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Saint-Claude : un homme de 68 ans meurt asphyxié par de la fumée

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A leur arrivée sur place, les pompiers ont sorti la victime de l'appartement enfumé pour pratiquer la réanimation.

A leur arrivée sur place, les pompiers ont sorti la victime de l’appartement enfumé pour pratiquer la réanimation. (©Archives actu.fr)

Les sapeurs-pompiers sont intervenus, ce mardi 29 janvier vers 20h30 dans un appartement situé 20, route de Genève à Saint-Claude après qu’on leur a signalé une personne ne répondant pas aux appels, se trouvant dans un appartement enfumée.

La victime, sans connaissance à l’arrivée des pompiers, a été sortie en urgence. Les secours ont alors entrepris une réanimation, mais l’homme âgé de 68 ans a été déclaré décédé par le médecin Smur.

La fumée provenait d’aliments laissés sur le feu.


Les lycéens de Cherbourg sensibilisés à la sécurité routière avec le film "Tout est permis"

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le documentaire sur la sécurité routière "Tout est permis" montré aux lycéens au cinema Odéon

De nombreux intervenants travaillant à améliorer la sécurité routière ont pu échanger avec les lycéens au cours d’un débat. (©La Presse de la Manche/Jean-Paul BARBIER)

Sorti au cinéma le 9 avril 2014, le film documentaire de Coline Serreau « Tout est permis«  a été présenté à 250 élèves du lycée Millet de Cherbourg.

 

« On n’a qu’une vie ! »

La projection du film dans l’une des salles de l’Odéon est une initiative de la sous-préfète de la Manche, Elisabeth Castellotti. Aux jeunes qui sont en train de passer leur permis de conduire ou qui l’ont déjà obtenu, elle a tenu à faire passer ce message :

S’il y a une chose que vous devez retenir, c’est celle-là : en l’espace de quelques secondes, ça peut se transformer en cauchemar. Nous ne sommes pas dans un jeu vidéo où l’on perd une vie et on peut recommencer la partie. On a qu’une vie.

A lire aussi : Manche : un camion transportant près de 80 veaux se renverse

Montrer que le danger est partout

À l’écran, des témoignages de conducteurs qui participent à un stage de récupération de points. Ils estiment ne pas être dangereux, trouvent des excuses à leurs comportements et sont en colère contre les radars qu’ils dénoncent comme étant les « pompes à fric de l’état ».

Quelques exemples :

Les plus dangereux, ce sont les autres. Ils font plus d’accidents que moi ; J’ai des accidents mais je ne suis jamais en tord ; C’est la faute à pas de chance ; J’ai l’habitude de conduire de grosses voitures ; La route était dégueulasse ; Je ne téléphone pas, mais je réponds quand même.

Des propos édifiants, parfois absurdes, mais qui résument bien l’idée reçue selon laquelle le danger, c’est l’autre.

A lire aussi : Cherbourg : une femme blessée dans une collision en centre-ville

Les mots plus forts que les images 

Plus brutales que les images d’accidents, les mots : ceux qui évoquent l’accident d’un car scolaire transportant 44 enfants d’un même village. Ils sont tous morts brûlés vifs. 

La salle est émue, et comprend en même temps que les participants au stage, l’importance des nouvelles mesures imposées par la sécurité routière, depuis les années 90.

A peine le film fini, Marie, lycéenne à Millet, donne son ressenti :

Les témoignages sont touchants et ils nous incitent à respecter les règles. Quand on voit ce qui leur est arrivé, on n’a pas envie que ça nous arrive.

Le procureur de Cherbourg leur a rappelé, à la fin du débat :

La route, vous l’empruntez. Vous n’en avez pas la propriété. Vous la partagez.

A lire aussi : Cherbourg : deux blessés dont un grave dans un choc frontal

Photos et Vidéos. Guingamp en finale de la Coupe de la Ligue !

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La joie des joueurs guingampais.

La joie des joueurs guingampais. (©Echo Argoat)

C’est fait ! Guingamp ira en finale de la Coupe de la Ligue le 30 mars à Lille !

Après les finales de Coupe de France de 2009 et 2014, c’est la troisième finale d’une coupe nationale pour l’En Avant.

Les Rouge et Noir se sont qualifiés au bout du suspense face à Monaco, sur le score de 5-4 aux tirs au but, après un match nul sur le score de 2-2.

Carton rouge pour Monaco

Tout avait bien commencé pour les Rouge et Noir. A la 15e minute, l’arbitre sortait un carton rouge pour William Vainqueur : Monaco se retrouvait alors à 10 !

Mais dans la foulée, sur un joli contre, Rony Lopes claquait un magnifique retourné. 1-0 pour Monaco à la 17e minute !

Scénario cauchemardesque ensuite : nouveau contre de Monaco et nouveau but, de Golovin, sur une magnifique frappe dans un angle fermé. 

Le Roudourou gronde alors de mécontentement devant la piètre prestation des Guingampais. Et l’on se dit que cette saison est définitivement maudite.

Malgré quelques actions en fin de mi-temps, les sifflets du public raccompagnent les joueurs aux vestiaires.

Coup de gueule à la mi-temps

On imagine que Jocelyn Gourvennec a poussé une gueulante à la mi-temps, car Guingamp revient avec de bien meilleures intentions en début de seconde mi-temps, et marque d’entrée sur un beau tir croisé de Mendy (46e).

Guingamp pousse  encore, poussé par le public de Roudourou, et Marcus Thuram parvient à égaliser (2-2) sur une belle frappe du gauche à la 55e minute !

Le public de Roudourou redouble alors d’encouragements pour soutenir son équipe.

Kerbrat se créé une belle occasion à la 74e, mais sa frappe est repoussée par Subasic.

82e : frappe de Rodelin, détournée en corner par Subasic. Blas frappe à nouveau suite au corner, nouvel arrêt de Subasic. 

89e : un frisson passe dans les travées du Roudourou sur une frappe au ras du poteau de Fabregas.

Caillard encore décisif !

Ce sont finalement les tirs au but qui vont décider du sort du match. 

Après un arrêt de Caillard, Marcus Thuram a l’occasion d’envoyer en finale. Mais son tir est arrêté. 

On pense alors que Guingamp a raté sa chance, mais Diop envoit son tir sur la barre de Caillard, et cette fois l’autre Marcus, Coco, ne rate pas l’occasion d’envoyer Guingamp vers la troisième finale de coupe nationale de son histoire, sa première en Coupe de la Ligue !

Une belle parenthèse dans une saison compliquée en championnat ! Rendez-vous le samedi 30 mars au stade Pierre-Mauroy de Lille pour la finale !

Les joueurs guingampais ont célébré avec leurs supporters à la fin du match.

Edouard Kerfriden et Laurent Le Fur

Tennis de table. Caen s'impose 3-0 contre Issy-les-Moulineaux

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Antoine Hachard a réalisé une belle performance en battant Hamous Nordberg alors qu'il souffre toujours de sa déchirure au quadriceps.

Antoine Hachard a réalisé une belle performance en battant Hamous Nordberg alors qu’il souffre toujours de sa déchirure au quadriceps. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

La victoire de Caen 3-0 sur Issy-les-Moulineaux lui permet de compter désormais six points d’avance sur ses premiers poursuivants. En dépit du score, les pongistes caennais ont pourtant dû batailler. Photos, vidéos et réactions à venir.

Les résultats

Antoine Hachard 3 – 2 Hampus Nordberg (9-11 / 11-8 / 8-11 / 11-9 / 11-8)

Niagol Stoyanov 3 – 0 Léo de Nodrest (11-8 / 11-8 / 11-9)

Marcos Madrid 3 – 2 Benjamin Brossier (6-11 / 11-4 / 11-4 / 4-11 / 11-9)

Hockey-sur-glace. Le HC Caen bat Cholet en prolongation

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Les Drakkars ont peiné à se défaire de Cholet.

Les Drakkars ont peiné à se défaire de Cholet. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

En difficulté pendant les deux premiers tiers-temps, ce qui lui a valu d’être mené logiquement au score malgré un score longtemps de parité (1-1), Caen a finalement dominé Cholet en prolongation. Après le premier but d’Alexandre Palis, le jeune Benjamin Bérard a égalisé en fin de troisième tiers et Phil Bushbacher a marqué le but de la victoire. Il est à noter que Caen avait alors déjà inscrit deux réalisations valables en prolongation et pourtant refusées par le corps arbitral. Le HCC prend deux points grâce à cette victoire et reste quatrième de D1. Plus d’infos à venir.

Maison de retraite à Sablé-sur-Sarthe : « Ma mère a été victime d’une agression sexuelle »

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Une patiente de la maison de retraite aurait été victime d'une agression sexuelle, vendredi 18 janvier. L'enquête est en cours.
Une patiente de la maison de retraite aurait été victime d’une agression sexuelle, vendredi 18 janvier. L’enquête est en cours.

Les faits se seraient déroulés le vendredi 18 janvier à la maison de retraite de La Martinière à Sablé, plus précisément, à l’UPAD des érables.

Vincent, le fils d’Huguette*, 89 ans, a été alerté par téléphone vers 19h. Il apprend que sa mère aurait été victime une heure plus tôt d’une agression sexuelle par un patient qui « venait d’arriver, il y a seulement trois heures dans le service ».

L’individu âgé de 64 ans serait également connu de la gendarmerie. Le fils de la victime précise : 

Il a déjà fait deux fugues, la gendarmerie l’a récupéré en plein centre-ville

Il poursuit : « C’est quelqu’un de dangereux ».

Plus d’informations dans « Les Nouvelles » de ce jeudi 31 janvier en kiosque ou en version numérique.  

* Le prénom a été changé pour protéger la victime.

Meaux : l'expulsion d'un élève violent annulé par le Rectorat

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Les professeurs du lycée Moissan ont déposé un préavis de grève.

Les professeurs du lycée Moissan ont déposé un préavis de grève pour jeudi 31 janvier. (©La Marne)

Les faits semblent graves : en novembre dernier, le conseil de discipline du lycée Henri-Moissan de Meaux a décidé d’exclure définitivement un élève pour « attitude agressive ; gestes vulgaires et propos déplacés envers une enseignante ; refus d’obéir aux demandes répétées de l’enseignante et d’un assistant d’éducation. »

Il mime une fellation en classe

En classe, l’élève en question aurait mimé une fellation devant son enseignante et lui aurait dit : « Vous voulez pas que je vous… »

Mais visiblement, ni l’élève, ni ses parents ne l’entendaient de cette oreille. Ils ont donc décidé de faire appel et le Rectorat, après étude du dossier, a décidé d’une nouvelle sanction qui annule celle du conseil de discipline du lycée Moissan et autorise l’élève à revenir en cours. 

L’équipe éducative du lycée de Meaux a déposé un préavis de grève pour jeudi 31 janvier de 8 h 15 à 12 h 20 si le Rectorat maintient sa décision. 

L’équipe éducative du lycée Moissan :

Nous nous interrogeons sur le signal qu’une telle décision envoie aux élèves de l’établissement et plus généralement à l’ensemble de la société française.

L’élève nie, le Rectorat revient sur l’expulsion

Pour le Rectorat, il ne s’agit d’une annulation mais de la décision de la commission d’appel après examen du dossier. 

« La commission d’appel a statué sur la forme car certains éléments n’ont pas été fait selon nos procédures » explique-t-on au Rectorat. 

Sur le fond ensuite : « toute sanction doit être proportionnée à l’acte. Une sanction a donc été prononcée à l’encontre de l’élève ». Ce dernier a été exclu sept jours. 

« Nous ne comprenons pas pourquoi la parole de l’élève prime celle de l’enseignante » déplore le personnel éducatif gréviste.

A LIRE AUSSI : Le lycée Moissan de Meaux en grève contre la réforme Blanquer

Val-d'Oise. Photos : les luges étaient de sortie à Pontoise

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Mathilde et ses enfants ont enchaîné les descentes en luge dans le parc de la Pépinière, dans le quartier des Louvrais. Après le déluge de neige, c'était l'heure des luges !

Mathilde et ses enfants ont enchaîné les descentes en luge dans le parc de la Pépinière, dans le quartier des Louvrais. Après le déluge de neige, c’était l’heure des luges !

Vu la vitesse à laquelle a fondu la neige qui s’est abattue sur Pontoise (Val-d’Oise) dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 janvier avec la tempête Gabriel, les enfants ont profité du manteau blanc pour s’adonner à toutes sortes de jeux, y compris les sports de glisse.

Ainsi, dans le parc de la Pépinière, dans le quartier des Louvrais, Mathilde n’a pas hésité à sortir la luge pour le plus grand bonheur de ses deux chérubins. Le terrain plutôt bosselé de l’espace vert (blanc, en l’occurrence, Ndlr) est, par ailleurs, parfait pour s’entraîner en douceur aux sports d’hiver. Thomas et Héloïse ont, ainsi, enchaîné les descentes périlleuses tout l’après-midi. Il ne manquait plus que des remontées mécaniques pour parfaire l’ambiance.

Jo.C.

 

Les photos :


Occitanie : à la hausse ou à la baisse, voici les évolutions des péages autoroutiers au 1er février

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Les tarifs des péages autoroutiers vont évoluer (plutôt à la hausse) vendredi 1er février 2019 en Occitanie, mais pas aux portes de Toulouse, sauf depuis l'A61

Les tarifs des péages autoroutiers vont évoluer (plutôt à la hausse) vendredi 1er février 2019 en Occitanie, mais pas aux portes de Toulouse, sauf depuis l’A61 (©Illustration / Fotolia)

Malgré la crise des gilets jaunes, les prix des péages autoroutiers vont encore évoluer. Vendredi 1er février 2019, comme chaque année, certains usagers de la route vont payer plus cher, mais d’autres vont aussi faire quelques économies substantielles sur les « trajets du quotidien ». Explications.

Des péages à la hausse, malgré la crise

Le gouvernement avait prévenu : malgré la crise des gilets jaunes, qui ont d’ailleurs souvent ciblé les sociétés d’autoroutes ces dernières semaines, les tarifs devaient augmenter de 1,8% à 1,9% partout en France, le 1er février, selon une savante règle de calcul, prévue dans les contrats de concession. Rappelons qu’en dix ans, le prix des péages a connu une hausse de près de 20 % en France. 

Le gouvernement, prudent sur ce dossier très sensible, avait toutefois demandé en contrepartie, aux sociétés d’autoroutes, des « gestes commerciaux » pour les usagers réguliers. Des gestes qui vont se concrétiser localement sur le réseau de Vinci Autoroutes, en même temps que les évolutions des prix aux péages (à la hausse le plus souvent). Et tout cela dès le 1er février 2019. 

LIRE AUSSI : Autoroutes : le prix des péages va augmenter le 1er février

Tarifs stables aux portes de Toulouse, sauf à Montgiscard

Pour les trajets courts à destination de la métropole de Toulouse, les prix des transports du quotidien n’augmenteront pas ou peu : sur l’A64, à la barrière de péage de Muret, le prix reste stable, à 1,80 €. Idem sur l’A68, à la barrière de péage de Toulouse-Est, à L’Union, où les automobilistes s’acquitteront toujours de 1,5 €. Même sort pour les (nombreux) usagers de l’A62, qui font le trajet depuis Saint-Jory (80 centimes vers Blagnac, ou 1,10 € vers Montpellier), mais aussi Eurocentre (1,30 € / 1,80 €, tarifs stables).

Moins de chance en revanche, pour les usagers de l’A61 qui viennent dans la Ville rose. Entre Montgiscard et Toulouse par exemple, le tarif augmentera de 10 centimes : de 1,20 € à 1,30 € (en direction de Muret ou Blagnac) et de 1,60 à 1,70 € (en direction d’Albi ou Bordeaux).

Hausses sur les longs trajets, surtout vers Montpellier

Sur les longs trajets en revanche, c’est une autre histoire : mis à part les usagers très réguliers de ces autoroutes (lire ci-dessous), qui pourront bénéficier de 30 % de réduction à partir de 20 trajets par mois, les automobilistes qui se rendent moins régulièrement de Toulouse à Montpellier (Hérault) par exemple, vont à nouveau tousser… Car c’est sur cet axe, de l’A61 à l’A9, que les péages vont le plus fortement augmenter dans la région. Au programme : une hausse de tout de même 60 centimes de plus par trajet entre les deux métropoles d’Occitanie : de Montpellier Saint-Jean à Toulouse Sud-Ouest (vers Muret ou Blagnac), comptez 23,5 €, contre 22,9 € l’an dernier. De Montpellier Saint-Jean à Toulouse Sud-Est (vers Albi ou Bordeaux), comptez 24,10 €, contre 23,50 € l’an dernier.

Entre Toulouse et Bordeaux (Gironde), la hausse sera trois fois moindre (pour une distance à peu près la même) : 20 centimes de plus. La facture passera de 19,80 à 20 euros entre Bordeaux et Toulouse-Est (vers Montpellier) et de 19,10 à 19,30 € entre Bordeaux et Toulouse-Ouest (vers Blagnac). Entre Toulouse et Montauban (Tarn-et-Garonne), le tarif augmentera de 10 centimes : 3,6 € contre 3,5 € pour Montauban-Toulouse Est, 2,9 € contre 2,8 € pour Montauban-Toulouse Ouest.

Enfin, entre Toulouse et Tarbes-Est (Hautes-Pyrénées), le tarif reste inchangé : 8,50 € au total (6,7 € + 1,8 € pour la barrière de Muret).

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En 2019. Les tarifs sur le réseau ASF (prix pour un véhicule léger) :

Tarifs Vinci Autoroutes 2019 by on Scribd

En 2018. Les tarifs sur le réseau ASF (prix pour un véhicule léger) :

Tarifs Vinci Autoroutes 2018 by on Scribd

30 % de réduction sur les trajets du quotidien

Parallèlement à ces nouveaux tarifs, Vinci annonce le lancement dès le 1er février d’un nouvel abonnement, intitulé « Ulys 30 », qui offre 30% de réduction sur les trajets réguliers. Une initiative prise à la demande du gouvernement « en faveur du pouvoir d’achat et des mobilités quotidiennes », indique Vinci Autoroutes, qui promet de « permettre aux usagers réguliers de l’autoroute, effectuant au moins 10 allers-retours par mois (ou l’équivalent de 20 trajets, quel que soit le sens de circulation) sur un itinéraire choisi, de bénéficier d’une réduction de 30 % sur l’ensemble de ces trajets et les suivants ». Une offre destinée à « faciliter les déplacements du quotidien », insiste le groupe.

Entre Muret et Toulouse, 130 € d’économies sur un an

Dès 10 allers-retours dans le mois, cette réduction de 30 % s’appliquera donc à l’ensemble des trajets effectués sur l’itinéraire préférentiel de l’usager. « Des économies substantielles », estime Vinci Autoroutes. 

Concrètement, sur un trajet du quotidien de type Muret-Toulouse Ouest par exemple, facturé 1,80 €, Vinci Autoroutes met en exergue « une économie mensuelle de 10,80 € » pour les usagers de la route, qui paieront 25,2. Soit tout de même 130 € en moins sur un an.

Les baisses de tarifs sur plusieurs trajets du quotidien, sur l'A64 et l'A62

Les baisses de tarifs sur plusieurs trajets du quotidien, sur l’A64 et l’A62 (©Vinci Autoroutes)

Autre exemple fourni par Vinci, dans l’Est de l’Occitanie : Nîmes-Montpellier. Un usager qui effectue 10 allers-retours mensuels entre les deux villes s’acquitte de 3,10 € de péage par trajet, soit l’équivalent de 62 € par mois pour 10 allers-retours. Grâce au nouvel abonnement Ulys 30, il bénéficiera d’une remise de 30 % sur l’ensemble de ces trajets ainsi que les suivants. La douloureuse pour 10 allers-retours passera donc à 43,40 € par mois. À la clé : une économie de 18,60 € par mois, soit 223,20 € par an. 

Comment ça marche, pour en bénéficier ?

Pour bénéficier de cette offre « Ulys 30 », l’usager doit s’abonner sur le site d’Ulys, en associant à son badge de télépéage un trajet préférentiel, sur lequel la réduction de 30 % s’appliquera, sans limitation de kilométrage sur les réseaux de Vinci Autoroutes. Un usager qui fait régulièrement Toulouse-Montpellier, ou Toulouse-Bordeaux par exemple, pourra en bénéficier. Sur un Toulouse-Bordeaux, il économiserait ainsi 120 € par mois (280 €, contre 400 € sans l’abonnement). À savoir enfin que l’offre fonctionne aussi si l’usager n’emprunte qu’une seule barrière de péage, comme c’est le cas à Toulouse-Est ou à Muret. Attention toutefois : comme l’ensemble des abonnements télépéage, Ulys 30 est assorti de frais de gestion d’un montant de 2,50 € / mois. 

Reste à savoir combien d’automobilistes font au moins 20 fois le même trajet autoroutier chaque mois…

Volé près de Fougères, le tracteur est retrouvé quatre ans plus tard en Normandie

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Un agriculteur installé à Pont-d'Ouilly (Calvados) était jugé devant la cour d'appel de Caen pour le recel d'un tracteur volé il y a près de huit ans à Saint-Pierre-des-Landes (Mayenne) près de Fougères.

Un agriculteur installé à Pont-d’Ouilly (Calvados) était jugé devant la cour d’appel de Caen pour le recel d’un tracteur volé il y a près de huit ans à Saint-Pierre-des-Landes (Mayenne) près de Fougères. (©Archives)

Un agriculteur installé à Pont-d’Ouilly (Calvados) était jugé, mercredi, devant la cour d’appel de Caen pour le recel d’un tracteur volé il y a près de huit ans à Saint-Pierre-des-Landes (Mayenne) près de Fougères.

Le véhicule agricole a été découvert presque par hasard, quatre ans plus tard, à plus de 100 km dans le cadre d’une enquête portant sur le vol… d’un autre tracteur.

Ni plaque d’immatriculation, ni papiers en règle et numéro de série limé

Absent à l’audience, l’agriculteur de 55 ans avait acheté l’engin pour 5.000 euros à des hommes originaires des pays de l’Est, et qui s’étaient présenté à lui comme des négociants en matériel agricole. « Il ne pouvait pas supposer que ce bien avait une origine douteuse », a insisté son avocate.

Dans ses réquisitions, l’avocat général a pourtant douté du sérieux de la vente. Estimé à près de 25.000 euros à l’état neuf, l’engin avait été cédé pour seulement 5.000 euros.

Surtout, le tracteur n’avait ni plaque d’immatriculation, ni papiers en règle. « Le numéro de série avait même été limé », a précisé Marc Hedrich, le magistrat qui a instruit le dossier.

Les gendarmes s’étaient présentés chez le quinquagénaire après qu’un autre homme – étranger à ce dossier – a tenté de lui voler, là-encore, un autre tracteur.

Ce dernier reprochait au prévenu de lui avoir vendu, quelques semaines plus tôt, un engin qui était rapidement tombé en panne. Refusant d’assumer seul les réparations estimées à 8.000 euros, il avait alors décidé de se rembourser directement auprès du prévenu, en lui dérobant son matériel.

Là-aussi, l’origine de cet autre tracteur avait interpellé les gendarmes, chargés de l’enquête.

Deux engins sans numéro de série ni plaque d’immatriculation sur une seule et même exploitation, « ça commence à faire un peu beaucoup pour un homme qui se veut de bonne foi », a remarqué l’avocat général, qui a demandé à la cour de confirmer la peine prononcée en première instance.

Sanction allégée

En décembre 2017, le prévenu avait écopé deux mois de prison avec sursis.

En défense, l’avocate de l’exploitant a brossé le portrait d’un homme davantage victime de cette situation que complice des malfaiteurs responsables du vol en Mayenne.

Il ne dort plus, ne mange plus depuis maintenant plusieurs semaines

D’autant plus que ce dernier n’aurait pas vraiment réalisé le joli coup dénoncé par le parquet :

Mon client a acheté 5.000 euros un tracteur qu’un expert a quant à lui estimé à seulement 3.000 euros du fait de son ancienneté. Un tracteur qui a été restitué à ses propriétaires !

Après en avoir délibéré, la cour d’appel a allégé la sanction prononcée par le tribunal correctionnel de Caen.

Jusque-là inconnu de la justice, l’agriculteur normand a écopé d’une simple amende de 500 euros.

Violences conjugales : les violentes pulsions d'un Malouin condamnées par le tribunal de Saint-Malo

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Un homme de 28 ans a été condamné à 1 an de prison ferme par le tribunal de Saint-Malo, ce mercredi soir, pour avoir violemment frappé, insulté, harcelé et menacé de mort son ex-petite amie.

Un homme de 28 ans a été condamné à 1 an de prison ferme par le tribunal de Saint-Malo, ce mercredi soir, pour avoir violemment frappé, insulté, harcelé et menacé de mort son ex-petite amie. (© Illustration Pixabay)

Le prévenu, un Malouin de 28 ans, fréquente les tribunaux depuis ses 16 ans. Il doit encore 20 000 euros de dommages et intérêts à sa sœur et à une ex-compagne pour des faits de violence et de séquestration.

La violence est encore au cœur de sa comparution immédiate, à Saint-Malo, ce mercredi 30 janvier 2019. C’est sa dernière petite amie qui en a fait les frais. À plusieurs reprises, il l’a frappée, insultée, menacée de mort et harcelée.

« Je vais te planter toi et ton fils. Je vais t’égorger. Je vais te traquer jusque devant l’école ».

Voici le genre de propos maintes fois répétés à la jeune femme, maman d’un enfant de 4 ans, né d’une précédente union. Par message, au téléphone et parfois en criant la nuit au bas de son immeuble.

« Je vais te harceler nuit et jour sale putain. Tu vas devenir dingue comme tu m’as rendu dingue ».

249 appels et SMS en une journée…

La présidente du tribunal de Saint-Malo finira par se faire l’économie de lire cette longue litanie de messages insultants, menaçants « et particulièrement inquiétants », rappelle la substitut du procureur. « Il a été jusqu’à la contacter 249 fois le même jour ».

Tribunal de Saint-Malo : le beau-père avait donné des fessées jusqu’aux… ecchymoses

Il y a eu des paroles mais aussi des coups. Gifles, coups de poing et tentatives d’étranglements. Une amie sera témoin de ses agissements et de son « regard effrayant ». Une voisine mettra un terme à l’une de ses scènes pour conduire la victime à l’hôpital. À chaque fois, l’enfant de la jeune femme était présent dans l’appartement.

« Je suis désolé »

À l’énoncé de tous ces faits, le Malouin, cerclé de deux policiers dans le carré vitré des prévenus, éclate en sanglots :

« Ça me ronge jour après jour. Je suis désolé. Je ne sais pas pourquoi j’agis ainsi, pourquoi j’ai des pics de violence, pourquoi je m’attaque aux gens que j’aime ».

Troubles neurologiques

À cette question, à ses « pulsions », le prévenu, aujourd’hui auto-entrepreneur dans le coaching et le bien-être, avance une explication : « Je souffre de TDAH (trouble de déficit et de l’attention) avec hyperactivité. Je suis aussi bipolaire. Je commence à me soigner… »

La juge d’application des peines, au regard de cette pathologie, se prononce contre la prison.

Quant à son ex-petite amie, si elle a porté plainte, elle ne demande aucun dommage et intérêt. Elle souhaite seulement que le prévenu, avec qui elle a longtemps entretenu une relation qualifiée par le tribunal « d’ambiguë » en dépit des faits, ne l’approche plus et se soigne.

« Sa place est davantage auprès des médecins que dans une maison d’arrêt », réclame elle aussi l’avocate du Malouin, Me Clara Ménard, qui défend la pose d’un bracelet électronique.

1 an de prison ferme

Pour le Parquet en revanche, la maladie n’excuse pas tout. « On envoie pas autant de messages menaçants sur plusieurs mois dans un moment de folie ». 18 mois de prison dont 13 mois ferme et le maintien en détention sont requis à l’encontre du prévenu.

Le tribunal a finalement été au-delà de ces réquisitions en condamnant le Malouin à 1 an de prison ferme et autant avec sursis. Il est maintenu en détention et a interdiction d’entrer en contact avec les victimes.

Il devra également verser 823 euros au père de l’enfant de la victime pour lui avoir dégradé son véhicule.

6 nations 2019. Outre Bastareaud et Dupont, qui sera en tribunes pour France - pays de Galles ?

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Thomas Ramos ne connaîtra pas sa première sélection internationale lors de France - pays de Galles.

Thomas Ramos ne connaîtra pas sa première sélection internationale lors de France – pays de Galles. (©Icon Sport)

Dorian Aldegheri (pilier, 0 sélection)

Jacques Brunel a pourtant été impressionné par le pilier du Stade Toulousain depuis le début du rassemblement à Marcoussis. Surpris par sa « qualité de déplacement », son investissement et sa maturité dans ce qu’il entreprenait. Cela n’a pas suffi, la jeune bombe Demba Bamba lui ayant été préférée pour prendre place sur le banc pour la venue du pays de Galles. On se dit toutefois qu’après les propos élogieux du sélectionneur national, Dorian Aldegheri aura sa chance dans ce Tournoi 2019.

LIRE AUSSI6 nations 2019. Le coup de gueule de Jefferson Poirot (XV de France)

Pierre Bourgarit (talonneur, 1 sélection)

Le Rochelais se bat pour une place. Forcément, le maillot floqué du numéro 2 est réservé au capitaine, Guilhem Guirado. Et dans la hiérarchie actuelle, il semble que le Rochelais soit derrière le capitaine du Stade Toulousain, Julien Marchand. Pierre Bourgarit va devoir se battre pour essayer de s’inviter au moins une fois sur le banc des remplaçants.

Fabien Sanconnie (troisième ligne, 4 sélections)

Le voir en tribunes est loin d’être une surprise. S’il remplace Bernard Le Roux, il n’est pas prévu pour figurer en deuxième ligne mais bien en troisième. Et là, la concurrence fait rage. S’il a l’avantage d’être polyvalent, cela ne lui a pas permis de prendre place sur le banc. Le novice Rochelais Grégory Alldritt, qui peut lui aussi jouer à tous les postes de la troisième ligne, lui a été préféré. C’est dire. Le message envoyé est clair : Fabien Sanconnie devrait principalement voir le Tournoi depuis les tribunes.

Yacouba Camara (XV de France) devrait rapidement rentrer dans le Tournoi des 6 nations 2019.

Yacouba Camara (XV de France) devrait rapidement rentrer dans le Tournoi des 6 nations 2019. (©Icon Sport)

Yacouba Camara (troisième ligne, sélections)

Gros dilemme pour Jacques Brunel. Le sélectionneur du XV de France a finalement opté pour Wesceslas Lauret aux dépens de Yacouba Camara. Brunel n’a pas tari d’éloges sur Lauret. « C’est le joueur qui me semble le plus complémentaire car il a un profil complet. C’est un bon sauteur en touche, un coureur, un plaqueur et il est fort dans les contests ». Mais le sélectionneur s’est voulu rassurant pour Camara : « Il rentrera très prochainement ». Le Montpelliérain devra tout de même patienter…

Antoine Dupont (demi de mêlée, 10 sélections)

C’est une surprise. Avec son club du Stade Toulousain, il impressionne à chaque sortie, et ce même au-delà des frontières françaises. L’un des joueurs français les plus talentueux, mais pourtant Jacques Brunel a misé sur Morgan Parra et Baptiste Serin à la mêlée. Antoine Dupont semble dépendant des compositions et choix du sélectionneur national. Face aux Gallois, Brunel a souhaité avoir sur le banc un neuf « chef d’orchestre » et « buteur » car il souhaitait se passer d’un dix pour disposer de deux solutions pour « renforcer notre effectif sur le fond du terrain ». Le Toulousain va bouillir intérieurement. Reste à savoir jusqu’à quand…

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Anthony Belleau (demi d’ouverture, 10 sélections)

Le Toulonnais est aussi victime du choix de Jacques Brunel de ne prendre qu’un seul véritable ouvreur pour ce match face au pays de Galles. Il est derrière Camille Lopez, cela ne fait aucun doute, et on se demande quand est-ce qu’il pourra bien jouer dans ce Tournoi. Il va lui aussi devoir prendre son mal en patience.

Le centre Mathieu Bastareaud y croit : le XV de France peut être champion du monde en 2019.

Le centre Mathieu Bastareaud sera en tribunes pour France – pays de Galles. (©Icon Sport)

Mathieu Bastareaud (centre, 50 sélections)

C’était l’homme de base de Jacques Brunel et Bernard Laporte. Le voir en tribunes est une véritable sensation. Car si la nouvelle philosophie de jeu prônée passe par du jeu de mouvement et de vitesse, on aurait pensé le voir sur le banc. Le Toulonnais est un leader par la parole et l’exemple, un rôle guère pourvu au sein de ce groupe France. « Je sais qu’il va falloir le rebooster et, une énième fois, lui donner l’envie de prouver. (…) C’est un sportif, un compétiteur, du coup il a été touché », a déclaré Yoann Huget. On comprend sa déception. Il va falloir sauver le soldat Bastareaud…

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Thomas Ramos (arrière, 0 sélection)

La vitesse, c’est son truc. Il joue à l’arrière, peut dépanner à l’ouverture et bute plutôt bien. Des caractéristiques qui en faisaient un membre logique pour figurer sur la feuille de match de France – pays de Galles. Le Toulousain paye peut-être son inexpérience internationale. Sur le banc, Jacques Brunel a opté pour Fickou pour couvrir le poste d’ailier et Doumayrou, plus polyvalent que Bastareaud au centre.

Dinan : Yann Geindreau accepte la présidence du Tennis-Club de Léhon

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La ville avait sommé le club de se restructurer et décidé en attendant de geler la subvention.

La ville avait sommé le club de se restructurer et décidé en attendant de geler la subvention. A droite sur la photo, le nouveau président, Yann Geindreau, ici en compagnie du maire de Dinan, Didier Lechien, et du maire délégué de Léhon, René Degrenne. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

À l’issue de l’assemblée générale extraordinaire du Tennis-Club de Léhon, le 14 janvier, douze personnes avaient accepté de relever le défi et de constituer un nouveau comité de direction.

Il s’est réuni et à élu un nouveau bureau. Joueur du club, Yann Geindreau a accepté d’en prendre la présidence. Et une mission pour la restructuration et le développement du club a été confiée à Geoffroy Canivet.

Audit complet des comptes et des actifs

Ce dernier, avocat a, en outre, « été mandaté pour représenter et assister l’association durant sa réorganisation. Et un expert-comptable, commissaire aux comptes, a été sollicité pour un audit complet des comptes et des actifs du club », indique le TC Léhon dans un communiqué.

« Parallèlement à l’intervention d’un conciliateur auprès du tribunal d’instance de Dinan, la priorité fixée par la nouvelle équipe porte principalement sur le rééquilibrage des comptes et de la trésorerie. Dans cette optique, un plan de soutien par les sponsors historiques, des entreprises mécènes ou des donateurs particuliers a été mis en place (dont une cagnotte en ligne) », précise encore le communiqué.

Le comité de direction a par ailleurs voté à l’unanimité une résolution portant sur « la concertation permanente des dirigeants de l’association avec son personnel salarié, sur la gestion du club au quotidien et ses décisions stratégiques. »

Deux tournois à venir

Pour attirer de nouveaux adhérents, une nouvelle offre « spéciale saison 2019 » va être proposée. Rayon animations, un tournoi va être organisé du 8 au 22 février, puis une deuxième édition de l’Open 186 se tiendra du 5 au 19 avril avec des joueurs professionnels. Il est enfin question d’ouvrir les installations à d’autres activités (badminton, foot en salle, fléchettes…).

« Un plan de restructuration complet sera présenté à la mairie au mois de février », conclut le communiqué.

Les tarifs des autoroutes de Normandie vont augmenter au 1er février 2019

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Le tarif des autoroutes de Normandie va augmenter au 1er février 2019, comme chaque année.

Le tarif des autoroutes de Normandie va augmenter au 1er février 2019, comme chaque année. (©Illustration/Fotolia)

Vingt centimes par ci, dix centimes par là : comme chaque année, la tarif des autoroutes va augmenter aux barrières de péage des autoroutes de Normandie, vendredi 1er février 2019. Particularité : la mise en place de nouveaux abonnements pour les automobilistes qui empruntent régulièrement ces axes coûteux.

Jusqu’à 20 centimes d’augmentation selon les tronçons

La société des autoroutes Paris-Normandie a communiqué, jeudi 30 janvier 2019, ses nouveaux tarifs sur les autoroutes A13 et A29, dont elle a la charge. La société d’autoroute souligne que le taux d’augmentation de 1,69 % est inférieur à celui de l’inflation, de 1,94 %. Les tarifs restent inchangés sur quatre tronçons : 

  • Mantes – Vernon (A13) : 2,70 euros ; 
  • Rouen – Bourg-Achard (A13) : 1,60 euros ;
  • Incarville (A13/A154) : 1,50 euros ;
  • Le Havre – Saint-Saëns : 1,10 euros.

Sur tous les autres tronçons, les tarifs augmentent de 10 à 20 centimes : 

  • 10 centimes : de Mantes à Rouen et de Rouen à Deauville sur l’A13, du Havre à Yvetot sur l’A29 ;
  • 20 centimes : de Mantes à Deauville et de Rouen à Caen sur l’A13, du Havre à Saint-Saëns sur l’A29. 

De nouveaux abonnements pour faire baisser les prix

Évoquant les Gilets jaunes et arguant d’être mobilisée « pour répondre à la préoccupation exprimée par les Français sur leur pouvoir d’achat », la SAPN met en place « un tarif préférentiel pour les usagers réguliers ». Ce « coup de pouce » avait été dealée entre le ministère des Transports et les sociétés d’autoroute en janvier 2019, dans l’espoir d’apaiser un peu la tension liée au mouvement des Gilets jaunes.

Chaque usager de véhicule particulier ou de deux-roues qui emprunte le même itinéraire aller et retour dix fois par mois aura droit à une réduction de 30 % du tarif de l’abonnement. Soit 56,70 euros pour Mantes-Vernon par mois, contre 81 euros pour le même abonnement jusqu’alors. Le détail des abonnements sera mis en ligne sur le site internet de la Sanef à partir du 1er février 2019, jour de leur mise en place.

Mardi 30 janvier 2019, les gestionnaires des autres autoroutes normandes – l’A28 et l’A88 – n’avaient pas encore communiqué leurs nouveaux tarifs.

Seine-et-Marne. Les voyants au vert pour le déménagement de la prison de Melun

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La question du déménagement de la prison de Melun a été évoquée au ministère de la Justice

La question du déménagement de la prison de Melun a été évoquée au ministère de la Justice (©La Rep 77/JVC/archives)

Un réunion en terrain neutre. La question du projet de création de maison d’arrêt de 700 places et du déplacement du centre de détention de Melun a été au cœur d’une réunion organisée, mercredi 16 janvier, au ministère de la Justice, en présence de plusieurs élus Seine-et-Marnais.

Parmi eux, Françoise Lefebvre (SE) et Louis Vogel (Agir), maires de Rubelles et Melun, Patrick Septiers le président du Département et les parlementaires Aude Luquet (Modem), Olivier Faure (PS) et les sénateurs Colette Mélot (Agir) et Arnaud de Belenet (LREM). Le sujet ne fait pas consensus puisqu’une pétition a été lancée par la première édile de Rubelles  souhaitant un abandon pur et simple du projet.

Contrepartie

Le terrain visé pour l’implantation d’une future maison d’arrêt est situé sur le site des Hautes Bornes, à cheval entre les communes de Rubelles et Melun. Pour les Seine-et-Marnais, le deal est d’accepter une nouvelle prison mais d’obtenir, en contrepartie, le déménagement du centre de détention de l’île Saint-Etienne. Fin 2018, une étude de faisabilité avait confirmé la possibilité d’une prison de 1 000 places sur le site en question.

« Il est hors de question d’avoir deux prisons sur notre territoire, réaffirme Louis Vogel, le maire de Melun. Sans déménagement, pas de nouvelle prison. Nous devons bien sûr prendre en compte l’avis des habitants de Rubelles et de nouvelles études doivent être menées. C’est le seul site de libre dans la commune, susceptible d’accueillir le projet. »

Intégration du bâtiment

De son côté, la députée Aude Luquet estime que cette réunion permet de reprendre sereinement les échanges. « Il faut envisager toutes les questions comme l’intégration du bâtiment ou encore l’aspect paysager, souligne la parlementaire. C’est un projet qui nécessite l’adhésion de tous les élus du secteur pour qu’il puisse aboutir dans de bonnes conditions. »

De nouvelles études techniques vont être réalisées dans les deux mois à venir, en lien avec l’agence publique pour l’immobilier de la justice (Apij). Contacté, la Chancellerie indique que la réunion a été constructive. « Les voyants sont au vert pour envisager le rapatriement, à terme, du centre de détention de Melun », confie le porte-parole. Une nouvelle réunion doit être organisée d’ici un délai de deux mois.
 


Près de Dinan, 3 millions de boîtes de poudre de lait infantile produites par Laïta à Créhen

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Près de 3 millions de boîtes de poudre de lait infantile ont été produites en un an dans la nouvelle unité de Laïta, à Créhen.

Près de 3 millions de boîtes de poudre de lait infantile ont été produites en un an dans la nouvelle unité de Laïta, à Créhen. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

 En décembre 2017, la société Laïta inaugurait sur son site de Créhen, près de Dinan (Côtes d’Armor) une nouvelle unité de fabrication et de conditionnement de poudre de lait infantile.

Une nouvelle usine high-tech de 200 mètres de long, 11 000 m2 au sol, avec sa tour de 47 mètres de haut, symbole de l’ambition des dirigeants du groupe Even, la maison mère.

« C’est le vaisseau amiral de notre stratégie de création de valeur et d’internationalisation au service des producteurs laitiers du grand ouest et de la vitalité des territoires ruraux »,

vient encore de rappeler l’entreprise Laïta dans un communiqué pour le premier anniversaire de la nouvelle unité.

Lire aussi : Nouvelle unité Laïta à Créhen : 80 emplois à la clé

41 personnes en 3×8

Elle a pris son rythme de croisière. « La qualification pour fabriquer des poudres de lait infantiles, obtenue en mai dernier, a donné le top départ de la montée en charge de la production », indique encore Laïta.

Les commandes affluent du Moyen-Orient, d’Asie et d’Amérique du Sud, régions du monde où les besoins en poudre de lait infantile sont importants.

Du coup, à la fin de l’année 2018, l’atelier de fabrication infantile avait déjà fabriqué 2 000 tonnes de lait de poudre infantile. Il emploie 41 personnes et fonctionne en 3×8, cinq jours sur sept.

« La montée en puissance de l’outil a même nécessité la création d’une seconde équipe de conditionnement », afin de pouvoir travailler 2×8, là aussi cinq jours sur sept. L’atelier boîtage emploie 16 personnes. Près de 3 millions de boîtes de poudre de lait infantile ont été conditionnées.

25 000 analyses

Au total, entre fabrication, conditionnement, maintenance et qualité, 80 personnes « sont dédiées au fonctionnement de la nouvelle unité infantile », sur les 500 personnes travaillant sur le site de Créhen.

La nouvelle usine répond aux exigences sanitaires les plus pointues et répond pour cela aux normes internationales.

Laïta peut s’appuyer pour cela sur son laboratoire d’analyses intégré au site, qui emploie sur place 51 personnes, et qui a réalisé, en 2018, 50 000 analyses, dont la moitié pour la seule activité infantile.

Conflans-Sainte-Honorine. Réaménagement du quartier Chennevières : la concertation se poursuit ce jeudi

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La troisième réunion de concertation aura lieu jeudi 31 janvier, à partir de 20h à la salle des fêtes de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

La troisième réunion de concertation aura lieu jeudi 31 janvier, à partir de 20h à la salle des fêtes de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). (©La Gazette du Val-d’Oise)

Le réaménagement du quartier Chennevières : le dossier le plus épineux des six grands projets de ville initiés par la municipalité de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

Jeudi 31 janvier, les habitants sont invités à participer à la 3e réunion de concertation à ce propos, qui aura lieu à partir de 20h à la salle des fêtes.

Ce troisième acte a été préparé à partir du diagnostic sensible effectué auprès de la population (sondages, synthèse des tours de table…) et du diagnostic technique piloté par le cabinet d’études spécialisé en urbanisme, commerce de proximité, mobilités et cadre de vie.

Ce dernier présentera son travail et proposera par la suite différentes approches et orientations pour poursuivre la réflexion. En seconde partie de la soirée, plusieurs points de travail seront soumis aux habitants lors d’ateliers organisés en petits groupes.

Ce dossier du quartier Chennevières n’a jamais réussi aux municipalités précédentes. Et les raisons sont multiples : report du dossier, présentation d’un projet peu ambitieux ou abandon face à l’ampleur de la tâche.

D’autant que le lieu est considéré, à juste titre, comme le second centre-ville de Conflans-Sainte-Honorine.

L’objectif de la municipalité est de « retrouver une place attractive et valorisante pour la commune. Il y a une forte attente de la part des habitants du quartier, d’autant qu’ils voient que les choses bougent en centre-ville (réaménagement de la place Fouillère qui devrait être terminé d’ici au printemps, ndlr) », soulignait Laurent Brosse, maire (Lr) de la commune, avant le début de la concertation.

Il y a quelques mois, la municipalité a lancé une étude afin de déterminer les différentes problématiques du lieu. Principal problème du quartier : la place de la Liberté, fléau pour les piétons puisque la place est dédiée principalement à la circulation automobile.

Quimper : nos 3 infos du jeudi 31 janvier

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Marie-Isabelle Taddeï animera une conférence sur le cubisme, ce jeudi 31 janvier.

Marie-Isabelle Taddeï animera une conférence sur le cubisme, ce jeudi 31 janvier. (©Centre Pompidou)

Le cubisme avec Marie-Isabelle Tadeï

Marie-Isabelle Taddeï, co-auteur de l’émission « D’art d’art »,propose sa vision de l’exposition Le Cubisme présentée au Centre Pompidou de Paris. L’occasion d’une plongée dans l’un des mouvements fondateurs de l’histoire de l’art moderne, à travers certains peintres, des auteurs comme Max Jacob, ses détracteurs…

Jeudi 31 janvier, à 18 h 30, à la médiathèque Alain-Gérard, esplanade Julien-Gracq, Quimper. C’est gratuit.

Rencontre avec l’auteur Jean-François Tifiou

L'auteur du "Singulier voyage d'une bretonne" va à la rencontre des lecteurs.

L’auteur du « Singulier voyage d’une bretonne » va à la rencontre des lecteurs. (©Editions Feed Back)

L’auteur de Le singulier voyage d’une bretonne  (Editions Feed Back), Jean-François Tifiou rencontre le public à l’espace Café de librairie Ravy

A LIRE AUSSI. L’interview de Jean-François Tifiou

Cet album de photos inédites convie le public dans l’intimité du voyage d’une vie. Sans voyeurisme, sans complaisance, sans artifice. Marie-Corentine Cariou a quitté malgré elle sa ville de Quimper, sa maison,  son pays pour la traversée d’un destin hors du commun qui finira en Guyane Françcaise à Saint- Laurent du Maroni.

Infos pratiques. A l’espace Café de la Librairie Ravy, 10 rue de la Providence, Quimper, à 17 h 30.

Stage de Tchi Gong et voix

Deuxième édition de Au fil du Tchi, avec un stage Corps et Voix animé par Nathalie Morabin, professeur de Tchi Gong et Marie-Béatrice Lamouche, professeur de chant. 

Nous proposons d’expérimenter différentes assises (en lien avec la santé) et des exercices de voix, une alternance de travail collectif et individuel en un même lieu.

Infos pratiques
Samedi 2 février de 14 h 30 à 18 h, à la maison de quartier du Moulin vert, 47 chemin de Prateyer. Tarif : 40 euros. Inscriptions souhaitées au 06 37 80 77 05 ou sur le site de l’association organisatrice (avec le programme complet de Au fil du Tchi) : www.tercielac.fr

Après 10 jours intenses en haute-montagne, le musher Serge Métier est de retour à Bapaume

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Le musher de Bapaume a repris les entraînements 3 jours après son retour de Savoie.

Le musher de Bapaume a repris les entraînements 3 jours après son retour de Savoie. (©Serge Métier)

Malgré des bleus sur tout le corps, des courbatures et une grosse fatigue, Serge Métier est heureux. Ce dentiste de 50 ans installé à Bapaume (Pas-de-Calais) a atteint l’objectif qu’il s’était fixé : franchir la ligne d’arrivée de la Grande Odyssée Savoie Mont Blanc, une course à étapes qui met en compétition les 25 meilleurs mushers (meneurs de chiens de traîneau) d’Europe qui se tenait du 13 au 23 janvier 2019.

Inscrit dans la catégorie « Limited », qui autorise un pool de huit chiens (six pour l’attelage et deux en repos), Serge Métier avait en face de lui sept concurrents coriaces.

A LIRE AUSSI – Bapaume. Passionné de chiens de traîneau, Serge Métier va participer à la plus grande course d’Europe

Mais sur les huit présents dans le pool de départ, deux ont abandonné et une autre a été disqualifiée. Arrivé cinquième et donc bon dernier, le Balpamois est fier de son parcours. Ce fut pourtant loin d’être une sinécure et, de son propre aveu, Serge Métier a songé plusieurs fois à abandonner tant parvenir au bout de cette course de 556 km lui semblait impossible.

« Un vrai coup dur »

Dix jours d’efforts intenses dans la neige, 14 000 mètres de dénivelés, des températures glaciales et les galères qui ne se font pas fait attendre. La pire d’entre toutes a été la mise au repos forcée de Vito, son mâle Alaskan Husky de 8 ans, le plus robuste des huit chiens qu’il a emmené pour la course.

C’était le troisième jour, j’ai vu qu’il courait mal alors je l’ai montré aux vétérinaires. Ils lui ont trouvé une tumeur au niveau de la prostate. Ça a été un vrai coup dur ».

Le musher n’a eu d’autre choix que de compter sur ses sept autres compagnons à quatre pattes. Thor, un autre mâle, a accompli des prouesses le dernier jour, alors que les autres huskies de Serge étaient à bout de force.

Mais je n’aurais pas pu faire une étape de plus, on a tout donné jusqu’au bout. C’était dur jusqu’au dernier kilomètre. Et lorsqu’on a franchi la ligne d’arrivée, c’était le bonheur. »

Ma participation à la Grande Odyssée 2019. Remerciements à toute l’organisation, à mes handlers Christine et Thierry….

Publiée par Métier Serge sur Jeudi 24 janvier 2019

En plus de cet imprévu qui a beaucoup affecté son moral, le dentiste a vécu une mésaventure qui n’a, heureusement, eu aucune conséquence grave. Lors d’un bivouac au Mont-Cenis, sous un magnifique ciel dégagé éclairé par la pleine lune, Serge Métier va casser la fermeture éclair de son sac de couchage. Si cet incident n’a généralement pas d’impact, il peut se révéler très handicapant lorsqu’il fait -17°C.

J’étais sous ma tente et je ne parvenais pas à me réchauffer. J’entendais les autres mushers ronfler tout autour de moi. Avec tout ça, je n’ai pas pu fermer l’oeil de la nuit. Vers 4h du matin, je me suis levé et j’ai fait un footing pour me réchauffer. »

Des paysages sublimes

Grâce à son mental d’acier, le Nordiste a réussi à faire fi des coups durs et a profité au mieux de son aventure. La course se déroulant en grande partie en dehors des domaines skiables, les mushers peuvent découvrir des lieux préservés. Dans cette immensité blanche, le sentiment de liberté est puissant.

Serge Métier décrit des « paysages merveilleux, sublimes ». Mais il a surtout été subjugué par la dernière étape, à Bessans, en haut d’une montagne. Là, les mushers devaient suivre la piste qui faisait le tour d’un lac gelé. Une image forte que le Nordiste va longtemps garder en mémoire.

On pourrait les croire exténués par cette course rude et pourtant, les huskies de Serge étaient prêts à courir dès le week-end, soit trois jours après la dernière étape.

Ils ont déjà couru ce week-end. Ce sont des chiens qui ont besoin de son défouler. Ils sont très demandeurs et ne s’arrêtent jamais. »

Pourtant, les compagnons de Serge ont participé à leur dernière compétition. Quasiment tous âgés de 8 ans, l’heure de la retraite a sonné pour eux.

Cela n’empêche pas le musher nordiste de penser à ses prochaines participations. Après la Grande Odyssée qu’il tenait vraiment à boucler, le dentiste voit désormais plus grand, et plus au Nord. Dans deux ans, le temps d’avoir des chiens de traîneau adultes, il se voit bien concourir à la Gausdal en Norvège. Une course de 400 kilomètres de long qu’il faut avaler d’une traite.

Les meilleurs la font en deux jours. Moi je viserai plutôt trois jours. »

Serge Métier évoque aussi la Finnmarkslopet, toujours en Norvège, mais qui s’étend cette fois sur 1200 kilomètres. Mais ça, c’est une autre aventure.

Haute-Garonne : dix enfants en classe neige au Mourtis victimes d'une épidémie de gastro-entérite

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Dix enfants ont été victimes d'une gastro-entérite alors qu'ils étaient en classe neige au Mourtis (Haute-Garonne), mercredi 30 janvier 2019.

Dix enfants ont été victimes d’une gastro-entérite alors qu’ils étaient en classe neige au Mourtis (Haute-Garonne), mercredi 30 janvier 2019. (©AdobeStock / Illustration )

Alors qu’ils séjournaient à la station de ski du Mourtis, située en Haute-Garonne sur la commune de Boutx, au sud-ouest de Toulouse, dix enfants scolarisés dans une école primaire du Loire-Atlantique, qui étaient partis dans les Pyrénées à l’occasion d’une classe neige, ont été pris de soudains vomissements, mercredi 30 janvier 2019. 

Inquiets, les encadrants ont rapidement alerté les sapeurs-pompiers. Les secours sont arrivés sur les lieux aux alentours de 10h30, alors que l’accès à la station de sports d’hiver était difficile en raison de la neige, tombée en abondance ces derniers jours.

LIRE AUSSI : La gastro-entérite est de retour : voici les régions touchées

Victimes de l’épidémie de gastro 

Le doute concernant un intoxication au monoxyde de carbone ayant été rapidement levé par les secours, les pompiers ont fait venir un médecin durant l’après-midi, qui pu diagnostiquer la cause de ces vomissements intempestifs, survenus auprès de dix enfants âgés entre 9 et 11 ans. Ces enfants ont tout simplement été victimes d’une épidémie de gastro-entérite, qui sévit actuellement dans la région. 

Les enfants sont donc restés au chaud dans leur lieu de villégiature, où ils doivent rester jusqu’à la fin de la semaine… 

LIRE AUSSI : Grippe : Toulouse fortement touchée, l’épidémie s’étend en Occitanie (et ça ne va pas s’arrêter tout de suite !)

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