Au quatrième trimestre 2018 dans la Manche, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de rechercher un emploi et sans activité (catégorie A) s’établit, en moyenne sur le trimestre, à 18 510.
Un chiffre en baisse de 2,3 % sur un trimestre (soit – 440 personnes) et de 4 % sur un an.
La baisse est toutefois plus légère sur un an (2,7 %), si l’on prend en compte les demandeurs exerçant une activité réduite courte ou longue (catégories B ou C).
Et cette baisse sur un an est vraie pour toutes les catégories : les moins de 25 ans (- 3,5 %), les 25-49 ans (- 5,1 %) et les 50 ans ou plus (- 2,2 %).
Selon les données publiées ce vendredi par Pôle emploi et le ministère du Travail, le nombre de demandeurs d’emploi en France (y compris les départements-territoires d’outre-mer, hors Mayotte) de catégorie A, B et C s’établit à 5,915 millions au quatrième trimestre 2018.
Soit une baisse de 0,8 % sur un trimestre (47 800 personnes), et de 0,2 % sur un an.
Peu avant 19 heures, les pompiers sont arrivés dans l’entreprise où le sinistre avait eu lieu. Sur place, les salariés avaient déjà fait le nécessaire pour éteindre ce début d’incendie.
Feu de cheminée
A 19h30, des officiers étaient toujours présents dans l’imprimerie pour s’assurer que le feu était bien éteint tandis qu’un camion d’intervention se tenait au niveau du portail prêt à intervenir au cas où.
« Il s’agissait d’un feu de cheminée qui a été éteint par nos soins », ont affirmé des salariés du site industriel.
La Corne d’Or a une nouvelle directrice et un projet d’agrandissement
Pour la première fois, l’association « la Corne d’Or » qui gère la résidence de la Beaugeardière basée à Randonnai, présidée par Jean-Marie Goussin, a organisé jeudi 17 janvier 2019, une cérémonie des vœux, en présence de Lisiane Uhring, nouvelle directrice de l’établissement.
La résidence de la Beaugeardière, c’est un foyer de vie, avec 33 résidents, un accueil de jour pour 20 personnes et un espace culturel, l’espace des arts et techniques qui créé une autre façon de travailler pour les résidents à travers expositions, ateliers, résidences d’artistes. « Nous avons de nombreux projets associatifs et culturels. Quelques travaux seront aussi menés et 200 m2 supplémentaires sont prévus à la résidence fin 2019 ou début 2020 pour un meilleur environnement des résidents et des meilleures conditions de travail pour le personnel » a expliqué Jean-Marie Goussin.
Culture et handicap
Lisiane Uhring, directrice de l’établissement est ensuite intervenue. « Ici, la culture produit du bien-être sur les personnes handicapées et fait vivre le territoire et nos trois établissements sont liés […] En 2019, nous avons choisi de valoriser cet univers de la culture en redéfinissant le projet de l’EAT, pour qu’il devienne un pôle de compétence, une autre façon de proposer l’inclusion des personnes en situation de handicap sur leur territoire de vie. De même, à l’expérience des problèmes d’ordre psychiatrique au sein de la résidence de la Beaugeardière, nous avons décidé d’embaucher directement un psychiatre pour qu’il aide les personnes souffrantes handicapées ou accompagnatrices à mieux comprendre pour proposer des réponses adaptées ».
Vendredi 25 janvier, vers 10h30, un homme âgé de 26 ans a été transporté en urgence absolue après une chute survenue avenue du Bosquet, à Baillet-en-France (Val-d’Oise).
La victime est tombée alors qu’il sortait du camion qu’il conduisait.
Aujourd’hui, très certainement entre 17 heures et 18 heures, une vieille dame âgée de 89 ans a été agressée à son domicile de Feugarolles, commune située à une vingtaine de kilomètres d’Agen et de Nérac (Lot-et-Garonne).
Blessée à la tête
L’octogénaire a été la cible de coups de la part d’un individu. Rapidement alertés, les pompiers se sont rendus au domicile de l’octogénaire situé à la sortie du village pour lui prodiguer les premiers soins.
Touchée à la tête et extrêmement choquée, la vieille dame a été transportée au centre hospitalier d’Agen.
Une enquête ouverte
Les gendarmes de la communauté des brigades de Nérac se sont rendus sur les lieux afin de mener les constatations d’usage en pareille circonstance.
Le domicile de la victime a été passée au peigne fin afin de trouver le moindre indice dans une enquête qui débute à peine afin de mettre la main sur le ou les agresseurs.
Alerté, le maire de la commune Jean-François Garrabos s’est rendu sur les lieux.
Comme le rapporte France Bleu Gascogne, qui fait écho aux informations du procureur de la République de Mont-de-Marsan, le corps de la femme de 30 ans a été découvert dans un sac de couchage sur un chemin forestier. Il se trouvait non loin de la Base Aérienne 118.
L’enquête s’est accéléré cette semaine lorsque le compagnon de Laura Fay a été arrêté chez sa mère, cette semaine, pour être conduit à Mont-de-Marsan.
Il a été entendu dans le cadre dans le cadre d’une information judiciaire ouverte le 13 septembre pour enlèvement et séquestration, après avoir été interrogé comme simple témoin peu après la disparition.
Finalement, l’homme est passé aux aveux, dans la nuit de jeudi à vendredi et a indiqué la localisation du corps aux gendarmes, dont dix travaillaient à temps plein sur cette enquête.
Elle se rendait à un festival
Pour rappel, Laura Fay avait disparu durant le mois d’août alors qu’elle se rendait, avec son compagnon, au festival Musicalarue de Luxey.
La dernière fois que l’Ardéchoise avait été vue, elle se trouvait à l’Intermarché de Labrit, le 6 août.
Lors de l’acte I du mouvement des Gilets jaunes, en novembre dernier, Jean-Marie Renard, maire d’Huberville (Manche), était parmi eux, à Valognes.
C’est mon fils qui m’a dit : Viens avec nous, c’est pour le gasoil. Et je me suis senti concerné. À la base, j’y suis allé pour ça, un peu comme tout le monde… »
Pas de récupération !
Il s’est ainsi fondu dans les rassemblements plusieurs jours, jusqu’à ce que l’arrivée d’un huissier au giratoire devant le centre Leclerc valognais ne douche un peu les ardeurs.
Je ne veux pas porter de jugement, mais je pense que d’autres élus auraient pu davantage se rendre sur les ronds-points pour discuter avec les gens. Cela me paraissait important pour comprendre. Mais attention, hors de toute récupération ! »
Le mardi 20 novembre, un élu local encarté Rassemblement national l’a appris à ses dépens. Il est arrivé ceint de son écharpe tricolore. Une présence d’autant plus culottée que l’édile en question brille depuis des mois par son absence au conseil municipal de Valognes.
Je lui ai dit : ici, on est tous identiques, pas question de venir avec son étiquette ! Et il est reparti mécontent… »
Il est comme ça le maire d’Huberville, franc du collier, un brin impulsif, et sans doute un peu hors système.
Son tracteur pour barrer un rond-point
Si, à tort ou à raison, ses détracteurs le considèrent comme un râleur de première, un empêcheur de tourner en rond, il y a au moins une chose qu’on ne peut pas lui retirer, c’est son engagement plein et entier pour son village de 380 âmes.
Au point de mettre la main à la poche.
En 2018, j’ai dû dépenser personnellement 2 400 € (NDLR : il perçoit comme maire 569 € par mois). Mon propre tracteur sert d’ailleurs un peu à tout ! Pour la corvée communale par exemple, qu’on organise un jour par an.
Mais aussi accessoirement pour aider les Gilets jaunes à barrer un rond-point.
Évidemment, Jean-Marie Renard a été parmi les premiers maires du coin à mettre à disposition des habitants un cahier de doléances. Même si celui-ci est assez peu noirci pour l’instant, il faut le reconnaître.
Les gens pensent que ça ne va pas servir à grand-chose, mais je les incite à le faire. Je l’ai dit à la galette des Rois ! »
D’une meilleure répartition des richesses à la revalorisation des retraites en passant par la baisse du prix du gasoil, des revendications désormais classiques sont consignées dans le cahier. Monsieur le Maire y souscrit. Il préconise ainsi le gasoil à 1,20 € le litre.
Mais il fait aussi une autre proposition susceptible de faire grincer des dents, et il le sait :
Si on veut rester crédibles, il faut montrer l’exemple… Que tous les élus de France laissent 10 % de leurs annuités. Cet argent pourrait être mis dans la caisse des CCAS, qui intégreraient quelques représentants des Gilets jaunes afin qu’ils aient leur mot à dire et de leur permettre de voir comment ça se passe. Vu la situation, il faut redonner aux gens la confiance dans les politiques. Je ne suis là ni pour l’argent, ni pour le pouvoir, mais parce que je crois à certaines choses… »
Il n’organisera toutefois pas de débat dans sa commune, mais pense se rallier à ce qui se met en place avec Hubert Lefèvre, le président des maires ruraux de la Manche.
Pour les besoins de son film sur la vie de Céline Dion, l’actrice-réalisatrice Valérie Lemercier cherche 800 figurants. Le tournage aura lieu durant les mois de mars et avril 2019.
Avec près de 19 500 personnes atteintes, 74 likes, 60 partages et 368 commentaires, LE carton de la semaine est cet article réalisé par nos confrères d’actu.fr.
Samedi 26 janvier 2019, la discothèque l’Apocalypse vous donne rendez-vous à Hambye (Manche) pour une soirée exceptionnelle en présence du groupe Tragédie.
Avec près de 18 000 personnes atteintes, ce sujet a longtemps été en tête de ce top 5. Le bilan : 49 likes, 47 partages et 107 commentaires.
Plus que quelques jours avant l’ouverture des inscriptions. Si vous voulez participer à la 4e édition en juin 2019, rendez-vous sur internet à partir du dimanche 27 janvier 2019.
Posté sur notre page Facebook, jeudi 24 janvier 2019, ce sujet a réalisé un très bon score avec près de 12 500 personnes atteintes. Le bilan : 49 likes, 101 partages et 83 commentaires.
Mercredi 23 janvier 2019, l’émission Enquêtes de région, diffusée sur France 3 Normandie, s’intéresse au milieu de la nuit. Et notamment à la discothèque La Campagnette, près de Lessay (Manche).
Posté sur notre page Facebook, mardi 22 janvier 2019, cet article dépasse les 12 000 personnes atteintes. Le bilan : 89 likes, 131 partages et 44 commentaires.
Plusieurs applications pour smartphones ont vu le jour dans la Manche. Leurs thématiques ? Le tourisme, la vie quotidienne, les transports, les sorties et même le shiatsu.
Plus de 8 000 personnes ont été atteintes par ce sujet, qui a recueilli 3 likes, 16 partages et 9 commentaires.
La vidéo de la semaine
Avec près de 8 000 vues, la vidéo de la marche des Gilets jaunes organisée, samedi 19 janvier 2019, à Saint-Lô (Manche) a bien marché. Le bilan : plus de 14 000 personnes atteintes, 68 likes, 85 partages et 9 commentaires.
Le sujet qui a cartonné le week-end dernier
Le sujet intitulé « Manche : le maraîcher bio Antoine Desvages remporte le premier prix des Trophées de l’installation » a cartonné. Il a 30 ans, cultive des légumes bio à Quibou, près de Saint-Lô (Manche), et a remporté le premier prix des Trophées de l’installation, pour une agriculture innovante et durable. Le bilan : plus de 15 000 personnes atteintes, 289 likes, 253 partages et 18 commentaires.
Après avoir organisé pendant 24 ans son marché aux livres et multi-collections, le comité de soutien de l’école Diwan de Lannion propose son premier marché aux vinyles, BD et livres, dimanche 27 janvier à la salle des Ursulines.
45 exposants environ sur 240 mètres linéaires de stands sont annoncés. Ils proposeront aussi des CD, journaux, revues, cartes postales, timbres et quelques autres collections.
Un tiers de nouveaux exposants
Certains fidèles exposants de collections seront toujours au rendez-vous, 30% des exposants seront présents pour la première fois et 40% des stands proposeront des vinyles.
A noter : c’est un jeune artiste local qui a signé le dessin sur l’affiche gracieusement pour l’école.
Buvette et petite restauration bio sur place toute la journée.
Salle des Ursulines à Lannion, de 9h à 18h, entrée gratuite.
Le premier coup de pioche de construction du collège Le Goffic à Lannion a été donné à la mi-septembre, pour le terrassement. Cette photo panoramique, prise depuis l’autre côté du boulevard d’Armor, donne une idée de l’ampleur des travaux, résume Maxime Morfouasse.
À Ker-Uhel, quartier de Lannion, les grues sont en action depuis septembre et la construction du futur collège Le Goffic avance à grands pas. Visite explicative avec Maxime Morfouasse, responsable travaux des 47 collèges du Département, maître d’œuvre du chantier.
Lancé à Lannion en mai 2017, le mouvement Incroyables Comestibles promeut une alimentation saine et transmet ses savoirs au grand public. Sa démarche se veut participative citoyenne et a, depuis un an et demi, touché plus de 250 personnes.
Un espace pleine terre de 150 m² situé à l’entrée de l’objèterie de Buhulien est maintenant attribué à Incroyables Comestibles. La valorisation mais aussi la réduction des déchets végétaux et naturels sont au coeur de ce projet mais aussi l’objectif de l’objèterie pour 2019.
Afin de mener à bien ce projet, l’association s’est associée à l’Ecocentre de Pleumeur-Bodou et à l’association Créagir-Permaculture de Trébeurden.
Un espace ouvert à qui veut jardiner
Durant six mois, l’espace sera ouvert à qui veut jardiner, à qui souhaite s’investir et cueillir des légumes, explique Claire Vergain :
L’esprit est que chaque citoyen qui passe puisse intervenir dans l’esprit du lieu. Chacun pourra se servir ensuite dans l’esprit du partage, et même ceux qui n’auront pas travaillé à l’espace. Notre but est d’inciter les gens à refaire des jardins et se fournir auprès de producteurs locaux.
« Les déchets sont des richesses potentielles »
Des ateliers mêlant théorie et pratique sont proposés au public. À partir d’éléments de récupération de l’objèterie, un espace de convivialité va être créé. « Il permettra de faire valoir que tout un chacun peut aménager quelque chose et l’intégrer dans son jardin. Ce projet vise aussi à apprendre aux gens que les déchets sont des richesses potentielles et qu’il est capital de ne pas continuer à produire. Nous souhaitons donner la possibilité au public d’avoir une vision sur l’avenir », conclut Manu Marquis, président de l’Ecocentre.
A noter : Incroyables Comestibles sera présent à L’hiver en fête à Lannion, les 26 et 27 janvier, et proposera notamment un troc de graines et deux conférences.
Les prochains ateliers
Ouverts au grand public, des ateliers se dérouleront de 14 h à 17 h, sur inscription au 02 96 13 34 22, participation : 5 €. 16 février : Miniserre et châssis. Fabrication avec du matériel de récupération. 16 mars : Multi-utilisation du compost. Création de planches de cultures annuelles et perpétuelles. 13 avril : Gestion de l’eau de pluie. Fabrication d’un récupérateur. 11 mai : La gestion de l’eau à tous les niveaux : approvisionnement, utilisation à bon escient, retraitement. Installation d’une cuve à eau de récupération. 8 juin : Fabrication d’une tour à fraise autour du récupérateur d’eau de pluie.
Le Caen Basket Calvados avait rendez-vous à Rouen, vendredi 25 janvier 2019, pour y disputer un derby normand plutôt prometteur. A l’enjeu habituel de ce type de rencontre s’ajoutait la première sortie de Fabrice Courcier à la tête du collectif caennais.
Les visiteurs se présentaient au Kindarena privé de Bryson Pope et de Jerrold Brooks, contraint de renoncer à la rencontre en raison de douleurs aux adducteurs. Le secteur extérieur était dégarni, malgré la présence d’un Pavel Marinov alignée d’entrée de jeu.
Comme souvent cette saison, il a manqué quelques minutes aux Caennais dans cette rencontre âprement disputée. Les Bleus étaient pourtant revenus de loin dans le troisième quart-temps. Menés tout au long de la première mi-temps, malgré un bon départ alimenté par Ramseyer et Marinov, ils avaient surtout lâché du lest dans le deuxième quart. A la mi-temps, entre trop d’oublis défensifs et un jeu offensif sans solutions ni réussite à trois points, Caen était mené 42-30. Au contraire des partenaires de Gaëtan Clerc, les Rouennais avaient su tirer profit de leur jeu intérieur.
La pause a semblé changer de tout au tout la physionomie de la rencontre. Caen, emmené par son capitaine, a démarré très fort la deuxième mi-temps. Malgré quelques largesses défensives persistantes, les Calvadosiens exploitaient une qualité offensive retrouvée. Leur agressivité près du cercle était concrétisée par Ramseyer, Salmon et Clerc. C’est Ramseyer qui égalisait à 56-56 (30′).
Le score était donc de parité à l’attaque des dix dernières minutes. Jusqu’à la 38ème minute, Caen s’est accroché et a conservé l’espoir d’une victoire. Malgré un passage compliqué (70-62, 35′), le CBC est revenu à trois longueurs, toujours dans le sillage d’un Ramseyer éliminé ensuite pour cinq fautes (73-70, 38′). La gestion de la fin de match a en revanche été totalement à l’avantage des locaux. Sûrement trop court physiquement, les Caennais n’ont pu rivaliser.
Les sportifs, apprentis ou confirmés, disposent dorénavant d’un nouvel espace adapté à tous à Perros-Guirec. Le coach perrosien Rémi Thos ouvre en effet les portes du studio Remi’z en forme :
L’été, je pratique les cours sur la plage de Trestraou. Le décor est paradisiaque. Pendant l’hiver, j’ai dû m’adapter et trouver une solution de repli pour accueillir les clients.
Le studio occupe 55 m² du sous-sol de sa maison et offre deux espaces : une partie « cardio » avec entre autres vélo, vélo elliptique, rameur, et une partie fitness, sur parquet, pour les cours collectifs.
Des groupes de quatre à cinq personnes maximum
Six créneaux d’une heure sont pour l’instant proposés chaque semaine. Mais le coach n’hésitera pas à « ouvrir de nouveaux créneaux, si nous dépassons les cinq personnes ». En effet, il propose des séances de sport en petit groupe seulement. « C’est une volonté de ma part de garder des groupes de quatre à cinq personnes maximum. Ça me permet de mieux accompagner les clients, de reprendre toutes les positions, de les motiver au cas par cas et de leur proposer des déclinaisons de mouvements selon les profils » ajoute le coach.
Stretching, renforcement musculaire sur ballon ou step, entre autres, sont au programme.
Renseignements et inscriptions : tél. : 06 85 87 75 83 ou sur Facebook.
Après un début de saison moribond, l’hiver est enfin arrivée dans les Pyrénées ! Les importantes chutes de neige observées ces dernières 48 heures vont permettre à de nombreuses stations pyrénéennes d’ouvrir enfin leur domaine skiable dans leur totalité, samedi 26 et dimanche 27 janvier 2019. On fait le point.
En Haute-Garonne, la neige tombée en quantité a permis aux stations de Luchon Superbagnères, du Mourtis et de Bourg d’Oueil d’ouvrir 100% de leur domaine skiable. À cheval entre la Haute-Garonne et les Hautes-Pyrénées, la station de Peyragudes a également ouvert l’intégralité de ses pistes.
De son côté, la société N’PY, qui regroupe les domaines skiables de Peyragudes, Piau, Grand Tourmalet, Pic du Midi, Luz-Ardiden, Cauterets, Gourette, en Hautes-Pyrénées, indique qu’on relève entre 1,10 mètre et 1,50 mètre en haut des pistes de toutes les stations. « La neige est enfin là et va permettre d’assurer des vacances de février dans d’excellentes conditions », se réjouit NPy, qui annonce l’ouverture à 100% des domaines skiables dès samedi 26 janvier.
La station de Saint-Lary-Soulan indique de son côté avoir ouvert 31 pistes sur 56, vendredi 25 janvier.
De nombreuses pistes sont également ouvertes à la station ariégeoise de Guzet. Avec plus d’1,10 mètres de neige en haut des pistes, la station Ax-3 domaines espère ouvrir 23 pistes sur 37 ce week-end, en fonction des conditions. Le Plateau de Beille avait de son côté ouvert 15 pistes sur 28, vendredi. Aux Monts d’Olmes, 13 pistes étaient ouvertes, vendredi 25 janvier. À Ascou-Pailhères, 7 pistes sont également ouvertes.
Un peu plus loin de Toulouse, la station des Angles ouvrira 100% de son domaine dès samedi, tout comme à Font-Romeu, si les fortes rafales de vent observées ces dernières baissent en intensité. Un constat également valable à Porté-Puymorens.
Organisé par l’association FLJ, créée en juin 2002 et dont les objectifs majeurs sont la lutte contre l’illettrisme, le développement de la lecture et de l’écriture et la promotion de la littérature jeunesse, le Festival du Livre de Jeunesse Occitanie se tient chaque année au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint Orens. Même si diverses actions hors-les-murs ont lieu en amont du festival dans plusieurs communes de l’agglomération toulousaine.
La 17e édition ouvrira ses portes vendredi 25 janvier 2019 aux scolaires et aux professionnels, puis samedi 26 et dimanche 27 janvier au grand public.
Pour interroger le monde
Convivial et chaleureux, ce salon permet aux enfants de rencontrer des auteurs et des illustrateurs, d’échanger avec eux, de s’ouvrir à un monde merveilleux et fascinant. Il n’y a pas d’âge pour lire et aimer les livres, rappelle le FLJ sur son site : on ne saurait mieux dire, et l’on sait des livres qui ont fait grandir, parfois même qui ont changé des vies.
L’imagination des auteurs de littérature jeunesse attise celle de leurs lecteurs et les histoires, en prise directe sur le monde, aident à devenir un citoyen à l’esprit ouvert et critique, qui aime interroger le monde.
Un des auteurs présents sur le festival, Patrick Ben Soussan, a écrit de la littérature jeunesse qu’elle offrait aux enfants « des occasions de penser, de rêver, de rire et de pleurer, d’aimer, de comprendre, de partager, de rencontrer, au plus vrai, le sensible, l’affecté, le réel et le rêve, de s’échapper et de se retrouver ».
Beaucoup de Toulousains
Grandir : c’est justement la thématique principale de ce 17e salon. Grandir librement en apprivoisant les mots pour qu’ils puissent exprimer notre pensée au plus près de sa vérité. Des expositions, des spectacles et des lectures, des animations et des ateliers et même une programmation spécialement adressée aux tout-petits viendront rythmer ce week-end dédié aux livres. Et ils seront nombreux – 30 000 -, représentant plus de 200 éditeurs, de tous les styles, de toutes les tailles et pour tous les goûts.
Côté invités, le casting fera comme d’habitude la part belle aux auteurs et illustrateurs toulousains (Rachel Corenblit, Ghislaine Roman, Clémence Sabbagh, Edouard Manceau, Frédéric Maupomé, Matthieu Sylvander, Claire Garralon, Claire Lebourg) et d’ailleurs.
Au total, plus d’une cinquantaine d’artistes viendront à la rencontre des enfants épris de livres et de belles histoires et assister à la remise du Prix du Festival, du Prix des Enfants du Livre 2019, du Prix Ados 2019 et celui du jeu-concours d’affiches seront décernés.
Yves Gabay
Infos pratiques :
Festival du Livre de Jeunesse Occitanie, samedi 26 et dimanche 27 janvier 201. De 10 h à 19 h au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint Orens (2, avenue du Lycée).
Petite restauration légère et gourmande assurée tout au long de la journée.
Entrée libre et gratuite.
Infos sur le site du festival.
Les interrogations quant à la teneur que prendrait le Grand Débat national, ce vendredi 25 janvier 2019 au Carcom de Lons-le-Saunier, étaient réelles. Premier de la sorte organisé dans le Jura par la municipalité de Lons-le-Saunier, les attentes portées sur cette soirée étaient grandes au vu du nombre de participants présents ; plus de 200.
Une soirée qui a débuté doucement, à 19 h 30, avec les contributions citoyennes. Durant une heure, chacun était amené à remplir des fiches fournies par la Ville, organisatrice du débat, avec des stylos jaunes, afin d’exprimer son opinion. Une première partie qui a réuni, jusqu’à 20 h 30, moins d’une centaine de personnes.
Mais dès le début du débat à proprement parlé, introduit par le maire de Lons-le-Saunier, Jacques Pélissard, les citoyens se sont retrouvés nombreux dans la salle.
Une vingtaine de gilets jaunes présents, des membres d’associations, élus de la majorité ou de l’opposition, et membres reconnus de la société civile étaient donc présents pour répondre aux nombreuses questions posées durant la soirée. Une soirée où étaient également présents la députée Danielle Brulebois, Jacques Pélissard et son épouse Hélène Pélissard, 1ère vice-présidente du Conseil Départemental en charge de la culture et de l’éducation.
Christophe Bois, adjoint au maire de Lons-le-Saunier délégué aux affaires sociales était, lui, chargé d’animer les débats, tandis qu’Agnès Chambaret et Évelyne Pepin-Lambert étaient, elles, chargées de retranscrire les interventions citoyennes, afin de les faire remonter via les services de la préfecture à la tête de l’État.
Les questions abordées lors de cette soirée ont été tirées au hasard, parmi quatre thématiques : transition écologique, fiscalité et dépenses publiques, démocratie et citoyenneté, et l’État et les pouvoirs publics. Grâce à des fiches de couleur, chacun était amené à voter préalablement pour la thématique à aborder.
Un mode de fonctionnement décidé par le gouvernement dans le cadre de l’organisation du Grand débat national, auquel se sont rapidement opposées certaines personnes présentes, dénonçant « une mascarade ».
Durant plus de deux heures, et par tranche de 10 minutes, de nombreuses questions ont donc été abordées, laissant aux citoyens la liberté de répondre dans un temps imparti d’une minute.
Parmi les questions, ont donc été posées : « Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous : reculer l’âge de la retraite ; augmenter le temps de travail ; augmenter les impôts ; revoir les conditions d’attribution de certaines aides sociales » ; mais également, « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? » ; ou encore, « Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développés sur internet en priorité ? »
Si certaines questions ont fait consensus auprès des citoyens, d’autres ont été plus propices à un véritable débat, marqué par de franches oppositions.
Le Caen Basket Calvados s’est incliné 79-70 à Rouen, vendredi 25 janvier 2019. Les réactions de Fabrice Courcier, nouvel entraîneur du CBC, et Gaëtan Clerc.
Fabrice Courcier (entraîneur Caen BC) : « Dans l’ensemble, ça m’a plu. Après la prestation de ce soir, je tiens à féliciter le groupe dans son implication, sa capacité à aller chercher de la solidarité. C’était la trame qu’on souhaitait. Tactiquement parlant, il était compliqué de mettre des choses en place sur deux séances d’entraînement. Les joueurs ont été valeureux. j’ai préféré voir mon équipe en deuxième mi-temps qu’en première. On n’a pas géré de la bonne façon les trois, quatre dernières minutes. Cela fait partie de notre apprentissage, dans cette recherche de précision, de départ, se donner les moyens de ne jamais subir mais toujours décider. On est tombé sur une grosse équipe de Rouen. »
Gaëtan Clerc (capitaine Caen BC) : « Il y avait du coeur, c’est ce qu’il faut retenir. On n’a pas lâché. On réfléchissait trop en première mi-temps. On a manqué de lucidité parce qu’on était fatigué, mais on doit réussir à passer au-dessus, pour se retrouver dans le collectif. Il faut se rattacher aux systèmes quand on est fatigué. En priorité, c’est la solidarité et la communication qu’il faut souligner. Cela a porté ses fruits par moments. Il y avait la volonté d’avancer en équipe. Je vais retenir ça. Après, il faudra affiner ce qu’on a vu pour que ça rentre mieux. »
La salle des fêtes de Sainte-Suzanne-sur-Vireétait pleine à craquer ce vendredi 25 janvier. 120 personnes sont en effet venues à la rencontre de Laurent Jalabert qui a accepté de parrainer une soirée caritative organisée par les élus afin de récolter une partie des fonds nécessaires àla restauration de l’église.
« J’avais envie de voir le Mont Saint-Michel ! »
L’ancien champion cycliste a expliqué à La Presse de la Manche les raisons de sa venue :
En 2016, lors du Grand Départ du Tour de France dans la Manche, le départ réel de la 2e étape se situait à Saine-Suzanne-sur-Vire. A cette occasion, les élus m’avaient invité à inaugurer une exposition autour du cyclisme. On a alors sympathisé, puis on a gardé contact. En décembre dernier, ils m’ont proposé de participer à leur soirée caritative pour leur église. Et j’ai accepté avec plaisir. J’en profite pour passer le week-end en famille dans la Manche. J’avais envie de voir au moins une fois le Mont-Saint-Michel dans ma vie ! »
Celui que l’on surnomme « Jaja » vient à titre gracieux :
Si ma venue peut contribuer à faire parler de leur action, c’est tant mieux. D’ailleurs, auriez-vous fait un article si je n’étais pas venu ? Je ne pense pas… Donc voilà, je serais content s’ils pouvaient trouver l’argent pour restaurer la charpente et la toiture de l’église. On va éviter de voir un fidèle se prendre une pierre sur la tête ! »
Retrouvez l’interview complète de Laurent Jalabert dans La Presse de la Manche du samedi 26 janvier 2019.
Ce vendredi 24 janvier 2019, dans la soirée peu avant 22 h, un incendie s’est déclaré dans une maison à Cabourg (Calvados).
A l’arrivée des sapeurs-pompiers de Périers-en-Auge, la toiture de l’habitation située au 12 place Marcel Proust, était déjà embrasée. Les occupants de la maison sont sortis avant l’arrivée des secours.
Sur place, les pompiers de Périers-en-Auge ont dépêché la grande échelle, des fourgons incendie de Dozulé et Houlgate sont venus en renfort.
Le feu a été circonscrit aux alentours de 23 h au moyen de trois lances. De gros dégâts au niveau de la toiture sont à déplorer.
Les opérations de déblaiement vont probablement être de longue durée
indique le lieutenant Thomas Rous, chef du centre de secours de Périers-en-Auge.