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La Gironde placée en vigilance jaune neige et verglas dès ce mercredi soir

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Le département de la Gironde a été placé en vigilance jaune neige et verglas par la préfecture de la Gironde et de la Nouvelle-Aquitaine.

Le département de la Gironde a été placé en vigilance jaune neige et verglas par la préfecture de la Gironde et de la Nouvelle-Aquitaine. (©Photo Archives – Daniel Detrieux)

Après le grand froid, la neige va-t-elle faire son apparition en Gironde cette semaine ? 

Rien est sûr, pourtant, la préfecture de Gironde et de Nouvelle-Aquitaine vient de placer le département en vigilance jaune neige et verglas à partir de ce mercredi, à 22h.

LIRE AUSSI : Météo : la neige pourrait s’inviter en Lot-et-Garonne cette semaine 

La vigilance jaune devrait durer jusqu’à ce jeudi 23 janvier, à 10h, d’après Météo France

La préfecture invite les habitants à être attentifs en cas de pratique d’activités sensibles à la météorologie et de rester informer sur la situation. 

Qu’en dit Météo France ? 

Si le placement du département en vigilance jaune est bien réel, on ne peut pas en dire autant concernant de possibles chutes de neige à partir de ce soir. 

En effet, le site de Météo France ne donne aucune indication allant dans ce sens. 

LIRE AUSSI : Neige en Sud-Gironde en 2018 : redécouvrez notre diaporama photos

Au contraire, ce sont plutôt des éclaircies qui sont attendues ce soir sur l’ensemble du département, avec des températures allant de -2°C à 8°C selon les territoires. 

Il semblerait que pour voir la neige chez nous, il faudra encore patienter. À moins d’une surprise demain matin, au réveil… 

 


Football. Le MNK96 déploie une banderole pour Emiliano Sala à Viry-Châtillon

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Les supporters caennais ont une pensée pour Emiliano Sala...

Les supporters caennais ont une pensée pour Emiliano Sala… (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Les supporters du Stade Malherbe Caen ayant fait le déplacement à Viry-Châtillon ont eu une pensée pour Emiliano Sala, passé par le club en 2015 et toujours porté disparu. A côté de la bâche MNK96, on peut lire « EMILIANO ».

La banderole pour Emiliano Sala.

La banderole pour Emiliano Sala. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Villers-sur-Mer : le fils impulsif une nouvelle fois condamné

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L'habitant de Villers-sur-Mer (Calvados) a été condamné par le tribunal de Lisieux (Calvados).

L’habitant de Villers-sur-Mer (Calvados) a été condamné par le tribunal de Lisieux (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Mercredi 23 janvier 2019, un homme de 20 ans était jugé en comparution immédiate au tribunal de Lisieux (Calvados) pour avoir défoncé la porte et s’être introduit chez ses parents à Villers-sur-Mer (Calvados).

Des relations compliquées avec ses parents et des condamnations

Il avait interdiction d’y paraître, dans le cadre d’une mise à l’épreuve prononcée dans un précédent jugement. 

Le jeune majeur a déjà été condamné pour dégradation et violences sur ses parents le 29 août 2017, à 4 mois de prison avec sursis, puis le 13 février 2018 à 27 mois de prison dont 24 avec sursis et mise à l’épreuve. En mars 2018, il avait écopé de 4 mois de prison ferme pour outrage et rébellion contre les gendarmes de Villers-sur-Mer

Peur de « finir à la rue »

Cette fois, les faits datent du vendredi 18 janvier 2019. Vers 9 h du matin, il téléphone à son père, car il souhaite passer au domicile de ses parents « pour prendre une douche et [se] changer ». Ces derniers, qui se préparent à partir à Lisieux (Calvados), refusent. 

Mais leur fils, qui se décrit comme « entêté et têtu », les menace de venir quand même. En effet, en fin de matinée, leur voisine les prévient que leur porte d’entrée est défoncée. Quand les gendarmes se présentent au domicile, le midi, personne n’est à l’intérieur. 

Le prévenu reconnaît les faits. Et pourtant, « tout se passait bien jusqu’à ce fameux jour » :

J’avais peur qu’ils ne m’aiment plus, de me faire rejeter et de finir à la rue. 

« Pourquoi vous ne saisissez pas leur main tendue ? »

Depuis sa sortie de prison en juin 2019, le jeune homme a vécu chez une tante à Ifs (Calvados), chez une amie de la famille, puis ses parents lui ont trouvé un logement en face du leur à Villers-sur-Mer (Calvados). 

Lionel Da Costa Roma, président du tribunal :

« On ne peut pas dire qu’ils faisaient tout pour couper les ponts, pourquoi vous ne saisissez pas leur main tendue ? »

« Il était sur la voie de la rédemption »

Le Villersois avait même tissé de nouveaux liens avec ses parents, et passait du temps avec eux. A la barre, le père témoigne, et évoque « le mal être » de son fils qui aurait « besoin de soins » : 

On l’aime, on est prêt à faire beaucoup de choses pour lui. On lui a tout donné. Il vaut beaucoup mieux que ça, il est intelligent, quand il n’a pas deux fils qui se touchent… Il était sur la voie de la rédemption… Savoir mon fils en prison, je me dis que c’est un peu de ma faute.

Les relations entre eux se sont dégradés fin décembre 2018 : le prévenu avait alors repris sa consommation de cannabis, et cessait de se rendre à sa formation. 

« Trois points essentiels » pour le ministère public

Christophe Bogliolo, substitut du procureur, met en avant « trois points essentiels » : le devoir de protéger les parents et le petit frère du prévenu, le fait que toute altération du discernement a été écartée par le psychiatre, et le non respect de sa mise à l’épreuve.

C’est pourquoi il requiert 4 mois de prison ferme et la révocation d’un sursis à hauteur de 2 mois, avec mandat de dépôt. 

6 mois de prison ferme, avec bracelet électronique 

Pour son avocat, maître Naviaux, placer son client en détention « le ferait repartir à zéro ». Il insiste sur « la grande amélioration » dans son comportement, jusqu’à la rechute :

Il s’est retrouvé dans un vide existentiel, ses vieux démons ont resurgi. 

Le tribunal de Lisieux  le condamne à 6 mois de prison ferme, et ordonne son maintien en détention. Il passera quelques jours à la maison d’arrêt de Caen (Calvados) avant d’être placé sous surveillance électronique.

Il devra suivre des soins psychologiques, chercher un travail ou une formation, et fixer sa résidence chez une amie de la famille. 

Seine-et-Marne. En 1994, la forêt de Fontainebleau s'enracinait au cœur de la BnF

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Le jardin-forêt de la Bibliothèque nationale de France, ici en travaux en 1994, a laissé place à une reproduction miniature du massif de Fontainebleau

Le jardin-forêt de la Bibliothèque nationale de France, ici en travaux en 1994, a laissé place à une reproduction miniature du massif de Fontainebleau (©LaRep77)

Vous connaissez sans doute ses quatre tours en forme de livres ouverts qui se dressent non loin du quartier de Tolbiac, à Paris (XIIIe). Certains d’entre vous ont peut-être même arpenté ses couloirs ou investi ses salles de travail.

Inauguré le 30 mars 1995 par François Mitterrand, le site de la Bibliothèque nationale de France (Bnf), situé quai François Mauriac, rassemble plus de 20 millions de documents en tous genres (lire encadré). Mais ce ne sont pas les seules richesses qu’il abrite.

Au cœur de l’édifice, se niche en effet un écosystème inattendu : un jardin-forêt dont les origines ne laisseront pas insensibles les Seine-et-Marnais. Et pour cause.

Le 25 juillet 1994, La Rep annonce la couleur à sa une : « Bibliothèque de France, la forêt de Fontainebleau au cœur du projet ».

Dominique Perrault, l’architecte du site alors en travaux, a en effet l’idée d’associer le symbole de l’arbre à celui du livre : « (Il) prévoit une sorte de reproduction du célèbre massif sur un patio de 12 000 m2, racontent nos collègues. Cette énorme cour intérieure sera plantée de diverses essences d’arbres, dont certaines proviennent de Seine-et-Marne ou de la forêt de Bord en Normandie. »

Rochers, sable et maxi-lézard

Si les fûts cinquantenaires ont été entretenus en pépinières en Normandie, avant d’être acheminés par camion dans la capitale, d’autres aménagements envisagés étaient directement inspirés du massif seine-et-marnais, le plus grand d’Ile-de-France.

« La reconstitution des lieux prévoit également les fameux rochers qui ont rendu le massif bellifontain légendaire, poursuit La Rep. Ainsi que ses mers de sable et quelques animaux comme des écureuils et des oiseaux. »

Une universitaire avonnaise, Edith Kosmanek, proposa même, avec humour, « que l’on tente d’y introduire un animal fort rare, mais néanmoins présent dans le massif : le maxi-lézard vert, plus connu comme l’iguane de Fontainebleau. »

Si le reptile ne mettra jamais les pattes à Paris, les 126 pins sylvestres plantés à l’origine, les chênes, bouleaux et autres bruyères qui peuplent la forêt de Fontainebleau y prendront bien racine.

Ils forment « l’horizon de l’intérieur des salles de lecture ouvertes au grand public au premier étage, et réservées aux chercheurs au rez-de-chaussée », décrit votre canard préféré en 1994. Avant de corriger : « Au rez-de-forêt devrait-on dire. » Ce sera en fait le célèbre « le rez-de-jardin ».

Les salles de lecture et de recherche donnent sur le jardin

Les salles de lecture et de recherche donnent sur le jardin (©LaRep77)

Aujourd’hui, le site internet de la Bnf retrace lui aussi cet incroyable projet devenu réalité : « Ce morceau de forêt, reconstitué à l’image de celle de Fontainebleau […] occupe les trois-quarts des 10 600 m2 dédiés au jardin, tandis que le quart restant est recouvert d’un gazon. »

Un véritable écosystème

Depuis, des fougères, jacinthes, géraniums et faux fraisiers sont venus garnir les lieux, par ailleurs entretenus sans produits chimiques. Le jardin est notamment géré grâce à l’éco-paturâge et à la présence de chèvres.

La BnF s’est également associée à la Ligue pour la protection des oiseaux. Elle a installé deux nichoirs au sommet d’une des tours de la bibliothèque pour accueillir des faucons pèlerins. Un couple d’éperviers a aussi élu domicile dans les arbres du jardin.

En 2013, après un inventaire de quatre ans, le Muséum national d’histoire naturelle recensait pas moins de 58 espèces de plantes, 20 espèces d’araignées, 8 espèces de papillons et 13 espèces d’oiseaux.

Symbole, s’il en est, que le projet mis en place il y a 16 ans a bien poussé.

 

 La BnF, ce mastodonte
Avant de devenir un véritable écosystème à échelle réduite, il ne faut pas oublier que la BnF est la plus grande bibliothèque de France et compte parmi les plus importantes du monde.
La Rep du 25 juillet 1994 dressait déjà un bilan chiffré ahurissant : « 2 900 000 m² de planchers, 400 km linéaires de rayonnages, 850 000 volumes en libre accès, 10 millions de volumes en magasin, 650 000 titres périodiques, 1 200 000 images fixes, 80 000 heures d’images animées ou encore 600 000 heures de documents sonores ». Bref, de quoi faire tourner les têtes des mordus d’arithmétique !
Vingt-cinq ans plus tard, la collection de ce mastodonte a bien grossi. En témoignent les quelque 40 millions d’ouvrages référencés qui dorment dans ses entrailles.
Autres différences avec 1994 : les chiffres de fréquentation. Peu de temps avant son ouverture, les gestionnaires des lieux attendaient « la visite de près de 3,6 millions de personnes chaque année ». De nos jours, la BnF en accueille deux fois moins. Malgré tout, elle reste la plus visitée de l’Hexagone…

Pratique. Fermé au public, le jardin ouvrira néanmoins ses portes les 8 et 9 juin 2019 à l’occasion des Rendez-vous du jardin.

 

Maxime BERTHELOT avec Jérôme LEMONNIER

Économie, formation, agriculture... Les élus de la Région défendent leur bilan dans le Calvados

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Les élus de la majorité à la Région, issus du Calvados ont dressé un bilan trois ans après leur élection.

Les élus de la majorité à la Région, issus du Calvados ont dressé un bilan trois ans après leur élection. (©M-B/14actu)

Trois ans après avoir rejoint les bancs de la Région Normandie, les élus de la majorité issus du Calvados  ont dressé un premier bilan tout en évoquant les chantiers en cours. Sujet phare, l’économie

LIRE AUSSI : Une agence pour guider les jeunes vers les « vrais » employeurs : « Du boulot, on en a en Normandie »

Simplifier les démarches pour les entreprises

Menée par Sophie Gaugain, vice-présidente de la Région Normandie en charge du développement économique et du soutien aux entreprises, le bilan des élus calvadosiens de la majorité régionale a très logiquement démarré par le volet économique. 

L’Agence pour le développement (ADN) de la Normandie qui vient en aide aux différents acteurs de la région est aujourd’hui en mode croisière. Sur les entreprises liées à l’export, les recours auprès de notre agence ont augmenté de + 125 % avec un soutien en conseil ou financier procuré auprès de 1 000 entreprises, a indiqué Sophie Gaugain.

Comme pour les dispositifs liés à l’économie sociale et solidaire (38 dossiers gérés dans le Calvados pour un coût de 569 897 euros en 2017), présentés par Lynda Lahalle, les élus se sont targués d’avoir considérablement travaillés sur la simplification des démarches pour les acteurs concernés.

LIRE AUSSI : Monnaie locale en Normandie : Et si le Rollon pouvait créer la bonne surprise ?

« Aujourd’hui en quatre clics vous constituez votre dossier auprès de l’ADN », a insisté Sophie Gaugain. Dans le Calvados, 335 entreprises ont ainsi bénéficié du soutien de cette agence. 

Et pour celles dont la situation est plus chaotique, le dispositif ARME (Anticipation redressement mutation économique) a permis à 123 entreprises de trouver des réponses.

En veille sur les conséquences économiques liées au Gilets jaunes
Les conséquences du mouvement des Gilets Jaunes, Sophie Gaugain en est bien consciente : « En matière économique, il va y avoir des répercussions. Nous sommes actuellement en veille sur ce sujet. Mais il est trop tôt pour en dire plus. » 
Le dispositif Arme ne sera certainement pas celui auquel aura recours la Région en cas de difficultés, « nous verrons pour mesurer notre champ d’action quand les retours du terrain seront terminés. » 

Une agence de l’orientation pour les jeunes

Annoncée il y a quelques semaines par Hervé Morin, la création de l’agence de l’orientation  est prévue pour septembre 2019 . « Dès le collège, les élèves auront une information précise et évolutive sur les filières qui recrutent dans notre région », a indiqué Marc Millet. L’objectif est clair : « Une formation doit aboutir sur un emploi. » 

Ce dernier a souligné : « En deux ans, l’apprentissage qui était un volet fort de la campagne de Hervé Morin a vu ses effectifs augmenter de 8 %. Aujourd’hui 20 000 stagiaires sont en formation continue dans la région, dont 25 % dans le Calvados. » 

Indicateurs au vert pour l’agriculture

Autre volet de l »économie régionale, l’agriculture. Pour Didier Vergy, les indicateurs sont au vert : « Nous voulions une politique agricole offensive, nous avons réussi. » Chiffres à l’appui, il défend : « 300 installations recensée par an, une centaine de dossiers de valorisation des productions agricoles normandes et un nombre d’exploitations engagées dans les nouvelles pratiques : 5 000, soit un chiffre bien au-dessus de ce que nous avions annoncé. » 

Reste que pour aller au bout de ces projets de développement les agriculteurs, installés au fin fond du Calvados, vont avoir besoin « de la fibre qui tarde et on le regrette sur certains secteurs. Car les agriculteurs, eux, ont su s’adapter. » 

LIRE AUSSI : Lisieux va accueillir un sommet agricole « de grande envergure »

Val-d’Oise. Le Cocci Market du centre de Pontoise braqué

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Les policiers sont toujours à la recherche du braqueur de la supérette de Pontoise.

Les policiers sont toujours à la recherche du braqueur de la supérette de Pontoise. (©Illustration Actu.fr)

Il était 20h45, mardi 22 janvier, lorsqu’un individu cagoulé et ganté a fait irruption dans le Cocci Market installé à l’angle des places du Grand-Martroy et du Petit-Martroy à Pontoise (Val-d’Oise).

Le braqueur se fait remettre la caisse

Alors qu’un client se trouvait dans la supérette, le malfaiteur a sorti une arme de poing avec laquelle il a braqué le gérant de 22 ans. Sous la menace, ce dernier a remis le contenu de la caisse, soit environ 500 euros. Son braqueur a ensuite pris la fuite en direction de la gare.

Lire aussi : Un nouveau Coccimarket au centre de Pontoise

Alors qu’une enquête de police a été ouverte, l’individu était toujours recherché par la police ce mercredi soir.

Une jeune fille dérobe 5 000 euros dans l'agence où elle est en stage à Brest et utilise la carte bancaire de la société pour des achats personnels

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La jeune fille de 16 ans a reconnu les faits : elle n'était pas connue des services de police et de justice

La jeune fille de 16 ans a reconnu les faits : elle n’était pas connue des services de police et de justice (©Côté Brest).

Mercredi 16 janvier 2019, le gérant d’une agence de location de voitures et de véhicules utilitaires, installée avenue Georges-Clemenceau dans l’hyper-centre de Brest, a signalé à la police la disparition d’une enveloppe, contenant 5 000 euros, et entreposée dans un placard non sécurisé. 

Sur place, les policiers n’avaient constaté aucune infraction. 

Dans sa plainte, le gérant déclarait avoir également été victime de deux achats frauduleux (des lunettes et des vêtements féminins commandés via internet, pour une somme de 549 euros) et de quatre tentatives de paiement avec la carte bancaire de l’agence, rejetées, dont l’une sur un site de bijoux, s’élevant à 51 718 euros. 

Une jeune stagiaire soupçonnée

Les soupçons se sont rapidement portés sur une jeune stagiaire de l’agence, seule lors de la disparition de l’enveloppe. Soupçons qui ont été confirmés par l’adresse de livraison des objets commandés, malgré la précaution prise par la jeune fille de modifier légèrement son identité. 

Âgée de 16 ans, elle a été interpellée mercredi matin, 23 janvier, à son domicile, conduite au commissariat central de la rue Colbert et placée en garde à vue. La perquisition au domicile a permis de retrouver bon nombre de vêtements et d’objets commandés. 

La jeune fille, inconnue des services de police et de justice, a reconnu les faits. Elle est convoquée devant le délégué du procureur et devra rembourser sa victime. 

Un chef étoilé installe son nouveau restaurant à Lille

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Le chef étoilé Éric Delerue

Le chef étoilé Éric Delerue (©Sophie Stalnikiewic)

Et si Lille comptait bientôt un troisième restaurant étoilé ? Avec La Table et Rozó, sacré lundi 21 janvier 2019 par le Guide Michelin, la Capitale des Flandres va prochainement accueillir un nouveau chef étoilé. 

Après la fermeture de son restaurant Le Cerisier en juin 2018, Eric Delerue s’installe dans le Vieux-Lille où il officiera dès avril 2019. Formé par Marc Meurin, chef doublement étoilé à Busnes (Pas-de-Calais), le jeune chef ouvre son propre établissement à Laventie en 1986 alors qu’il n’a que 21 ans.

A LIRE AUSSI – Guide Michelin : promotions, rétrogradations, surprises… découvrez le palmarès 2019

Distingué depuis 2002 par une étoile, le chef a désormais un nouveau défi à relever : reconquérir le célèbre guide rouge. Les règles prévoient en effet que, dans le cadre d’un déménagement de restaurant, l’étoile soit confirmée par la visite d’un inspecteur. Une étape qui devrait n’être qu’une simple formalité pour Eric Delerue.

Une adresse, trois concepts

Pour accueillir la cuisine gastronomique d’Eric Delerue, un tout nouveau lieu a été imaginé. Situé sur l’avenue du Peuple-Belge, en face de l’Hospice Comtesse, Le Cerisier version lilloise est en fait un concept triple : une table gastronomique, une brasserie contemporaine et un boutique-hôtel. L’ensemble est installé dans une création architecturale contemporaine imaginée par le cabinet d’architectes lillois Coldefy & Associés.

Au rez-de chaussée du bâtiment, les clients pourront à tout moment de la journée passer un moment à La Griotte, une brasserie contemporaine. A l’étage, Le Cerisier, nouveau territoire d’Eric Délerue où les habitués pourront retrouver sa cuisine signature : « traditionnelle dans l’esprit, libre dans sa réalisation ».

Enfin, les étages sur Cerisier seront réservés à  la partie hôtellerie : six chambres « au style et à la personnalité uniques, autour de l’univers gastronomique d’Éric Delerue ».

Le restaurant gastronomique du chef étoilé Eric Delerue sera situé au premier étage de ce nouveau bâtiment, à Lille (Nord).

Le restaurant gastronomique du chef étoilé Eric Delerue sera situé au premier étage de ce nouveau bâtiment, à Lille (Nord). (©Coldefy & Associés Architectes Urbanistes / Perspective VIZE)


Vidéo. Gironde : un casting des Z'Amours à Bordeaux fin janvier

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Le casting est prévu mardi 29 janvier, à Bordeaux.

Le casting est prévu mardi 29 janvier, à Bordeaux. (©Facebook Les Z’Amours)

Avis aux couples girondins passionnés de jeux télévisés.

L’émission de France 2, Les Z’Amours, vient à Bordeaux (Gironde) pour des castings de couples mardi 29 janvier.

A lire aussi : envie de tout casser ? La Fury Room débarque à Mérignac, près de Bordeaux !

Inscription en ligne

L’inscription au casting se fait par internet ici. Sur l’événement Facebook des Z’Amours, on peut lire : 

Vous vivez en couple, vous avez plus de 18 ans, participez aux Z’Amours et vous gagnerez peut être un voyage d’une semaine pour deux ! Inscrivez vous et venez retrouver l’équipe du casting des Z’Amours !

Vidéo > Best Of  Les Z’Amours

Toulouse : un million d'euros mobilisé pour soutenir les commerçants, fragilisés par les manifs

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Exonérations, événements, gratuité du stationnement… La mairie de Toulouse annonce des mesures de soutien aux commerçants affectés par les manifs des gilets jaunes en janvier 2019.

La mairie de Toulouse annonce des mesures de soutien aux commerçants affectés par les manifs des gilets jaunes depuis novembre dernier. (©Illustration / Anthony Assemat)

Samedi 12 janvier 2019, au premier jour des soldes d’hiver, et alors que les gilets jaunes battaient le pavé à Toulouse pour l’acte IX de la mobilisation, le maire Jean-Luc Moudenc avait organisé une réunion pour élaborer un plan de soutien aux commerçants affectés par les manifestations. Un « plan Marshall », selon les mots du maire, destiné à « éviter des conséquences irréversibles ». Dix jours plus tard, on en sait davantage sur ce plan de soutien, dont l’enveloppe s’élèvera à « près d’un million d’euros ».

LIRE AUSSI : Impact des manifs des Gilets jaunes à Toulouse : un « plan Marshall » pour soutenir les commerçants

Un « effort de solidarité » de près d’un million d’euros

La municipalité indique que ce « plan de soutien aux commerçants et artisans impactés par les mouvements sociaux de ces dernières semaines » a été finalisé mardi 22 janvier 2019 au cours d’une réunion de travail avec les acteurs économiques mobilisés : la Fédération des associations de commerçants de Toulouse, accompagnée de la Chambre de commerce et d’industrie de Toulouse, de la Chambre des métiers et de l’artisanat de la Haute-Garonne, le Medef 31 et la CPME 31. Et les mesures qu’il contient seront proposées au vote du Conseil municipal extraordinaire qui se réunira le vendredi 8 février prochain.

À la clé ? Un « effort de solidarité dont le montant financier s’élève à près d’un million d’euros », souligne la collectivité. Avec ce « plan de soutien massif », la mairie mobilise plusieurs leviers que permet son champ de compétences pour venir en aide aux artisans et commerçants : exonérations de droits d’occupation du domaine public, campagnes de communication et événementiels pour inciter les consommateurs à revenir dans le centre-ville, gratuité de stationnement de courte durée, etc.

Exonérations de droits et taxes

De nombreuses exonérations figurent parmi les principales mesures du plan de soutien municipal, précisées dans un communiqué : exonération des droits de terrasse sur l’ensemble du territoire communal pour une période de trois mois ; exonération des droits de place pour les commerçants de tous les marchés de plein vent, marchés spécialisés, brocantes et des trois marchés couverts du territoire communal pour une période de trois mois ; exonération des droits de place pour les manèges et les vendeurs de marrons chauds dans le centre-ville pour une période de trois mois ; exonération des droits de place pour les commerçants du marché de Noël de la Place du Capitole ; exonération des droits de place des  taxis pour une période de trois mois ; exonération des droits de places des commerçants souhaitant faire une opération commerciale de type « déballage » devant leur commerce dans la limite de trois opérations de six jours en 2019.

LIRE AUSSI : Toulouse : une enquête montre l’impact des manifestations des Gilets jaunes sur les commerces

Braderie sur trois jours et nocturne pour les soldes d’été

La collectivité annonce par ailleurs « l’organisation d’une braderie sur trois jours, au printemps, avec reconduction d’une gratuité de trois heures dans les 16 parkings du centre-ville », une mesure qui devrait être débattue au Conseil de Métropole du jeudi 14 février 2019. Mais aussi l’organisation par les commerçants d’une soirée en nocturne, durant les soldes d’été : les « Noctansoldes ». Enfin, la municipalité devrait s’engager pour la « mise en œuvre d’un plan de communication en faveur du commerce du centre-ville ».

Jean-Luc Moudenc, ainsi que les représentants économiques du territoire et de la région, avaient écrit mardi 15 janvier 2019 au Président de la République pour demander des mesures de soutien de la part du Gouvernement pour les commerçants. Deux jours plus tard, le maire (LR) de Toulouse avait profité de la venue d‘Emmanuel Macron à Francazal pour la cérémonie de vœux aux armées, pour lui remettre les doléances des centaines de commerces de la Ville rose ayant placé un panneau « Commerces en danger : à vendre » devant leur boutique.

LIRE AUSSI : Toulouse : 700 commerces du centre-ville s’affichent « à vendre » après les manifs des gilets jaunes

La Région Occitanie a également voté des aides

Vendredi 18 janvier 2019, le Conseil régional d’Occitanie avait également annoncé « la mobilisation d’un fonds d’intervention exceptionnel de trois millions d’euros pour venir en aide aux commerçants, artisans et entreprises des centres-villes de la région impactés par les violences et compenser ainsi les pertes provoquées par les dégradations ». Et les commerçants de Toulouse, les plus touchés de la région, seraient évidemment en première ligne de ce fonds de soutien.

LIRE AUSSI : Toulouse : la Région mobilise plusieurs millions d’euros pour venir en aide aux commerçants

Sarthe. Un poulailler détruit par les flammes

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Trois centres de secours étaient sur les lieux de l'incendie.

Trois centres de secours étaient sur les lieux de l’incendie. (©Les Nouvelles de Sablé)

Mercredi 23 janvier 2019 à 6h, les pompiers de La Flèche, Mézeray et Sablé-sur-Sarthe sont appelés pour éteindre un incendie à Villaines-sous-Malicorne, au lieu-dit La Rebuffière. 

Un poulailler de 400 m2 est entièrement détruit par les flammes. 

Interviennent aussi sur les lieux les gendarmes de Malicorne-sur-Sarthe.

LIRE AUSSI. Sarthe. Un camion en feu à l’entreprise adaptée du Bailleul

Le sinistre, d’origine inconnue, semble dû à la mise en chauffe du bâtiment devant accueillir prochainement des poussins.

Les constatations sont réalisées par un technicien en identification criminelle de proximité. 

Football - Coupe de France. Caen, sérieux, se qualifie facilement pour les huitièmes de finale

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Malik Tchokounté a marqué le cinquième but caennais d'une jolie balle piquée.

Malik Tchokounté a marqué le quatrième but caennais d’une jolie balle piquée. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le Stade Malherbe Caen a fait respecter la hiérarchie ! Opposé au Petit Poucet de la Coupe de France en seizième de finale, il s’est imposé 6-0 à Viry-Châtillon. A la mi-temps, le score était déjà de 3-0 pour les Caennais.

Yacine Bammou a allumé la première mèche sur un terrain à la limite du praticable. Profitant notamment de la glissade de deux adversaires, le Caennais a placé un tir près du poteau gauche du gardien adverse (0-1, 7′). Caen ne s’est pas relâché après cette ouverture du score rapide. Saïf-Eddine Khaoui s’est offert un doublé, marquant d’abord sur un coup-franc direct dans un angle fermé (0-2, 15′), puis sur un ballon en profondeur de Malik Tchokounté (0-3, 32′) et Malherbe avait trois buts d’avance à la mi-temps. 

Caen, rigoureux, avait aussi bénéficié de la mauvaise entame de son adversaire, peut-être paralysé par l’enjeu de la rencontre. Viry s’était toutefois procuré quelques situations chaudes, dont une tête tour près du cadre. 

Yacine Bammou a célébré très sobrement son but.

Yacine Bammou a célébré très sobrement son but. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

La seconde période fut plus terne avant que Viry ne craque en fin de match. Caen a marqué trois buts de plus par Malik Tchokounté, d’une jolie balle piquée, Adama Mbengue, d’un maître coup-franc, et Jad Mouaddib, après avoir éliminé le gardien adverse. Score final : 0-6 pour Caen. Le travail est bien fait, et les joueurs en ont profité pour prendre de la confiance.

Le crochet de Jad Mouaddib.

Le crochet de Jad Mouaddib. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Cherbourg : le Forum des métiers et des formations se poursuit ce jeudi à la Cité de la Mer

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De nombreuses animations sont au programme de ce jeudi 24 janvier.

De nombreuses animations sont au programme de ce jeudi 24 janvier. (©Jean-Paul BARBIER)

Débutée la veille, la 31édition du Forum des métiers et des formations se poursuit ce jeudi 23 janvier 2019 à la Cité de la Mer.

Dans la grande halle de l’ancienne gare transatlantique, quatorze pôles vous attendent avec des professionnels, des démonstrations et des activités spécifiques. L’entrée est libre et gratuite.

De 8 h 30 à 12 heures et 13 h 30 à 17 heures, découvrez les univers des métiers suivants :

  • Mode, coiffure, esthétique
  • Communication, numérique et média
  • Fonction publique territoriale
  • Logistique et transport
  • Industries technologiques
  • Information, orientation, reconversion
  • Gestion, commerce, droit
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La présentation en vidéo 

Vidéo : "Ils sont venus pisser chez nous", crie un rugbyman de Parentis pour motiver ses coéquipiers

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Loïc Gourgues (à gauche) a fait un discours d'avant-match assez insolite.

Loïc Gourgues (à gauche) a fait un discours d’avant-match assez insolite. (©Ohvalie – Christophe Georgeval)

Le rugby amateur ne cessera jamais de nous surprendre ! Avant une rencontre de Promotion Honneur à Parentis (Landes), un joueur cadre de l’équipe locale a motivé ses coéquipiers en misant sur des arguments plutôt insolites dans son discours d’avant-match :

« On va les niquer (sic) ! […] Vous savez pourquoi ? Parce qu’ils sont venus pisser et chier dans notre vestiaire. C’est normal ça ? Non, ce n’est pas normal. Ils sont venus pisser chez nous ! »

Alors que ses coéquipiers préparaient leur match face au Stade Réolais, Loïc Gourgues a surpris les Girondins faire leur commission dans le vestiaire landais.

« Le caca de la peur ? »

« On n’était pas dans le vestiaire à ce moment-là, hormis Loïc qui faisait la sieste, rapporte un Parentissois. Il a entendu les Réolais et il les a virés de notre vestiaire. »

LIRE AUSSI : Le Bugue impressionne en Promotion Honneur

« Il n’y a qu’un WC et trois urinoirs par vestiaire, poursuit-il. Peut-être qu’ils ont eu des envies pressantes en même temps ? Ou le caca de la peur ? »

Une chose est sûre : le discours de Loïc Gourgues a eu son petit effet puisque les locaux ont gagné 24 à 20.

Toulouse : 20 kg de cannabis saisis et une dizaine d'interpellations lors d'une opération antistups

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Les policiers de la sûreté départementale ont saisi une vingtaine de kilos de cannabis dans le quartier Bagatelle, à Toulouse, mardi 22 janvier 2019.

Les policiers de la sûreté départementale ont saisi une vingtaine de kilos de cannabis dans le quartier Bagatelle, à Toulouse, mardi 22 janvier 2019. (©Illustration / DGPN – SICOP)

Vaste opération anti-stupéfiants menée mardi 22 janvier 2019 dans le quartier Bagatelle de Toulouse, au matin. Des policiers de la sûreté départementale ont procédé à de la saisie de cannabis et interpellé une dizaine de personnes, annonce La Dépêche.

Deux armes saisies

C’est à l’aide d’un chien spécialisé dans la détection de stupéfiants que les agents sont parvenus à mettre la main sur une vingtaine de kilos de résine de cannabis et sur quelques kilos d’herbe de cannabis. Par ailleurs, deux armes ont été saisies. Le tout, lors de la perquisition d’une vingtaine d’appartements rue Jules-Amilhau.

L’opération a été menée par la sûreté départementale, appuyée par une commission rogatoire d’un juge d’instruction du parquet de Toulouse.


Jouy-sur-Morin - La Ferté-Gaucher : les salariés en colère d'Arjowiggins ont marché sur la RD934

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Les salariés d'Arjowiggins ont fait une brève halte au rond-point de Villeroy&Boch, à La Ferté-Gaucher.

Les salariés d’Arjowiggins ont fait une brève halte au rond-point de Villeroy&Boch, à La Ferté-Gaucher. (©Le Pays Briard)

Plus d’une centaine de salariés d’Arjowiggins ont quitté leur usine de Jouy-sur-Morin le temps d’un après-midi, ce mercredi 23 janvier. Un impressionnant cortège de gilets réfléchissants a rejoint la mairie de La Ferté-Gaucher en empruntant la RD934.

Cette manifestation de grande ampleur avait fait l’objet d’une déclaration en préfecture. Elle était encadrée par la gendarmerie et la police municipale de La Ferté-Gaucher.

Les salariés voulaient faire entendre leurs voix après le placement en liquidation judiciaire de l’entreprise, annoncée il y a une semaine. Emmenés par le délégué syndical CGT Patrice Schaafs, debout à l’arrière d’un pick-up et micro à la main, ces personnes voulaient distribuer des tracts et rencontrer les élus locaux.

Une petite délégation a été reçue en mairie de La Ferté-Gaucher par le 1er adjoint Hervé Crapart, le maire de Jouy-sur-Morin, Luc Neirynck, et les deux vice-présidents de la communauté de communes Thierry Bontour et André Trawinski. « Nous avons été écoutés et entendus, les élus nous ont apporté leur soutien mais nous attendons des actes », a rapporté Patrice Schaafs à l’issue de cette entrevue.

Un épais nuage de fumée enveloppait la place centrale de La Ferté-Gaucher, juste avant que les salariés ne reprennent la direction de leur usine.

Un épais nuage de fumée enveloppait la place centrale de La Ferté-Gaucher, juste avant que les salariés ne reprennent la direction de leur usine. (©Le Pays Briard)

Afin de mettre la pression sur la préfecture et le gouvernement, les 199 salariés de l’usine de Crèvecoeur, à Jouy-sur-Morin, ont commencé à brûler du papier destiné aux cartes grises. « Jeudi, si aucune réponse ne nous est donnée nous brûlerons le reste de nos stocks, prévient Patrice Schaafs. Nous sommes la seule entreprise de France à produire du papier pour les cartes grises. »

L’entreprise de Jouy-sur-Morin doit fermer ses portes le 30 janvier.

L'Amour est dans le pré 2019 : Sophie-Elodie, maraîchère du Calvados, prête pour la saison 14

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Le portrait de Sophie Elodie, maraîchère dans le Calvados, sera diffusé lundi 28 janvier 2019 sur M6.

Le portrait de Sophie Elodie, maraîchère dans le Calvados, sera diffusé lundi 28 janvier 2019 sur M6. (©Cécile Rogue/M6)

La quatorzième saison de la célèbre émission de M6, L’Amour est dans le pré, revient à la télévision ! Les portraits des candidats seront diffusés sur les petits écrans les lundis 28 janvier et 4 février 2019.

Parmi eux, Sophie-Elodie, maraîchère dans le Calvados, au sud de Caen. Son portrait sera diffusé lors de la première émission, lundi 28 janvier. 

Du graphisme à l’agriculture après un accident

Avant de se lancer dans l’agriculture, la jeune femme âgée de 36 ans aujourd’hui, tenait une agence de graphisme. C’est à la suite d’un accident de voiture, provoqué par un AVC alors qu’elle avait 25 ans, qu’elle s’est reconvertie dans le maraîchage chez ses parents. 

Une profession inédite dans l’émission

Sophie-Elodie, maraîchère en permaculture produit essentiellement des asperges vertes. Ces produits sont notamment vendus autour de Caen. 

La profession de Sophie Elodie, maraîchère en permaculture et equicoaching, est inédite dans le programme.

La profession de Sophie Elodie, maraîchère en permaculture et equicoaching, est inédite dans le programme. (©Cécile Rogue/M6)

La candidate est également passionnée de chevaux. Elle a d’ailleurs lancé son entreprise d’équicoaching et de bien-être pour apaiser les maux des chevaux. La production de l’émission explique que sa profession est inédite dans le programme.

LIRE AUSSI : Insolite à Caen : des aliens recherchés pour jouer dans le teaser du festival Kino Caen

Le tournage de son portrait a d’ailleurs dû se dérouler dans le haras de la jeune femme si on se fie à la photo postée par Karine Lemarchand sur son compte Instagram. 

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En tournage…#lucky

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A la Une du Républicain du 24 janvier : les caméras de vidéo-surveillance se multiplient en Sud-Gironde

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En Sud-Gironde, de plus en plus de communes souhaitent installer des système de vidéo-surveillance.

En Sud-Gironde, de plus en plus de communes souhaitent installer des système de vidéo-surveillance. (©illustration / Le Républicain)

En une décennie, de nombreuses villes du Sud-Gironde ont sauté le pas pour installer des caméras de vidéo-surveillance. Largement subventionné par l’Etat, le dispositif attire désormais les petites communes.

Plusieurs d’entre elles vont, d’ailleurs, sauter le pas en 2019. Quelles sont les raisons qui les poussent à installer une ou plusieurs caméras dans leurs rues ?

Pour vous procurer l’édition numérique du Républicain Sud-Girondecliquez ici

La Une du Républicain Sud-Gironde

La Une du Républicain Sud-Gironde (©Le Républicain)

Cette semaine, Le Républicain Sud-Gironde consacre son dossier à la vidéo-surveillance, qui prend de l’ampleur dans le Sud-Gironde.

Marie-France Théron, ancienne maire de Portets (1989-2014), est la toute première du secteur à avoir installé des caméras sur sa commune. Elle raconte : 

A Portets, je peux vous affirmer qu’elles ont été très utiles pour des enquêtes de gendarmerie. A l’époque, les maires, avec lesquels je m’entretenais, avaient peur de rentrer dans l’intimité des citoyens. C’est ce qu’ils me confiaient

La nouvelle vie de Pascal Lavergne

Paysan, ancien maire et désormais député, Pascal Lavergne, de Monségur (Gironde) se confie sur ses nouvelles missions à l'Assemblée Nationale.

Paysan, ancien maire et désormais député, Pascal Lavergne, de Monségur (Gironde) se confie sur ses nouvelles missions à l’Assemblée Nationale. (©Le Républicain)

Autre sujet à la Une : la nouvelle vie de Pascal Lavergne. Désormais député de la douzième circonscription de Gironde, l’ancien maire de Monségur nous raconte ses premiers pas à l’Assemblée Nationale, dans un contexte pas toujours évident.

Il explique :

Quand on met les pieds la première fois dans l’hémicycle et qu’on peut poser une question […] On sent la pression monter

Les changements de la rue Maubec

La rue Maubec, rue commerçante historique de Langon (Gironde), va connaître de nombreux changements dans les semaines à venir.

La rue Maubec, rue commerçante historique de Langon (Gironde), va connaître de nombreux changements dans les semaines à venir. (©Le Républicain)

Le Républicain Sud-Gironde s’est aussi intéressé à Langon et à la célèbre rue Maubec.

Au centre de toutes les attentions depuis la fin du Passage Gourmand, l’artère historique de Langon va connaître une grande succession de changements dans les prochaines. Des commerçants vont baisser le rideau, d’autres vont arriver et certains vont déménager pour des locaux plus grands.

Football. Fabien Mercadal satisfait du sérieux affiché par Caen à Viry-Châtillon

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Fabien Mercadal avec son homologue de Viry-Châtillon.

Fabien Mercadal avec son homologue de Viry-Châtillon. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

C’est tout lui. Fabien Mercadal n’a vu dans la victoire de son équipe de Caen contre Viry-Châtillon qu’un seul point négatif : la lourdeur du score. « Le score est un peu lourd pour les adversaires. Il aurait fallu qu’on gagne 6-0 mais que Viry ne perde que deux ou trois zéro (sourire). »

LIRE AUSSI : Caen, sérieux, se qualifie facilement pour les huitièmes de finale

Caen rigoureux

Si Caen s’est imposé si largement dans ce seizième de finale de Coupe de France très déséquilibré (L1 contre R1), c’est qu’il a respecté son adversaire du début à la fin. Pas de chichis, pas de contestations, mais de la rigueur.

On a pris cette équipe au sérieux. On savait qu’on se allait se rendre le match plus facile en appuyant d’entrée. On avait prévu de pousser dès le départ. On est satisfait.

Fabien Mercadal n’a toutefois pas manqué de souligner à plusieurs reprises l’immense mérite de son adversaire dans ce si long parcours. « Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l’exploit que cela représente. C’est exceptionnel. »

« De gros actes de générosité »

Du côté des siens, l’entraîneur caennais retient « les gros actes de générosité » observés sur la pelouse très dégradée de Viry-Châtillon. « C’est important de se qualifier de manière intelligente. Il y a un bon socle. » Enfin, il a souligné les débuts réussis de Younn Zahary, auteur d’un « match sérieux », et de Jad Mouaddib, le buteur. « Fayçal a tout fait pour le faire marquer. »

Expo "dans ta chambre", Dubosc, comédies... Nos idées de sorties à Toulouse cette semaine

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Franck Dubosc sera en spectacle au Zénith de Toulouse, jeudi 31 janvier 2019.

Franck Dubosc sera en spectacle au Zénith de Toulouse, jeudi 31 janvier 2019. (©DR)

Où sortir cette semaine à Toulouse ? On vous sélectionnés quelques idées dans différents domaines.

Un concert au CHU de Purpan

Dans le cadre de son projet « Culture et santé », le CHU de Toulouse propose un concert dans le hall des urgences de l’hôpital Purpan. Pour l’occasion, le pianiste et compositeur Jean-François Zygel sera présent.

Jeudi 24 janvier 2019, à 13h dans le hall des urgences de Purpan. Concert gratuit et ouvert à tous.

Bernard Mabille au Casino Barrière

L’humoriste Bernard Mabille, ancien « serviteur » de Thierry le Luron, fête des « 30 ans d’insolence » au Casino Barrière et son humour n’a pas pris une ride. Il va tailler des costards et retourner sa veste à travers le flux de l’actualité pour notre plus grand plaisir !

Dimanche 27 janvier 2019 au Casino Barrière, à 15h. 18, chemin de la loge.
casinosbarriere.com et 05 61 33 37 77.
Tarif : 33 euros.

Une expo « dans ta chambre ! »

La Fondation Écureuil accueille une expo originale : « Va dans ta chambre ! ». Le public est invité à visiter 10 chambres d’adolescents. Un lit, des affiches aux murs… L’exposition devrait parler aux jeunes et aux adultes qui ont été ados…

Jusqu’au 27 avril 2019. 3, place du Capitole.
Du mardi au samedi de 11 h à 19 h 30 et le premier dimanche de chaque mois de 15 h à 19 h 30.

Anna Calvi au Metronum

Initialement prévu au Bikini, le concert d’Anna Calvi se déroulera finalement au Metronum. La chanteuse anglaise, au ton très rock, jouera notamment les tubes de son dernier album, « Hunter », sorti le 31 août 2018, dans le cadre de sa tournée européenne.

Dimanche 27 janvier 2019 à 20 h, au Metronum. 2 rond-point Madame de Mondonville.
Tarif : 27 euros

Expo au Bazacle

L’espace EDF Bazacle accueille l’expo « Voir la mer » de Danièle Boucon. L’artiste souhaite « proposer une vision inédite du canal du Midi, vue d’un petit bateau en papier, à travers un voyage photographique inattendu et poétique. Votre imaginaire sera mis à contribution…

Jusqu’au 17 mars 2019. Du mardi au dimanche de 11 h à 18h.
11, quai Saint-Pierre. Tél. : 05 62 30 16 00.
Entrée gratuite

« Everyness » au ThéâtredelaCité

« Everyness » est un mélange de « deus ex machina » du théâtre grec et de danses urbaines, dans des tableaux où cinq citoyens expriment leurs différences. Un spectacle présenté avec La Place de la Danse.

Jeudi 24 (19 h 30) et vendredi 25 janvier 2019 (20 h 30) au ThéâtredelaCité. 1, rue Pierre Baudis.
Infos sur https ://theatre-cite.com

Franck Dubosc au Zénith

Le showman et acteur sera sur la scène du Zénith avec son tout nouveau spectacle « Fifty-Fifty ». Désormais, c’est promis : il se dévoile et se veut d’une sincérité totale à l’âge de la cinquantaine, « ou tu es un vieux pour les jeunes et un jeune pour les vieux ».

Jeudi 31 janvier 2019 au Zénith. À 20h. 11, avenue Raymond Badiou.
Infos sur zenith-toulousemetropole.com.
Tarifs : de 39 à 49 euros.

« Simone veille ! » à la Comédie de Toulouse

La Comédie de Toulouse propose « Et pendant ce temps Simone veille ! », un spectacle sur les droits de la femme. Le 25 janvier, à l’issue de la représentation, un débat se tiendra avec l’essayiste toulousaine Fatiha Boudjahlat.

Vendredi 25 (20 h) et samedi 26 janvier 2019 (à 19 h et 21 h). 16, rue Saint-Germier.
Tarifs : 21/25 euros

Plaza Francia Orchestra à Odyssud

Mûller & Malakoff, du Gotan Project, poursuivent leur exploration du tango en revisitant avec sensualité les orchestres typiques de Buenos Aires, en Argentine. Ils s’entourent pour l’occasion de la nouvelle génération de musiciens tango de Paris.

Mardi 29 janvier 2019 à Odyssud. A 20 h 30. 4, avenue du parc, à Blagnac. Infos sur www.odyssud.com.
Tarifs : de 22,90 à 37,90 euros.

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