Sur l’image, on observe bien que la porte métallique empêche l’eau de la Garonne en crue de se déverser dans l’avenue de la Garonnette. La cascade d’eau est formée par l’eau de pluie remontée des canalisations souterraines de Toulouse par des pompes (©©Photo Facebook – Sébastien Bosvieux)

C’est une porte métallique et assez inesthétique qui passe relativement inaperçue au quotidien au centre-ville de Toulouse. Et pourtant, lorsque le niveau de la Garonne s’élève beaucoup, elle s’avère cruciale pour Toulouse. Sans elle, le centre-ville serait en effet en partie inondé.

Un graff pour mieux repérer cette porte essentielle pour Toulouse

Située au bout de l’avenue de la Garonnette cette porte, que l’on ferme pour éviter que l’eau ne s’engouffre dans ce qui était un bras de la Garonne, va faire l’objet d’une grande fresque murale sous forme de « graff ».

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La mairie de Toulouse qui lance un appel à projets précise que cette réalisation sera « temporaire »  car la porte est située dans le périmètre du site patrimonial remarquable de la ville de Toulouse, ainsi que dans le périmètre du site classé du plan d’eau et des berges de la Garonne.

La fresque murale proposera un projet artistique mettant en valeur la Garonne et portera sur la thématique du risque inondation. Elle pourra en particulier mettre en avant le caractère inondable du site, voire le rôle de protection de la porte étanche de la Garonnette, indique la mairie de Toulouse qui va lancer « une campagne d’information sur la période 2019 – 2020, permettant de valoriser un circuit de découverte de la Garonne mettant en avant le risque inondation dans toutes ses composantes, en vue de réduire la vulnérabilité des personnes, des biens et de l’environnement ».

Des portes mais aussi des digues et des vannes

Cette grande fresque devrait être inaugurée en septembre 2019. Elle lancera la campagne d’information qui permettra d’en apprendre un peu plus sur la façon dont Toulouse est désormais protégées des crues de la Garonne.

Car si les passants connaissent le rôle essentiel des digues, ils sont moins nombreux à savoir que plusieurs portes métalliques comme celle de la Garonnette empêchent l’eau de s’engouffrer dans certaines rues de Toulouse.

Et encore moins à savoir que des vannes et des pompes fonctionnent en continue lors des crues pour empêcher la remontée des eaux de la Garonne par le réseau de collecte des eaux pluviales. Système qui permet d’évacuer les eaux pluviales classiques tout en empêchant les eaux du fleuve de remonter par le réseau.

Un système que nous vous avions expliqué le 21 février 2018, alors que la porte étanche de la Garonnette avait été fermée en raison d’une crue importante de la Garonne.

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Le maître-chanteur fait croire à ses victimes qu’il contrôle l’ordinateur à distance et détient des vidéos compromettantes sur elles, tout en réclamant en échange une importante somme d’argent. (©Photo d’illustration – Santeri Viinamäki – Wikimedia Creative Commons)

Il n’est pas impossible que vous ayez reçu ce mail récemment. À l’intérieur, une personne vous indiquant avoir installé un logiciel malveillant dans votre ordinateur permettant sa prise de contrôle à distance. 

Cet escroc, qui a procédé à de nombreux envois de mail dans les Pyrénées-Atlantiques, envoie toujours le même mail, poussant la victime à payer. 

C’est ce que dénonce la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques à travers un post sur Facebook. On vous dit tout. 

Il détient une vidéo compromettante sur vous

La manière de procéder est toujours la même. 

L’escroc envoie des mails et indique à ses victimes qu’il a le contrôle de l’ordinateur et surtout de la webcam, qu’il peut lancer lorsqu’il le souhaite. 

De ce fait, l’arnaqueur indique avoir pu enregistrer des vidéos pornographiques mettant en scène la victime, filmée à son insu via la webcam. 

Ainsi, il fait du chantage à sa victime, prétendant détenir cette vidéo compromettante qu’il s’apprête à publier sur le web. 

C’est là la corde sensible sur laquelle tente de jouer l’escroc qui, en échange de son silence et de la non-publication de la vidéo, réclame une somme d’argent de l’ordre de plusieurs centaines d’euros. 

Des informations personnelles

La supercherie paraît d’autant plus plausible que l’arnaqueur fait mention, dans son mail, de diverses informations personnelles sur la victime, avec sa date de naissance, son identité et même des mots de passe. 

Pas d’inquiétude, d’après la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques, qui indique que ces informations proviennent de la récupération de bases de données piratées et diffusées sur internet. 

En fait, dans la réalité des faits, l’arnaqueur n’a pas piraté l’ordinateur et ne détient aucune vidéo. Il s’agit là seulement d’un moyen d’extorquer de l’argent. Soyez vigilants si vous tombez dessus, ne répondez pas ! 

Piero Rainero soulève plusieurs questions autour de l’attribution du marché de l’eau par Quimper Bretagne occidentale. Photo d’illustration. (©Côté Quimper)

Des soupçons d’irrégularité pèsent toujours sur l’attribution du marché de l’eau et de l’assainissement par la communauté d’agglomération Quimper Bretagne occidentale.

L’affaire a été révélée à l’automne 2018. Elle devait refaire surface jeudi 31 janvier 2019 lors du conseil communautaire, prévu à l’hôtel de ville de Quimper (Finistère) à 18 h.

Lettre ouverte à Alain Decourchelle

Le dossier n’est pas à l’ordre du jour mais le conseiller municipal communiste de Quimper, Piero Rainero, vient de le remettre sur la table.

Le 30 janvier, il a en effet rendu publique une lettre ouverte à Alain Decourchelle (LaREM), maire de Pluguffan et ancien vice-président de Quimper Bretagne occidentale chargé de l’eau et de l’assainissement. 

Depuis, sa délégation lui a été retirée. Alain Decourchelle a également démissionné du bureau de Quimper Bretagne occidentale. 

Pour autant, dans sa lettre ouverte, Piero Rainero lui demande de s’expliquer : 

Je m’adresse à vous qui, pendant les quatre dernières années, étiez l’élu référent de ce service (…) pour vous demander de rendre publics les éléments qu’attendent, et sont en droit d’avoir, tous les élus mais aussi les habitants de Quimper Bretagne occidentale sur cette attribution douteuse.

Piero Rainero continue en soulevant plusieurs questions :

Comment une décision de cette importance a-t-elle pu être prise avec une telle légèreté ? Comment la chaîne d’expertises indispensables pour effectuer les nombreux contrôles touchant aux procédures techniques et à la légalité pour ce genre de dossier a-t-elle pu dysfonctionner aussi gravement ? A quels niveaux ont eu lieu les manquements ?

Deux enquêtes ouvertes 

Pour mémoire, deux agents de la collectivité avaient été mis à pied. L’un a été réintégré mais pas à son poste initial, selon Piero Rainero. Une enquête administrative en interne a été ouverte; une autre procédure, judiciaire, est en cours.

Et Piero Rainero de conclure sa lettre ouverte à Alain Decourchelle : 

Que s’est-t-il réellement passé ? Vous êtes le mieux placé pour répondre à cette question. (…) Vous avez un devoir moral de transparence et de vérité envers les habitants de Quimper Bretagne occidentale. 

Mark Slats (©Bernard Gergaud)

Mark Slats doit franchir la ligne d’arrivée de la Golden Globe Race ce jeudi 31 janvier dans la nuit.

Son arrivée aux Sables-d’Olonne est prévue entre 22 heures et minuit.

Le skipper néerlandais affronte actuellement une mauvaise mer mais poursuit sa route pour  rallier le port vendéen et confirmer sa seconde place au classement général de la Golden Globe Race.

Ainsi qu’il l’a indiqué aux organisateurs lors de l’appel quotidien de sécurité : 

« Mauvaise mer mais je m’en moque. J’y suis presque »

Antoine Hachard est l’un des meilleurs joueurs français de tennis de table. Il évolue à Caen cette saison. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Leader du Caen TTC, Antoine Hachard est aussi le joueur ayant obtenu les meilleurs résultats cette saison en Pro B. Le pongiste a dévoilé ce qu’il y avait dans son téléphone après sa belle victoire sur Issy-les-Moulineaux.

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Des tentes ont été placées en janvier 2019 en plusieurs endroits sur le chantier du tramway à Caen (Calavados), pour les besoins des travaux, comme ici sur le pont Stirn. (©MG/Liberté Caen)

Non, un grand spectacle n’est pas prévu au pied de l’église Saint-Pierre de Caen (Calvados), comme pourrait le laisser penser la grande tente installée sur la rigole alimentaire. Elle doit servir les besoins du chantier du tramway, en cours depuis mai 2018 et qui doit être achevé à l’été 2019.

« Nous en avons installé en plusieurs endroits pour se protéger des intempéries et réaliser des opérations qui nécessitent une bonne maîtrise de l’ambiance autour du chantier », explique Nicolas Desorbi, directeur des travaux pour la société NGE Génie Civil.

Pour des besoins spécifiques

Outre la tente qui a émergé près de l’église Saint-Pierre, d’autres sont ainsi apparues ces derniers jours sur les ponts Stirn et Churchill, mais aussi sur le pont de l’écluse et dans la rue des Muets sur la rive droite, près de la gare. Pour Nicolas Desorbi, l’objectif est clair :

Sur ces cinq ouvrages, la technique de pose n’est pas toujours la même, notamment sur les ponts. Ces tentes doivent nous permettre de réussir le collage des voies avec une résine spécifique comme sur le pont Stirn, mais aussi d’assurer l’étanchéité des ouvrages».

CARTE. Travaux du tramway de Caen : un carrefour bloqué rive droite, ça bouge sur la presqu’île

Leur retrait prévu pour fin mars

Des souffleurs de chaleur accompagnent ces tentes pour garantir à l’intérieur une température 5 à 10 degrés supérieure à celle de l’extérieur, afin de réussir les opérations à réaliser. Elles doivent rester positionnées jusqu’à la fin du mois de mars.

Ben Leung (à droite) est pilier à l’US Bergerac. (©Twitter)

À l’approche du match d’ouverture du Tournoi des 6 nations, le Gallois Benjamin Leung, ancien pensionnaire des Cardiff Blues et des Scarlets, et désormais pilier à l’US Bergerac s’est livré à Ohvalie.

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« Pourquoi êtes-vous venu jouer en France ?

C’est une opportunité qui m’a était offerte, j’ai décidé de la saisir. La possibilité de venir jouer dans un autre pays était intéressante. Je pense que c’était un bon choix.

Quelles différences avez-vous pu constater dans la manière de jouer au rugby ?

En France, c’est plus dur physiquement, le jeu est plus rapide. Le ballon vit plus et il y a pas mal de offloads. Il y a beaucoup plus de jeu ici. On court plus et c’est plus fatiguant.

Un pronostic pour le match de vendredi ? Vous le regarderez avec vos coéquipiers ?

J’irai probablement le voir avec un ou deux des gars. Après, je suis Gallois donc je soutiendrai mon pays. Sinon, je pense quand même que le Pays de Galles va gagner, parce qu’on est un petit peu meilleur en ce moment. »

Un homme a perdu la vie ce mercredi soir dans la résidence des Goths, à Equeurdreville-Hainneville. (©Google street view).

C’est pour une explosion dans la résidence des Goths, sur la commune déléguée d’Equeurdreville-Hainneville (Cherbourg-en-Cotentin) que les secours ont été appelés en soirée mercredi 30 janvier 2019, vers 19 heures.

Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers de Cherbourg n’ont pas constaté d’explosion, mais plutôt un début d’incendie et un fort dégagement de fumée dans l’une des maisons de cette résidence. Dans celle-ci, ils y ont surtout trouvé le cadavre d’un homme d’une soixantaine d’années.

TÉMOIGNAGES. Elles ont probablement retrouvé des débris de l’avion d’Emiliano Sala (vidéo)

Une enquête ouverte

Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances du drame. La victime serait morte asphyxiée. A noter que l’homme était malade et sous assistance respiratoire.

C’est sa femme qui a découvert le corps, alors qu’elle rentrait du travail. Elle et sa fille, une adolescente, vont être relogées.

Les pompiers sont notamment intervenus à la suit de chute d’arbres sur les routes du Val-d’Oise. (©Facebook Sdis 95 )

« Pas de gros incident, mais plusieurs interventions. » Tel est le bilan dressé par les pompiers du Val-d’Oise à la suite du nouvel épisode neigeux qui a frappé le département au cours de la nuit du mardi 29 au mercredi 30 janvier.

Au total, les secours ont effectué une dizaine de reconnaissances et une centaine d’interventions, la plupart dans le Vexin. Ils sont ainsi intervenus sur sept accidents sur la voie publique, sans gravit,  et sont venus en aide à 24 usagers de la route coincés par la neige.

Les pompiers ont réalisé une centaine d’interventions. (©Facebook Sdis 95 )

Des chutes d’arbres et de fils électriques 

Par ailleurs, les pompiers ont réalisé 40 interventions à la suite de menaces et/ou chutes d’arbres et 24 pour des chutes de fils électriques.

Vers 9h30, ils sont ainsi intervenus à Maudétour-en-Vexin pour dégager la voie après qu’une dizaine d’arbres se sont couchés sur la route bloquant l’accès à l’émetteur de la commune, un site de diffusion pour la Tnt, la radio Fm et la téléphonie mobile.

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Vers 11h45, c’est à Marines que les pompiers ont été sollicités. Un câble de 20 000 volts s’étant rompu. Trois postes haute tension ont été coupés, nécessitant la mise en place de groupes électrogènes.

L’intervention a mobilisé des effectifs de la gendarmerie et de la police.

Après les brouillards givrants et les brumes, Météo France annonce une alternance de pluie et de neige. (©Météo France – Capture d’écran)

Ce jeudi 31 janvier 2019, 31^e jour de l’année, bonne fête aux Marcelle, Nicéphore et Nikita.

Encore des conditions météorologiques hivernales pour ce dernier jour de janvier avec des brouillards givrants en fin de nuit, des brumes jusqu’en milieu de matinée, puis une alternance de pluie et de neige, avec des rafales de vent qui pourraient atteindre les 45 km/h.

De même pour ce qui est des températures, Météo France annonçant – 4° au petit matin et pas plus de 5° cet après-midi. 

Jean-Charles Darroze et David Dieulevin, chef du restaurant, nous dévoile les secrets de la Maison Darroze. (©Le Républicain Sud-Gironde)

En Sud-Gironde et même au-delà, qui ne connaît pas la Maison Darroze ? Installé à Langon (Gironde) depuis 1974, l’hôtel-restaurant est devenu une institution gastronomique. 

Alors que les papilles des clients s’émerveillent, à l’intérieur des cuisines, les petites mains œuvrent dans ce lieu rempli de secrets. Le Républicain Sud-Gironde vous fait découvrir l’envers du décor, celui d’une véritable fourmilière. 

Pour vous procurer l’édition numérique du Républicain Sud-Gironde, cliquez ici 

La Une du Républicain Sud-Gironde du 31 janvier 2019. (©Le Républicain)

Bientôt une AMAP dans le Bazadais

Thierry Peurois et Mathieu Lecoffre veulent créer un projet d’AMAP dans le Bazadais. (©Le Républicain Sud-Gironde)

Créer une AMAP (Association Pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) à Bazas, voilà le projet de Thierry Peurois et Mathieu Lecoffre. Les deux Sud-Girondins sont à la recherche d’un groupe de personnes motivées pour mener à bien ce projet à leurs côtés. 

Mathieu, qui s’est reconverti en 2017 dans le secteur du maraîchage et qui passe actuellement son Brevet professionnel agricole, explique ce projet : 

On cherche une AMAP avec un groupe de personnes motivées. Ce n’est pas juste une production de légumes, c’est une vraie logique de développement durable avec cette idée d’agir au niveau local

Une très bonne nouvelle pour le secteur du Bazadais. Et si cela donnait des idées à des producteurs locaux d’autres coins du Sud-Gironde ? 

Un magasin Action à La Réole, c’est officiel

L’enseigne de distribution non-alimentaire Action va s’installer à Frimont à La Réole. (©Photo d’illustration – Wikimedia Creative Commons)

La rumeur a fait le tour de La Réole, et elle a été officialisée par une annonce de recrutement réalisée par Pôle Emploi. 

L’enseigne Action va bien s’installer à Frimont dans les prochains mois et embauche une dizaine de personnes. 

Contactée, l’entreprise de distribution non-alimentaire a expliqué son choix de se poser dans la cité médiévale : 

Nous étudions toutes possibilités de développement. […] Nous espérons que les habitants de La Réole deviendront vite fans !

Orlando Ortega à la conférence de presse, ce vendredi 30 janvier 2019. (©La Dépêche de Louviers)

Mike Rodgers, spécialiste du sprint (60 m et 100 m) et Orlando Ortega ont indiqué, mercredi 30 janvier 2019, envisager le meeting de l’Eure du 1^er février avec des ambitions clairement affichées. Le premier, sprinter américain, veut obtenir sa « meilleure performance de l’année et le record de l’épreuve ». Pour son premier objectif, il lui faudra passer sous la barre des 6″51, soit une performance assez proche de son record personnel, de 6″48, ce qui indique clairement qu’il ne vient pas à Val-de-Reuil (Eure) pour amuser la galerie. Le second objectif semble plus abordable, puisqu’il s’agit de battre… son record personnel pour cet événement, à savoir ses 6″56 du millésime 2011.

Afin de parvenir à passer sous ses seuils, le sprinter devra de toute manière réaliser une meilleure performance qu’il y a quelques jours, au meeting de Paris, où sa performance de 6″65 ne lui avait pas permis de monter sur le podium.

Orlando Ortega parle, lui, de « donner le meilleur de moi-même, gagner la compétition, et donner un grand spectacle ». Des propos moins précis, certes, mais avec des références autrement plus rassurantes pour l’ancien cubain naturalisé espagnol. Car c’est de la quatrième performance mondiale de l’année dont il dispose pour le moment, avec un temps de 7″61 obtenu à Nantes, le 26 janvier, et un autre, guère moins bon, de 7″63, à Paris, le 27 janvier. Avec, dans les deux cas, une victoire à la clé.

Ce ne sont évidemment pas les seules têtes d’affiches de l’épreuve, qui comptera, notamment, sur la présence du recordman du monde, du décathlon, Kevin Mayer. La disponibilité du champion français pour le public lors de la dernière édition lui vaut d’ailleurs autant les éloges des organisateurs que ses exploits sportifs.

Une minime d’Évreux à l’honneur

Lors de cette conférence de presse, Thierrine Corréa, membre de l’Évreux Athletic Club, représentait les couleurs locales. L’athlète qui concourt dans la catégorie des minimes s’est, elle aussi, fixée des objectifs ambitieux, puisqu’elle souhaite utiliser l’événement pour obtenir suffisamment de points pour se qualifier aux Pointes d’or, même si ce sera loin d’être sa seule opportunité pour cela. « Mon objectif, c’est de gagner les Pointes d’or, j’aimerais bien faire 12,80 m en triple saut ; 5,60 m en saut et moins de 11″70 s au 80 m. »

Des objectifs, là aussi, ambitieux, puisque ses records personnels sont actuellement de 12,53 m ; 5,39 m et 11″82. Mais l’Ébroïcienne ne se dit pas trop stressée, si ce n’est par la conférence de presse, exercice auquel elle n’est bien sûr pas encore tout à fait habituée. 

Cyrille Crespy

300 places debout sont encore à vendre sur les 2 500 disponibles pour le meeting de l’Eure, avec des tarifs entre 2 € et 4 €.

On ne reverra pas Bogdan Petricevic avec le maillot de la JS Cherbourg. (©Nadine DJEBBAR)

Grosse tuile à la JS Cherbourg handball ! Le club de Proligue a appris ce 30 janvier 2019 que Bogdan Petricevic n’allait pas pouvoir revenir travailler en France.

Actuellement dans un hôtel en Serbie après avoir passé les vacances de Noël en famille, le Monténégrin a attendu pendant plusieurs semaines son visa auprès de l’ambassade de France.

Malheureusement, la sentence est tombée ces dernières heures et l’administration n’a pas voulu lui délivrer ce précieux sésame, ce qui l’empêche de revenir jouer dans le Nord-Cotentin.

Un gros coup dur pour la JS Cherbourg

Pour le club, qui n’a pas voulu faire de commentaire, c’est évidemment un coup dur.

En conférence de presse, mercredi midi, Nicolas Tricon soulignait d’ailleurs l’importance du défenseur Bogdan Petricevic dans le dispositif de son équipe.

« C’est Bogdan qui équilibre notre système, qui bouche les trous derrière, sans lui, on a beaucoup moins de marge »

La JS Cherbourg affronte ce vendredi Caen pour le compte de la 14e journée de Proligue. Le coup d’envoi est prévu à 20 h 30.

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Cette année, l’orchestre compte des haut-bois (©Voix du Jura/Monique Henriet)

Initiés en 2013, les Orchestres à l’école se développent dans les écoles de la communauté de communes de Haut-Jura Arcade.

A la rentrée de cet automne, un nouvel ensemble a été constitué en CM1, à l’école du Centre à Morez, avec l’introduction du haut-bois sous la baguette de Valérie Quentin (professeur de haut-bois).

Ce nouvel orchestre, qui complète toutes les familles instrumentales (cuivres, cordes et bois) a bénéficié de la participation de l’Association Nationale des Orchestres à l’Ecole qui a apporté un co-financement et offert des tee-shirt pour ce nouvel orchestre qui est le 13e.

La semaine dernière, un petit concert inaugural a été proposé par les élèves de CM1, mais aussi de CM2 de l’école du Centre, en présence du président d’Arcade, Laurent Petit, de Frédéric Malfroy (directeur de l’école de musique d’Arcade, dont les professeurs interviennent dans les classes) et de Pascal Ménigoz (inspecteur de l’Education Nationale).

Tous deux ont apprécié le programme proposé dans le morceau présenté selon la méthode O’passo qui permet par la notation corporelle, une nouvelle approche pédagogique de l’apprentissage et de la maîtrise du rythme.

Laurent Petit a souligné l’importance de l’apprentissage collectif en ajoutant qu’à Arcade :

« La musique est une vraie matière à part entière ».

Un choix approuvé par M. Ménigoz qui félicitait l’initiative des élus ainsi que l’engagement des professeurs de musique et des enseignants :

« On ne peut que vous féliciter, car vous apportez de vraies connaissances ».

Le distributeur d’huîtres devrait être opérationnel dans les prochains jours. (©La Presse de la Manche)

Le président du conseil régional de Normandie Hervé Morin s’est déplacé lundi 28 janvier dans la Manche, à l’atelier ostréicole de l’Earl Les Parcs Saint-Vaast, à l’invitation de l’ostréiculteur Charles Michel, pour en faire la visite.

L’entreprise saint-vaastaise a en effet récemment investi dans une barge à fond plat équipée d’un moteur, et a innové dans l’installation d’un distributeur d’huîtres.

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Une aide pour la filière conchylicole

La Région accompagne ces investissements à hauteur de 28 595 €, dont 21 446 € au titre des Fonds Européens pour les Affaires Maritimes et la Pêche, pour un investissement total de 79 000 €.

Ces aides de la Région sont un soutien aux valeurs et à l’excellence de la Normandie, en l’occurrence, première région productrice d’huîtres. Au bout de trois ans de mandature, la Région Normandie aura versé huit millions d’euros à la filière conchylicole, ce qui représente une exploitation sur deux », a précisé Hervé Morin.

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Dynamiser la vente au détail

Ostréiculteur depuis 30 ans, installé à son compte depuis 2004, Charles Michel, gérant de l’Earl Les Parcs Saint-Vaast, travaille dans une entreprise familiale qui s’étend sur neuf hectares, de Morsalines à l’île Tatihou, pour une production de 209 tonnes d’huîtres en 2018.

Elle compte désormais un gérant et quatre salariés.

Cet investissement de 29 000 euros s’inscrit dans une volonté de dynamiser la vente au détail, qui représente actuellement 10 % de notre chiffre d’affaires, par la vente directe aux particuliers sur les marchés de Barfleur, Port-en-Bessin et Saint-Pierre-Église. C’est en partant d’un constat, la fermeture des ateliers ostréicoles le vendredi à 18 heures, et la forte demande de la clientèle, que je me suis lancé, encouragé par mes enfants, Cindy et Adrien, à développer l’entreprise vers un autre service. Avec mon épouse, qui est arrivée dans l’entreprise à la mi-novembre, cela va permettre de créer un poste pour elle ».

Des huîtres 24 h sur 24 !

En service depuis une semaine, le distributeur d’huîtres compte 45 cases de bourriches d’huîtres, accessibles 24 heures sur 24. Le distributeur, réfrigéré, propose des conditionnements différents : 12, 24 ou 36 huîtres.

Le paiement s’effectue uniquement en carte bancaire. Le distributeur est installé sur le parking du Carrefour Market de Saint-Vaast-la-Hougue, à l’entrée de la commune, en venant de Quettehou.

De notre correspondante Karine LEGRAND

De gauche à droite : Jean Lepetit, conseiller départemental ; Sonia Krimi, députée ; David Margueritte, vice-président de la Région ; Hervé Morin, président de la Région ; Paul Lecerf, beau-père de Charles Michel ; et Charles Michel. (©La Presse de la Manche)

Près de 200 personnes étaient au rendez-vous le 23 janvier (©RSM77)

« Nous voulons fermer ce passage à niveau et nous le ferons ! ». Par ces mots, Bernard Rodier, le maire de Saint-Pierre-lès-Nemours plante le décor en ouverture de la première réunion consacrée à la fermeture du passage à niveau numéro 8. Car le 23 janvier dernier, l’ensemble du projet était présenté à la population.

Pour cette première étape, près de 200 personnes avaient répondu au rendez-vous. « Cela fait plusieurs années que nous entendons parler d’une suppression. On vient voir si cette fois est la bonne », confesse un couple de riverains, habitants Saint-Pierre depuis plus de trente ans. « On est à 95 % sûrs que ce projet est finançable et sera financé », tente de rassurer Valérie Lacroute, la députée de la deuxième circonscription de la Seine-et-Marne.

Unanimité sur sa dangerosité

En guise d’introduction de cette fameuse réunion publique, SNCF Réseau, l’un des porteurs de projet, présente les premiers éléments de son enquête auprès de la population. « Les termes qui ressortent le plus sont  »circulation »,  »bouchons » et  »dangerosité » », dévoile le service en charge du projet.

Ainsi, près de 70 % des personnes interrogées ont affirmé avoir été témoins de comportement dangereux aux abords du PN8. C’est d’ailleurs ce caractère très accidentogène qui a relancé le projet. « Il ne faut pas oublier que ce PN est classé en 23e position sur une liste répertoriant les 150 passages à niveau les plus dangereux de France », poursuit Jean Trarieux, chargé du dossier chez SNCF Réseau.

La constitution d’un pôle gare

Le projet prévoit notamment la réalisation d’un passage souterrain réservé aux piétons, personnes à mobilité réduite et cyclistes, et d’un pont destiné aux voitures et autres camions. Pour accéder à ce dernier, les ingénieurs ont prévu l’installation d’un feu tricolore côté Nemours et la construction d’un giratoire côté Saint-Pierre.

Toujours de ce côté, le stationnement rue Foljuif sera supprimé « pour permettre aux poids lourds de circuler convenablement », explique Jean Trarieux. Mais que les riverains se rassurent. Les emplacements de parking devraient trouver leur place au niveau du nouveau pôle gare qui doit voir le jour dans la première moitié de la prochaine décennie. « Ce projet porté par la communauté de communes du Pays de Nemours doit être capable de tout absorber, commente Vincent Mével, le président de l’intercommunalité à propos du stationnement. Avec ce nouveau pôle, nous ferons de la gare un vrai lieu d’échange multimodal ».

À ce propos, les riverains sont invités à émettre des propositions pour dessiner les contours de ce dossier qui doit être mis en service – si tout va bien – en 2026.

Jeudi 31 janvier 2019, à Toulouse, la médiathèque a été évacuée en raison de la présence d’un colis suspect. (©twitter / @tweeteur31)

Vers 19h05, jeudi 31 janvier 2019, les secours sont intervenus à la médiathèque située dans le quartier Marengo, à Toulouse, en raison de la présence d’un colis suspect. Les agents de la sécurité de la médiathèque ont en effet repéré un sac abandonné à l’intérieur du bâtiment.

200 personnes évacuées 

Comme le veut la procédure, ils ont alors procédé à l’évacuation des 200 personnes qui étaient présentes en cette fin de journée dans le bâtiment.

Périmètre de sécurité et démineurs

Une dizaine de sapeurs-pompiers et une équipe de démineurs se sont rendus sur place, et un périmètre de sécurité a été mis en place. Les démineurs ont inspecté le sac qui a entraîné cette évacuation. Il s’agissait en fait simplement d’un sac qui avait été oublié par un usager de la médiathèque… L’alerte a donc été rapidement levée. 

Le personnel du centre hospitalier d’Angers a tourné le dos à sa direction pour protester. (Photo : ©FO CHU Angers/Facebook)

Le personnel du centre hospitalier d’Angers (Maine-et-Loire) a manifesté son mécontentement, mercredi 30 janvier, lors des voeux 2019 de la directrice, Cécile Jaglin-Grimonprez, en lui tournant le dos.

Sur les photos diffusées sur la page Facebook du syndicat FO, on peut y voir une partie du personnel, dos à la direction, avec des messages accrochés à son attention.

Les pompiers de Cholet (Maine–et–Loire) ont-ils fait des émules ? Lors de la Sainte-Barbe, ils avaient tourné le dos au président du Sdis et aux élus locaux.

Fermeture provisoire d’un service

Quelques jours auparavant, la direction a confirmé sa décision : la fermeture provisoire d’une unité du département soins de suite et de longue durée (DSSLD). 

La CFDT, sur sa page facebook, dénonce cette situation :

Les agents de ce service et de l’ensemble du bâtiment vivent très mal cette décision d’urgence prise par la direction du CHU d’Angers. Les collègues sont sous le choc d’apprendre brutalement, sans en connaître les causes, la fermeture du service, ainsi que leur devenir. 

Lire aussi : Quel avenir pour le CHU d’Angers ?

La direction s’explique

Interrogée lors du CHSCT, la direction aurait alors répondu :

Nous sommes contraints de fermer provisoirement l’unité B4 du DSSLD (20 lits) suite à un arrêt long du médecin du service. Nous sommes dans l’urgence du recrutement d’un médecin afin de pourvoir assurer au plus vite la prise en charge des patients hospitalisés au CHU d’Angers relevant de SSR (soins de suite et de réadaptation).

La direction n’envisagerait pas de suppressions de postes pour l’instant, mais les syndicats restent vigilants. La mesure pourrait durer jusqu’en novembre 2019.

Le syndicat Sud du CHU, évoquant « une direction d’amateurs », constate des conséquences : « déprogrammation pour des dizaines de patients et réouverture envisagée de lits le week-end dans la précipitation pour désengorger les urgences ».
Selon FO, ce sont 20 salariés pour qui « le devenir est incertain ».

Appel à la grève le 5 février

La CGT a relayé un appel à la grève, mardi 5 février 2019 et appelle les salariés des secteurs public ou privé à se rassembler à 10 h 30, place du Ralliement à Angers.

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Le syndicat indique dans un communiqué :

Nous devons montrer notre mécontentement face aux attaques du gouvernement et de la direction qui se soucie plus des économies à faire que du personnel et de la prise en charge des patients.

Les Cherbourgeois souhaitent voir les rues et les places de la ville plus souvent animées, comme ici lors d’un brunch urbain organisé par l’association CherBOUGEtoi.

Comme vous le savez peut-être, la désertification et la perte de dynamisme des centres-villes ne touche pas uniquement Cherbourg.

C’est en effet le cas de beaucoup d’autres villes moyennes de France.

Dans ce cadre, Cherbourg-en-Cotentin a été sélectionnée aux côtés de 222 autres villes pour bénéficier de subventions de l’Etat afin de mener des actions pour valoriser son centre.

Redynamiser le centre d’ici 2020

Au programme : habitat, commerce, création d’emplois, transports et mobilité, offre éducative, culturelle et sportive, qualité des sites d’enseignement, développement des usages des outils numériques…

Pour mener ces projets à bien, la municipalité a donc décidé de donner la parole à la fois aux commerçants concernés, mais aussi à leurs clients.

Les commerçants et les Cherbourgeois interrogés

Pour les commerces, il s’agit de répondre à un questionnaire en ligne.

Pour les Cherbourgeois qui souhaitent s’investir, ils seront conviés à des ateliers participatifs pour donner leur avis.

Pour avoir un petit aperçu de ce que veulent les Cherbourgeois, nous avons demandé à la communauté Facebook, quel serait leur centre-ville idéal… On s’y voit déjà !

1. Parkings gratuits vs ville sans voitures

C’est un sujet qui divise la population en deux. D’un côté, certains Cherbourgeois réclament plus de parkings ainsi que leur gratuité pour se garer à proximité des commerces, et de l’autre on souhaite un centre totalement piéton où la voiture n’aurait plus sa place.

La solution se trouverait peut-être dans un compromis, avec le développement de parkings gratuits en périphérie, et un accès réduit aux véhicules le dimanche par exemple.

2. Un grand marché couvert

Si les Cherbourgeois aiment aller au marché et se balader en ville, il est vrai que le climat peut parfois refroidir les ardeurs.

Très sollicité, un marché couvert où l’on retrouverait tous types de produits locaux, des animations, et pourquoi pas un espace pour y manger (un food court) permettrait de se retrouver dans une ambiance agréable et conviviale, même quand il ne fait pas beau.

3. Un espace urbain plus esthétique

Nombreux sont ceux qui souhaitent un cœur de ville avec plus de verdure et de fleurs, mais aussi des rues plus propres (plus de containers pour les poubelles, des sanctions plus sévères contre les déjections canines laissées sur les trottoirs, l’implantation de cendriers urbains…)

La première impression est également importante pour donner une bonne image aux personnes en visite.

4. Plus d’animations

Enfin, on peut noter que beaucoup réclament des animations plus régulières dans le centre-ville, sur les quais et dans les rues piétonnes, à côté des terrasses de café.

On pourra citer par exemple des spectacles de rue, des mini-concerts, des démonstrations de sports urbains…

De nombreux parents réclament également plus d’aires de jeux pour les enfants, et un aménagement des quais et de la plage verte pour les rendre plus agréables à vivre et donner envie d’y flâner.

L’enveloppe de l’action coeur de ville va permettre de poursuivre et d’amplifier les actions déjà engagées par la ville. On le sait, les solutions viennent du terrain, renforcer et inventer le coeur de ville de demain avec ses utilisateurs portera ses fruits et légumes. Personnellement, j’ai répondu à l’enquête, en tant que commerçant et client. Tout le monde est concerné et doit faire remonter sa vision. Make our center great again !
@Damien Lajeunesse,
gérant de Pastille Prod

Transformer le parking Divette en un parc géant, avec arbres, verdure, fontaines, kiosque à musique, théâtre de guignol, aires de pique nique, bancs, jeux pour enfants, échiquiers géants, tables de ping pong, murs d’escalade, armoires à livres, etc… Et aux abords extérieurs du centre ville créer des aires de stationnement avec des navettes gratuites pour rejoindre le centre ville… @Stéphanie M.

Utiliser plus la plage verte aussi ! Avec des aires de jeux pour les enfants, une promenade sympa et quelques bars/restos le long de la mer. Quai Alexandre III il y aurait moyen de faire un truc plus sympa aussi en enlevant une voie de circulation et créer une promenade cycliste/piéton en bord de mer @Eloiz F.

En terme d’animation si on pouvait avoir des fêtes style fête de la mer, pourquoi pas des fêtes médiévales, des arts du cirque avec des animations pour les enfants…
Et un dernier petit truc, si on avait des concerts de petits groupes locaux devant les bars un peu comme à la fête de la musique ça pourrait permettre de sortir en ville sans pour autant être obliger de consommer dans les bars (non pas que ça me dérange ) ^^ @Nikola L.

Dégager le parking qui est à l’endroit de l’ancienne cour du château de Cherbourg. C’est ici le vrai centre de la ville. Dégager le parking des halles et végétaliser ces places devenues très minérales. Dehors la voiture, place à la nature. Avec évidemment un bateau restaurant bar dans le port. Et puis une maison de l’Australie. Faire un quartier du graff. Raser les maisons insalubres derrière la rue de la paix avant qu’elles ne contaminent l’habitat sain. @Stephanie P.

Dans des villes comme Saint Malo, Dinan, Dinard… il y a des superbes marchés couverts. Ça créé une belle ambiance même quand il ne fait pas beau… @Leo B.

Les quais et tout le centre ville piétonnier le week end ! @Colette B.

Paroles d’expat’ 

Moi je trouve que Cherbourg bouge beaucoup, je suis originaire d’une petite ville de la Meuse (Bar-le-Duc) et je peux vous dire que les gens de là-bas peuvent nous envier de vivre dans une ville comme Cherbourg où il fait bon vivre et qui, quoi qu’en pensent certains est très dynamique.
@Amandine D.

Je viens de La Rochelle et les commerces ne font que la saison, l’hiver. ça n’est plus très animé. Forcément, les gens qui y vont seulement en vacances ont une impression top mais comme partout on croit que l’herbe est plus verte ailleurs. Il faut aussi prendre en compte que le niveau de vie n’est pas le même. Un studio de 24 m2 c’est facilement 600 €, et pour rien au monde j’échangerais les Cherbourgeois contre les Rochelais. Vive Cherbourg !
@Mélanie S.

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Le Groupe des Cars Lacroix, acteur majeur du transport dans le Val-d’Oise et en Île-de-France, compte aujourd’hui 1 300 salariés. (©Groupe Lacroix)

Pour accompagner la mobilité des des habitants du Val-d’Oise en 2019, le Groupe Lacroix, basé à Beauchamp (Val-d’Oise) acteur majeur du transport de voyageurs en Île-de-France et qui représente aujourd’hui près de 1300 collaborateurs prévoit la création de plus de 100 postes de conducteurs et conductrices sur ce territoire.

Le secteur du transport de voyageurs, et plus généralement de la mobilité, a pris un essor considérable depuis quelques années.

Pour accompagner son développement, le Groupe Lacroix recrute pour ses filiales situées dans le Val-d’Oise plus de 100 conducteurs/trices de bus ou de car pour ses activités de lignes régulières, lignes longue distance, transport scolaire et touristique.

Conductrices, conducteurs : des opportunités à saisir !

Pour être conducteurs/trices au Groupe Lacroix, il faut bien sûr être titulaire du permis D, de la FIMO/FCO Voyageurs, de la carte conducteur et être véhiculé…. mais cela ne suffit pas.

Il est aussi important de bien connaître et d’accepter les contraintes inhérentes à ce métier : prise de service en deux fois possible, travail le week-end, déplacements/découchers…

Outre ces conditions propres au métier, les futurs conducteurs/trices, une fois au volant de leur bus ou de leur car, occuperont un métier passionnant basé sur la relation humaine, le sens du service et les responsabilités.

Véritable rôle d’ambassadeur

« Nos conductrices et conducteurs véhiculent l’image de nos entreprises sur le réseau routier. Ils doivent être un « modèle » à suivre. Pour cela, leur excellente présentation et hygiène de vie sont indispensables au même titre que le respect du code de la route ! », explique Angélique Delamarre, responsable des ressources humaines au Groupe Lacroix.

Ce groupe à « taille humaine » cultive un management de proximité basé sur la confiance et l’autonomie.

« Chacune de nos filiales sont des entreprises à taille humaine où le conducteur est au coeur de l’activité. Le management de proximité, l’écoute, l’attention portée à chacun favorisent un environnement de travail agréable », nous précise Angélique Delamarre.

Carrières et formation

S’appuyant sur ces valeurs originelles, le Groupe Lacroix reste convaincu que sa richesse réside dans les Hommes et Femmes qui le constituent.

C’est pourquoi il s’applique à valoriser et développer les potentiels des collaborateurs, en leur permettant de bénéficier de programmes de formation pointus et adaptés à la spécificité de leur métier.

Pour dénicher les meilleurs talents, le Groupe Lacroix lance une campagne de recrutement baptisée « Nos métiers sont votre avenir » que vous retrouverez dans la presse, les sites de recherche d’emploi, les sites internet, les réseaux sociaux.

Rencontres emploi

Par ailleurs, les équipes des Ressources Humaines seront présentes sur plusieurs salons de recrutement dans le Val-d’Oise pour aller à la rencontre de leurs futurs talents.
Le prochain rendez-vous est donné le 7 février à Gonesse lors des « rencontres pour l’emploi et la formation 2019 ».

Vous souhaitez postuler ? Adressez votre CV et lettre de motivation par mail à rh@groupe-lacroix.fr ou par courrier à Groupe Lacroix Direction des Ressources Humaines 53-55 Chaussée Jules César 95250 Beauchamp. 
Conformément au décret n° 2017-757 du 3 mai 2017 une enquête administrative peut être réalisée afin de vérifier qu’il n’existe pas d’incompatibilité avec la fonction de conducteur-receveur.

Vous ne possédez pas le permis D ni la FIMO voyageurs ?
Si, vous êtes séduit par ce métier exigent et que vous ne disposez pas de la formation nécessaire, sachez que rien n’est perdu ! En effet, le Groupe recrute mais forme aussi lui-même ses conducteurs dans le cadre de contrats de professionnalisation.