Comme les grands ! (©© Benjamin Becker Trans’Organisation)

C’est sous la neige que les concurrents ont participé aux épreuves de La Transjeune, la petite Transju’ au pied du collège des Rousses ce mercredi 23 janvier 2019.

Encouragés par Roxane Lacroix et Alexis Jeannerod (Team Nordique Crédit Agricole Franche-Comté) et le médaillé olympique Adrien Backscheider, membre de l’équipe de France A, les jeunes fondeurs ont goûté aux joies de la glisse, pris plaisir à se dépasser ou tout simplement franchir la ligne d’arrivée.

Dès 10 h 15, les groupes de garçons, puis de filles, nés entre 2008 et 2012, se sont élancés sur des parcours allant de 1 à 2 km.

Puis dans l’après-midi ce sont les skieurs, nés entre 2003 et 2007, qui se sont affrontés sur des parcours entre 3 et 6 km.

« C’était bien, mais c’était dur. Je ne suis pas venue avec mon école mais avec mon club. J’ai bien aimé la course », Elsa, 10 ans.

« C’est la première fois que je participe à La Transjeune et que l’on soit premier ou pas, peu importe, l’important c’est de participer et de s’amuser », Oscar, 8 ans.

« J’ai fait ma première Transjeune quand j’étais en 5e, c’est toujours super bien organisé, merci à Trans’Organisation », Léa, 16 ans.

Cette journée était aussi pour beaucoup l’occasion de découvrir des activités ludiques comme le slalom, la vitesse ou encore le biathlon, qui ont rencontré un franc succès auprès des jeunes.

Le village Smoby, partenaire principal de La Transjeune, a également permis aux enfants de découvrir les jouets d’extérieur.

Les vainqueurs. 
2012. Chloé Meyer (USEP Granges Narboz) et Charly Hanrot (USEP Cordier Pontarlier).
2011. Lilou Bouillet (Ski-club Abbaye) et Sacha Henry (SC Les Fourgs). 
2010. Calie Chouard (USEP Prémanon) et Elio Faivre (USEP Prémanon). 
2009. Canelle Midez (Ski-club Damprichard) et Arthur Marguet (USEP Granges Narboz).
2008. Elsa Bouillet (Ski-club Abbaye) et Clément Da Silva Moreira.
2007. Pom Rives (COL Lucie Aubrac Doubs) et Alix Blondeau-Toiny (COL La Source Mouthe). 
2006. Maeline Triponez (Ski-club vallée de Joux) et Romain Michaud (COL Les Augustins Pontarlier). 
2005. Elisa Bouveret (COL La Source Mouthe) et Isaie Taxil (COL Mont Miroir Maiche). 
2004. Tatiana Tournut (COL Le Rochat Les Rousses) et Lennie Vincent (Skieurs Rousselands). 
2003. Marion Nicod (LPO Xavier Marmier Pontarlier) et Esteban Javaux (LP Toussains Louverture Pontarlier).
2002. Leonie Jeannier (LPO Xavier Marmier Pontarlier) et Tom Bourgin Millet (LPO Victor Bérard Morez)
2001 et avant. Noémie Remonnay (LPO Xavier Marmier Pontarlier) et Mattis Tournier (Ski-club Bois d’Amont). 

Les pompiers ont transporté la victime à l’hôpital d’Argenteuil (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

Le retour du froid marque aussi celui des intoxications au monoxyde de carbone. Au lendemain de l’hospitalisation de cinq personnes à Argenteuil, c’est une adolescente de 15 ans qui a été victime de ce gaz très toxique, mercredi 23 janvier à Bezons (Val-d’Oise).

Hospitalisée à Argenteuil

Les secours ont été dépêchés vers 12h45 rue Claude-Bernard. La jeune victime, intoxiquée à la suite d’un problème de chauffage a été conduite au centre hospitalier d’Argenteuil. Ses jours ne seraient pas en danger.

Un gaz qui peut être mortel

Inodore, incolore et non-irritant le monoxyde de carbone peut être mortel dans un espace clos. Il se dégage lorsqu’un appareil à combustion au gaz, au bois ou au charbon fonctionne mal.

Les symptômes liés à une intoxication sont multiples : maux de tête, nausées, vomissements, troubles des sens, douleurs thoraciques, abdominales… Il est indispensable d’aérer immédiatement la pièce en ouvrant portes et fenêtres, puis d’évacuer le lieu avant d’alerter les secours.

Annick Massis sera Lucrezia Borgia sur la scène du Théâtre du Capitole. (©Gianni Ugolini)

C’est dans une production du Palau Arts Reina Sofia de Valence, où elle fut créée en 2017, que ce spectacle est présenté à Toulouse sous la signature d’Emilio Sagi. Le maestro italien Giacomo Sagripanti dirigera à cette occasion une distribution internationale dans laquelle le public toulousain retrouvera la basse allemande Andreas Bauer dans le rôle d’Alfonso d’Este et découvrira le jeune ténor turc Mert Süngü dans celui de Gennaro.

C’est la toute jeune mezzo corse Eléonore Pancrazi, 29 ans cette année, qui revêtira le travesti de Maffio Orsini.

Sommet de l’art lyrique transalpin

Un sommet de l’art lyrique transalpin avec une distribution plus que prometteuse. Un rendez-vous belcantiste à ne pas manquer, sans aucun doute !

À noter qu’Eléonore Pancrazi donnera un récital dans le cadre des fameux Midis du Capitole, jeudi 31 janvier 2019 à 12h30 (tarif unique 5 euros).

Robert Pénavayre

Infos pratiques :
Représentations du 24 janvier au 3 février 2019 au Théâtre du Capitole. Place du Capitole.
Renseignements et réservations au 05 61 63 13 13 ou sur le site du Théâtre du Capitole

Généralement associée à la prise en charge d’animaux sauvages, la fondation 30 Millions d’amis ne comprend pas la décision prise pour le raton laveur mort à la centrale de Flamanville. (©DR)

Le jour même où un raton laveur a été pris en charge par les secours, sur le périmètre de sécurité de la centrale nucléaire de Flamanville (Manche) lundi 21 janvier 2019, la fondation 30 Millions d’amis a été associée à la recherche de solutions pour lui trouver un refuge d’accueil. Ce qui rend d’autant plus incompréhensible la décision finale, prise le jour même, sur avis de l’ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage), de tuer l’animal.

A lire aussi : Un raton laveur s’aventure dans les barbelés de la centrale nucléaire de Flamanville

Responsable enquêtes pour la fondation 30 Millions d’amis, Arnaud Lhomme explique :

Nous avons été alertés par le Refuge de l’Arche, qui pouvait prendre le raton laveur temporairement. On était prêts à prendre le relais pour trouver un autre centre. Et on était prêts à nous occuper de la logistique.

« Dans notre dos »

Mais la fondation n’a pas été associée à la décision finale, prise par les autorités publiques, DDPP (Direction départementale de la protection des populations ) et ONCFS. Comme l’explique encore Arnaud Lhomme :

Ils ont donné l’ordre de l’euthanasier dans notre dos. On travaille pourtant souvent avec l’ONCFS de la Manche. En matière d’espèces invasives, on récupère  des animaux toute l’année, en entente avec l’ONCFS à l’échelle nationale. Et là, sur un délit de sale gueule, on ne sait même pas pourquoi, sans raison, ils le tuent ? On est abasourdis !

30 Millions d’amis ne compte pas en rester là, même s’il est trop tard pour ce raton laveur mâle trouvé à Flamanville. : 

On a déjà fait partir un courrier au siège de l’ONCFS, pour rappeler qu’on est toujours partenaires, mais qu’on se pose la question de devoir continuer à travailler avec un organisme dont certaines brigades ne respectent pas l’animal.

Le club de l’Iris club de Croix football continue son parcours en coupe de France après un nouvel exploit à Marignane. (©Copie d’écran Facebook/Iris Club de Croix football)

Jusqu’où iront-ils !? L’Iris club de Croix football, dans la métropole de Lille (Nord), est qualifié pour les 8e de finale de la coupe de France !

Une qualification obtenue dans la douleur, aux tirs aux buts alors que le score était resté vierge, sur la pelouse de Marignane. Un club qui évolue pourtant une division au-dessus des Nordistes.

Seule ombre au tableau, l’expulsion d’un joueur auteur de doigts d’honneur vers la tribune.

Un penalty et deux doigts d'honneur : le drôle d'enchaînement de Derville #CoupedeFrance https://t.co/8GQEtgdcqE

— Eurosport.fr (@Eurosport_FR) January 23, 2019

Le tirage au sort aura lieu ce jeudi 24 janvier 2019 à 20 h 15. Peut-être l’occasion d’une belle affiche face à l’ogre du PSG ou le voisin lillois.

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La joie dans le vestiaire

Nicolas Suchet sera resté un an et demi en Sarthe. (©Maxime Jamaux)

Un an et demi après son arrivée au Mans FC et une montée de National 2 à National, Nicolas Suchet qui le club manceau. « Un accord commun » que Le Mans FC a annoncé via un communiqué.

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Le milieu de terrain de 30 ans était arrivé en provenance de Lyon Duchère, club de National à l’intersaison 2017. Nicolas Suchet aura disputé 9 rencontres, cette saison, sous le maillot Sang et Or que portent désormais les trois recrues du mercato hivernal (Confais, Ellisalt et Vialla), pouvant tous évoluer au milieu de terrain.

Lors de la cérémonie des vœux aux forces vives de Saint-claude, le maire Jean-Louis millet et André Jannet ont redit leur détermination de ne rien lâcher pour redonner à l’hôpital Louis Jaillon sa place d’hôpital de référence pour le haut-jura. (©Voix du Jura/Monique Henriet)

Depuis bientôt deux ans, le CODESOHO (Comité de Soutien et de Défense de l’Hôpital) de Saint-Claude présidé par André Jannet est mobilisé.

A l’origine, il avait été créé pour lutter contre la fermeture annoncée des services de pédiatrie, de maternité et d’hémodialyse ainsi que la limitation de l’ouverture des urgences en journée, et la transformation de la chirurgie pour ne maintenir que la chirurgie ambulatoire.

« On ne lâche rien ! »

Malgré la mobilisation, la maternité et la pédiatrie ont été fermées et la chirurgie n’est plus qu’ambulatoire. Le service de dialyse a été maintenu ainsi que les urgences.

Depuis de nombreuses manifestations ont été organisées localement. Mercredi dernier, la cérémonie des vœux aux forces vives de Saint-Claude a été l’occasion pour le maire et le président du CODESOHO de redire toute leur mobilisation et leur détermination à tout mettre en œuvre pour que les services soient rouverts. « On ne lâche rien ! ».

Le lendemain, c’est cette fois à la Maison du peuple qu’un débat a été organisé à l’initiative de l’association La fraternelle en collaboration avec le CODESOHO pour ouvrir un nouvel espace d’expression.

L’occasion pour les participants de regretter l’absence des plus jeunes dans cette mobilisation, alors que la fermeture des services de l’hôpital a des conséquences importantes sur l’attractivité du secteur, sur l’activité de la commune et de tout le Haut-Jura.

Deux heures de route par jour

Les chefs d’entreprise qui ont déjà du mal à recruter, ont encore plus de difficultés à faire venir des salariés, alors que les carnets de commandes sont pleins.

La fermeture des services a aussi contraint certains membres du personnel, pourtant très attachés à leur travail à quitter SaintClaude.

Comme en témoignait *Isabelle (prénom d’emprunt) passionnée par son métier d’auxiliaire de puériculture qui a eu le choix entre : rester à SaintClaude pour travailler à l’EHPAD ou aller à Lons-le-Saunier pour s’occuper des bébés. Pour la jeune femme, qui ne voulait pas changer d’orientation professionnelle, a fait le choix d’aller à Lons, quite à faire deux heures de route par jour.

Afin de se faire entendre auprès de la tutelle et du ministère de la santé en particulier, le CODESOHO a rejoint le réseau des comités de défense à l’échelle nationale qui réunit les communes dont les établissements sont également menacés.

En octobre dernier, réunis à Vierzon, les comités de défense de toute la France se sont réunis et ont décidé d’organiser un grand référendum dans chaque commune.

Toutes les personnes majeures (inscrites ou non sur les listes électorales) pourront participer à ce Référendum d’Initiative Populaire. Chacun devra répondre à la question « Souhaitez-vous la réouverture de la maternité et le retour à la chirurgie conventionnelle à l’hôpital de Saint-Claude ? Oui ou Non ? ».

Pour les communes qui ne participent pas, les habitants pourront voter dans la commune la plus proche ou de leur choix. Il est également possible de voter par procuration.

Un cahier de doléances permettra de recueillir tout ce que les habitants du Haut-Jura ont à dire sur leur hôpital et aussi sur la santé en général dans notre région de moyenne montagne.

■Samedi 26 janvier :
Mairie d’Avignon-les-Saint-Claude de 10 h à 12 h ; local communal de Bellecombe de 10 h à 12 h ; mairies de Chassal et de Molinges de 9 h à 12 h ; mairie de Choux de 14 h à 18 h ; mairie de Coiserette de 9 h à 12 h ; bureaux de vote de Cuttura et Saint-Lupicin de 9 h à 12 h ; mairie de Coyrière de 9 h à 17 h ; salle des fêtes de Crenans de 10 h à 15 h ; mairie déléguée de La Mouille de 10 h à 12 h ; mairie de La Pesse de 10 h à 16 h ; maire de La Rixouse de 9 h à 12 h ; salle du conseil municipal de Lamoura de 9 h à 12 h ; mairie de Larrivoire de 14 h à 17 h ; mairie de Lavans-les-Saint-Claude de 9 h à 16 h ; mairie déléguée de Pratz de 9 h à 12 h ; école des Bouchoux de 9 h à 12 h 30 ; mairie des Moussières de 9 h à 12 h ; salle du conseil municipal des Rousses de 9 h à 12 ; maire de Leschères de 8  h 30 à 11 h ; mairie déléguée de Lézat de 10 h à 12 h ; maire de Longchaumois de 9 h à 12 h ; mairie de Moirans-en-Montagne de 9 h à 12 h ; hall de la mairie de Morez de 9 h à 13 h ; école de Prémanon de 9 h à 12 h ; salle du chalet à Ravilloles, salle Bavoux-Lançon à Saint-Claude de 9 h à 17 h ; maire de Vaux-Les Saint-Claude de 9 h à 12 h ; mairie de Villard Saint-Sauveur de 8 h à 17 h ; maire de Viry de 9 h à 12 h.

■Dimanche 27 janvier :
Mairie de Bois-d’Amont de 9 h à 12 h ; salle annexe de la mairie de Lajoux de 8 h 30 à 13 h ; ancienne mairie de Septmoncel de 8 h à 13 h.

Clément Vadcard, alias Colin. (DR)

La Gare aux musiques de Louviers accueille une soirée avec Clément Vadcard, alias Colin, quoi viendra présenter son premier album, qui sort à cette occasion. La première partie de soirée est assurée par ses amis du groupe sont Spaarkles.Il a réussi son premier pari. Avec 3 075 € récoltés dans le cadre d’une opération de financement participatif, le jeune chanteur, adepte de la folk, mais qui ne veut pas se ranger dans une case, a déjà pu financer certains de ses projets, comme la réalisation d’un clip vidéo, qui est en cours.

Vendredi 25 janvier, c’est à la Gare aux musiques qu’un nouveau défi l’attend, avec la présentation de son nouvel album. « C’est dans la continuité directe de l’EP, on sent la filiation, après j’irai vers d’autres choses. » L’artiste aura donc un répertoire de 14 chansons, dont 8 dans son album, Neverland, à proposer aux spectateurs.

Parmi ses références musicales, « beaucoup de folk ancienne, irlandaise, mais aussi des choses plus contemporaines, comme Radiohead, Dave Matthews, Sparklehorse, etc. ».

« Je fonctionne beaucoup à l’instinct »

Dans ses chansons, c’est la mélancolie qui ressort. « Ça a toujours été assez sombre », explique-t-il en parlant de son univers. Armé de sa guitare, est du genre solitaire. Je me suis toujours senti bien comme ça, ce sont des choses assez personnelles, je me sentais de les assumer comme telles. » Et fonctionne à l’instinct. Ce qui est important, c’est de jouer, de faire découvrir un univers à un maximum de monde possible. »

Un deuxième est déjà en préparation, avec un système de précommandes. Il sera sans doute bien différent du premier, peut-on penser, quand on l’entend dire : « On évolue toujours, ça ne s’arrête jamais vraiment, on est saisi par la vie, par les humeurs. C’est quand même très intérieur. »

Cyrille Crespy

Vendredi 25 janvier, à partir de 20 h 30, à la Gare aux musiques de Louviers, concert de sortie d’album de Clément Vadcard, alias Colin, en présence du groupe Spaarkles. Tarif : 5 €.

Anaïs Da Costa, 18 ans, lycéenne à Saint-Malo et habitante de La Gouesnière, a été sélectionnée avec cinq autres demoiselles d’Ille-et-Vilaine, pour briguer le titre de Mademoiselle Bretagne qui sera décerné, samedi à Mauron. (© DR)

C’est un joli brin de fille de 18 ans. Un sourire qui ne semble jamais la quitter sur une silhouette taillée pour la GRS, l’une de ses passions. Anaïs Da Costa sera l’une des 24 candidates qui brigueront samedi 26 janvier 2019, à Mauron, dans le Morbihan, le titre de Mademoiselle Bretagne.

Mademoiselle Bretagne, dîtes-vous ? Un concours de miss, un peu éloigné des standards habituels.

« Il n’y a pas de critère de poids, ni de taille. Tout le monde peut prétendre participer ».

Une aubaine pour notre lycéenne, qui prépare actuellement un Bac pro commerce à la Providence, à Saint-Malo.

La lycéenne de Saint-Malo tentera de décrocher l’écharpe de Mademoiselle Bretagne 2019, samedi, dans le Morbihan. (© Franck Morlaix)

Mannequin à 3 ans

Car du haut de son mètre 59, il lui manquait une dizaine de centimètres pour tenter sa chance aux célèbres concours, placés sous l’égide de Miss France. « Ce n’était pas un rêve brisé, il ne faut rien exagérer mais plutôt une occasion manquée. J’ai toujours aimé l’univers des miss ». Depuis sa plus tendre enfance même. À 3 ans, Anaïs a été mannequin pour la Maison Jean Bourget, connue pour ses vêtements enfants. « J’ai posé pour une affiche qui a été placardée, je crois, dans plusieurs magasins à travers la France ».

Bohemian Rhapsody sur scène

Samedi, à Mauron, Anaïs va donc renouer avec son passé. Sans prétention. « On a plusieurs défilés au programme et un discours. On doit aussi parler de notre passion ». Et la grande passion de notre demoiselle, qui habite la Gouesnière, près de Saint-Malo, c’est la musique. Queen, Aretha Franklin ou encore Nirvana. Et particulièrement le chant : « Je suis une grande fan de Queen. Je vais donc leur interpréter Bohemian Rhapsody ».

Vous savez, le célèbre opéra-rock écrit par Freddie Mercury. Titre qui, à l’ère d’internet, détient la palme de la chanson du XXe siècle la plus diffusée en streaming sur les différentes plateformes, avec plus d’1,6 milliard d’écoutes.

Reste maintenant à espérer que ses talents de chanteuse, conjuguées à son charmant sourire, finissent de convaincre le jury de voter pour elle. Réponse samedi soir dans le Morbihan.

Un gendarme a été renversé par le chauffard (©illustration)

Dimanche 20 janvier, vers 15 h 30, le conducteur d’une Mini Cooper a été flashé à une vitesse avoisinant les 200 km/h, sur l’autoroute A 6.

L’équipe rapide d’intervention du peloton autoroutier de gendarmerie de Nemours a rattrapé le véhicule.

Gendarme renversé

Le chauffard, sommé de se garer correctement sur le parking du peloton, s’est emporté et a démarré brusquement en accélérant, alors qu’un gendarme se trouvait devant lui. Il a réussi à prendre la fuite.

Le militaire a été renversé. Touché aux jambes, aux bras et à la tête, il se retrouve avec 15 jours d’incapacité totale de travail.

La compagnie de Fontainebleau a été saisie de l’affaire et a réussi à localiser le fuyard dans le Jura. 

Après négociations, ce dernier, âgé de 43 ans et domicilié en Haute-Loire, s’est présentée à la brigade de recherches bellifontaine le 22 janvier. 

Détention provisoire

A l’issue de sa garde à vue, durant laquelle deux expertises psychiatriques ont été effectuées, il a été présenté en comparution immédiate au tribunal correctionnel ce jeudi 24 janvier.

Mais le prévenu, déjà connu de la justice, a demandé un délai pour préparer sa défense. 

Dans l’attente de son jugement, prévu en mars prochain, il a été placé en détention provisoire. Une expertise supplémentaire a par ailleurs été demandée. 

La délégation du Calvados reçue à Paris pour défendre les couleurs de Caen, pour devenir ville organisatrice du congrès national des pompiers de 2021. (©Sdis 14)

C’était le jour de grand oral pour les sapeurs-pompiers du Calvados, jeudi 24 janvier 2019. Avec trois autres villes, ils prétendaient à l’organisation du congrès national des pompiers en 2021. Finalement, c’est Nancy qui a gagné ! 

Les résultats viennent de tomber.
Le congrès 2021 @PompiersFR aura lieu à Nancy.
Félicitations à nos collègues et merci à tous pour votre soutien, notre candidature était de qualité !

— SDIS 14 (@SDIS14) January 24, 2019

Une candidature déposée il y a un an

Depuis des semaines, les clubs sportifs, associations… Tout le monde y allait à Caen (Calvados) de sa photo sur les réseaux sociaux marquant ses encouragements pour que le Service départemental d’incendie et de secours du Calvados soit nommé organisateur du congrès national des pompiers en 2021.

Ce matin, nous affichons le soutien de l'équipe du @SMCaen ! Merci à toute l'équipe pour son soutien 🙏@SDIS14 @UDSP14 @CalvadosDep @CaenOfficiel @CaenEvent @PompiersFR #ambitioncongres2021 pic.twitter.com/k0Zyrv7jzb

— SDIS 14 (@SDIS14) January 21, 2019

À 9h30, la délégation caennaise s’est donc rendue à la maison des sapeurs-pompiers de France à Paris pour défendre les couleurs de la Ville. 

La délégation du Calvados est arrivée à la maison des ⁦@PompiersFR⁩ pour le grand oral du congrès !
On croise les doigts 🤞🏻@SDIS14 @udsp14 ⁦@CalvadosDep⁩ ⁦@CaenOfficiel⁩ @caenevent #ambitioncongres2021 pic.twitter.com/5k9MCydyNl

— SDIS 14 (@SDIS14) 24 janvier 2019

Un an après avoir déposé leur candidature et à l’issue de ce grand oral, c’est donc la ville de Nancy qui a été préférée à Caen, Toulouse, et Angers. 

Le congrès se tiendra en octobre 2021 et devrait rassembler 50 000 visiteurs durant quatre jours. 

Un vrai coup de cœur… pour le concept ! (Cliquez sur la photo pour faire apparaître la vidéo)

« Et si on lâchait nos écrans pour apprendre à découvrir les autres ? », c’est le leitmotiv de Light-Off, le speed dating nouvelle génération qui propose aux célibataires de se rencontrer dans le noir et dans une approche ludique, type escape-game. L’idée ? Des rencontres en 5 épreuves de 3 minutes 30 chrono avant le retentissement du gong. Objectif : mettre les cœurs K.O. mais surtout prendre du plaisir à jouer.

Tellement simple que c’est à se demander comment personne n’y avait songé plus tôt. « À l’époque où je m’étais inscrit sur les sites de rencontre, je me disais que ça manquait de chaleur humaine », explique Yoann, 39 ans, le fondateur de Light-Off, dont le lancement se déroulait le samedi 12 janvier, dans une salle de l’hôtel Mercure, à Fontainebleau – établissement à la décoration aussi chaleureuse qu’une pause plaid-tisane-cheminée au cœur du mois de janvier. Et d’ajouter : « J’ai cherché à pimenter le concept. On joue avec quelqu’un qu’on ne connaît pas et dont on ne distingue pas l’apparence. Il s’agit d’abord de voir si on a des affinités et après seulement de découvrir son visage. »

Déçue des sites de rencontre

Piquée par la curiosité, j’ai donc décidé de me porter volontaire au lancement de cette mission Cupidon. Le match de la séduction se déroule à huis clos et dans une obscurité quasi-totale, un fléchage luminescent au sol et sur les murs permet de ne pas perdre le Nord. Pratique pour les plus timides.

Dans l’arène, la catégorie poids plume, les 25/39 ans. En tout, dix joueurs : cinq gars, cinq filles, identifiés par un numéro et dont on ne devine que les contours. Dans la team des filles, Elodie, 28 ans, jolie célibataire de Moret-sur-Loing, 1,70 mètre et des jambes à rendre jalouse Adriana Karembeu. « Je suis surtout venue pour m’amuser, raconte la participante. Meetic, ça me saoule (sic). Je ne trouve pas ce qui m’intéresse sur les sites de rencontre. Beaucoup d’hommes s’y inscrivent pour un plan d’un soir. Et puis, je suis parfois déçue au moment de la rencontre. On fait dire ce que l’on veut à une photo ! »

De l’ombre à la lumière

La partie démarre par une discussion d’une minute en tête à tête. Au son du gong, ces messieurs changent de partenaire. Dans le brouhaha des conversations, numéro 8 n’a pas de temps à perdre et rentre dans le vif du sujet : « Et toi, c’est quoi ton histoire ? T’es célibataire depuis combien de temps ? » Pas envie de raconter ma vie. Je dévie la conversation et le renvoie dans les cordes. Numéro 8 se lance dans un monologue. Une minute, ça peut paraître long parfois. À ma gauche, Elodie semble plus enthousiaste et minaude, en pleine conversation avec numéro 7, un agent EDF.

Sauvée par le gong, il est temps de passer aux épreuves que Cupidon a concocté avec délectation, semble-t-il. « N’allez pas croire que je vais vous balancer des flèches pour que vous finissiez tous heureux et amoureux (diantre). Je ne vais pas vous faciliter la tâche ! », confesse l’ange dont la voix résonne dans la pièce de 70 m2.

Le but du jeu : résoudre des énigmes en duo, dans différents ateliers sur le thème des cinq sens et trouver un maximum de bracelets qui permettront d’appuyer sur un buzzer, lors de la cérémonie finale, et donc de découvrir les célibataires en pleine lumière. Au fil des ateliers, nous faisons connaissance, sans pression mais dans une atmosphère de camaraderie.

Les atouts pour venir à bout des épreuves : un sens de la communication et un brin de jugeote. « J’ai élaboré des jeux qui ne requièrent aucune aptitude physique particulière, souligne Yoann. Les participants sont là pour passer un bon moment. » Et ça marche. Au bout d’une heure, les joueurs ressortent avec le sentiment d’avoir partagé une véritable expérience. Après cette première session, Yoann a déjà joué les entremetteurs en échangeant, à leur demande, les numéros de téléphone des célibataires les plus timides. Et quant à moi, bien vite mon cœur s’est emballé… pour Light Off.

Renseignements

Prochaines sessions les 23 et 24 février, à l’hôtel Mercure à Fontainebleau. Le concept est également amené à voyager dans les alentours de Melun. Inscriptions sur le site light-off.fr par tranche d’âge.

Une version Win est aussi accessible pour se défier entre amis ou en famille. Tél. : 06 69 55 92 46.

La Rep et Light Off vous offrent un bon d’achat de 5 euros pour venir tenter l’expérience à Fontainebleau, le week-end des 23 et 24 février. Entrez simplement le code « LAREP77 » lors de votre commande sur le site www.light-off.fr. Offre réservée aux 10 premiers internautes.

Philippe Lemoine, maire de Chaussy (Val-d’Oise), a fait le point sur la situation du domaine de Villarceaux, en sursis depuis plusieurs mois. (©La Gazette du Val-d’Oise)

2018 a été une année riche en émotions pour les Calcédoniens. Samedi 19 janvier, devant plus de cinquante personnes, Philippe Lemoine, maire de Chaussy (Val-d’Oise), a présenté ses vœux à la population.

Sans surprise, l’élu est revenu sur la situation du domaine de Villarceaux, menacé de fermeture depuis plusieurs mois. En effet, la Région Île-de-France, présidée par Valérie Pécresse (Lr), ne souhaite plus financer le lieu, qu’elle gère depuis 1989.

L’une des principales raisons de ce désistement tient aux coûts de fonctionnement élevés pour la Région, soit près de 2,2 millions d’euros par an.

Malgré tout, Valérie Pécresse a annoncé le lancement d’un Appel à manifestation d’intérêt (Ami), également nommé Opération de la dernière chance, dans le but de trouver un repreneur fiable pour le domaine.

Celui-ci n’a toujours pas débuté, alors qu’il était programmé pour fin octobre. 

« Nous resterons vigilants pour que ce domaine soit préservé, développé et reste accessible au public », insiste Philippe Lemoine.

Quoi qu’il en soit, le domaine bénéficie d’un soutien sans faille des habitants et des nombreux visiteurs du site. Une pétition, lancée en juin dernier, a recueilli plus de 10 000 signatures !

Budget de Villarceaux maintenu en 2019

Malgré ces incertitudes, la Région a accepté de voter un budget pour le site en 2019. « Cela permet de continuer dans des conditions semblables à celles de la saison 2018, voire mieux selon ce qui nous a été présenté lors des vœux du domaine », assure le maire.

Malgré l’inquiétude autour du devenir du domaine de Villarceaux, la municipalité pense aussi à la vie de ses habitants. Ainsi, en 2019, plusieurs projets devraient être réalisés.

Entre mars et juin, l’ensemble de la commune devrait accéder à la fibre optique. « Une réunion publique sera organisée d’ici les prochaines semaines afin de vous informer des offres possibles », précise l’élu.

Le projet d’une nouvelle source d’approvisionnement en eau potable, « tant attendue », va se concrétiser. Les travaux de raccordement du Puits du Bois, situé à la Comté sur le château d’eau de Chaussy, doivent débuter durant l’été. 

« Nous obtiendrons une meilleure qualité d’eau mais surtout une quantité suffisante pour éviter les restrictions régulières que nous sommes obligés de mettre en place, chaque été ou presque », se réjouit Philippe Lemoine.

Ces travaux pourraient entraîner le blocage de la circulation pendant deux mois, sur un tronçon de la Rd 171, situé le long du mur du château en direction de Villers-en-Arthies.

Des travaux d’enfouissement sont également prévus. Ceux concernant le réseau électrique, l’éclairage, le téléphone et la fibre sur le hameau de Haute-Souris seront effectués dans le courant du premier semestre, tandis que la société Enedis sera en charge d’enfouir les lignes haute tension présentes dans la commune.

La première phase devrait être réalisée d’ici à mars. « Ces travaux permettront, à terme, de supprimer plus de 1 800 m de câble aérien qui traverse notre campagne », conclut le maire.

Visite de chantier à Neufchâtel-en-Bray sur le chantier du futur centre aquatique pour Nicolas Bertrand (à gauche), président de la Communauté de communes Bray Eawy, Didier Duclos, vice-président de la Communauté de communes et  Xavier Lefrançois (à droite), maire de Neufchâtel-en-Bray.  (©Le Réveil de Neufchâtel)

Lors d’une visite sur le chantier du centre aquatique à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime), Nicolas Bertrand, le président de la Communauté de communes Bray Eawy a annoncé la pose de la première pierre le 9 mai 2019 à 10 h. Son vice-président mais aussi maire de Neufchâtel-en-Bray, Xavier Lefrançois a également évoqué le stationnement. De nouvelles places de parking pourraient être créées à proximité de la piscine et du collège Albert Schweitzer.

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La construction d’un nouveau parking dépendra de la fréquentation. Le lieu est déjà trouvé. Il est envisagé en contrebas du parking du collège, près du bassin destiné à recevoir les eaux pluviales de l’établissement scolaire aujourd’hui. 

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Il a aussi annoncé que le chantier était dans les temps. Malgré des conditions météorologiques peu favorables ces derniers jours avec la neige, le froid. 

Mais cela ne va pas affecter le délai de construction du projet. Le premier plongeon (ouverture de la piscine) est toujours prévu en janvier 2020.

Cette vue aérienne du chantier de la future piscine de Neufchâtel-en-Bray sous la neige montre le travail qui reste à accomplir (©Bray Eawy)

Le risque avalanche est à son niveau maximum. (©Wikimédia/Image d’illustration)

Les stations de ski peuvent avoir le sourire, la neige annoncée est bien au rendez-vous depuis le début de semaine.

Le risque d’avalanche est donc important sur l’ensemble du domaine skiable, selon Météo-France.

#Avalanche secteur #ax3domaines avec recherches en cours #Pyrenees #neige
👉Le risque d’avalanche demeure très fort #ariege 📷Ride Pyrénées pour Météo Pyrénées pic.twitter.com/PoGTMYyox8

— Météo Pyrénées (@Meteo_Pyrenees) January 24, 2019

Le risque d’avalanche est à 4 voir à 5 sur 5. (©Météo-France)

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Risque avalanche au maximum

Un peu plus tôt dans la semaine, le risque d’avalanche était de 5 sur 5, toujours selon Météo-France.

A @Peyragudes, repos bien mérité pour les dameuses qui ont damé les 70 cm tombés depuis hier matin. Sur les dernières 48 heures : 1,10 m de neige fraîche au sommet et 80 cm au pied des pistes ! #npy #pyrenees pic.twitter.com/ByG4Mk1kqf

— ❄️ N'PY ⛷️ (@npyski) January 24, 2019

«J’ai 50 ans et j’aime ça!!!» Vous aussi, vous allez adorer les «fifty balais and the dust» de Franck Dubosc (©Thierry Chion)

Après le spectacle «Franck Dubosc à l’état sauvage», Franck Dubosc est actuellement en tournée avec son cinquième spectacle solo «Fifty Fifty». Il sera sur la scène du Zénith Toulouse Métropole jeudi 31 janvier 2019 à 20 heures. 

Comme le nom du spectacle laisse à penser, le thème est la cinquantaine. Et âgé de 54 ans, il maîtrise son sujet : « À  50 balais, le plus dur, c’est que t’es un vieux pour les jeunes, et t’es un jeune pour les vieux, t’est fifty, fifty… mi figue-mi raisin…sec, pour le coup »

À la fois éternel séducteur aux yeux couleur océan et jeune papa poule attendri par ses deux petits super-héros, Franck Dubosc livre un nouveau spectacle d’une sincérité totale et d’une drôlerie imparable.

Des places à gagner jusqu’au 28 janvier

Pour jouer et tenter de gagner vos places (2 places par gagnant), complétez le formulaire ci-dessous avant lundi 28 janvier 2019 à 14 heures. Les gagnants seront informés par téléphone. Bonne chance à tous !

Je veux voir Mioussov, au Moulin de Louviers. (DR)

Louviers

• À la gare aux Musique, Release party de l’album Neverland, de Clément Vadcard, alias Colin, vendredi 25 janvier. Le groupe Spaarkles sera aussi présent. Tarif : 5 €.
• Au Moulin, Rencontre annuelle du NPA 27, samedi 26 janvier, avec, à 15 h, une conférence-débat de Dominique Cellier, de l’association Sciences citoyennes sur les dernières avancées scientifiques et leur lien avec le progrès social. Et, à 18 h, la présence d’un avocat contre la réforme de le justice et d’un Gilet jaune, avant un meeting avec Christine Poupin, porte-parole du NPA.
• Au Moulin, dimanche 27, représentation de la pièce Je veux voir Mioussov, à 15 h. entrée : 5 €. Réservations au 02 32 40 31 92.
• À l’école de musique, début de l’exposition de Marc Peltzer, photographe et peintre. Accès aux heures d’ouverture de l’école de musique.
• À la médiathèque, vendredi 25, à 12 h 30, et samedi 26 janvier, à 11 h 30, séances en groupes, gratuites et sur réservations, de consultation des trésors littéraires de la médiathèque. Renseignements au 02 32 09 58 80.
• À la médiathèque, samedi 26 janvier, à 10 h 30, sur inscription, séance de contes pour enfants : « Les cinq sens, toute une histoire ».

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Le Vaudreuil

• Au Pavillon des Aulnes, les danseuses et danseurs de la B&M company seront présents pour une représentation du spectacle ExtraVaGance, samedi 26 janvier, à 20 h 30. Billetterie sur place. Tarif : 10 €. Renseignements au 02 32 59 02 74.

Léry

• Salle Nicolas-Poussin, fest-noz, samedi 26 janvier, avec une initiation aux danses à 20 h. À 21 h, le couple de sonneurs Landat / Moissonet et les groupes Mskratad et Meskañ.

Incarville

• À la salle des fêtes, deux lotos. Samedi 26 janvier : ouverture des portes à 18 h 30 et début des jeux à 20 h 30. Dimanche 27 janvier : ouverture des portes à midi et début des jeux à 14 h.

Le nouveau magasin NOZ doit ouvrir ses portes le 23 avril 2019 en lieu et place de La Grande Récré, sur la zone Cap’Nor à La Glacerie. (© Google Street View)

L’enseigne NOZ, chaîne de magasins française de déstockage généraliste (alimentaire, textile, univers de la maison, de la personne, loisirs, décoration…), va donc ouvrir un nouveau magasin sur Cherbourg-en-Cotentin.

Après Equeurdreville, Noz va ainsi s’implanter à La Glacerie, à la place du magasin de jouets La Grande Récré, dans la zone commerciale Cap’Nor.

La date d’ouverture de ce nouveau magasin est prévue pour le 23 avril prochain. Les travaux débuteront dès que la commission de sécurité aura donné son accord pour l’ouverture.

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Douze contrats à pourvoir

Pôle Emploi diffusera les offres d’embauche environ un mois avant la date d’ouverture prévue. Car dès la fin du mois de mars, dix contrats à durée déterminée de 35 heures seront à pourvoir pour une durée de trois semaines.

Un chef et son adjoint seront aussi recrutés pour deux contrats à durée indéterminée de 39 heures pour la même période.

Ces postes seront ensuite pérennisés en fonction du chiffre d’affaires de ces premières semaines.

Vous accueillent chez ÔStam’ (de gauche à droite) : Stéphanie Chavey, Jeannette Midavaine, Zbiniew Siwak et Thibault Fournaise. (©Amandine Vachez/Lille Actu)

Lundi 14 janvier 2019, ÔStam’ ouvrait ses portes, rue Jean-Jaurès à Villeneuve d’Ascq (Nord). Rencontre avec Jeannette, la gérante, et son équipe, qui vous accueillent dans un lieu unique. Un estaminet « pas comme les autres », à l’image du quartier de La Maillerie.

Sur mesure pour le quartier

« Le concept s’est précisé au fur et à mesure, pour se coller au maximum à l’endroit, au quartier », nous explique Jeannette Midavaine, gérante du lieu, dix jours après son ouverture.

L’ancienne gestionnaire du café de la médiathèque de Roubaix, approchée il y a quelques mois par les porteurs du projet de La Maillerie, avait déjà une idée générale de l’établissement qu’elle souhaitait ouvrir.

Je voulais faire de la cuisine maison, avec des produits de saison », explique-t-elle.

La simplicité au service d’un bon moment

C’est une ambiance propice à la détente qui émane de chez Ô’Stam. 

Un grand espace où il est possible de choisir de se poser autour d’une grande table ronde, d’une plus petite, ou d’une longue table en hauteur. Certains espaces salon, plus cosy, ou des traditionnels tabourets hauts pour être accoudé au bar : les clients ont l’embarras du choix. Il y a même un jeu de fléchettes et un babyfoot !

« Nous organisons beaucoup de jeux. Par exemple, demain soir, nous proposons un blind test ! », nous annonce Thibault Fournaise, tout sourire derrière le bar l’après-midi du jeudi 24 janvier.

Il y a toute une part d’événementiel qui est importante », souligne Jeannette. 

Jeudi soir, c’est session « apéromix », vendredi soir, place à la soirée jeux, avant le concert du samedi, et le « bal au brunch » du dimanche.

Thibault, qui repère les groupes de passage chez Ô’Stam, tente de proposer « une programmation éclectique, pour qu’il y en ait pour tous les goûts ».

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Pensé pour tous

Niveau animations, il y en a pour tous les goûts, donc. Même chose pour les produits.

Vous trouvez plusieurs bières à la pression (dont la Bruges Zot, la bière locale Moulin d’Ascq, et même une sans gluten !). Plusieurs vins, des cocktails et autres softs complètent la carte des boissons classiques (café, thé, etc.). 

Côté cuisine, des plats traditionnels et de saison sont servis le midi, au fil des envies de Jeannette. Le soir, c’est planche de charcuterie, fromages ou poisson et/ou frites maison.

Nous cherchons encore des maraîchers du coin avec qui travailler, nous privilégions au maximum les produits en circuit court », souligne Jeannette. 

Elle assure que les pommes de terre servant pour les frites sont « bien du Nord » et coupées sur place : « Mes mains s’en souviennent », plaisante-t-elle, heureuse de constater que sa cuisine plaît aux premiers clients.

Nous faisons en moyenne 50 couverts par service, mais ça peut être 45 en semaine, comme 100 le samedi. En tout cas, on est contents de voir que ça marche bien !

Autre détail important : ce lieu est ouvert à tous, et notamment aux famille. Un menu « 1/2 portion » est proposé pour les enfants, et les végétariens et végans ne sont pas oubliés.

Les enfants n’auront pas de purée-jambon, ils mangent aussi de bonnes choses, mais en moindre quantité. Et pour les végétariens et végans, manifestez-vous ! Nous faisons de la cuisine pour tout le monde.

Un très beau concept en perspective, tenu par une équipe dynamique et passionnée. Il ne reste plus à ceux qui ne l’ont pas encore fait d’aller tester !

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Infos pratiques :
ÔStam’,
220 rue Jean-Jaurès à Villeneuve d’Ascq (près du métro 2, arrêt « Jean-Jaurès » ou du tramway, arrêt « Le Sart », parking sur place).
Ouvert tous les jours : du lundi au jeudi de 10h à minuit, le vendredi de 10h à 1h, le samedi de 10h à 2h et le dimanche de 11h à 19h.
Happy hour de 17h à 21h, sauf le dimanche.

Face à Viry-Châtillon en 16^es de finale de la Coupe de France, l’attaquant caennais Yacine Bammou a célébré très sobrement son but, le dédiant à son ami Emiliano Sala. (©Aline Chatel/Sport à Caen)

Le tirage au sort des 8^es de finale de la Coupe de France s’est déroulé ce jeudi 24 janvier 2019 au stade de la Licorne d’Amiens, avant la rencontre des 16^es de finale qui opposera l’Amiens SC (Ligue 1) à l’Olympique lyonnais (Ligue 1). 

Reporté en raison de la disparition de l’ancien buteur canari Emiliano Sala, le dernier match de cette phase de la compétition, Entente Sannois-Saint-Gratien (National) – FC Nantes (Ligue 1), se disputera dimanche 27 janvier à 17h30.

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Les rencontres des 8^es de finale

• Guingamp (L1) – Amiens (L1) ou Lyon (L1)
• Bastia (N3) – Caen (L1)
• Croix (N2) – Dijon (L1)
• Metz (L2) – Orléans (L2)
• Villefranche (N1) – Paris (L1)
• Nantes (L1) ou Sannois-Saint-Gratien (N1) – Toulouse (L1)
• Rennes (L1) – Lille (L1)
• Vitré (N2) – Lyon Duchère (N1)

Les clubs de Ligue 1 s’en sortent plutôt bien, avec des matchs contre des équipes de National 1, 2 et 3. Deux à trois pensionnaires de l’élite passeront à la trappe à coup sûr à l’issue de ce tour (en fonction du résultat du match du FC Nantes). Et peut-être plus, si Villefranche, Bastia ou Croix venaient à créer un nouvel exploit…

Les 16^e de finale de la Coupe de France se disputeront les mardi 5 et mercredi 6 février 2019.