Québec ».

Une organisation Impressionnante

Au total 6000 place sont disponibles. 3000 pour chaque soir. Aujourd’hui, 30 personnes travaillent sur le spectacle, « 140 pour la semaine de préparation ». Sans parler de la mise en place du spectacle entre le son, le montage du son, les costumes, la promotion… Et puis la venue des Amérindiens à gérer à partir du 9 septembre.

Jean Lemoro n’est donc pas près de compter ses heures. Il a même tout prévu et pour faire patienter le public jusqu’en septembre. Ce passionné a lancé le 12 janvier dernier un clip baptisé « Indian Legend, la légende c’est nous », mis en musique par Alain Llorca (du groupe Gold) et réalisé par Hugo Dessauge. Danses amérindiennes, contes, chants traditionnels… Les images du clip ont été tournées à la fois en France aux Tipis du Bonheur de Vivre à Brûlon et aux Etats-Unis à Yellowstone et à la Crow Fair (Montana) donnent un petit avant-goût du grand spectacle de septembre.

Pratique : Indian Legends, 13 et 14 septembre à 20h. Aux Tipis du Bonheur de Vivre. Billetterie : points de vente habituels et internet. Infoline/hébergements : 02 43 95 00 60, info@valledelasarthe. fr

Aumale. M6 lance un appel à candidatures pour une nouvelle émission de vente aux enchères

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Envie de connaître la valeur de l'un de vos objets ?

Envie de connaître la valeur de l’un de vos objets ? (©Le Réveil)

La chaine M6 a sollicité la mairie d’Aumale pour lancer un appel à candidatures pour réaliser le casting d’une nouvelle émission de télévision sur le secteur de la vallée de la Bresle.

Un objet ? un projet ?

Vous avez un ou plusieurs objets à vendre ? Vous souhaitez les faire expertiser et les vendre au meilleur prix ? Ou bien encore un événement à réaliser à plusieurs et vous souhaitez le financer en vendant un ou plusieurs objets ? C’est l’annonce envoyée à la mairie d’Aumale par M6 pour tenter de recruter de futurs candidats. Vous êtes intéressés ? Alors rien de plus facile, il suffit de vous inscrire sur :https://www.shortaudition.com/prendreouenchere

Toulouse : après l'incendie, le centre des impôts de Rangueil fermé pour une durée indéterminée

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Le centre des impôts de Rangueil reste fermé au public.

Le centre des impôts de Rangueil reste fermé au public. (©©VDML)

À Toulouse, le centre des finances publiques de Rangueil a été touché par un incendie volontaire, jeudi 31 janvier 2019. Un feu de pneus est à l’origine du sinistre qui s’est déclaré aux alentours de 3 heures du matin.

LIRE AUSSI : Toulouse : un centre des impôts touché par un incendie criminel, une enquête ouverte

Pas d’accueil au public pour une durée indéterminée

Les flammes ont fortement dégradé l’entrée, à tel point que le bâtiment ne peut plus recevoir de public pour une durée indéterminée. Hugues Perrin, directeur régional des finances publiques d’Occitanie et du département de la Haute-Garonne, est revenu sur l’incendie :

On cherche des solutions, mais ce n’est pas évident. On essaie de faire très vite pour les travaux », explique-t-il, rappelant que le coût des dégâts serait « non-négligeable.

Les dégâts minimisés par l’acte de bravoure du gardien

Lors de cet acte malveillant, le gardien des lieux a été légèrement intoxiqué par les fumées générées par l’incendie. « Il a un appartement sur place. Il a été prévenu par une alarme. Il est courageusement intervenu avec un extincteur pour éteindre l’incendie avant même que les pompiers n’arrivent », raconte Hugues Perrin. 

Pas de chômage partiel

Sans cette intervention courageuse, les dégâts auraient pu être plus importants, puisque les flammes auraient pu atteindre le bâtiment : « Les bureaux situés au-dessus de l’entrée sont neutralisés à cause des fumées et des dépôts nocifs. Les autres bureaux restent accessibles », indique-t-il, rappelant qu’il n’y aura pas de chômage technique.

En attendant, l’enquête suit son cours. Des policiers et de gendarmes effectuent des rondes autour du centre pour prévenir de toute récidive.

Thibaut Calatayud

A Mantilly, un gîte de 12 couchages aménagé dans une longère

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Les propriétaires du gîte de Bel air, Annick et Lucien Ramard.

Annick et Lucien Ramard sont les propriétaires du gîte de Bel air à Mantilly (Orne).

Le gîte de Bel air à Mantilly (Orne) est un nouvel accueil normand. C’est aussi la renaissance d’une maison familiale. Les propriétaires, Lucien et Annick Ramard expliquent leur projet à l’origine. 

J’ai souhaité conserver le patrimoine familial et le faire vivre.Notre projet de départ était un gîte classique mais au fur et à mesure que le projet avançait et vue l’étendue des travaux de rénovation, nous avons décidé de nous rediriger vers un établissement recevant du public, avec des normes d’accueil différentes

Un budget multiplié par deux

Ce nouveau concept a multiplié le budget initialement prévu par deux. « Je n’ai demandé aucune subvention, c’était un souhait. Je suis maître chez moi », aime à souligner malicieusement le propriétaire. Je ne verrai pas le retour sur investissement, il sera pour mes enfants. Je remercie le conseil municipal qui a soutenu le projet et a été très réactif. Le gîte a été rapidement relié au tout à l’égout et une borne incendie obligatoire a été posée sur le terrain ». L’artisanat local a été majoritairement sollicité sur les travaux de rénovation : électricité, maçonnerie, charpente…

Accueil de groupes

Niché sur ses 4 ha de verdure, ce logement d’environ 320 m² saura sans doute séduire les touristes de passage. Il possède 6 chambres avec 12 couchages individuels, TV, salle d’eau, WC dans chacune d’elles.

Contact : 06.80.06.11.36 ou belair.mantilly@gmail.com

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