Made In Street ouvre un deuxième restaurant à Roubaix (Nord) le 9 février 2019. (©Made In Street)

Les Roubaisiens pourront bientôt savourer de délicieux hot-dogs. Après l’ouverture de son premier établissement rue d’Amiens à Lille en 2017, Made In Street débarque à Roubaix (Nord). L’inauguration est imminente puisque les premiers clients pourront être servis dès 12h le samedi 9 février 2019.

Derrière l’enseigne de street food se cache une belle success story comme on les aime. Trois amis – Saïd, Samir et Mickaël – qui vendaient des hot-dogs comme à New-York, depuis un petit chariot. Et après avoir écumé pas mal de festivals et événements dans la région, ils ont décidé d’ouvrir leur premier restaurant à Lille en octobre 2017. 

Des recettes venues tout droit des US

Ce premier établissement leur a permis d’étoffer leur carte. Et on est bien loin du simple pain-saucisse, arrosé de ketchup. Les hot-dogs de Made In Street sont directement inspirés des recettes américaines : un pain brioché, des concombres, des oignons frits, du cheddar… En revanche la saucisse n’est pas à la viande de boeuf.

Les saucisses au boeuf que l’on trouve en France ne sont pas terribles. On a préféré en choisir une à la viande de poulet, bien meilleure », explique Samir.

En tout, les clients ont le choix entre 9 recettes + des recettes éphémères (comme le Hot-Raclette servi en ce moment-même). Des frites ou des nachos sont aussi proposés en accompagnement.

Plus de visibilité

Pour leur boutique de Roubaix, Samir et Saïd (Mickaël a rendu son tablier entre temps) ont choisi un emplacement de choix : le 10, Place de la Liberté. A proximité du cinéma Le Duplexe et de McArthurGlen, la situation est donc idéale. D’autant que le restaurant va bénéficier d’une surface bien plus grande : 110 m²  et une terrasse contre 50 m² à Lille

On a d’abord voulu s’implanter à Lille Pour se faire connaitre. Mais on avait choisi un petit local car les loyers sont chers. Et si ça ne marchait pas, on ne voulait pas prendre trop de risques », raconte Samir.

S’installer dans l’ancienne capitale du textile est même une réelle fierté pour le co-associé de 28 ans.

La ville a encore une mauvaise image. Mais nous on a choisi de s’installer ici pour casser les codes et prouver qu’on peut réussir. Roubaix est vraiment une ville jeune et dynamique.

Pour gagner encore en visibilité, Samir et Saïd ont lancé un petit concours bien sympa sur Facebook. Si la page de Made In Street atteint les 4500 likes d’ici le 1er février, les 100 premiers clients se verront offrir un hot-dog. Avec ça, le resto roubaisien est certain de faire le buzz le jour de son ouverture !

Aminata Gueye a été exceptionnelle contre le Hainaut Basket : 30 points, 17 rebonds, 10 fautes provoquées en 23 minutes ! (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Dimanche 27 janvier 2019, les sept équipes qualifiées pour les quarts de finale de la Coupe de France avec Mondeville ont dû observer avec une mine inquiète les résultats de l’USOM au plateau qualificatif. Le tenant du titre de la compétition, invaincu en championnat, a frappé fort dans la banlieue d’Orléans. Les seizièmes de finale et les huitièmes de finale n’ont pas seulement été une formalité pour les Mondevillaises. Elles ont confiné à la démonstration. Le Hainaut Basket a été battu 107-63, samedi 26 janvier. Le lendemain, Trith a subi un score encore plus lourd (115-61).

30 points et 17 rebonds pour Aminata Gueye 

Samedi, Mondeville avait sorti l’artillerie lourde devant l’équipe de Saint-Amand. Seule Ewl Guennoc, qui allait jouer 38 minutes avec les pros le lendemain, manquait à l’appel. Louise Bussière, Aminata Gueye et Adèle Detchart étaient bien là. Tellement présentes que les trois jeunes filles, qui ont accompagné Ewl Guennoc contre Basket Landes, ont marqué 74 points à elles trois.

On savait que cela allait être le match le plus compliqué du week-end. Pour la première fois cette saison, nous étions menées à la fin du premier quart-temps (24-25). Les filles ont alors sorti un deuxième quart énorme.

Le samedi avec les cadettes, le dimanche avec les pros. Pas de quoi déstabiliser le trio ! (©Marina Olivier / Sport à Caen)

En dix minutes, porté par les tirs à tout va de Louise Bussière derrière la ligne des trois points (6 sur… 17 à la fin du match), Mondeville a inscrit pas moins de 36 points. Comme c’était tout aussi bon défensivement, le match était plié à la mi-temps (60-38). « Le score final ne reflète pas du tout le match », assure toutefois Dessislava Anguelova. Il doit toutefois beaucoup à un cinq de départ étincelant. Louise Bussière est passée à un cheveu du triple double (32 points, 11 rebonds, 9 passes décisives) et Aminata Gueye l’a réalisé en massacrant ses adversaires dans la raquette (30 points, 17 rebonds, 10 fautes provoquées).

Pour leur permettre de faire ce genre de prestation, le travail de Vaciana (Gomis), Zoée (Hache) et Adèle (Detchart) a été monstrueux !

Aucune inquiétude d’un match sur l’autre

Dimanche, Mondeville était confronté à une toute autre configuration de match. Ses trois joueuses majeures étaient absentes, mais l’adversaire ne semblait pas en mesure de le perturber pour autant. « Je n’avais pas peur mais je me demandais comment les filles allaient réagir sans les leaders, expose Dessislava Anguelova. Le début de match a été compliqué. La première mi-temps dans son ensemble n’était pas belle à voir. » À la pause, l’USOM affichait un +20 (54-34) serein mais pas suffisant.

Il y a eu une petite mise au point à la mi-temps à la manière de l’est (sourire). J’ai rappelé 1/ que nous étions tentantes du titre et que ça nous donnait une grosse responsabilité, 2/ que nous représentions Mondeville, 3/ qu’il fallait respecter l’adversaire et que cela supposait de jouer à fond.

En plus, elles ont l’art de prendre la pause… À moins que ce ne soit encore le talent de leur directrice artistique !

Le message est passé et la deuxième mi-temps a été une formalité. Sans les éléments moteurs, la marque s’est révélée équilibrée : huit joueuses terminent la rencontre entre 9 et 17 points. 34 interceptions ont par ailleurs agrémenté la rencontre. Déjà vue en évidence la veille, Zoée Hache a confirmé son excellent week-end. « Elle a fait deux matchs extraordinaires. Elle revient en force après avoir été blessée la saison dernière et s’affirme de plus en plus comme une joueuse majeure du centre de formation. »

Ambitieux sur les trois tableaux

Mondeville a désormais un mois et demi pour préparer le plateau quarts/demies, prévu le week-end des 16 et 17 mars 2019. Compte tenu de la répartition géographique encore en vigueur, les Mondevillaises se retrouveront très probablement avec Bourges, Charleville-Mézières et Angers. L’objectif est clair : retourner à Bercy et conquérir la couronne une deuxième fois de suite.

Le premier objectif du centre de formation, c’est la Coupe de France. Mais nous également ambitieuses sur les championnats de France cadettes et espoirs.

Quelque chose nous dit que Mondeville a bien raison de déborder d’appétit tant son centre dispose d’une génération talentueuse.

Mondeville 107 – 63 Hainaut Basket

24-25 / 36-13 / 25-12 / 22-13

Mondeville : Gomis 1, Bussière 32, Detchart 12, Quebriac 2, Hache 16, Cluzeau 2, Soghomonian 4, Niaré 4, Gueye 30, Deschamps 4.

Mondeville 115 – 65 Trith

25-17  /29-17 / 36-13 / 25-14

Mondeville : Lanfant 10, Gomis 17, Lemière 6, Quebriac 16, Hache 17, Cluzeau 15, Soghomonian 14, Niaré 9, Deschamps 10.

Les deux victimes se sont fait piéger par le biais d’un site de rencontres. (©Le Républicain – Illustration)

Le parquet de Saintes (Charente-Maritime) a ouvert une information judiciaire à l’encontre d’un homme âgé de 23 ans et d’une femme de 17 ans, suspectés d’avoir enlevé et séquestré deux personnes entre le 22 et le 23 janvier à Mons. 

Ils ont été interpellés mercredi 23 janvier par les gendarmes.

Par le biais d’un site de rencontres, ils ont tendu un piège à deux personnes.

Ils ont pris un rendez-vous avec leurs victimes qui se sont rendues au domicile du couple à Mons.

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Blessé par balle à une jambe

Sous la menace de plusieurs armes, dont un fusil, ils ont sommé les victimes de leur donner « leurs cartes bancaires et leurs codes confidentiels, leur argent et leurs téléphones » a indiqué le procureur de la République, rapporte France 3 Nouvelle Aquitaine.

Une des victimes a été blessée par une balle à la jambe.

Le tour des distributeurs automatiques de billets

Les auteurs présumés ont ensuite contraint leurs victimes à retirer de l’argent liquide à des distributeurs automatiques du secteur.

Les deux personnes ont réussi à s’échapper et à alerter les gendarmes qui ont ouvert une enquête.

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Lors de leur garde à vue, les auteurs présumés ont reconnu les faits et expliqué qu’ils avaient « besoin d’argent pour se procurer de la résine de cannabis ».

Ils ont été placés en détention provisoire et mis en examen pour  « enlèvement et séquestration, violences avec arme, avec préméditation et en réunion, extorsion précédée suivie ou accompagnée de violences ».

Ils étaient exactement 21 commerçants à cette assemblée générale. Trop peu pour espérer créer un élan fédérateur. (©Photo Le Républicain / Michel Pradeau)

Gilles Barde et Jérôme Sanchez démissionnent du bureau. Au grand dam de Sylvie de la Marlière, élue déléguée au commerce . (©Photo Le Républicain / Michel Pradeau)

L’association des commerçants, « Les Vitrines de Marmande » sera-t-elle dissoute ou mise en sommeil ? Il semblerait bien que oui… L’assemblée générale qui vient de se dérouler ce lundi soir s’est conclue sur la démission du conseil d’administration dans son intégralité. 

L’envie n’y est plus

L’envie n’y est plus. Cela fait trois ans que Gilles Barde, le président, et son équipe avaient repris l’ex-ACAM pour lui donner une dimension nouvelle à travers un nouveau nom plus fédérateur à leurs yeux et plus commercial «Les Vitrines de Marmande ». Mais rien n’y a fait. «Nous nous sommes retrouvés un petit groupe à tout faire, nous n’avons pas été suivis et mieux, le nombre d’adhésions n’a fait que chuter pour passer de 88 à 69. Nous avons donc décidé de démissionner».

Lors de cette assemblée générale pouvait-on encore espérer qu’une équipe se constitue pour reprendre l’affaire, mais personne ne s’est présenté. On se dirige donc tout droit soit vers une mise en sommeil, soit vers une dissolution pure et simple. Une déconvenue sérieuse qui n’arrange ni les affaires du commerce en centre ville, ni celles de la Ville qui a besoin d’un interlocuteur associatif pour relayer ses investissements en faveur du commerce. 

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L’entreprise fabrique des machines qui traitent les déchets médicaux. (© Tesalys)

Née à Saint-Jean en 2012, près de Toulouse, l’entreprise Tesalys vient de lever six millions d’euros pour ses machines qui traitent les déchets médicaux. 

Dans une vidéo de présentation de l’entreprise, Miquel Lozano, président de Tesalys, explique :

L’idée est de donner la possibilité aux hôpitaux, aux centres médicaux et aux laboratoires qui produisent des déchets infectieux de pouvoir traiter sur place ces déchets. La machine utilise une technologie propre : nous sommes partis sur la stérilisation à vapeur qui ne génère pas de produits chimiques ou des nuisances pour l’environnement. 

Compresses, seringues, tubes à essai

Sont concernés : compresses, blouses, masques, charlottes, seringues, lames de bistouri, tubes à essai, tubes de prélèvement, pipettes, déchets d’hémodialyse, déchets infectieux liquides ou contenant des liquides…

Avec cette levée de fonds, le fabricant toulousain va ouvrir un nouveau site d’assemblage afin d’augmenter sa capacité de production et va poursuivre le développement de ses ventes à l’international. Tesalys réalise 95 % de ses ventes à l’exportation, principalement en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique. 

Une quinzaine de salariés

Miquel Lozano, président de Tesalys. (©Tesalys)

Tesalys compte aujourd’hui une quinzaine de salariés. Elle a déjà installé plus de 300 machines dans une cinquantaine de pays. 

L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 4,5 millions d’euros sur l’exercice 2018.

Plus de 10 500 visiteurs se sont répartis sur les 4 jours du salon. (©Voix du Jura)

Record battu pour les bénévoles de l’association des Journées de l’habitat, qui organisait le 38e salon consacré à cette thématique, du vendredi 25 au lundi 28 janvier 2019, à Dole.

10 500 visiteurs ont en effet franchi les portes du parc Dolexpo, soit plus de 2500 visiteurs supplémentaires par rapport à 2018.

Le président « ravi et fier »

Cette année, les Journées de l’habitat avaient pour fil conducteur les aménagements extérieurs. Pas moins de 116 exposants étaient présents.

Interrogé après la fermeture, lundi 28 janvier 2019, Julien Cionco, le nouveau président de l’association, élu pour trois ans, s’est dit « ravi et fier des bénévoles ».

>> Retrouvez notre page de retour dans la prochaine édition de Voix du Jura, à paraître en kiosques le jeudi 31 janvier. <<

Une partie des bénévoles des Journées de l’habitat. (©Voix du Jura)

Le nouveau bâtiment du Mémorial de Caen (Calvados) abritera une salle immersive et sera prêt au début du mois de juin 2019. (©Maxence Gorréguès-Liberté le Bonhomme libre)

C’est LA grande nouveauté pour l’année 2019 au Mémorial de Caen (Calvados) : une salle immersive avec la projection d’un film en 360°. 

Un chantier dans les temps

Le bâtiment circulaire de 1 200m² est déjà bien avancé. En témoigne cette vidéo time-lapse d’une minute sur le site du Mémorial.

Nous sommes parfaitement dans les temps, explique Stéphane Grimaldi le directeur du Mémorial. Le bâtiment trouve vraiment sa place aux côtés de celui déjà existant. 

Ouverture en juin 2019

La charpente métallique est quasiment terminée. 11 vidéos projecteurs y seront installés. Le plancher et la toile sur laquelle sera projeté le film doivent bientôt être installés. L’ouverture du bâtiment est prévue pour le début du mois de juin 2019, en même temps que les commémorations du 75^e anniversaire du Débarquement.

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Le bâtiment abritera une salle immersive à 360° et diffusera un film sur l’histoire de l’Europe. (©Maxence Gorréguès-Liberté le Bonhomme libre)

Un film de 17 minutes sur l’histoire de l’Europe

À l’intérieur, les visiteurs pourront visionner un film de 17 minutes, réalisé avec un producteur belge. Ils seront en immersion totale aussi bien visuelle qui sonore sur le thème de l’histoire européenne. 

Il commencera en 1910 sur la plage d’Ostende en Belgique, dans un siècle plein de promesses et d’optimisme. Nous raconterons la Première Guerre mondiale et ses conséquences dans toute l’Europe avant d’arriver à la Seconde Guerre, la guerre froide et la chute du mur de Berlin. 

Le Mémorial a investi dans ce grand projet avec près de 2 millions d’euros d’empruntés (dont 350 000 euros pour la réalisation du film). 

Une vingtaine de gilets jaunes rassemblés devant le commissariat du Mans ce lundi 28 janvier 2019 où plusieurs manifestants ont été placés en garde à vue. (©Les Nouvelles de Sablé)

Tout s’est joué très vite ce lundi 28 janvier 2019, en fin de matinée. Face à la poignée de gilets jaunes qui maintenaient le blocage du dépôt pétrolier du Mans (Sarthe) initié la veille au soir, les policiers ont procédé à une somation invitant les manifestants à se disperser avant l’usage de la force. Plusieurs interpellations ont eu lieu dans la foulée.

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L’intervention a été filmée en direct sur la page Colère 72 Officiel.

On y voit notamment l’interpellation de son administrateur Jhonatan arrêté « pour plusieurs infractions ». Vidéo dont l’accès a été supprimé en début d’après-midi…

Rassemblement de soutien

A peine une heure après l’intervention des forces de l’ordre, une « alerte générale » a été diffusée sur les réseaux sociaux pour organiser un rassemblement de soutien devant le commissariat du Mans  qui vient de déménager boulevard Paixhans :

 Au moins cinq de amis gilets jaunes viennent de se faire embarqués abusivement. […] Soyons solidaire allons leur montrer que nous sommes contre leur dictature… »

Un appel entendu et relayé par les gilets jaunes saboliens qui se sont déplacés au Mans.

Des arrestations ciblées ?

La police n’a pas souhaité communiquer sur le nombre d’arrestations mais selon les manifestants ce sont cinq gilets jaunes dont deux administrateurs de Colère 72 qui ont été arrêtés.

Un groupe dont La République en Marche  avait demandé la fermeture début janvier.

Pour Maxime, un fidèle gilet jaune sabolien, il ne fait aucun doute que cette arrestation est ciblée. Mais pour lui le combat doit se poursuivre :

Ce n’est pas parce que une tête tombe que le mouvement s’arrêtera. C’est comme une hydre : une tête qui saute, ce sont deux qui repoussent »

Le choc entre les deux voitures a été très violent sur la RN3. (©Nationale 2 infos)

Lundi 28 janvier, un accident entre deux voitures s’est produit sur la nationale 3 peu après 20 h à la sortie de Meaux, à hauteur du radar de Chauconin-Neufmontiers. 

Pour permettre aux secours d’intervenir, la RN 3 a été fermée à la circulation entre le rond-point des Saisons à Chauconin et la sortie pour Charmentray. Les sapeurs-pompiers et le Samu sont sur place.

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La violence du choc a nécessité la désincarcération d’au-moins une personne. Les sapeurs-pompiers ont été dans l’obligation de découper l’habitacle de l’une des voitures pour sortir la victime. 

L’axe a été coupé à la circulation pendant plus d’une heure.

>> Plus d’informations à venir.

Les services de l’identification criminelle de la gendarmerie ont été sollicités. Choqués, plusieurs membres du personnel ont dans le même temps été pris en charge par les sapeurs-pompiers. (©L’Impartial)

Un braquage a été commis ce lundi 28 janvier 2019 en tout début de soirée au commerce Super U d’Etrépagny. A moins d’une heure de la fermeture de l’enseigne située en centre-ville, le personnel a du faire face à cette attaque qui s’est soldée par la fuite des assaillants. 

Le personnel très choqué

Très choqué, le personnel présent au moment du braquage a été pris en charge par les sapeurs-pompiers, tandis que la compagnie de gendarmerie des Andelys dépêchait sur place les services de l’identification criminelle. Celle-ci a pu procéder aux actes techniques et scientifiques destinés à tenter de découvrir des éléments laissés par les malfaiteurs. 

Pour l’heure, ni le montant du vol n’a pas été communiqué par la gendarmerie.

La compagnie de gendarmerie des Andelys, chargée de l’enquête, était présente sur place dans la soirée. (©L’Impartial)

Ce mardi 29 février, tous les points d’accueil de la CAF seront fermés en Gironde. (©Le Républicain Sud-Gironde)

Si vous souhaitez vous rendre à la CAF ce mardi, il faudra sans doute revoir vos plans. 

En effet, tous les points d’accueil de la CAF (Caisses d’Allocations Familiales) seront fermés ce mardi 29 janvier en Gironde. 

Ces fermetures sont consécutives à la suite d’un appel à la grève d’une intersyndicale France Ouvrière (FO) et Confédération Générale du Travil (CGT). 

Les conditions de travail pointées du doigt

Si les employés des différentes CAF ont décidé, pour la majorité, d’être en grève ce mardi, c’est parce qu’ils pointent du doigt leurs conditions de travail, mais aussi le gel de la valeur du point depuis 2010 ainsi que la stagnation des salaires, comme le rapporte Sud Ouest. 

Il est également mis en avant les accueils submergés par les demandes. Le syndicat FO Gironde chiffre cette explosion des sollicitation auprès du quotidien régional, depuis les annonces du Président de la République Emmanuel Macron, avec 30.000 pièces arrivées et 10.000 appels téléphoniques. 

Il est à noter qu’une assemblée générale du personnel est organisé ce mardi 29 février à 14h30 sur le parvis du siège de la CAF de Bordeaux-Lac. 

Sylvie de Gaetano sera candidate à la mairie de Trouville en 2020.(©Le Pays d’Auge)

Vous êtes officiellement candidate à la mairie de Trouville ?

Oui, je suis candidate à la succession de Christian Cardon. Je continue pourtant à penser qu’il est peu tôt pour l’annoncer. Il nous reste encore un an de mandat et il faut réfléchir sur un projet, une équipe. Mais depuis l’annonce de la candidature Fresnais-Moustardier, beaucoup de gens m’ont conseillé de me déclarer. Cela a suffi pour me convaincre de le faire maintenant.

Vous avez reçu des soutiens ?

Des Trouvillais que je qualifierais de « ressources » de tous les âges et de tous les quartiers m’ont déjà contactée pour m’apporter des idées sur la ville, leurs désirs et leurs idées. Plusieurs élus de la majorité actuelle sont prêts à me rejoindre, mais je ne souhaite pas encore dévoiler leur identité.

Vous étiez en deuxième position sur sa liste du maire actuel aux dernières élections municipales, était-il logique pour vous de lui succéder ?

Succéder à Christian Cardon n’est pas une mince affaire. Le maire actuel a 36 ans de mandat derrière lui. C’est un énarque intelligent. Il a toujours bien géré sa ville, seul. Aujourd’hui, les choses et les mentalités ont évolué. Les électeurs souhaitent voir une équipe au pouvoir. Une gouvernance partagée.

Quelle maire serez-vous ?

Je ne ferai pas du Christian Cardon. Mon but est de coordonner. De trancher aussi quand il le faut. Pour cela mon rôle de magistrat m’aidera. À ceux qui se demandent si j’ai l’épaisseur je réponds oui. J’ai un métier où je suis obligée de trancher et parfois de prendre des décisions difficiles et de les annoncer aux gens en face de moi. J’ai la qualité d’être consensuelle et de savoir trancher quand il le faut.

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Donnerez-vous davantage la parole aux Trouvillais ?

La gouvernance de demain passera une participation citoyenne plus grande. Je tiens vraiment à l’intégrer à mon mandat. Par ailleurs, je voudrais créer des entités, sortes d’ » agences » sous la forme d’Epic ou d’association pour la culture, le tourisme, le sport l’économie… Elles seront confiées à des gens compétents qui établiront des rapports au maire avant que les décisions soient prises.

Cela n’existe-t-il pas déjà avec les délégations au sein du conseil municipal ?

Non ce ne sera pas du tout la même chose puisque chaque « agence » sera autonome et indépendante, avec un budget, un responsable. Je souhaite pour cela m’inspirer du fonctionnement de l’ADN, l’Agence de Développement pour la Normandie.

Vous avez une activité professionnelle, serez-vous malgré tout maire à plein-temps ?

Je suis magistrate au Havre où je dois être présente 5-6 jours par mois. Le reste du temps, je rédige chez moi à Trouville, ce qui me permet de m’occuper des affaires de la mairie.

Quel est votre projet ?

Le projet se construit. Les différents mandats de Christian Cardon ont été des phases d’investissements : la bibliothèque la Maison des jeunes, la poissonnerie… Maintenant nous allons devoir nous occuper davantage des Trouvillais, au quotidien. Notamment en matière de transition écologique. Il va falloir gérer tous ces flux de voitures, c’est un gros souci. S’interroger sur le projet des écoles, essayer de faire revenir des habitants. L’un des projets phare sera de mieux relier Hennequeville à Trouville. Il y a une rupture qui ne devrait pas exister.

Comment comptez-vous résorber la dette ?

On compte à peu près 20 millions de dette pour 20 millions de budget. Le maire a souhaité faire des investissements lourds payés à très long terme avec des taux intéressants. La dette existe mais elle n’est pas insurmontable. Elle est raisonnable et résorbable à terme. Si on ne fait que la rembourser on pourrait la rembourser en 5 ans mais cela gèlerait les investissements. Il est donc préférable de la rembourser petit à petit. Nous avons encore quelques biens à vendre. Même s’il ne faut pas se départir de tout.

Des nuages avec des averses de pluie et neige mêlées au programme de la journée. (©Météo France – Capture d’écran)

Ce mardi 29 janvier 2019, 29^e jour de l’année, bonne fête aux Gildas et aux Gweltaz.

Une triste journée d’hiver en perspective prévient Météo France qui annonce un ciel chargé et des averses de pluie et neige mêlées toute la journée.

Et c’est sans parler des rafales de vent qui pourraient atteindre les 40 km/h en seconde partie de journée. 

De même du côté des températures avec – 1° et des gelées en fin de nuit, et pas plus de 5° cet après-midi.

De la pluie, de la boue, un derby, un score serré, un vrai match à l’ancienne entre Saint-Pée et Cambo. (©Jennifer Harispe)

Enorme exploit de Navarrenx qui s’impose à Rion-des-Landes, grâce notamment à une énorme solidarité défensive ! Les Béarnais prennent ainsi la seconde place car Soustons n’obtient pas mieux qu’un match nul à l’AS Bayonne. Mouguerre se refait, un peu, en battant la lanterne rouge de Saint-Palais dans un match qui ne restera pas gravé. Larressore continue sa remontée au classement en s’imposant à Bizanos pour qui ce mois de janvier est compliqué. Le derby Basque Saint-Pée – Cambo est remporté par les locaux aux forceps. La rencontre Mugron – Bardos est reportée au 17 mars.

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Bizanos 8-11 Larressore

Michel Arrufat (entraîneur de Bizanos) : « Les week-ends se suivent et ne nous réussissent pas… Il devient difficile pour moi de faire une analyse… »

« pour une fois nous avons su gérer le match jusqu’au bout ! »

Yannick Bétachet (centre de Larressore) : « Une victoire 11-8 qui fait du bien au moral. On démarre bien le match avec un essai opportun, et pour une fois nous avons su gérer le match jusqu’au bout ! Nous revenons en positif au classement britannique comme aurait aimé un certain chauve devenu Landais ! »

Mouguerre 18-0 Saint-Palais 

Martin Ternisien (3ème ligne de Mouguerre) : « Match pas terrible, mais 4 points de pris, on s’en contentera pour ce début de phase retour compliqué… Au boulot pour avancer ! »

AS Bayonne 15-15 Soustons

Jérôme Mundubeltz (entraîneur de l’AS Bayonne) : « Grosse partie de Fédérale 3, notamment dans l’intensité! Match nul assez équitable contre une très solide et organisée équipe soustonnaise. Première mi-temps plutôt à l’avantage des visiteurs qui dominent sur les ballons portés et proposant une défense très hermétique. La seconde mi-temps est à notre avantage  et grâce à l’apport du banc, on franchi à plusieurs reprises le rideau Landais sans jamais pouvoir marquer un essai ! Ça s’est joué à rien… Arbitrage manquant parfois de cohérence notamment dans l’équilibre des sanctions avec deux cartons contre nous et aucun contre des Soustonnais pourtant très à la faute en seconde mi-temps. Félicitations à la B pour sa victoire ! »

« nos lignes arrières n’ont pas été à la hauteur du très bon travail fourni par nos avants ! »

Thierry Ferrand (entraîneur de Soustons) : « Match à enjeu, joué sur le synthétique des gars de la Battite qui nous ont affronté avec une farouche résistance, pas toujours licite, pour finalement arracher le match nul. De notre coté, nos lignes arrières n’ont pas joué à leur niveau, et n’ont pas été à la hauteur du très bon travail fourni par nos avants. C’est tout de même un bon résultat acquis chez un concurrent à la qualification, car dans le même temps Navarrenx l’a emporté à Rion-des-Landes. Ça montre qu’il ne faut pas se relâcher, et même redoubler d’efforts pour atteindre notre objectif de qualification. »

Saint-Pée 15-14 Cambo

Revenu faire « une dernière saison » Mikel Guerendian (caché derrière son sauteur) emmène de l’expérience en seconde ligne au pack Senpertar. (©Jennifer Harispe)

Alexandre Ollivon (capitaine/3ème de Saint Pée sur Nivelle) : « Seconde victoire en deux matchs contre le promu de Cambo dans des conditions très difficiles… La semaine de repos va nous faire beaucoup de bien. Aupa Senpere ! »

Mikel Guerendian (2e ligne de Saint-Pée-sur-Nivelle) : « Match très important pour nous, pour faire un pas de plus vers le maintien, il nous fallait battre Cambo 5e du classement et plus constant que nous depuis le début du championnat. Derby, repas des sponsors, terrain compliqué pour les deux équipes, nous avions la pression qui s’est exprimée des le début du match. Mené 11-3 au bout de 15 minutes, on a resserré le jeu pour revenir à 11-9 à la pause. La Deuxième mi temps est aérée dans l’ensemble( après la blessure de l’arbitre , un nouveau a pris le relais à la mi temps). On a fait un match courageux face une belle équipe de Cambo. Le score reflète la partie, les deux équipes se tiennent, les 2 équipes sont contentes. Chacun a ses points. A nous d’essayer de se reprendre aux entraînements pour bien finir la fin de ce championnat serré… »

Rion-des-Landes 11-14 Navarrenx

« Le potentiel est là, arrêtons de gamberger… »

Grégory Moulis (capitaine de Rion-des-Landes) : « Grosse déception pour notre première défaite à domicile ! Tout le mérite revient à cette belle équipe Béarnaise qui a su faire le dos rond sur ses temps faibles et être très efficace sur ses quelques occasions de marque. Pour notre part, trop de points laissés en route, trop d’approximations et un manque d’efficacité défensive, chose qui a été la base de nos victoires sur la première partie de saison. Nous traversons une mauvaise période, à nous de nous ressaisir maintenant ! Le potentiel est là, arrêtons de gamberger… »

Guillaume Camps (entraîneur de Navarrenx) : « Nous sommes très heureux aujourd’hui de cette victoire. C’était un week-end compliqué pour nous avec un forfait de la b… Beaucoup d’abattage défensif dans des conditions compliquées. Félicitations aux joueurs ils le méritent ! »

Mugron – Bardos (reporté au 17/03)

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Un accident opposant un convoi agricole à un véhicule utilitaire a fait deux blessés dont un dans un état grave à Parigné-le-Pôlin ce lundi 28 janvier 2019. Photo d’illustration. (©Côté La Flèche / Samuel QUIGNON)

Un accident de la circulation a eu lieu en Sarthe ce lundi 28 janvier 2019 au soir. Il a fait deux blessés dont l’un est dans un état grave.

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Une collision a opposé un convoi agricole à un véhicule utilitaire vers 20h40 sur la route départementale 323 au niveau du lieu-dit Les Forges sur le territoire de la commune de Parigné-le -Pôlin sur la route qui relie Le Mans à La Flèche.

Un blessé grave désincarcéré

Le service départementale d’incendie et de secours de la Sarthe fait savoir que la personne gravement blessée a dû être désincarcérée. Une seconde victime plus légèrement touchée a également été secourue.

Une troisième personne également impliquée dans l’accident est indemne.

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Ce sont les pompiers des centres de Cérans-Foulletourte et de Parigné-le-Pôlin qui se sont portés sur place.

L’intervention était toujours en cours à 21h40 lundi soir.

Trois (©L’Eveil normand)

Elles sont trois, trois drôles de dames qui travaillent régulièrement auprès de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, cette forme de dégénérescence cérébrale qui touche aujourd’hui, en France, près de 3 millions de personnes.

Elles sortent un guide pratique, non pas à visée thérapeutique stricte puisqu’on parle d’une maladie dégénérative mais bien dans le but d’aider les personnes qui souffrent de la maladie d’Alzheimer et leur entourage à stimuler leurs fonctions cognitives. Ce livre co-écrit à trois s’intitule : Guide pratique de stimulation des malades d’Alzheimer et apparentés, paru aux éditions Phalente.

Directrice de l’ouvrage, Hendi Lingiah est psychologue clinicienne dans le champ gérontologique. Perrine Colmard, ergothérapeute installée à Bernay, et Jocelyne Ferière, assistante de soins en gérontologie, ont contribué à la rédaction de ce guide pratique.

A voir aussi : vidéo de présentation du Guide pratique de stimulation des malades d’Alzheimer et apparentés.

Accélération des cas recensés

De jour en jour, la maladie gagne du terrain : près de 225 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. D’ici 2020, notre pays comptera probablement 1 275 000 personnes malades ; 1 Français sur 4 de plus de 65 ans sera concerné par la maladie, toujours en 2020 (source : France Alzheimer & Maladies apparentées).

Il s’agit bien d’un enjeu de santé publique. Ce guide pratique a toutes les raisons d’aider dans ce combat que les familles livrent contre cette maladie qui fait de plus en plus de victimes chaque année.

Renseignements : perrine.colmard@outlouk.fr

La petite femelle kangourou du zoo de La Palmyre attend le vote pour le choix de son prénom. (©Capture d’écran Facebook Zoo de La Palmyre)

Yarra ou Juicy ? Votez pour le prénom de la petite femelle kangourou, élevée à la nurserie du zoo de La Palmyre, situé à Les Mathes, en Charente-Maritime. 

Même si la grande majorité des animaux de ce parc n’ont pas de prénom, la nurserie a décidé de faire quelques exceptions à la règle pour certains, « en raison des soins spécifiques qui leur sont prodigués sur une longue période et de la proximité plus grande avec l’animal qui en découle ».

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La femelle kangourou pèse 1kg

Le zoo de La Palmyre présente ainsi sur sa page facebook la femelle kangourou :

Elevée à la nurserie depuis plusieurs semaines car sa mère n’était plus en capacité de l’allaiter à cause d’une infection dentaire, elle se porte bien et pèse désormais 1 kg ! Son corps est entièrement recouvert de poils et elle continue de recevoir 7 biberons de lait par jour

Les deux prénoms présélectionnés par l’équipe de la nurserie sont les suivants : Yarra et Juicy. Et pour voter, il vous suffit de cliquer sur la photo, sur la page Facebook du zoo.

Des Gilets jaunes face à un canon à eau des CRS à Paris, en novembre 2018. (©Martin Noda/ CC)

Bientôt des canons à eau de la police dans les rues de Nancy lors des manifestations des Gilets jaunes ? La cité ducale a servi de théâtre aux rassemblements régionaux du mouvement durant plusieurs samedis, notamment en décembre et en janvier. Dernièrement, c’est Longwy (Meurthe-et-Moselle) qui a été l’épicentre de la contestation, samedi 26 janvier. 

Le préfet de Meurthe-et-Moselle, Éric Freysselinard, a expliqué durant une conférence vendredi 25 janvier qu’il a demandé des renforts supplémentaires à l’Etat. 

Le mouvement dure depuis deux mois. Mais je constate qu’ils tiennent le coup (les policiers, NDLR). Ce qu’ils demandent surtout ce sont des moyens. Nous avons d’ailleurs sollicité des barre-ponts (un barrage anti-émeute, NDLR), ces dispositifs qui permettent de bloquer une rue avec peu d’hommes et des canons à eau.

« On en aurait eu besoin aujourd’hui. On ne va pas désarmer les polices pour en faire de la chair à canon », a expliqué le préfet, cité par L’Est Républicain, à propos du lanceur de balles de défense (LBD) que les Gilets jaunes et une partie de la classe politique critiquent. Il serait responsable de plusieurs dizaines de blessures sur des manifestants depuis le début du mouvement.

Le préfet assure, depuis le 17 novembre, avoir « réagit avec fermeté et immédiateté mais en dialoguant ».

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Plusieurs dérapages violents à Nancy

A plusieurs reprises, des heurts ont éclaté entre les forces de l’ordre et des Gilets jaunes au centre-ville de Nancy durant plusieurs manifestations. Des feux de poubelles ont été allumés. Mais aucun blessé n’est à déplorer et il n’y a pas eu de magasins attaqués ou de véhicules incendiés comme à Paris. 

En novembre, les face-à-face entre gendarmes et manifestants se sont surtout concentrés autour de la zone commerciale de Frouard au nord de Nancy et sur l’A31.

Un barrage anti-émeute avait été mis en place devant la préfecture de Meurthe-et-Moselle, à Nancy. (©Nicolas Zaugra/Lorraine Actu)

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Dans le centre historique de Dinan (Côtes d’Armor), la Tour de l’Horloge s’est paré de blanc, mardi 29 janvier 2019. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Comme annoncé par les prévisionnistes, les premiers flocons de l’hiver sont tombés en Bretagne, ce mardi 29 janvier 2019. Le passage de la tempête Gabriel sur la région s’est accompagné de fortes rafales de vent et d’un épisode neigeux. Tour d’horizon de la Bretagne sous la neige.

Arrivés du côté de Morlaix (Finistère), les premiers flocons se sont au début mêlés à la pluie.

#Meteo #Bretagne #Neige Les premiers flocons se mêlent franchement à la pluie sur le Léon et sur le massif des Monts d’Arrée comme ici à Morlaix (29)
Photographie: Gilles Réguer – Couleurs Météo Bretagne pic.twitter.com/OqHtVxRZP0

— Stéven Tual (@StevenTual_off) January 29, 2019

La #neige tombe dans plusieurs secteurs en #Bretagne… notamment entre le #Finistère et les #CôtesDarmor. La couche semble atteindre déjà 1 à 2 cm (Photo : @GregsELY) #Gabriel pic.twitter.com/BEcLphIGsN

— Kévin Floury (@kevinfloury) January 29, 2019

Puis, près de Lannion, la neige est tombée de façon persistante sur le Trégor intérieur, rendant la circulation parfois difficile, souligne notre rédaction du Trégor.

#Meteo #Bretagne A Plounérin, la neige remplace également la pluie et par isothermie elle commence à tenir au sol. Les chutes de neige sont abondantes selon Bastien Lozach pour Couleurs Météo Bretagne pic.twitter.com/T2kGQDW0BK

— Stéven Tual (@StevenTual_off) January 29, 2019

Il neige !!! #meteo #Bretagne #cotesdarmor #PlounévezMoëdec #NeigeVerglas #neige pic.twitter.com/qL6X4fN5M6

— Asta en Bretagne (@AstaEnBretagne) January 29, 2019

Près de Guingamp, quelques centimètres de neige ont recouvert les hauteurs de l’Argoat, dans l’après-midi, comme le rapporte notre rédaction de L’Echo de l’Armor et de l’Argoat.

EN IMAGES. Il neige sur les hauteurs de l'Argoat, près de #Guingamp https://t.co/AphtlHKMzn via @echodelargoat pic.twitter.com/Qzhr7oQXrf

— Bretagne Actu (@BretagneActu) January 29, 2019

A Lamballe aussi, la neige était de passage, avec des gros flocons tombés, comme l’a constaté notre rédaction du Penthièvre.

Même épisode neigeux à Dinan. Pas très longtemps par contre, rapporte notre rédaction du Petit Bleu des Côtes-d’Armor, mais à gros flocons. Et suffisamment pour parer la cité médiévale d’un manteau blanc.

Cela n'aura pas duré longtemps, mais il a neigé à gros flocons à #Dinan, cet après-midi. Voici quelques images de ce spectacle très éphémère ❄️ https://t.co/Q850lg12dD

— Le Petit Bleu Dinan (@PetitBleuDinan) January 29, 2019

#Météo #Bretagne #Neige La neige tombe en abondance sur Dinan (22) où elle tient sans problème sur le sol. Le vent est également de la partie, ce qui rend l’ambiance particulièrement hivernale. Prudence sur les routes !
Vidéo: Valentin Vuylsteker pic.twitter.com/bTHhbBIvlQ

— Stéven Tual (@StevenTual_off) January 29, 2019

L’épisode s’est ensuite décalé vers l’est de la Bretagne, en fin d’après-midi, avec des flocons observés à Rennes, ou encore à Fougères, où les premiers flocons sont tombés aux alentours de 18 heures, comme le rapporte notre rédaction de La Chronique Républicaine.

Elle était attendue, la #neige est bien arrivée en #Bretagne comme ici à Broons entre Rennes et Saint-Brieuc @20Minutes pic.twitter.com/ia8MvFsHUf

— Jérôme Gicquel (@jgicquel) January 29, 2019

A Vitré, notre rédaction du Journal de Vitré rapporte que la neige rend la circulation difficile sur les routes.

Des rafales à plus de 120 km/h

Dans le Finistère et le Morbihan, le passage de la tempête Gabriel s’est également traduit par de fortes rafales de vent à plus de 120 km/h, avec jusqu’à 127 km/h à la pointe du Raz, 125 km/h à Belle-Île, 123 km/h à Penmarch, comme le rapporte Stéven Tual, prévisionniste pour Météo Bretagne.

#TempêteGabriel 127 km/h à la pointe du Raz, 125 km/h a Belle-Île, 123 km/h à Penmarch, 122 km/h à Chemoulin, 121 à Groix, 118 km/h à Ouessant. La tempête débute sur la façade atlantique. On pourrait dépasser les 100 km/h à Nantes …

— Stéven Tual (@StevenTual_off) January 29, 2019

Mercredi matin, prévient Météo Bretagne, un ciel de giboulées « avec des averses pouvant passagèrement s’accompagner de grésil voire de neige » sera au programme, avec des précipitations, plus soutenues sur le littoral. Des rafales de 80 à 90 km/h sont attendues.

Dans l’après-midi, de la neige pourrait persister dans l’est de l’Ille-et-Vilaine, notamment du côté de Fougères.

C’est en présence d’une quarantaine d’administrés que Laurent Lainé, le maire de Martagny (2e à droite), a annoncé ses projets aux côtés des membres du conseil municipal et de Françoise Collemare, la conseillère départementale du canton de Romilly-sur-Andelle. (©L’Impartial)

Face à une assistance composée d’une cinquantaine de personnes, Laurent Lainé, le maire, a entamé son intervention par un sujet de politique nationale après avoir rendu un dernier hommage à Alain Robert, l’ancien maire de Romilly-sur-Andelle, décédé le 5 janvier dernier et adressé un bon rétablissement à Emmanuel Broux, le premier magistrat de la localité voisine de Bouchevilliers, dans l’Eure.

Libération des fréquences

L’édile a abordé le volet des réalisations de 2018 avant de dévoiler le registre des orientations retenues pour l’année en cours. Avec une annonce forte pour les habitants : 

Le dossier a été repris par Free Telecom, l’État a accepté de libérer gratuitement des fréquences en contrepartie de la résorption des zones blanches. À ce titre, le pilonne devrait être installé en milieu d’année. Je pense que pour fin 2019, nous aurons enfin accès au téléphone portable dans la vallée.

Dynamiser la Vallée de l’Epte

À l’issue de son discours, l’élu n’a pas manqué de souligner l’implication du collectif Avenir Vallée de la Levrière dont le projet, soutenu par le CAUE 27, permettra de rendre la Vallée de la Lévrière plus dynamique en termes d’animations culturelles, d’urbanisme et de développement économique à travers la mise en place d’ateliers locaux proposés à la population qui auront pour objectif de lancer des pistes de réflexion afin d’améliorer le cadre de vie et développer l’attractivité des villages concernés.