Quantcast
Channel: actu.fr - Toute l'information nationale, régionale et locale.
Viewing all 26281 articles
Browse latest View live

Basket – USO Mondeville. Romain L’Hermitte : « On a gagné à la mondevillaise »

$
0
0
Romain L'Hermitte passe ses consignes à son équipe contre Basket Landes. La première d'entre elles ? Le plaisir !

Romain L’Hermitte passe ses consignes à son équipe contre Basket Landes. La première d’entre elles ? Le plaisir ! (©Marina Olivier / Sport à Caen)

Romain L’Hermitte partageait le bonheur de ses joueuses après la première victoire de l’USO Mondeville cette saison. Basket Landes, pourtant quatrième du classement, en a fait les frais (57-51).

LIRE AUSSI : Basket. Superbe exploit de Mondeville, vainqueur de Basket Landes

Sport à Caen : Romain, pas grand-monde n’aurait misé un kopek sur vous avant cette rencontre. Y croyais-tu toi-même ?

Romain L’Hermitte : Pas du tout ! Je me demandais à quelle sauce nous allions être mangés. Comme d’habitude, on espérait tenir le plus longtemps possible. La question est toujours de savoir à quel moment on va craquer. Aujourd’hui, on n’a pas craqué. On a réussi à avoir ce mélange qui fait Mondeville, la jeunesse et les cadres qui gèrent tout ça. C’est exactement comme ça qu’il faut qu’on gagne nos matchs.

Il n’y avait pas mille façons de gagner avec deux joueuses en moins, Myriam Djekoundadé et Courtney Hurt. Même si vous avez bien joué, il fallait d’abord mettre beaucoup de cœur ?

On est toujours en train de se poser 50 000 questions : « qu’est-ce que je n’ai pas bien fait, pourquoi je n’arrive pas à le faire, qu’est-ce qu’il faut changer… » Cette semaine, on a tout repris au commencement. On s’est dit qu’on allait jouer exactement comme on aime jouer : faire bouger la balle, arrêter de se poser des questions pour savoir quel système de jeu il fallait qu’on annonce, bref jouer à la mondevillaise. On a joué ensemble du début à la fin. La preuve, nos meilleures scoreuses ne sont pas Kim (Gaucher) ni Kris (Mann). Même avec la maladresse qu’on a pu avoir, notre jeu a continué d’exister. C’est le plus important.

« On a eu un surplus de confiance »

Voilà bien longtemps que vous n’aviez pas si bien joué, au-delà du courage mis dans ce match. Il y a pourtant eu plusieurs rencontres très étriquées.

Toute la difficulté est de continuer à faire confiance à ce basket dans des matchs plus durs, plus stressants. Là, on était libéré. On a eu de la confiance, et c’est ce qui nous a amené à performer ensemble. Le plus dur est de garder un collectif dans la difficulté. On était dans la difficulté avec treize défaites, bien sûr, mais on a eu un surplus de confiance. Ça nous a aidés. Il faut qu’on pense à ce match en se disant que c’est notre équipe qui a gagné, pas une joueuse ou un système. C’est une philosophie et une façon d’être, de sourire, d’encourager tout le monde, de ne pas s’énerver pour des bêtises, qui ont gagné.

Le banc trépigne d'impatience en fin de match.

Le banc trépigne d’impatience en fin de match. (©Marina Olivier / Sport à Caen)

Des joueuses ont toutefois tiré leur épingle du jeu dans ce collectif, notamment Ewl Guennoc qui était titulaire.

Cela fait quelques semaines qu’elle est vraiment de mieux en mieux à l’entraînement. Le plus dur avec Ewl, c’est que l’équipe ait confiance en elle. Aujourd’hui – c’est la nouveauté qu’on a eue – on a fait confiance à Ewl. On a arrêté de vouloir monter la balle pour elle. Avant, elle avait aussi tendance à se débarrasser du ballon. Elle donnait la balle à Kris et elle courait devant. Comme elle voit Shona le faire, elle se dit qu’elle va faire pareil (sourire). Sauf que Kris, il faut qu’elle monte la balle, qu’elle marque les points, qu’elle prenne les rebonds, qu’elle défende… Ce n’est pas possible. Aujourd’hui, Ewl a vraiment rempli son rôle. Depuis décembre, elle monte en puissance. Ce n’est pas une surprise de voir ce qu’elle fait parce que je la sens progresser. Le contexte Basket Landes, ça aide aussi. C’était son premier gros match en Ligue féminine il y a un an. C’est le seul match qu’on avait gagné sans Berkani.

« Pour les joueuses, cette victoire change beaucoup de choses »

Céline Dumerc nous a dit qu’elle détestait Mondeville. Vous êtes un peu la bête noire de Basket Landes…

Céline Dumerc nous déteste depuis qu’elle est à Basket Landes, je ne pense pas que c’était le cas à Bourges (sourire). C’est vrai qu’on performe souvent contre Basket Landes. Honnêtement, c’est quand même une équipe qui est moins athlétique que les autres. Je pense que ça nous aide. Au match aller, sans Kim, on passe au travers bêtement alors qu’on doit gagner. On est dominant contre Basket Landes à l’intérieur. Ce n’est pas le cas contre toutes les équipes.

C’est vrai qu’Ana Tadic a été très impactante ce dimanche.

Oui, d’abord parce que notre jeu collectif l’a aidée en ce sens. Si elle prend ses responsabilités quand notre jeu collectif tourne bien, elle a juste à aller marquer. Elle a joué avec beaucoup d’agressivité. Il faut qu’elle garde cela. Ana a une grosse marge de progression. C’est très, très bien qu’elle ait fait un bon match. On l’attend depuis tellement longtemps que c’est important. Je sais très bien qu’elle peut performer.

 

Basket Landes ne sera pas en playdowns, c’est une victoire qui ne va pas compter au classement, et pourtant ça chance forcément des choses après une si longue série noire…

Pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour les joueuses, ça change beaucoup de choses. Les voir sourire, ça fait tellement plaisir ! Je leur ai dit avant le match : « vous savez, moi j’en ai des victoires. Quand Myriam (Djekoundadé) marque 18 points, c’est une victoire pour moi. Quand Louise Bussière met un trois points sur la tête de Whitcomb à Montpellier, c’est une victoire pour moi. Quand Kim est leader du championnat au scoring, c’est une victoire pour moi. » Mais cette victoire contre Basket Landes, c’est une vraie victoire pour les filles. On sait qu’on en a besoin. Ça va nous permettre d’avoir de la confiance. Surtout, on a une référence. Ce sera un tout autre match contre Tarbes (le prochain match de Mondeville dans deux semaines, ndlr), mais on sait qu’on peut le faire. C’est vraiment important.


Quimper : les 3 infos du lundi 28 janvier

$
0
0

Tennis : coup d’envoi de l’Open Quimper Bretagne occidentale

En 2018, le Français Quentin Halys s'était imposé à Quimper.

En 2018, le Français Quentin Halys s’était imposé à Quimper. (©Rémy Chautard pour l’Open de Brest )

L’Open Quimper Bretagne occidentale débute lundi 28 janvier 2019 au parc des expositions de Penvillers. 

Les premiers matches sont programmés dès 10 h. Le site internet du tournoi permet de connaître :

  • le programme des rencontres
  • les horaires
  • les résultats

Infos pratiques. Tarifs : 6 euros (adulte) du lundi 28 au jeudi 31 janvier et 12 euros (adulte), du vendredi 1er au dimanche 3 février. Et un euro toute la semaine pour les moins de 11 ans.  

Réforme de la justice : nouvelle mobilisation des avocats à Quimper

Les avocats du barreau de Quimper ont prévu de boycotter l’audience solennelle de rentrée du Tribunal de grande instance, lundi 28 janvier. 

Une partie des juges du siège devrait se joindre au mouvement pour dénoncer la réforme de la justice. Le projet de loi a été adopté en seconde lecture à l’Assemblée nationale, le 23 janvier. 

Or, les avocats du barreau de Quimper défendent une justice de proximité. 

A LIRE AUSSI. Quimper : pourquoi les avocats manifesteront de nouveau lundi 28 janvier 

Habitat : sessions de formation

Dans le cadre de son Programme local de l’habitat, Quimper Bretagne Occidentale propose en partenariat avec l’Agence départementale d’information sur le logement (Adil 29) des sessions d’information-formation, gratuites et ouvertes à tous, consacrées au logement.

Elles concernent : 

  • la copropriété
  • l’accession à la propriété
  • l’investissement locatif

La première séance a lieu jeudi 7 février, de 17 h 30 à 19 h 30, sur l’accession à la propriété. Au programme :

  • les précautions à prendre
  • les démarches à effectuer, les aspects juridiques de l’accession à la propriété
  • le financement de votre projet d’accession (les prêts, les aides)

Infos gratuites. Inscription obligatoire trois jours au plus tard avant la session au 02 98 46 37 38. Gratuit. 

 

Football. Buts « risibles » et « tête à l’envers », Fabien Mercadal exaspéré après la défaite de Caen à Montpellier

$
0
0
Fabien Mercadal était énervé après la défaite du SM Caen à Montpellier.

Fabien Mercadal était énervé après la défaite du SM Caen à Montpellier. (©Sport à Caen)

D’habitude très protecteur à l’égard de ses joueurs et résolument positif dans son discours, Fabien Mercadal a eu bien du mal à conserver la même tonalité après la défaite du Stade Malherbe Caen à Montpellier (2-0). En conférence de presse, l’entraîneur caennais est apparu touché, ce dimanche 27 janvier 2019. Son équipe n’a pas présenté le visage espéré tant dans la qualité du jeu produit que sur le plan de la combativité. C’est pourtant le point sur lequel Fabien Mercadal avait insisté ces dernières semaines. Au vu de ses faibles capacités techniques, Caen ne peut vraiment pas faire cette impasse…

LIRE AUSSI : Football. Trop faible en deuxième mi-temps, Caen s’incline logiquement à Montpellier

« Au moindre grain de sable, on explose »

Les Caennais ont toutefois été rigoureux en première période à la Mosson. Montpellier, peu inspiré, butait sur leur bloc discipliné. Le score nul et vierge enregistré à la pause apparaissait des plus logiques. « On a fait une première mi-temps cohérente, estime Fabien Mercadal. C’était plutôt intéressant. On gênait bien cette équipe, on était plutôt bien positionné. Et puis au moindre grain de sable on explose. »

Le grain de sable était quand même relativement gros peu après le retour des vestiaires. Dans une défense caennaise désorganisée, Damien Le Tallec a armé une volée repoussée presque miraculeusement par Brice Samba. Sauf que, derrière, c’est Gaëtan Laborde qui a réduit Paul Baysse au rang de faire-valoir sur le duel aérien consécutif à la parade du portier caennais (51’). Le pire était à venir avec, huit minutes plus tard, un but contre-son-camp assez inimaginable de ce Paul Baysse bien malheureux dans l’Hérault. Fabien Mercadal est lucide :

Les deux buts… J’allais dire qu’ils sont risibles, mais ce n’est pas loin.

« J’ai une grande part de responsabilité, mais les joueurs aussi »

Avouant avoir dépassé le stade de la frustration pour celui de l’« exaspération », Fabien Mercadal en veut « à nous tous ».

Dans ces moments-là, les faibles disent que c’est la faute des autres. Les costauds, et il faut qu’on soit costauds, s’approprient aussi ce qui se passe. J’ai une grande part de responsabilité là-dedans, mais les joueurs aussi.

Après trois défaites de suite en championnat, « la tête est déjà à l’envers ». Caen va pourtant devoir réagir, parce que Guingamp, Monaco et Amiens ne perdront pas indéfiniment eux aussi. Ce week-end, les trois derniers de Ligue 1 ont toutefois, une fois encore, fait comme les Malherbistes. Pour l’instant, malgré ses 18 petits points en 22 journées, Caen garde donc la tête hors de l’eau. Jusqu’à quand ? « Il faut gagner des matchs. Ce n’est pas en regardant les autres jouer qu’on se maintiendra. »

Pas-de-Calais. Deux morts, dont un enfant de deux ans, dans un accident à Houdain

$
0
0
Un accident a fait deux morts, dont un enfant de deux ans, à Houdain (Pas-de-Calais).

Un accident a fait deux morts, dont un enfant de deux ans, à Houdain (Pas-de-Calais). (©Illustration/JB – Normandie Actu)

Les secours n’ont rien pu faire. Un terrible accident a fait deux morts, dont un enfant de deux ans, ce dimanche 27 janvier 2019 à Houdain (Pas-de-Calais).

Selon nos confrères de La Voix du Nord, qui révèlent l’information, un Renault Scenic et une BMW se sont  percutés rue du Général-de-Mitry, en face à face.

De nombreux secouristes ont été déployés sur place. L’enfant de deux ans se trouvait dans la BMW, la seconde personne décédée est le conducteur du Scénic. Il était âgé de 33 ans. 

L’accident a aussi fait trois blessés graves, dont un enfant de 4 ans, et un blessé léger.

Dans la Manche, les pompiers réalisent une intervention tous les quarts d’heure

$
0
0
Le centre d'appels de la Manche ne chôme jamais !

Le centre d’appels de la Manche ne chôme jamais ! (©La Presse de la Manche)

En 2018, les sapeurs-pompiers de la Manche ont effectué 34 779 interventions, un chiffre en hausse de 1,12 %.

Le secours à personne reste la principale mission des sapeurs-pompiers avec 26 761 interventions (+0,33 %), soit 77 % de l’activité.

Les incendies et fuites de gaz ont progressé de 16,55 % avec 2 169 sorties tandis que les accidents de la route ont légèrement reculé (-2,14 %) avec 2 108 interventions.

Dragon 50, l’hélicoptère de la sécurité civile, a assuré 264 missions (+ 47,49 %).

A lire aussi : Manche : 40 pompiers mobilisés sur un incendie au centre d’enfouissement des déchets

95 sorties par jour

Marc Lefèvre, président du conseil départemental de la Manche, fait la synthèse :

Une équipe est engagée tous les quarts d’heure dans la Manche. Nos pompiers font 95 sorties en moyenne par jour. Un quart de l’effectif est disponible à tout moment, c’est-à-dire 550 hommes et femmes.

Les secours à la personne restent les interventions les plus nombreuses.

Les secours à la personne restent les interventions les plus nombreuses. (©SDIS 50)

La plateforme pompiers-Samu se fait attendre

Au 1er janvier 2019, les trois groupements de la Manche ont été remplacés par cinq compagnies territoriales de sapeurs-pompiers.

Certains chantiers avancent mais pas tous. Lors du congrès départemental à Saint-Hilaire-du-Harcouët, en octobre 2018, le préfet s’était positionné pour une mise en place rapide d’un centre d’appels unique pompiers-Samu.

La salle pour cette plateforme commune au Sdis étant prête depuis 2005. Le préfet de la Manche Jean-Marc Sabathé est revenu sur ce point :

Je vais éviter le comique de répétition. L’affaire n’avance pas mais elle ne recule pas. Je vais essayer une nouvelle tentative et si on n’y arrive pas, on fera arbitrer le sujet par le Premier ministre.

A lire aussi : Cherbourg : un Gilet jaune gifle une gendarme

Moréac : une voiture percute un camion sur la D767 et fait un blessé

$
0
0
Les pompiers de Lisieux (Calvados) sont intervenus le samedi 19 janvier 2019 pour un incendie rue Gaudien.

Une voiture est entrée en collision avec un camion ce lundi 28 janvier à midi, sur la D767 à Moréac. (©Le Pays d’Auge)

Ce lundi 28 janvier, à midi, un accident de la route a eu lieu à Moréac (Morbihan), à la hauteur du lieu-dit Karladen. Sur la départementale 767, une voiture a percuté la remorque d’un camion, faisant un blessé.

Transporté à l’hôpital de Pontivy

Le conducteur de la voiture, un homme de 22 ans, a été désincarcéré par les pompiers. Blessé, il a été transporté au centre hospitalier de Pontivy.

Val-d'Oise. Poursuivis sur l'A15 au volant d'une Citroën C2 volée à Cergy

$
0
0
Les policiers ont discrètement suivi la voiture sur l'A15 depuis Argenteuil (Val-d'Oise).

Les policiers ont discrètement suivi la voiture sur l’A15 depuis Argenteuil (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

Une Citroën C2 qui file à vive allure sur les quais de Seine à Argenteuil (Val-d’Oise). Dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 janvier, il est 2h25 lorsqu’une patrouille de la brigade anticriminalité (Bac) se trouvant à hauteur du marché Héloïse repère le véhicule roulant en direction de l’A15.

Les policiers décident de le suivre à distance et remarque que la voiture suit de très près un Ford Transit blanc de la société Europcar. La C2 colle tellement l’utilitaire qui le précède que les fonctionnaires ne peuvent relever sa plaque. Mais celle de la Citroën est passée au fichier des véhicules volés. Le verdict tombe rapidement, la voiture a été dérobée le 17 janvier à Cergy.

 Interpellés sur la bande d’arrêt d’urgence 

Les hommes de la Bac poursuivent leur filature discrète sur l’autoroute vers Cergy, évitant une course-poursuite dangereuse. Ils remarquent alors qu’à plusieurs reprises la C2 et le Transit changent de voies, accélérant puis ralentissant, certainement pour s’assurer qu’ils ne sont pas suivis.

Puis, sans raison apparente, le conducteur de la Citroën arrête la voiture sur la bande d’arrêt d’urgence à hauteur de Saint-Ouen-l’Aumône, juste avant l’embranchement vers la N184.

Les policiers bloquent le véhicule et interpellent aussitôt le conducteur, un jeune homme de 18 ans qui roulait sans permis de conduire, et ses deux passagers de 17 et 19 ans. Tous trois domiciliés à Cergy, ils ont été placé en garde à vue pour recel de vol. Quant au Ford Transit, il n’a pu être intercepté par les forces de l’ordre.

Football - National 3. La lutte pour le maintien s'épaissit dans le bas de tableau

$
0
0
Bayeux s'est relancé en dominant l'ASPTT Caen.

Bayeux s’est relancé en dominant l’ASPTT Caen. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Journée tronquée avec trois matchs remis dont le sulfureux Evreux-Rouen. Quatre rencontres à l’ordre du jour seulement et quatre rencontres qui n’ont pas souri aux équipes évoluant à domicile puisque Cherbourg, PTT Caen et Deville-Maromme ont chuté sur leur pelouse. A Cherbourg, Avranches a pris sa revanche du match aller et s’installe sur la deuxième marche du podium. Deville-Maromme face à la solide formation de Gonfreville, s’est montré incapable de confirmer devant ses supporters son succès acquis dans le Bessin. Quant à Bayeux, sa victoire à La Hache démontre que l’équipe possède encore des ressources et du répondant.

LIRE AUSSI : Bayeux se relance dans la course au maintien, l’ASPTT Caen s’y replonge

Seul finalement, Alençon face au Stade Malherbe Caen n’a pas pris le bouillon en arrachant un nul méritoire et mérité. Ce face à face entre les Ornais et les réservistes malherbistes a donné lieu à un match de qualité digne du haut de tableau. Aucun regret ni amertume dans les vestiaires à l’issue de la partie mais une réelle satisfaction partagée par les deux coaches Vincent Laigneau et Thomas Fernandez.

Alors que Bayeux réalise indéniablement la grosse opération de la journée, abandonnant du même coup, la lanterne rouge à Deville Maromme, la situation en bas de tableau devient particulièrement confuse. Lors de la phase aller, la lutte pour le maintien semblait devoir se réduire à quatre clubs : Quevilly RM, Pacy Menilles, Deville Maromme et Bayeux. Les résultats de ces dernières semaines ont apporté quelques indications nouvelles et au quatuor cité plus haut il convient d’ajouter l’ASPTT Caen et Cherbourg.

L’ASPTT Caen et Cherbourg regardent vers le bas

Auteurs pourtant d’une belle série de nuls à l’extérieur, les postiers paient cher leurs deux points perdus sur tapis vert ainsi que le faux-pas devant Bayeux. Les Cherbourgeois, quant à eux, viennent de concéder trois défaites consécutives sur leur pelouse. Le bénéfice acquis dans un début de saison plus qu’honorable s’est évaporé et désormais leurs regards se portent plus dans le rétroviseur que vers les places d’honneur. Mathieu Travers, le coach de l’ASC veut toutefois se montrer optimiste :

Contre Avranches, qui présentait une grosse équipe, nous avons produit la meilleure prestation de nos trois derniers matchs. Maintenant, il est l’heure de relancer le compteur-points.

Six équipes à la bagarre, mais pour combien de places ? Pour l’heure, on peut raisonnablement miser sur le maintien des trois formations normandes en N2 (Granville, La Havre B et Oissel) ce qui n’entraînerait que deux descentes seulement de N3 en R1. Qu’en sera-t-il en mai ?…

Si le titre, à moins d’un écroulement soudain, semble promis au FC Rouen, l’intérêt de ce championnat va donc se reporter sur cette bagarre en bas de tableau qui promet d’être féroce et impitoyable à la fois. Dès le week-end prochain, nous serons dans le vif du sujet puisque le programme nous propose deux affiches bouillantes : Bayeux-Cherbourg et Quevilly RM-Pacy Menilles… Aïe, aïe, aïe !!!

Résultats de la 14ème journée

Alençon – SM Caen 1-1 (MT : 0-1)

Alençon : Etamé (65è) ; SM Caen : Kyeremeh (42è)

Cherbourg – Avranches 1-2 (MT : 0-2)

Cherbourg : Romanelli (88è) ; Avranches : Sissoko (0è), N’Diaye (13è)

PTT Caen – Bayeux 1-2 (MT : 1-2)

PTT Caen : Gosnet (20è) ; Bayeux : Laigneau (30è), Hervieu (38è)

Deville-Maromme – Gonfreville 0-2 (MT : 0-1)

Nourou (35è, 88è)

Evreux – Rouen reporté

Dieppe – Quevilly RM reporté

Pacy Ménilles – Saint Lô reporté

Classement

Le classement

Le classement (©LFN)

Classement des buteurs

13 buts : H. El Hamdaoui (Alençon)
8 buts : Diao (PTT Caen)
7 buts : Mendy (Gonfreville)
6 buts : Coutant (Avranches), Koné (Evreux), Loppy (Quevilly RM), N’Chobi (Rouen), Tessier (Alençon), Vauvy (Saint Lô)
5 buts : Diallo (Gonfreville), Hamard (Avranches)
4 buts : Barry (Pacy menilles), Bopu, Coulibaly (Saint Lô), Camillo (PTT Caen), Romanelli (Cherbourg), Sahloune (Evreux/Rouen), Tutu (SM Caen)
3 buts : Boketsu (Evreux), Dia, Manounou (Deville-Maromme), Fall, Levasseur (Dieppe), Fataki (Rouen), Gioacchini, Mouaddib, Moussaki (SM Caen), Ouhammou (Bayeux), Fleury, Tendeng (Cherbourg), Macalou (Quevilly RM), N’Diaye (Avranches), Nourrou (Gonfreville), Roynel (Saint Lô), Sihel (Pacy Menilles)
2 buts : Alhadur, Joseph, Khaoui, Kyeremeh (SM Caen), Bizolon, Colin, Lemarié, Sissoko (Avranches), Demba (Gonfreville), Depraute, Lambard (Saint Lô), Diarra (Rouen), Hitouss (Deville-Maromme), Garnier, Mortoire (Dieppe), Fazzuti, Laigneau (Bayeux), El Himri, Leguerrier, M’boma (Cherbourg), Isli, Thiam, Yandza (Pacy Menilles), Etamé, Khadrejnane (Alençon), Mateus, Vincent (Evreux).

Prochaine journée

Samedi 2 Février 18h00

Rouen – PTT Caen

Gonfreville – Evreux

Avranches – Dieppe

SM Caen – Deville-Maromme

Saint Lô – Alençon

Quevilly – Pacy Menilles

Bayeux – Cherbourg

Bernard Guyonnet


Accident rue de Paris à Brest : la conductrice avait 1,95 g d'alcool par litre de sang, la police lance un appel à témoins

$
0
0
La police de Brest lance un appel à témoins concernant l'accident qui s'est déroulé rue de Paris, samedi 26 janvier 2019.

La police de Brest lance un appel à témoins concernant l’accident qui s’est déroulé rue de Paris, samedi 26 janvier 2019. (© Côté Brest).

Samedi 26 janvier 2019, vers 23h45, une conductrice avait perdu le contrôle de son véhicule, au niveau du n°138 de la rue de Paris à Brest. Et avait percuté plusieurs véhicules ainsi qu’un poteau.
Elle circulait dans le sens Guipavas-Brest, quatre autres personnes se trouvaient à bord. Toutes les cinq avaient été transportées à l’hôpital de la Cavale-Blanche par les secours (les sapeurs-pompiers et le Samu étaient sur place, l’un des passagers avait dû être désincarcéré). 

Lundi 28, deux blessés étaient toujours hospitalisés : le passager du milieu à l’arrière, en pneumologie, le passager arrière droit en réanimation. 

La prise de sang effectuée sur la conductrice, 38 ans, a révélé qu’elle conduisait avec 1,95g d’alcool par litre de sang. Qu’elle ne possédait plus de permis de conduire, celui-ci ayant été annulé pour la perte de la totalité des points.
Elle a été entendue au commissariat de police de la rue Colbert et a été laissée libre. 

La voiture doublée et une femme qui aurait tout vu

La police a lancé un appel à témoins pour tenter d’éclaircir les circonstances de l’accident. Les enquêteurs aimeraient notamment entendre le conducteur ou la conductrice du véhicule qui aurait été doublé quelques secondes avant l’accident par la conductrice qui a ensuite perdu le contrôle de son véhicule. 
Ainsi que la femme qui se serait présentée le lendemain de l’accident au bar Le Pont Neuf, rue de Paris, en disant qu’elle avait tout vu et qu’elle était encore choquée. 

Toute personne susceptible d’apporter des informations est conviée à se présenter au commissariat central de police,
15 rue Colbert à Brest,
ou à appeler au 02 98 43 77 77 pour demander la brigade accident. 

 

 

Paroles de coachs : Pleudihen et Plancoët font la loi

$
0
0
Rémy Caillère et les Plancoëtins sont allés chercher la victoire à Dinard.

Rémy Caillère et les Plancoëtins sont allés chercher la victoire à Dinard.

Régional 1

Rannée-La-Guerche – Dinan-Léhon B : 2-0.

David Audion, coach du DLFC : « C’est dommage. Sur des matchs comme ça, il faut une âme de guerrier. C’est l’équipe qui a le plus fait preuve d’envie qui a gagné. Pendant ce temps, nous sommes passés à côté du sujet. Attention, car janvier et février sont cruciaux. À la fin de ces deux mois les classements sont souvent établis. Alors nous devrons remettre le bleu de chauffe à Saint-Brieuc ce dimanche ».

 Régional 2

Penguily – Pleudihen : 0-1.

Patrice Muset, entraîneur de Pleudihen : « Cela n’a pas été facile sur un champ de patates. Avec le vent en plus, ce n’était pas du football. L’essentiel reste ces points pris. On peut quand même regretter de n’avoir pas été dans les duels et d’avoir eu du mal à nous exprimer. Je pense que contre Erquy nous serons dans le même style de match ».

Dinard – Plancoët-Arguenon : 0-2.

Yvon Perroquin, entraîneur de Plancoët : « Avec le vent, le score est déjà fait à la mi-temps. Nous pouvions sans doute en mettre un de plus avant la pause. Et en seconde période, nous avons trois face-à-face que nous ne concrétisons pas. La victoire est donc logique. Il nous faut, dimanche, ramener au moins un nul de Dol ».

Trélivan – Saint-Grégoire : 3-1.

Jérémy Alletz, entraîneur de Trélivan : « Nous avons souffert des conditions climatiques. Mais nous faisons une très grosse première dans l’impact et l’envie. Cela nous permet de mener 2 à 1. Et normalement d’entamer la seconde avec de la confiance. Mais cela a été dur contre le vent. Saint-Grégoire a le monopole. Nous procédons par contres et finissons par inscrire le troisième. Ce score est un peu large mais c’est un très bon résultat avant de recevoir Thorigné. Un autre match charnière. La moitié, seulement, du chemin est faite ».

 Régional 3

Dinan-Léhon C – Évran : 4-0.

Marc Monnier, coach du DLFC : « Nous avons eu des sacrées conditions pour jouer. Étonnamment, nous faisons la différence contre le vent. Par la suite, nous manquons d’efficacité. Mais je suis franchement satisfait par cette belle victoire. Monter à la seconde place est intéressant pour la suite. Dimanche, nous avons une belle revanche à prendre sur la Jacques-Cartier de Saint-Malo qui nous a battus 4 à 1 à l’aller ».

Cédric Nabucet, entraîneur d’Évran : « On fait trente bonnes minutes puis on tend le bâton pour se faire battre en donnant trois buts. Le match était plié mais nous avons continué de jouer. Se ressaisir avec la réception de Saint-Jouan devient une nécessité ».

 Frémur-Fresnaye – Langueux B : 0-1.

Fabrice Lachoux, entraîneur de l’USFF : « Notre adversaire s’est mieux adapté aux conditions. Nous encaissons le but au bout de cinq minutes. Après on pousse mais ce n’était pas joli à voir. Nous n’avons pas été bons. Il faut se reprendre contre la B de Lamballe que nous recevrons également. Surtout dans le jeu pour espérer quelque chose de ce championnat ».

À Toulouse une soirée zen et gourmande mêle cours de yoga et dégustation de fromages

$
0
0
Dégustation de fromages et yoga, c'est le programme d'une soirée organisée à Toulouse en février 2019.

Dégustation de fromages et yoga, c’est le programme d’une soirée organisée à Toulouse en février 2019. (©Fotolia)

Allier les plaisirs du yoga et ceux de la dégustation de fromages, c’est ce que propose Happpy Home, ce vendredi 1er février 2019, à Toulouse.

Un rendez-vous bien-être et gourmand

Eléa Le Ruyet est l’entrepreneuse derrière le concept Happy Home. Elle organise régulièrement des rendez-vous autour du  bien-être, toujours complété par une partie gourmande. Début janvier, elle avait ainsi été à l’origine d’une soirée détox, avec cours de pilate et buffet gourmand.

LIRE AUSSI : À Toulouse, une soirée gourmande et détox pour se remettre des excès des fêtes

Cours pour tous

Cette fois-ci, la soirée débutera par un cours de yoga qui devrait durer 1h15. Eléa Le Ruyet explique :

La prof qui dispensera le cours s’adaptera au niveau des participants. Le cours est donc vraiment adapté à tous, même aux débutants.

Une fois le cours de yoga terminé, les participants pourront participer à  une dégustation de fromages, organisée par une fromagère du marché Victor-Hugo.

Fromages accordés aux thée

Et pour accompagner le fromage, une spécialiste des thés bios sera présente. « On a l’habitude des accords vins-fromages, détaille Eléa Le Ruyet, alors que mélanger thé et fromages ça peut donner de très belles choses

Pour participer à cette soirée, il est impératif de s’inscrire sur le site dédié. L’événement se déroulera en centre-ville, le lieu sera dévoilé aux participants au dernier moment.

Infos pratiques:
Soirée Yoga & cheese, vendredi 1er février 2019, de 19h30 à 22h30. Tarif: 45 euros.

Hommage. L'orchestre les Andrews a perdu son créateur

$
0
0
Jacques Andrews aimait la musique et la scène.

Jacques Andrews aimait la musique et la scène.

Jacques Andrews est né à Rouen (Seine-Maritime) en 1930 et s’est installé avec sa famille aux Grandes-Ventes en 1968. Il était mélomane et sans doute la musique ne demandait qu’à éclore. C’est sa femme Micheline qui l’a poussé à jouer du saxophone. Elle sera son soutien, et assurera la logistique tout au long de sa carrière d’artiste. Jacques Andrews a commencé la musique à l’âge de 38 ans et a pris ses premiers cours à 54 ans. En fait disait-il, « j’ai réellement joué de la musique après avoir pris mes premiers cours avec Germain Demmaneville. » Il aimait évoquer une anecdote.

Lorsque j’ai commencé la musique, je ne savais même pas ce qu’était un saxophone ! La première fois j’ai commencé à démonter le liège du bec… Je pensais que c’était l’emballage » 

Il était alors gardien de nuit au lycée Pablo Néruda de Dieppe et les anciens élèves se souviennent qu’il passait les voir et se souciait de leur bien être. Pendant ses longues nuits de veille il jouait du saxophone. Ainsi, avec une pratique de 5 à 6 h par nuit, il a vite progressé.

Un groupe de musique

Jacques Andrews a lancé, en 1973, pour le plaisir, un petit groupe composé de deux saxos et une batterie. Ils faisaient des reprises, puis deux Réunionnais ont rejoint le groupe avec une guitare et une guitare basse. Le couple Andrews a eu huit enfants, ils ont tous fait partie du groupe à l’exception de Lydia. C’est par hasard que le groupe est devenu le groupe vedette d’une boîte, une panne de voiture devant le Bagatelle qui cherchait des artistes. Ils y resteront quatre ans en résidence. L’orchestre est très vite devenu incontournable dans la région. Jacques a confié l’orchestre à ses enfants en 1987. Il a cependant continué à monter sur scène pour un air d’harmonica. Tous ceux qui l’ont croisé se souviennent de lui avec émotion.

Un homme doux

William Andrews évoque un père aimant, une autorité douce, sans stress. En tant que chef d’orchestre, il fallait que ça tourne, mais là encore en douceur. « Une main de fer dans un gant de velours. » Le groupe était soudé autour du leader Jacques mais aussi de sa femme Micheline qui n’est jamais montée sur scène mais dont la présence était indispensable à l’orchestre. « Sans maman, papa n’aurait pas pu créer l’orchestre » insiste William qui termine par une anecdote illustrant la cohésion du groupe :

 Un jour papa était préoccupé et il a oublié une soirée qu’il devait animer à Lyons-la-Forêt, le seul oubli de sa carrière. Le client a appelé et papa, qui avait un profond respect pour ses engagements a sonné le rappel des troupes. Nous étions dispersés mais tout le monde a rappliqué et nous avons assuré la soirée comme prévu. »

Les gilets jaunes s'invitent en conseil municipal de Caen sans être là

$
0
0
Le centre-ville de Caen (Calvados) a accueilli une dizaine de marches des gilets jaunes depuis le début du mouvement le 17 novembre 2018.

Le centre-ville de Caen (Calvados) a accueilli une dizaine de marches des gilets jaunes depuis le début du mouvement le 17 novembre 2018. (©MG/Liberté)

Pas besoin d’être là pour être au centre des conversations. La « crise inédite qui est toujours d’actualité », comme l’a décrite d’entrée de jeu le maire de Caen (Calvados), Joël Bruneau, en début de conseil municipal, lundi 28 janvier 2019, a animé les débats pendant une bonne heure. « Cette crise exprime des sujets bien réels, avec un sentiment de déclassement de nos compatriotes qui rencontrent des difficultés importantes, sur le pouvoir d’achat, mais pas seulement », a concédé l’édile qui voit dans les manifestations une « montée des incompréhensions entre les citoyens et les élus. »

Un désir de distinction

Tous ont tenu à distinguer ceux qui manifestent de ceux qui sèment le trouble. Les échanges se sont également portés sur la tenue de quatre réunions à Caen en février dans le cadre du grand débat national lancé par le président de la République. Conseiller municipal du parti communiste, Lilian Bellet, a questionné le maire sur la raison pour laquelle il a tenu à conserver les quatre thèmes proposés par Emmanuel Macron, sans en proposer ou en remplacer un :

Parmi les thèmes proposés, n’apparaît pas la la revendication principale des mouvements sociaux : le pouvoir d’achat.

Il a également regretté que les quatre réunions soient organisées au même endroit et non pas dans plusieurs lieux de la ville. Joël Bruneau a alors expliqué que ces questions pourraient être abordées lors de la soirée consacrée à « la fiscalité et aux dépenses publiques », le vendredi 1er mars à 19h.

Aide aux commerçants

Les débats se sont ensuite orientés vers l’impact économique de ces manifestations à répétition sur le commerce en centre-ville. « Pour soutenir les acteurs qui souffrent, les collectivités doivent se mobiliser » a ainsi lancé Philippe Duron (Parti socialiste). Il a été confirmé que dans l’après-midi, le Conseil régional de Normandie a voté un dispositif pour soutenir les commerçants de Caen, mais aussi de Rouen et du Havre qui sont impactés par le contexte actuel. La collectivité doit offrir des « co-garanties » pour permettre aux professionnels concernés qui solliciteraient des prêts d’avoir un meilleur dossier. Des prêts avantageux de 10 000 à 15 000 euros peuvent également être sollicités. Adjointe au commerce, Véronique Debelle a également évoqué un « dispositif d’aide lancé par le Crédit Agricole pour ses clients et non clients, en partenariat avec l’association Coeur de Caen Commerces. » 

Le dossier des gilets jaunes s’est refermé avec l’intervention de Dominique Maugeais, président de l’association Choisir la médiation en Normandie, qui encadrera les quatre débats organisés au Mémorial les 4 et 25 février et les 1er et 11 mars.

LIRE AUSSI : Grand débat national, les dates des 4 rencontres arrêtées à Caen pour chacun des 4 grands thèmes

XV de France. N°9, centre, arrière : que feriez-vous à la place de Jacques Brunel face au pays de Galles ?

$
0
0
Morgan Parra va-t-il faire son grand retour en tant que titulaire en n°9 en équipe de France ?

Morgan Parra va-t-il faire son grand retour en tant que titulaire en n°9 en équipe de France ? (©Icon Sport)

La première composition du XV de France face au pays de Galles pour l’ouverture du XV de France, il nous tarde sérieusement de la découvrir. Il faudra toutefois patienter jusqu’à mercredi 30 janvier (10h) afin de la découvrir. Jacques Brunel va-t-il innover ? Ou rester dans une certaine continuité après les derniers tests de la tournée de novembre ? Actu Rugby zoome sur trois postes où le choix est cornélien.

LIRE AUSSI6 nations 2019. Notre compo du XV de France pour le premier match face au pays de Galles

Qui à la mêlée ?

Le contexte. Jacques Brunel l’avait fait comprendre en octobre dernier : il souhaite donner les clés du camion à Morgan Parra. Sauf que le Clermontois a manqué les tests de novembre en raison d’une blessure à un poignet. Pendant ce temps, ce sont Baptiste Serin et Antoine Dupont qui ont joué. 

Les choix possibles. Il y en a trois. Parra, Dupont et Serin. Les deux derniers sont en très grande forme au sein de leur club respectif. 

L’avis d’Actu Rugby. On mise sur une titularisation de Morgan Parra. Car Camille Lopez, son coéquipier de club, devrait débuter en n°10. On aurait donc une charnière 100% clermontoise. Par contre, grosse déception en vue pour celui qui restera en tribunes entre Dupont et Serin.

Bastareaud ou Ntamack en 12 ?

Le contexte. Romain Ntamack a été champion du monde avec l’équipe de France U20 l’été dernier. Après Demba Bamba, c’est le deuxième à franchir le pas et à être appelés au sein du XV de France. Son début de saison est tonitruant et clairement, c’est l’un des joueurs les plus talentueux du rugby français. Sera-t-il lancé dans le grand bain contre le pays de Galles ? Pris pour jouer au centre, il doit faire face à une rude concurrence, notamment celle de Mathieu Bastareaud.

LIRE AUSSI« Super ! Tu pousses 140 kg au développé couché ! Mais ça te sert à quoi, au juste ? »

Les choix possibles. Le XV de France ne manque pas de centre. Romain Ntamack donc, mais aussi Mathieu Bastareaud, Wesley Fofana, Gaël Fickou et Geoffrey Doumayrou. 

L’avis d’Actu Rugby. Dans la tête de Jacques Brunel, Mathieu Bastareaud apparaît comme indispensable. Et il souhaitait construire sa ligne de trois-quarts autour du Toulonnais. Va-t-il changer d’avis ? Cela serait une totalement révolution à moins de huit mois de la Coupe du monde. En 13, cela devrait se jouer entre Doumayrou et Fickou.

Les débuts de Ramos en 15 ?

Le contexte. Le poste d’arrière fait partie de ceux qui n’ont pas encore un titulaire indiscutable. Brunel a tenté Palis, Fall voire Bonneval. En vain. Reste Maxime Médard. Le Toulousain a été séduisant lors du premier match de la tournée de novembre contre l’Afrique du Sud avant de se blesser. Bref, on n’est guère avancé à ce niveau. 

Les choix possibles. Il n’y en a que deux. Deux Toulousains : Maxime Médard et le nouveau appelé Thomas Ramos.

L’avis d’Actu Rugby. Ramos peut buter, certes, mais cette responsabilité devrait revenir au duo Lopez – Parra. On mise donc sur une présence de Maxime Médard, dont l’expérience sera utile sous les chandelles galloises. 

Et vous, quels choix feriez-vous à ces trois postes ? Laissez votre commentaire sur notre page Facebook

Rugby - Fédérale 3. "On a plus perdu le match que Gujan ne l'a gagné", estime l'entraîneur de Bazas

$
0
0
Laurent Lacrotte est amer de la défaite à Gujan-Mestras.

Laurent Lacrotte est amer de la défaite à Gujan-Mestras. (©Ohvalie – Christophe Georgeval)

Avec cette contre-performance, l’US Bazas cède la place de leader à Blaye, qui s’est imposé avec le bonus offensif à Royan. De leur côté, les Gujanais font une bonne opération, en se rapprochent du haut du tableau en laissant leur premier poursuivant (Lalinde, 8e) à 8 points.

Le facteur X

Pour Jean-Marc Lanne-Petit, le coach de Gujan, le vent a joué un rôle important pendant le match opposant son équipe à Bazas : « Un match dans des conditions dantesques, avec un vent énorme en bord de mer. On ne pouvait pas trouver une touche à 15 mètres. Le vent était vraiment un acteur du match ! » 

Les réactions d’après-match

Laurent Lacrotte, entraîneur de Bazas : « C’est une déception car on a plus perdu le match qu’ils ne l’ont gagné. On a mis ce qu’il fallait mais on n’a pas fait les bons choix tactiques. On est mené 7-3 face au vent en première mi-temps. En deuxième, on passe 25 à 30 minutes sur leurs 22 mètres et on ne prend que trois points. Après, ils ont remis la main sur le ballon pour les dix dernières minutes. »

Jean-Marc Lanne-Petit, entraîneur de Gujan : « Chaque équipe a eu sa mi-temps. On domine clairement en première mi-temps où on doit mettre trois voire quatre essais de plus mais on manque de réalisme. Il aurait fallu avoir le bonus à la mi-temps. Pendant le deuxième partie, on était face au vent, on n’arrivait pas à sortir de notre camp. Mais on a bien tenu. Les gars y ont mis beaucoup de cœur comme à chaque fois et ils ont été récompensés. »


L'Or Blanc se développe en Seine-et-Marne. « L'allaitement ne doit pas être perçu comme un attentat à la pudeur » 

$
0
0
ezfdz

Illustration – L’association L’Or Blanc veut se développer en Seine-et-Marne ©Pixabay (©Pixabay)

Comme souvent aujourd’hui, c’est sur les réseaux sociaux que débute l’histoire. À l’origine de L’Or Blanc, un groupe Facebook réunissant plus de cinq mille personnes, majoritairement des femmes soucieuses d’échanger sur l’allaitement. L’association repose aujourd’hui sur un réseau de vingt marraines dont une qui vient souhaite développer son réseau en Seine-et-Marne. 

Besoin d’information

« Les professionnels de santé sont très peu formés sur l’allaitement. Beaucoup d’entre eux ne savent même pas comment ça se passe », affirme Anne Debargue, référente de l’association en Seine-et-Marne. Pour cette enseignante et mère de famille, l’allaitement est une conception de l’éducation, un moyen de nourrir son bébé mais aussi de le rassurer.

« Il est important de faire la différence avec le biberon, que l’on donne toutes les trois heures. L’allaitement se fait à la demande : on ne compte pas le nombre de tétées dans la journée, ni leur durée. Si le bébé veut téter toutes les cinq minutes, il en a le droit », souligne-t-elle.

Douleurs, mauvaises positions, nombre important de tétées… Bien qu’il soit naturel, l’allaitement n’est pas une évidence. « Souvent les mères arrêtent d’allaiter car elles n’ont pas été guidées », explique Anne Debargue, qui pointe du doigt le manque d’information. « Arrêter d’allaiter parce qu’on a mal ou que le bébé ne prend pas de poids peut être vécu comme un véritable échec, alors qu’il ne s’agit parfois que d’un problème de position ou d’un frein de langue trop court ».

Militantisme

Pour devenir marraine, pas besoin d’être issue du milieu médical. « Il faut remplir un questionnaire, puis une visioconférence est organisée. Il y a bien évidemment un suivi et des vérifications, car la sécurité des bébés est mise en jeu », rassure la référente. Critiques, regards désapprobateurs et hostilité. Pour de nombreuses femmes, l’allaitement peut être un véritable « parcours du combattant ».

Au-delà du soutien, l’association promeut l’allaitement et milite pour plus de reconnaissance de celui-ci. « Depuis les années 1970, c’est très mal vu d’allaiter en public, alors que c’est complètement naturel. Nous sommes en 2019, l’allaitement ne devrait pas être perçu comme un attentat à la pudeur ».

 Avec le soutien de la mairie de Dammarie-lès-Lys, l’association prévoit d’organiser des réunions publiques ouvertes à tous, mères comme professionnels. La première devrait se tenir en février ou en mars prochain.

L.G

Renseignements – Facebook : L’Or Blanc : Réseau de Soutien à l’Allaitement Maternel ou par mail : lorblanc.referenteanne77@gmail.com

Près de Caen, la crèche Au bord de l'eau de Léa et Léo obtient le label « Ecolo crèche »

$
0
0
Dans la crèche au bord de l'eau, plus d'assiettes ou de verres en plastique. Et pas seulement.

Dans la crèche au bord de l’eau, plus d’assiettes ou de verres en plastique. Et pas seulement. (©DR)

Pas besoin d’avancer bien loin dans les locaux de la crèche « Au bord de l’eau » du groupe Léa & Léo à Hérouville Saint-Clair, près de Caen (Calvados), pour apprécier les efforts consentis en direction de la protection de l’environnement. Pour accéder à l’espace réservé aux enfants et aux personnels, il faut s’équiper de sur-chaussures en tissu, plutôt qu’en plastique. Un détail, mais aussi un véritable choix. Depuis fin 2016, la direction s’est mobilisée pour se voir décerner fin 2018, le label Ecolo Crèche pour cette adresse dirigée par cette société qui en compte 36 en France.

Pour l’entretien, fini le 100 % chimique

Ce label est distribué par une association fondée en 2013 et qui vise à soutenir des démarches pionnières favorisant le développement durable dans le monde de la petite enfance.

Pour pouvoir y prétendre, la direction générale de Léa & Léo, dont le siège est basé à Hérouville Saint-Clair également, a fait le choix d’envoyer des membres de son personnel en formation, en région parisienne. « Il existe plusieurs sessions qui concernent aussi bien la sensibilisation à l’écologie et aux critères à respecter pour obtenir le label, que les produits d’entretien qui ne polluent pas, l’alimentation ou encore la gestion des déchets par exemple », expose Anne-Marie Debelle, directrice des opérations au sein des crèches Léa & Léo. Un audit, pour permettre aux gestionnaires de mieux connaître leurs pratiques, a également été lancé en 2016, avant que les premières transformations ne soient opérées au printemps 2017.

LIRE AUSSI : Grand débat national, les dates des 4 rencontres arrêtées à Caen pour chacun des 4 grands thèmes

Les assiettes en plastique ont disapru

Dans cette crèche située à la jonction de la zone d’activité Citis et du quartier de Lébisey, les produits désormais employés en interne pour nettoyer les locaux, sont fabriqués sur place, à base d’ingrédients naturels. « Fini le 100 % chimique, se félicite Etienne Soares, le directeur de la crèche. Nous y avons également ajouté les appareils nécessaires pour nettoyer à base de vapeur d’eau ». Côté alimentation, la direction a également renforcé l’achat de produits issus de l’agriculture biologique et/ou de circuits courts. Une réflexion a aussi été menée sur le contenu des repas, avec l’apparition de plats végétariens une à deux fois par semaine, là aussi plus éco-responsables. Les assiettes en inox et les verres en Pyrex ont également remplacé les contenants en plastique.

Échanges avec les familles

L’extension récente de la crèche, livrée l’an passé, a également permis de repenser la distribution de l’eau dans le bâtiment, l’isolation et le système de chauffage alimenté par une pompe à chaleur. « Avoir une réflexion respectueuse du développement durable, c’est aussi travailler sur des détails qui ne se voient pas forcément de tout le monde et notamment des parents  », explique Etienne Soares. Il donne un exemple :

Nous utilisons jusqu’à épuisement nos jeux en plastique qui sont remplacés automatiquement par des jeux en bois.

Un appel auprès des familles a également été lancé pour ramener des objets obsolètes de puériculture à la crèche, pour qu’ils puissent y être réutilisés comme des jouets. Les établissements reconnus « Ecolo Crèche » sont attendus au tournant puisque la labellisation est à renouveler tous les trois ans. Selon l’association Ecolo Crèche, cinq autres établissement disposent du label dans l’agglomération de Caen.

Vidéos. Neufchâtel-en-Bray. Rimka Tidre, le hip hop comme un pont entre le pays de Bray et la Mauritanie

$
0
0
En 2019, Rimka Tidre devrait sortir un format court de 4 titres. Il lance aussi une campagne de crowdfunding sur le site Ulule.

En 2019, Rimka Tidre devrait sortir un format court de 4 titres. Il lance aussi une campagne de crowdfunding sur le site Ulule.

La voix est calme, douce, presque apaisante. Mais ne nous y trompons pas. Rimka Tidre est un chanteur de hip-hop avant tout. Tiraillé entre le pays de Bray de son enfance et la Mauritanie de son cœur, l’artiste vient de sortir un single intitulé Si tu rêves.

A 37 ans, Rimka (ou Karim) a quelques certitudes. Il sait qu’il ne vivra peut être jamais de sa musique. Trop estampillé « underground », trop loin des standards, sans doute. Mais qu’importe. Rêver c’est un peu le résumé de sa vie.

Né à Rouen, d’une mère neufchâteloise (son grand-père était entrepreneur de maçonnerie) et d’un père mauritanien, Karim (Rimka Tidre) se retrouve très jeune en Mauritanie. Puis vers l’âge de 15 ans, il revient à Rouen et étudie au lycée Corneille. Le choc des cultures va le rattraper. En 1998-99, il revient sur ses racines neufchâteloises. C’est au lycée Brassens à Neufchâtel-en-Bray, qu’il rencontre le Saint-Salvien, Frédéric. Celui-ci est aujourd’hui encore son premier fan et son plus fidèle ami brayon. Ensemble, ils monteront même un festival de musique à Saint-Saire dans les années 2000. Pas vraiment un succès mais de sacrés souvenirs pour les deux copains.

Salut , après une interpellation ( dénoncés par un drone militaire au dessus de nkc), un interrogatoire, le sauvetage…

Publiée par Rimka Tidré sur Dimanche 30 décembre 2018

« Bousculer les mentalités »

« Au lycée, j’étais un perturbateur. Je ne faisais pas encore de musique. J’écrivais des poèmes et je dessinais. Et lorsque j’étais puni, je mettais un point d’honneur à rendre une copie propre et incisive. Je me souviens d’un professeur de français que j’aimais bien ».

Karim aimait déjà « bousculer les mentalités ».

Bien sûr en pays de Bray, le regard des autres n’était pas toujours tendre. Mais pour Karim, cette injustice ne s’est pas transformé en haine. Au contraire, il reste aujourd’hui attaché à cette terre maternelle. « Ma sensibilité contre l’injustice, je la tiens de mon métissage ».

« J’ai redécouvert mon pays »

Mais c’est en Mauritanie que son ADN musical va éclore entre rap, reggae et hip hop. Après le lycée, il repart vivre là-bas.

« J’ai redécouvert mon pays. J’ai commencé par quelques textes de rap. Mais ce n’était pas mon truc. Puis avec des amis d’enfance, on a lancé un collectif nommé Intelligencia. C’était le premier collectif hip-hop mauritanien ».

En 2002, cet autodidacte revient en France pour apprendre « une vraie pratique musicale ».

« J’ai intégré plusieurs groupes et des collectifs » se souvient-il. Mais sa musique underground l’éloigne forcément de la voie royale. Son premier album en 2007, ne reçoit pas l’accueil espéré malgré un titre qui va tout de même lui rapporter un beau succès d’estime intitulé « A nous la victoire ».

Notre vidéo tournée à Saint-Saire en janvier 2019

« Sur scène, je joue pour les gens »

Mais Rimka Tidre veut avant tout rester fidèle à ce qu’il est et ce qu’il pense. Fidèle à sa soif de justice sociale et sa haine des discriminations, il écrit et monte sur toutes les scènes qui s’ouvrent à lui.

« Mon approche musicale sur scène est sans complexe. Je joue pour les gens ».

Peu à peu, il s’éloigne de la musique : « J’ai construit une famille » explique-t-il pudiquement. Rimka enchaîne les boulots mais garde dans un coin de sa tête son goût de la scène.

Son single sorti le 30 décembre 2018, intitulé Si tu rêves est à la fois sombre et plein d’espoir. Et le clip qui l’accompagne a bien sûr été tourné en Mauritanie dans des conditions rocambolesques.

« En tournant le clip, un drone nous a repéré. Deux militaires nous ont interpellé. Il ont cru que nos caméras et trépieds étaient des mitraillettes. Nous avons été interrogés et ils ont voulu effacer nos images. Mais nous avions une sauvegarde ».

C’est pourquoi il ne faut pas rater les premiers images du clip.

Le nouveau clip de Rimka Tidre tournée en Mauritanie intitulé Si tu rêves

Désormais, installé à Paris, il travaille avec des musiciens qui sont des références en matière de reggae. « Ils ont travaillé avec Jimmy Cliff et Alfa Blondy » énumère Rimka.

« Je ne vis pas encore de ma passion. Mais je ne doute pas de moi ,» lance-t-il comme un hymne et avec le sourire.

Une confiance qu’il puise sans doute dans ses nombreux voyages en Afrique et en Asie.

« Le monde est large. Il faut voyager », conseille-t-il.

Il aimerait bien faire changer les mentalités de ceux qui le regardent encore comme un étranger ici en pays de Bray et même là-bas en Mauritanie où on l’appelle parfois « le blanc ». Sans doute parce qu’il est Français et que ses racines brayonnes ne sont jamais très loin.

« La chanson Si tu rêves, c’est mon histoire. Elle me raconte, moi et mes difficultés d’intégration dans ce monde ». Parce que Rimka ne peut pas fermer les yeux ni la bouche, alors il chante…

Toulouse. Pour fêter ses cinq ans, le Métronum propose une programmation spéciale de concerts

$
0
0
Le Métronum, la salle de concert dédiée aux musiques actuelles à Toulouse fête ses cinq ans  en musique

Le Métronum, la salle de concert dédiée aux musiques actuelles à Toulouse fête ses cinq ans en musique (©Tomoko Suwa Krull)

Quel est le point commun entre Bigflo et Oli, Christine and the Queens, Eddy de Pretto, Juliette Armanet et Fianso ? Tous ces artistes sont passés sur la scène du Métronum, à Toulouse, pendant ces cinq dernières années.

Et pour fêter son anniversaire la salle spécialisée dans les musiques actuelles et située dans le quartier Borderouge, organise du 30 janvier au 3 février 2019, cinq jours de concerts.

Avec des artistes de Toulouse mais pas seulement !

Mercredi 30 janvier 2019, la grande salle accueillera Paranoïd, Denfima, Critical quartet experience et JP Bimeni and the Black belts pour un concert gratuit (sur réservation) à découvrir à partir de 19h15.

Alone with everybody, Léonie Pernet , Nov3l et Namdose seront sur la scène du Métronum le jeudi 31 janvier, de 19 heures à 23h30 (tarif: 10/14 euros).

Spectacle pour les minots et portes ouvertes

Le lendemain vendredi 1er février, Mucho Bizarre, les Toulousains de princess Thailand, Cannibale et les Américains de Shabazz palaces proposeront une dense soirée musicale qui débutera à 19h (tarifs: 10/14 euros).

Le DJ set du samedi 2 février 2019 sera assuré par Mes disquaires sont des chics types. Brendan Perry, le fondateur des mythiques Dead can dance sera ensuite sur scène, puis Mickael Wookey et l’orchestre des jouets, Edredon sensible et Inüit (tarifs : 10/14 euros).

Dimanche 3 février 2019, le Métronum ouvrira ses portes au public dès 11 heures pour faire découvrir son histoire et son fonctionnement, mais aussi ses deux salles de concerts, les loges, les locaux de répétition… L’après-midi, ce sera concert pour les plus jeunes, avec Wackids, à 16 heures (gratuit, dans la limite des places disponibles).

Le Métronum, cinq ans d’existence en chiffres:
-176 390 spectateurs
-460 concerts et 31 spectacles jeune public
-1 072 artistes ou groupes programmés dont 389 de Toulouse et d’Occitanie
-106 résidences d’artistes, dont Bigflo et Oli, Zebda, Art Mengo ou Dick Annegarn

Val-d'Oise. Sa voiture volée en Seine-et-Marne, il reçoit des Pv pour stationnement illégal à Argenteuil

$
0
0
La voiture volée en Seine-et-Marne avait été verbalisée à deux reprises à Argenteuil (Val-d'Oise).

La voiture volée en Seine-et-Marne avait été verbalisée à deux reprises à Argenteuil (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

C’est toujours une mauvaise surprise que de recevoir un Pv dans sa boîte aux lettres, sauf lorsque celui-ci vous permet de retrouver votre véhicule volé. C’est ce qui est arrivé à un habitant de Mitry-Mory (Seine-et-Marne) en fin de semaine dernière. 

Le 8 décembre, le jeune homme de 22 ans s’était fait dérober sa Peugeot 308 Gt Line en Seine-et-Marne. Depuis, aucune trace de sa voiture jusqu’à il y a quelques jours et la réception de deux Pv de stationnement.

Le véhicule verbalisé à deux reprises

Le véhicule a été verbalisé à deux reprises allée Paul-Eluard, à Argenteuil (Val-d’Oise). Le propriétaire alerte aussitôt la police qui envoie une patrouille sur place, samedi 26 janvier.

Une surveillance discrète de la Peugeot est mise en place vers midi. Après plus de cinq heures d’attente, les policiers aperçoivent un individu qui monte à bord et démarre. L’automobiliste est immédiatement interpellé par les fonctionnaires.

Âgé de 23 ans et domicilié à Argenteuil, il a été placé en garde à vue pour recel de vol.

Viewing all 26281 articles
Browse latest View live