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AU CINÉMA. Suspense, émotion et humour avec « Edmond » : un film qui met le théâtre à l'honneur

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Thomas Solivérès, dans le rôle d'Edmond Rostand.

Thomas Solivérès, dans le rôle d’Edmond Rostand. (©DR)

1897. Edmond Rostand a 29 ans mais plus d’argent et encore moins d’inspiration. Il est dépassé par les succès du théâtre de boulevard signés Feydeau. Lui qui s’obstine à écrire en vers est un peu la risée de la profession. C’est pourtant alors que Cyrano de Bergerac, la pièce de théâtre la plus populaire et représentée depuis du répertoire français, va voir le jour en quelques mois.

Sur cette trame-là, Alexis Michalik écrit un scénario qui va gentiment tordre le cou à l’histoire pour nous plonger avec délices et sans retenues au cœur des affres de la création artistique. Le grand comédien Coquelin l’aîné (Olivier Gourmet, magnifique) souhaite un rôle qui lui permette de manier l’épée.

La passion du théâtre

Pour cela, la grande Sarah Bernhardt (Clémentine Célarié, délicieuse) lui présente Edmond Rostand. Mais le temps imparti pour écrire la pièce et la monter est des plus courts. Sans compter sur les tracasseries administratives et les caprices de divas, en particulier ceux de Maria Legault (Mathilde Seigner, plus vraie que vraie) qui doit être la future Roxane.

De plus la pièce, en 5 actes, nécessite d’énormes moyens en costumes et personnages. Et pourtant, au cœur de la tempête, la passion du théâtre gronde encore plus fort car elle est dans l’âme même de tous ces acteurs qui n’ont de raison de vivre que sur les planches.

Avec une caméra virevoltante

En un peu moins de deux heures, Alexis Michalik nous immerge dans cette tourmente qui voit naître un chef-d’œuvre. Il le fait d’une manière virtuose, avec une caméra virevoltante qui ne nous accorde aucun répit. Il faut dire que ce réalisateur porte en lui ce film depuis une quinzaine d’années (il a 37 ans !).

Entre-temps, il s’est largement professionnalisé dans le métier théâtral et n’a donc pas eu de mal à en appréhender cet univers et le saisir dans cette Belle Epoque qui sert de décor à son film. Son Edmond est le jeune Thomas Solivérès, celui qui vient d’être Spirou pour le grand écran mais qui fut, surtout, Harold aux côtés de la Maud de Line Renaud au théâtre. Il a l’âge exact du rôle, il en a la candeur spontanée, la volonté chevillée au corps.

Suspense, émotion et humour

C’est lui la tour de contrôle de cette troupe improbable qui, au mépris de la loi, va créer le chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre au Théâtre de la Porte Saint-Martin, une comédie héroïque dans une incroyable veine romantique. Thomas Solivérès conforte ici une stature de comédien sur lequel il est urgent de compter.

A noter aussi la présence plutôt convaincante à l’affiche de Tom Leeb, le fils de, dans le rôle de Christian. Allez applaudir cette déclaration d’amour au théâtre ! Suspense, émotion, humour vous attendent les bras grands ouverts.

Robert Pénavayre

« Edmond ».
Réalisateur : Alexis Michalik.
Avec : Thomas Solivérès, Olivier Gourmet, Mathilde Seigner…
Durée : 1h49.
Genre : comédie

Alexis Michalik transforme tout en or !
Né en France d’une maman britannique et d’un papa peintre d’origine polonaise, le jeune Alexis est en fait un pur parisien. Malgré sa réussite au concours d’entrée, en 2003, au Conservatoire national d’art dramatique, il fait demi-tour afin de prendre son temps pour monter son premier spectacle, une libre adaptation du Mariage de Figaro qui est créée en 2005 au Festival off d’Avignon. Ce jeune homme, particulièrement pressé de réussir, débute sur les planches en 2001, il a alors 19 ans, dans le rôle-titre masculin du Juliette et Roméo que monte alors Irina Brook à Chaillot. Excusez du peu ! La suite est une véritable success-story vertigineuse. Cet acteur, metteur en scène, comédien, dramaturge pour le théâtre et la télévision, aujourd’hui réalisateur et scénariste pour le cinéma, accumule depuis 2014… les Molières. A quand un César ?

La bande-annonce :


Gilets jaunes acte X : 84 000 manifestants dans la rue, quelques heurts localisés

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Manifestation des « gilets jaunes », le 19 janvier 2019 à Paris. (©AFP/Zakaria ABDELKAFI)

Une mobilisation record à Toulouse, dans le calme à Paris, émaillée de heurts à Bordeaux : des milliers de « gilets jaunes » ont manifesté samedi pour leur dixième journée d’action, quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron d’un « débat national » censé canaliser deux mois de colère sociale.

LIRE AUSSI : Grand débat à Souillac : 6h30 d’échanges entre Macron et les maires d’Occitanie

Dans un dernier bilan, le ministère de l’Intérieur indique avoir recensé 84 000 manifestants en France, comme samedi dernier. Ce chiffrage est chaque semaine contesté par les manifestants et certains ont mis en place leur propre système de comptage baptisé « le nombre jaune », au résultat beaucoup plus élevé.

Mobilisation record à Toulouse

La mobilisation a été record à Toulouse, avec 10 000 manifestants selon la préfecture, loin devant la capitale (7000) et Bordeaux (4000), selon les autorités.

A Toulouse, la situation a dégénéré dans le centre-ville, après plus de deux heures de manifestation dans le calme, rapporte notre rédaction d’actu Toulouse.

Des échauffourées ont eu lieu entre manifestants et forces de l’ordre. Le Capitole a été a été victime de tags avec des slogans anti-Macron, des jets de peinture noire et des banderoles déployées.

Calme à Paris, des heurts à Bordeaux

Alors que pour la première fois depuis le début du mouvement social, la manifestation parisienne s’est déroulée sans débordements et avec un parcours pré-établi, des heurts ont éclaté à Bordeaux, entre la cathédrale et la mairie, à la tombée de la nuit.

Des journalistes de l’AFP ont vu de très jeunes hommes casqués, masqués, en tenue de camouflage, utiliser disqueuses et marteaux pour déterrer et transporter des pavés, se relayant pour les amener face aux forces de l’ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau.

La gendarmerie a déployé ses blindés à roues et les manifestants commençaient à se disperser vers 18h30.

Une manifestante "gilet jaune" offre des brins de mimosa, samedi 19 janvier 2019 à Paris.

Une manifestante « gilet jaune » offre des brins de mimosa, samedi 19 janvier 2019 à Paris. (©AFP/Zakaria ABDELKAFI)

Rumeur démentie à Rennes

Quelques brèves échauffourées ont émaillé des manifestations globalement bon enfant à Toulon, Nancy ou Rennes.

Dans la capitale bretonne, une fausse rumeur circulant sur les réseaux sociaux, indiquant qu’une manifestante serait morte lors du rassemblement des Gilets jaunes, a été formellement démentie par la préfecture d’Ille-et-Vilaine auprès de l’AFP.

A Nancy (Meurthe-et-Moselle), des tensions ont eu lieu entre forces de l’ordre et manifestants, comme l’a rapporté notre journaliste de Lorraine actu sur place.

🔴 EN DIRECT Gilets jaunes à Nancy : les forces de l’ordre contiennent les manifestants à la gare ⬇️

Publiée par Lorraine Actu sur Samedi 19 janvier 2019

A Paris, les forces de l’ordre ont actionné pour la première fois de la journée canon à eau et jets de lacrymogènes vers 16H30 autour des Invalides, point de départ et d’arrivée des manifestants après une boucle jusqu’à la place d’Italie. La tension est vite retombée.

Les slogans « Macron démission » ou « Tes hauts et débats, on n’en veut pas, Macron dégage » ont donné le ton, affichant le scepticisme général vis à vis du grand débat national lancé cette semaine par le chef de l’Etat.

LIRE AUSSI : EN IMAGES. Près de 700 Gilets jaunes dans les rues de Dole (Jura)

« Je veux juste plus de démocratie »

Réticent face à la revendication des « gilets jaunes » qui réclament partout l’instauration d’un référendum d’initiative citoyenne (RIC), le président a défendu lors de deux déplacements en région le grand débat, articulé autour de quatre thèmes : pouvoir d’achat, fiscalité, démocratie et environnement.

« Je veux juste plus de démocratie », « Macron, ton compte est bon », « RIC! » ont répondu les pancartes dans les rues.

Venu de Nemours participer à la marche parisienne, Eric, électronicien a expliqué son engagement à l’AFP :

Je suis mobilisé depuis le début car je ne peux plus supporter de voir les jeunes autour de moi (…) qui ne peuvent pas construire leur vie, même quand ils ont un travail et gagnent 1000 euros par mois. Le gouvernement doit s’occuper de cette misère, au lieu de supprimer l’ISF.

Dans la capitale, comme à Rennes, Montpellier, Angers, Nantes, Dijon ou Tours, la colère était toujours intacte face à la violence policière, dénoncée ses derniers jours, à l’injustice sociale ou à la « surdité du gouvernement ».

LIRE AUSSI : Les Gilets jaunes au chat et à la souris à Lille et La Madeleine

« France mutilée »

« Stop aux massacres » affichait une pancarte à Dijon ; « Castaner le boucher, France mutilée », a crié la foule à Toulouse, visant le ministre de l’Intérieur qui a défendu vendredi l’utilisation par les forces de l’ordre du lanceur de balles de défense controversé LBD.

« Soyons responsables, ne payons pas la dette #Banque nationale » pouvait-on lire sur une pancarte à Lyon, « Bienvenue en lacrymocratie » à Tours. A Dijon, une cinquantaine de « gilets jaunes » ont brièvement pénétré dans le périmètre de la prison pour demander la « libération de leurs camarades » arrêtés lors de précédentes mobilisations.

Défilé de "gilets jaunes" à Toulouse, le 19 janvier 2019.

Défilé de « gilets jaunes » à Toulouse, le 19 janvier 2019. (©AFP/Pascal PAVANI)

Plusieurs milliers de Gilets jaunes et militants syndicaux sont descendus dans les rues au Havre, à Dieppe et à Rouen, samedi 19 janvier 2019. La mobilisation a été forte à Rouen, rapporte notre rédaction de 76 actu.

LIRE AUSSI : Acte X des gilets jaunes : affrontements entre forces de l’ordre et manifestants à Caen

Polémique autour du lanceur de balles de défense

Cet acte 10 clôture une semaine marquée par une vive polémique sur l’usage du lanceur de balles de défense (LBD) par les forces de l’ordre et les blessures graves subies par de nombreux manifestants.

Christophe Castaner, qui a encore défendu vendredi son usage lors des opérations de maintien de l’ordre, s’est également dit « sidéré » par les accusations de violences policières, malgré certaines vidéos qui montrent un usage du LBD sans menace immédiate sur le tireur.

Face à la controverse, les policiers de l’Ain porteurs de LBD ont été équipés de « caméras-piétons » lors de la manifestation de Bourg-en-Bresse, qui a réuni 300 personnes.

LIRE AUSSI : A Nancy, Christophe Castaner est « sidéré » par les accusations de violences policières

Une quarantaine d’interpellations

Quelques dizaines de personnes ont été interpellées en France. A 19 heures, 42 interpellations avaient eu lieu à Paris, selon la préfecture, donnant lieu à 17 gardes à vue. Très loin des centaines d’arrestations des manifestations de décembre.

L’exécutif avait mis en place un dispositif d’ampleur comparable au week-end précédent, soit environ 80 000 policiers et gendarmes en France, dont 5000 à Paris.

La mobilisation doit se poursuivre dimanche dans plusieurs villes. Des femmes « gilets jaunes » appellent à une manifestation à Paris, inspiré par l’événement pacifique qu’elles avaient déjà organisé le 6 janvier.

LIRE AUSSI : Pas de « bluff » : Emmanuel Macron mis en garde dans le Lot par des maires au grand débat

Source : © 2019 AFP

Yvelines. Rambouillet. Le ministre de la Culture présent pour la Nuit de la lecture

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Pour la Nuit de la lecture, Rambouillet a eu la visite du ministre de la Culture le 19 janvier 2019.

Pour la Nuit de la lecture, Rambouillet a eu la visite du ministre de la Culture le 19 janvier 2019. (©Toutes Les Nouvelles)

« Il y a eu 5000 événements pour la Nuit de la lecture en France en 2019, aujourd’hui. C’est une réussite comme ici à Rambouillet (Yvelines)« , a déclaré Franck Riester, samedi 19 janvier à Rambouillet.

Le Ministre de la Culture a salué le succès de l’organisation de la Nuit de la lecture dans la cité présidentielle. A La Lanterne de 14h jusque tard la nuit, le public, toutes générations confondues était au rendez-vous des animations mises en place par la médiathèque. Des espaces de lecture intégrés dans un vaste lieu culturel et de salles pour le spectacle à Rambouillet. Le thème du Japon choisi par l’équipe culturel pour la Nuit de la lecture a intéressé aussi bien les enfants que les plus âgées. Du Haïku au manga, en passant par le théâtre japonais, les familles ont même travaillé avec une poétesse en résidence cette année à Rambouillet.

A l’invitation de la députée, Aurore Bergé, le ministre a apprécié les qualités d’un « pôle culturel insérer dans la ville, lieu de rassemblement social, tel que l’imagine Erik Orsenna. Il nous faut de tels ponts culturels dans les territoires ! » a déclaré Franck Riester. Le maire, Marc Robert a dit sa volonté de partager avec toutes les communes rurales cet équipement.

Aurore Bergé a souligné que l’Etat dans le cadre du plan bibliothèque avait la volonté d’aider les petites communes. Elle a annoncé que Raizeux pourra bénéficier d’une aide importante pour créer une bibliothèque qu’elle espérait depuis longtemps.

Acte X des gilets jaunes : au moins 14 personnes ont été interpellées à Caen

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Les forces de l'ordre ont repoussé toute l'après-midi les manifestants.

Les forces de l’ordre ont repoussé toute l’après-midi les manifestants. (©Philippe Rifflet/Liberté Le Bonhomme Libre)

Au moins 14 interpellations pour violences, outrages et ports d’engins incendiaires. C’est le bilan provisoire de la préfecture du Calvados à 18h30, après l’Acte X des gilets jaunes. Comme partout en France, à Caen, la mobilisation a démarré par une marche pacifique et s’est poursuivie cette après-midi par des face-à-face tendus avec les forces de l’ordre dans le centre ville de Caen. 

LIRE AUSSI. Acte X des gilets jaunes : affrontements entre forces de l’ordre et manifestants à Caen

Des centaines de manifestants sur la voie de chemin de fer

Des gilets jaunes ont investi la voie de chemin de fer.

Des gilets jaunes ont investi la voie de chemin de fer. (©Marjorie Janetaud/LIberté Le Bonhomme Libre)

Après la dispersion de la marche pacifique, vers 12h30, des manifestants se sont dirigés sur le Cours Montalivet avec un probable objectif : Mondeville 2. La sortie 2 du périphérique a dû être fermée.
Empêchés par les forces de l’ordre qui barraient la route juste avant le viaduc de Calix, plusieurs centaines de manifestants ont investi les voies de chemin de fer. « La circulation ferroviaire a été neutralisée et l’alimentation électrique coupée pour éviter tout risque d’électrocution », indique la préfecture.

Plusieurs trains de voyageurs dans le Calvados et les départements limitrophes ont ainsi été bloqués à cause de ces exactions.

Les face-à-face commencent

Poubelles renversées, dégradations, feux...

Poubelles renversées, dégradations, feux… (©Philippe Rifflet/Liberté Le Bonhomme Libre)

De retour en ville, plusieurs groupes se sont formés prenant des directions différentes et obligeant les forces de l’ordre à se déployer rapidement et partout en même temps. Les CRS, les gendarmes mobiles et la BAC (Brigade anticriminalité) étaient mobilisés.

A 14h30, Plusieurs groupes d’individus se sont formés et ont commencé à jeter des projectiles sur les forces de l’ordre au niveau du Quai Hamelin. Les forces de police ont dû répliquer en faisant usage de lacrymogènes.

S’en sont suivies des exactions à l’image des samedis précédents, les manifestants tentant de monter des barricades avec les matériaux du chantier du tram. Des feux ont également été allumés et des dégradations commises jusqu’en fin de journée. 

LIRE AUSSI : EN IMAGES. Acte X des gilets jaunes à Caen : la vague déferle toujours en centre-ville

VIDÉO. Gilets jaunes à Rouen : des camions à eau anti-émeute utilisés pour la première fois

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Deux camions à eau ont été utilisé par les forces de l'ordre à Rouen (Seine-Maritime), samedi 19 janvier 2019.

Deux engins lanceurs d’eau ont été utilisés par les forces de l’ordre à Rouen (Seine-Maritime), samedi 19 janvier 2019. (©Mathieu Normand/76actu)

Changement de stratégie de la part des autorités lors de l’acte X à Rouen (Seine-Maritime). Pour la première fois à Rouen, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, deux engins lanceurs d’eau (ELE), appelés aussi camions anti-émeute, ont été utilisés contre les manifestants les plus nerveux. Dans une logique de maintien de l’ordre à distance, cette arme non-létale, capable de tirer à plusieurs dizaines de mètres, semble idéal, du point de vue de la police.

• VIDÉO. Un individu est visé par la police avec ce canon à eau :

« Engin très utile »

Le sous-préfet de Rouen, en charge de la sécurité, a semblé apprécier cette aide nouvelle venue des forces de la Compagnie républicaine de sécurité (CRS). « C’est un engin très utile. Il permet d’agir face aux manifestants les plus énervés, tout en étant souple », indique Benoît Lemaire à l’issue de la manifestation rouennaise. Samedi, dans les rues rouennaises, les deux camions ont été utilisés à plusieurs reprises.

Un véhicule qui permet également d’intervenir sur les incendies. Le service d’incendie et de secours du département a déclaré être intervenu 17 fois à Rouen, dont 13 fois pour éteindre des feux, samedi.

LIRE AUSSI : Bilan de l’acte X des Gilets jaunes en Seine-Maritime : des heurts et interpellations à Rouen

La Bajon : "Je dénonce par l'humour ce qui me dérange dans la société"

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Le public la retrouvera aux Pieux.

Le public la retrouvera aux Pieux. (©DP)

Comment est né le personnage de La Bajon ?

Le personnage de la Bajon, c’est moi. Je n’ai pas eu à me forcer, ni à passer des heures à créer un personnage qui me plairait. La Bajon sur scène, c’est moi en mode lâchage. Je dénonce par l’humour ce qui me dérange dans la société.

A LIRE AUSSI : Festival Cinemovida à Cherbourg : quatre semaines à l’accent espagnol

Plus de 50 millions de vues pour vos vidéos sur les réseaux sociaux… Comment vit-on cette popularité ?

Très très bien. C’est assez fabuleux. Le retour du public est dithyrambique. Je reçois beaucoup d’amour. C’est toujours un vrai bonheur d’aller à la rencontre de ces gens qui ont aimé les vidéos et viennent me voir sur scène. On gère très bien cette popularité. Maintenant, à chaque fois qu’on va publier une nouvelle vidéo, il y aura un petit stress. La peur de décevoir. En même temps, paradoxalement, quand on est fier de ce qu’on a fait, quand on le publie, on se dit qu’on a tout donné. On a été honnêtes sur notre projet de départ.

A LIRE AUSSI : Pascal le Grand frère en invité vedette de la fête foraine de Cherbourg

Comment avez-vous construit votre spectacle qui sera joué prochainement aux Pieux ?

On ne voulait pas décevoir le public qui voulait retrouver certains personnages emblématiques et délirants. L’avocate de Pénélope Fillon, le facteur, la femme de ménage de l’Élysée seront bien sûr du spectacle. Nous nous sommes aussi lancés comme défi de multiplier les vannes sur l’actualité fraîche. Cette tournée est une aventure incroyable. Nous sommes complets partout, y compris dans des salles très grandes comme le Zénith de Pau. Pour le meilleur et pour le rire.

C’est encore mieux en live

Vos sketches sont sans filtre, l’illustration d’un vécu collectif. Vous n’avez aucun tabou ?

Nous ne nous interdisons pas grand-chose. On s’interdit d’être bête et méchant gratuitement. Nous sommes nostalgiques des années 80 en termes d’humour. Une époque où l’on pouvait dire beaucoup plus de choses qu’aujourd’hui. Mon humour, je ne le trouve pas trash du tout. Certaines vannes sont parfois osées, je l’accorde, mais elles ne sont pas trash. Aujourd’hui, tout le monde se scandalise d’un rien et cela donne l’impression que je vais loin. Nous ne faisons parfois qu’exagérer le trait.

Vous avez fait l’objet de critiques par certains médias pour des propos tenus que vous avez tenus. Est-ce un faux procès ? Peut-on encore rire de tout aujourd’hui ?

La vidéo sur le Trésor public, sortie avant le mouvement des Gilets jaunes, a été lourdement critiquée par un journaliste du Figaro. De nombreux internautes y compris des abonnés du quotidien nous ont soutenus. Ils ont fait barrage lorsqu’on a voulu me descendre. Cela m’a fait une pub d’enfer. Cela m’a permis d’avoir une visibilité incroyable. On fait bien attention de critiquer tous les partis, autant Marine Le Pen, Emmanuel Macron que Jean-Luc Mélenchon. C’est cela notre force.

Que ressentez-vous lorsqu’on vous surnomme l’égérie des Gilets jaunes ?

Je pense que c’était pour me coller une étiquette et pour me réduire ou me stigmatiser à l’instar du mouvement que l’on dit antisémite ou homophobe. On a eu besoin de me situer dans l’extrême droite. Ce qui est totalement faux. Depuis deux ans, nous soutenons tous les mouvements qui sortent de la léthargie. Nous soutenons les Gilets jaunes pacifistes, qui revendiquent leurs droits et se battent aujourd’hui pour un meilleur avenir pour leurs enfants. Nous sommes à la rencontre de ces gens sur le terrain. Des gens déçus du système.

Des places sont encore disponibles pour aller applaudir La Bajon : tél. 06 85 50 38 92 ; e-mail : asso.vp2s@gmail.com

Champions Cup : Toulouse déjà qualifié, le CO à la 85ème, Saracens... Tout sur la 6e journée !

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Cheslin Kolbe et le Stade sont déjà qualifiés avant même de jouer contre Bath.

Cheslin Kolbe et le Stade sont déjà qualifiés avant même de jouer contre Bath. (©Icon Sport)

Le point sur la qualification : On connaît les 8 qualifiés !

C’est fait ! On connaît les 8 qualifiés pour les quarts de finale de Champions Cup ! Après la défaite d’Exeter sur la pelouse du Munster ce samedi soir (9-7), le Stade Toulousain est d’ores et déjà assuré d’accéder au tour suivant. Et ce sans avoir disputé sa rencontre face à Bath.

LIRE AUSSI : Champions Cup : Pour le Stade Toulousain, ce sera le Leinster ou le Racing 92 en quarts !

Les Saracens, le Racing 92 et Edimbourg sont certains d’accueillir leur quart de finale. Le Munster, l’Ulster et Glasgow savent eux qu’ils se déplaceront. Reste donc à savoir dans quel ordre vont se qualifier le Leinster et le Stade Toulousain, qui se livreront un duel à distance demain dimanche.

Le match de la 6e journée : Racing 46-33 Scarlets

Festival offensif ce samedi à la Paris La Défense Arena ! Après avoir longtemps douté face aux Scarlets, le Racing 92 l’a finalement emporté 46 à 33. Une rencontre très ouverte qui a été marquée par neuf essais au total, dont six de la part des Franciliens.

LIRE AUSSI : VIDÉO. 16 juin 2016, le jour où CJ Stander a ruiné la carrière de Pat Lambie…

Avec cette victoire bonifiée, le Racing 92 termine premier de sa poule est s’est assuré de disputer son quart de finale à domicile. Mieux encore, en tant que deuxièmes meilleurs premiers, les « Ciel et Blanc » se sont également offert le droit de disputer leur éventuelle demi-finale à la maison.

Le chiffre : 28 points / 30 pour les Saracens

Les Saracens justement, qui ont dominé de A à Z leur poule. La formation anglaise s’est imposée face à Glasgow ce samedi (38-19) et a réalisé un sans-faute avec six victoires en six matchs. Avec 28 points au compteur, les Sarries disputeront, comme le Racing 92, leur quart et aussi leur possible demi-finale à domicile.

LIRE AUSSI : Champions Cup. Le nombre de club français en quarts de finale au plus bas depuis 2012 !

Avec une telle voie royale, et après une saison dernière compliquée en Champions Cup, les Anglais sont clairement les favoris de cette édition 2018-2019.

Castres encaisse un essai au bout d’une minute et s’impose à la 85ème !

Incroyable scénario au stade Pierre-Fabre ! Alors que le CO n’avait plus rien à jouer lors de cette sixième journée, les Tarnais se sont imposés de justesse face à Gloucester (24-22).

Un match qui n’avait pas démarré de la meilleure des manières, puisque les Tarnais ont encaissé un essai au bout d’une minute et vingt secondes de jeu ! Avec le caractère, les coéquipiers de Rodrigo Capo Ortega ont réalisé un vibrant « come-back » en arrachant la victoire dans les arrêts de jeu, grâce à un essai de Vaipulu.

Usine Ford de Blanquefort : Philippe Poutou veut voir Teddy Riner

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Philippe Poutou, de l'usine Ford de Blanquefort (Gironde) veut rencontre Teddy Riner, le nouvel ambassadeur du constructeur américain.

Philippe Poutou, de l’usine Ford de Blanquefort (Gironde) veut rencontre Teddy Riner, le nouvel ambassadeur du constructeur américain. (©capture d’écran Twitter / Philippe Poutou)

Les salariés de l’usine Ford, de Blanquefort (Gironde), sont toujours mobilisés. Si le constructeur américain a bien décidé de fermer son usine de la région de Bordeaux, ses salariés, eux, restent sur le pied de guerre. Environ 850 emplois sont menacés et près de 2.000 si l’on compte les sous-traitants.

A lire aussi : Philippe Poutou fait traverser la rue aux ouvriers de Ford pour leur trouver du boulot

Ce samedi 19 janvier, dans la matinée, des salariés de Ford Blanquefort ont poussé la porte… de la concession Ford de Lormont, accompagnés de gilets jaunes. Le tout en pleine opération « portes ouvertes ».

Vidéo > Les Ford de Blanquefort s’invitent dans une concession Ford de Lormont (France 3 Nouvelle-Aquitaine)

« Il y  a la réalité que Ford veut cacher »

Au total, une centaine de manifestants étaient présents sur les lieux ; dont Philippe Poutou.

Le porte-parole du NPA, également salarié de l’usine Ford de Blanquefort, s’est exprimé au micro de France 3 Nouvelle-Aquitaine :

C’est profiter de la grosse campagne de pub que fait Ford pour montrer qu’il se passe quelque chose d’autre, qu’il y a la vitrine d’un côté, les voitures brillantes, le gentil Teddy Riner comme nouvel ambassadeur. Et il y a la réalité que Ford veut cacher… C’est qu’ils ferment des usines

 

Philippe Poutou veut rencontrer Teddy Riner

Voilà dix jours, Philippe Poutou avait demandé, via Twitter, à être reçu par Teddy Riner. Objectif : 

En tant que salarié de la multinationale, je voudrais lui raconter notre lutte pour sauver l’usine Ford Blanquefort et nos emplois

Le double champion olympique, auréolé de dix titres de champion du monde, n’a pas encore répondu à la sollicitation… Mais Philippe Poutou a posté, sur Twitter, quelques photos pour interpeller le judoka…


Acte 10 des gilets jaunes au Mans. La manifestation n'est pas restée pacifique

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La manifestation a été mouvementée samedi au Mans.

La manifestation a été mouvementée samedi au Mans.

Annoncé pacifique, l’acte 10 des Gilets jaunes a été plutôt mouvementé, au Mans, ce samedi 19 janvier. La préfecture déplore une série de troubles à l’ordre public.

« Une manifestation, non déclarée aux autorités comme la loi pourtant l’exige, a une nouvelle fois été organisée ce jour en centre ville du Mans. La mobilisation a été moins importante que la semaine passée », informe la préfecture.

Si les premiers rassemblements et déambulations dans la ville dès 11h ce jour, se sont déroulés dans le calme, « l’après-midi a été une nouvelle fois marqué par une série de troubles à l’ordre public perpétrée par certains manifestants très hostiles aux forces de police et gendarmerie déployées dans le centre ».

Des dégâts matériels ont pu être constatés sur certains bâtiments et vitrines de magasins.

Des malaises et un policier blessé

La manifestation a conduit à plusieurs interventions des sapeurs-pompiers « mais seules deux personnes ont été transportées au Centre Hospitalier du Mans pour malaises. 1 policier a également été blessé suite à un jet de projectile ».

Au total, la police a pu procéder à 4 interpellations.

La situation est revenue au calme vers 19h.

Le préfet « remercie les services de la police nationale, de la gendarmerie nationale, de l’institution judiciaire, de la police municipale et de la mairie du Mans ainsi que les pompiers qui se sont mobilisés ce jour ».

« La liberté de manifester est un droit, mais… »

Une nouvelle fois, le Préfet rappelle que « la liberté de manifester est un droit, mais que des agissements visant à engendrer de la violence ne peuvent être tolérés ».

Il insiste « sur la nécessité pour les organisateurs de déclarer ces manifestations et les invite à se rapprocher de ses services afin de pouvoir envisager au mieux le déroulement de celles-ci, d’en sécuriser le parcours et d’éviter ce type de débordements qui pourraient conduire à des blessés et dégradations ».

Val-d'Oise. Franconville : une cagnotte solidaire sur Leetchi pour financer les opérations de ses yeux

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Pierre Lefèvre fait l'objet d'une cagnotte solidaire sur Leetchi.com, pour l'aider à financer les opérations de ses yeux.

Pierre Lefèvre fait l’objet d’une cagnotte solidaire sur Leetchi.com, pour l’aider à financer les opérations de ses yeux. (©La Gazette du Val-d’Oise.)

Ils ne l’avaient pas vu venir. À Franconville (Val-d’Oise), lorsque les parents de Pierre Lefèvre, 15 ans, s’inquiètent des premiers symptômes décrits par leur fils en mai dernier, ils ne s’imaginaient pas qu’il s’agissait d’un cas d’urgence.

Le temps de déterminer le diagnostic sept mois plus tard, le jeune Franconvillois avait déjà perdu sept dixièmes à l’œil gauche.

7/10e perdus

Classée comme maladie rare, le kératocône est une déformation de la cornée qui s’amincit progressivement, perd sa forme sphérique et prend une forme de cône.

Elle toucherait tout de même un cas sur 2 000 et peut affecter les deux yeux comme c’est le cas de Pierre. 

« Ce qui fait du kératocône une maladie rare, c’est qu’il y ait peu de centres médicaux l’opérant, obligeant les malades à passer par des cliniques privées dotées de l’équipement spécifique », soulignent les parents

Ils ont lancé, début janvier, une cagnotte solidaire sur Leetchi.com afin de couvrir les frais des deux opérations évaluées à 1 200 euros par œil dont moins de 150 euros seulement sont pris en charge par la Sécurité sociale et leur mutuelle.

La première est prévue le 18 janvier et déjà 336 euros ont été récoltés sur la plateforme pour aider les Lefèvre à financer les opérations qui s’ensuivront pour Pierre, qui devra néanmoins porter à vie des lentilles de vue, rigides ou semi-rigides, les lunettes étant inefficaces. 

« Une seule lentille coûte entre 300 et 400 euros sachant que la prise en charge de la sécurité sociale est de 39 €, le port de lentille étant vu comme un luxe », explique Yann, le papa.

1200 euros par œil

Rare ou pas, le kératocône est invalidant et les lentilles sont incontournables.

Sportif de haut niveau

Multimédaillé en patinage artistique et ancien champion de France, Pierre ne patine aujourd’hui que pour le plaisir.

Comme pour le sport de haut niveau, il a dû revoir ses ambitions professionnelles. « J’aimerais me diriger vers l’informatique mais je ne suis pas sûr que cela puisse se faire même après l’opération », explique Pierre, scolarisé au lycée Gustave-Eiffel à Ermont.

Car si l’opération stoppe la propagation de la maladie, les malades ne récupèrent jamais l’acuité visuelle grignotée par le kératocône. D’où la nécessité d’être diagnostiqué et opéré très rapidement.

Mais aucun dépistage n’existe. Il aura fallu attendre que Pierre constate cette tache dans son oeil, lorsqu’il se tournait vers la lumière. Quand on lui parle de sa maladie aujourd’hui, Pierre reste serein. « J’essaie de ne pas trop y penser. Heureusement, je suis bien entouré. »

B.N.

Pour soutenir Pierre dans son combat pour la vue :

https://www.leetchi.com/c/pour-les-yeux-de-pierre

Brest : 700 gilets jaunes dans la zone du Froutven lors de la septième marche citoyenne

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Quelque 700 gilets jaunes ont pris part à la septième marche citoyenne samedi 19 janvier 2019 à Brest

Quelque 700 gilets jaunes ont pris part à la septième marche citoyenne samedi 19 janvier 2019 à Brest (©Côté Brest)

Samedi 19 janvier 2018, la septième marche citoyenne des gilets jaunes à Brest a réuni quelque 700 gilets jaunes au plus fort de la manifestation. Ils étaient environ 500 lorsque le cortège s’est formé vers 14h25 sur la place de Strasbourg vers la rue de Gouesnou pour prendre la direction de la zone du Froutven, en Guipavas. Avec pour cible des enseignes comme Boulanger, Décathlon, Ikea, Leroy-Merlin…

Une mobilisation en baisse par rapport aux précédents rendez-vous. «Nous avons une forte délégation brestoise à la manifestation régionale à Rennes», ont commenté les porte-voix. 

Vers la zone du Froutven

Le cortège qui s’est formé place de Strasbourg en haut de la rue de Gouesnou, a laissé partir une autre manifestation d’une centaine de personnes, dénonçant la répression au Soudan, qui, elle, a descendu la rue Jean-Jaurès. 

Les gilets jaunes ont pris la direction de la zone du Froutven, en Guipavas, après avoir chanté un bon anniversaire à Brigitte, l’une des leurs, après que les porte-voix aient rappelé que «cette septième marche citoyenne devait, comme les autres, être pacifique et que les pétards’devaient exploser dans les rues, pas dans les galeries marchandes ou les magasins». Elle aura été calme et bon enfant. 

Gilets jaunes – Acte X à BrestSamedi 19 janvier 2019.Direction zone du Froutven

Publiée par Côté Brest sur Samedi 19 janvier 2019

Plusieurs enseignes ciblées

Les gilets jaunes, encadrés par la police puis par la gendarmerie, ont atteint le rond-point de Quélarnou, à proximité du magasin Ikea dans la zone du Froutven, vers 15h30. Et ont pénétré dans le magasin Boulanger, malgré la tentative de dissuasion de membres de la sécurité et du personnel. Dont certains auraient été bousculés par la foule.

Samedi 19 janvier 2019. Gilets jaunes dans le magasin Boulanger à Brest. D’autres enseignes vont être visées dans la zone du Froutven : c’est le tour de Decatlon où les gilets jaunes tentent de rentrer dans l’a magasin sans succès. La tension monte. Suivra sans doute Ikéa…

Publiée par Côté Brest sur Samedi 19 janvier 2019

Après avoir chanté et crié leurs slogans dans l’entrée du magasin, ils sont allés à Décathlon où les rideaux de fer ont rapidement été baissés pour les empêcher de rentrer. Certains gilets jaunes se sont montrés plus revendicatifs que d’autres et la tension est quelque peu montée. Des tags (aux marqueurs ?) auraient été réalisés sur la vitrine. Deux jeunes auraient d’ailleurs été interpellés par les gendarmes (renforcés par des hommes du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie, le Psig). 

Vers 16h30, les gilets jaunes sont arrivés à Ikea où la porte leur a été fermée. Deux clientes, qui entraient dans le magasin lorsque les portes du sas ont été bloquées, se sont retrouvées coincées pendant un quart d’heure. «Libérez les otages, libérez nos camarades», ont scandé les manifestants, avant de reculer pour permettre la remise en route des portes tournantes et aux deux femmes d’entrer dans le magasin. 

Vers le phare de l’Europe

Les gilets jaunes ont quitté les lieux vers 17h pour aller à Leroy-Merlin, où ils ont fait un tour dans les rayons du magasin, toujours aux sons de sifflets, de sonos portatives et de slogans. Pendant une petite demi-heure.

Comme ils l’ont fait au centre commercial Le phare de l’Europe. Le cortège ne comptait plus, alors, qu’environ 200 personnes. 

Dernière étape de la septième marche citoyenne des gilets jaunes de Brest : le centre commercial Le phare de l’Europe, Retour du cortège vers le lieu de départ, la place de Strasbourg.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 19 janvier 2019

Le cortège est ensuite remonté place de Strasbourg où la manifestation a pris fin vers 18h45. 

Un Acte XI annoncé

Les gilets jaunes de Brest se retrouveront en assemblée générale hebdomadaire, dimanche 20 janvier 2019, à 18h, à la Maison du peuple, boulevard Clemenceau à Brest. Pour décider des actions à venir.
Mais une marche citoyenne semble d’ores et déjà programmée samedi 26 janvier pour l’Acte XI du mouvement des gilets jaunes.
Auparavant, les gilets jaunes auront organisé une nouvelle tournée citoyenne mercredi 23, pour aller porter un petit-déjeuner aux sans domicile fixe dans les rues de Brest. Et le soir, ils les convient à un repas chaud à la salle des gilets jaunes. Avec couscous au menu. 

 

Les siphonneurs de réservoirs prennent la fuite et oublient leur voiture

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Les gendarmes de la brigade de Latresne (Gironde) sont intervenus.

Les gendarmes de la brigade de Latresne (Gironde) sont intervenus. (©illustration / Le Républicain)

Il portait un pull avec l’inscription « Excuse ». Mais cela n’a pas suffi… L’individu est parti en garde à vue, comme son acolyte… Les gendarmes de la brigade de Latresne (Gironde) ont interpellé deux personnes qui siphonnaient des réservoirs, mardi 15 janvier, vers 3h du matin.

A lire aussi : disparition inquiétante d’une femme à Langon

Sur sa page Facebook, la gendarmerie de Gironde raconte : 

Aux alentours de 3h du matin, alors qu’ils se préparent pour un déplacement, un couple de maraîchers aperçoit en effet deux individus en train de « collecter » l’essence sur trois véhicules de la même marque

Des voleurs bien équipés

Découverts, les deux siphonneurs s’enfuient… mais oublient leur voiture. Dommage : quand ils arrivent sur les lieux, les gendarmes inspectent le véhicule et y découvrent « tout l’attirail du « parfait » siphonneur ».

La suite ? Elle est classique, comme en témoigne la gendarmerie :

Après une poursuite en véhicule puis à pied, les gendarmes interpellent les « siphonneurs ». Placés en garde à vue, les deux mis-en-cause sont entendus par les enquêteurs et reconnaissent les faits. Ils devront répondre de leurs actes devant la justice

A Caen, l'AG de Lutte ouvre un squat pour abriter deux couples de Géorgie et leurs cinq enfants

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Deux familles de Géorgie vivaient dans leurs voitures avant l'ouverture d'un nouveau squat à Caen.

Deux familles de Géorgie vivaient dans leurs voitures avant l’ouverture d’un nouveau squat à Caen. (©Philippe Rifflet/ Liberté Le Bonhomme Libre)

Depuis mercredi 16 janvier 2019, ces deux jeunes couples originaires de Géorgie ne dorment plus dans leur voiture grâce à l’AG de Lutte contre Toutes les Expulsions qui a ouvert un nouveau squat à Caen.

L’ancienne maison de fonction du DRH de la ville de Caen

Cette maison cossue de la Place Blot, avec vue sur le Jardin des Plantes, a été le logement de fonction du Directeur des Ressources Humaines de la ville de Caen. Depuis des mois, la maison, fermée, était à vendre sans trouver preneur. Elle reste la propriété de la ville de Caen.

Nestan 34 ans, et Giorgi, 32 ans, arrivés en France en août 2017, ont dormi dans leur voiture pendant une quinzaine de jours après avoir été invités à quitter le Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile (CADA) qui les avait hébergés pendant un temps. Leurs trois enfants dont deux jumeaux d’un an, et la petite Alexandra, 6 ans, scolarisée en CP et atteinte d’une grave maladie des yeux, avaient été confiés à des amis.

Après 48 heures d'occupation, les militants ont officialisé l'existence du squat. Tout expulsion est désormais impossible sans décision de justice.

Après 48 heures d’occupation, les militants ont officialisé l’existence du squat. Toute expulsion est désormais impossible sans décision de justice. (©Philippe Rifflet/ Liberté Le Bonhomme Libre)

Un autre couple et ses deux enfants est également hébergé dans ce nouveau squat dont l’AG a officialisé l’existence samedi 19 janvier 2019, après 48 heures d’occupation empêchant de ce fait, toute expulsion sans décision de justice.

Lire aussi : 

Squat officialisé auprès de la Préfecture et voisins informés

Samedi après l’officialisation de l’existence de ce nouveau squat, les militants de l’AG ont tendu une grande bâche devant la maison rappelant « Un toit, c’est un droit »… Comme ils le font systématiquement lors de chaque ouverture de squat, ils ont passé une partie de la journée à informer et discuter avec les voisins.

Une patrouille de Police est passée en fin de matinée pour constater l’occupation des lieux sans intervenir. Il faut dire qu’au même instant entre 2 et 3000 gilets jaunes déambulaient dans le centre ville.

Sports : les résultats du week-end

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Rachid El Himri et les Cherbourgeois se sont inclinés ce samedi devant Gonfreville.

Rachid El Himri et les Cherbourgeois se sont inclinés ce samedi devant Gonfreville. (©Nadine DJEBBAR)

FOOTBALL

Ligue 1 : Caen – Marseille : dimanche à 17 heures

N1 : Pau – Avranches : 2-0

N2 : Chartres – Granville : 3-1

N3 : Cherbourg – Gonfreville : 1-2

Saint-Lô – PTT Caen : 2-2

Basket

LF2 : Chartres – La Glacerie : 80-62

N3M : Saint-Lô – Brest : 63-70

N3F : La Glacerie « B » – Lamboisières : dimanche à 15 h 30

PNM : Caen Sud – Cherbourg : 70-82

BC Hague – PTT Caen « B » : 67-79

PNF : BC Hague – Cherbourg : dimanche à 15 h 30

Bayeux – Equeurdreville : dimanche à 15 h 30

Vire – La Glacerie « C » : dimanche à 15 h 30

U18M : Cherbourg – Challans : dimanche à 13 h 15

U18F : Saint-Amand – La Glacerie : dimanche à 15 h 30

Handball

N2M : Bouguenais – Cherbourg « B » : 35-29

Granville – Hennebont : 27-33

N2F : Saint-Maur – Granville : 31-26

U18 : Erdre-et-Loire – Cotentin HB : 31-30

PNM : Tourlaville – Avranches : 26-28

Port Bayeux – La Haye-du-Puits : samedi à 21 heures

PNF : Yvetot – Tourlaville : dimanche à 16 heures

Saint-Lô – Montville : samedi à 21 h 15

Rugby

Honneur : Saint-Lô – Dieppe : dimanche à 15 heures

Promotion : Lisieux – RCCH : dimanche à 15 heures

Port du Havre – Granville : dimanche à 15 heures

1re série : Valognes – Côte de Nacre : dimanche à 15 heures

Alençon – Coutances : dimanche à 15 heures

Argentan – Avranches : dimanche à 15 heures

VIDEO. Un jongleur américain au collège Coppens à Lannion

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Wes Peden est en résidence pendant un mois au collège Coppens à Lannion.

Le jongleur Wes Peden est en résidence pendant un mois au collège Coppens à Lannion. (©Le Trégor)

Le jongleur américain Wes Peden, est installé en résidence pour un mois au collège Yves Coppens à Lannion. Une initiative du Carré magique et des enseignants. Une façon originale de créer son nouveau spectacle. 

Pour moi c’est important et nouveau car je n’ai pas été au collège, enfant je faisais l’école à la maison. C’est une découverte. Dès l’âge de 11 ans j’ai présenté mon premier spectacle. J’en parle avec des élèves qui ont à peu près cet âge là.

A la cantine

L’artiste déjeune même à la cantine tous les jours et loge sur place, dans un logement de fonction vacant. 

Wes Peden parle évidemment en anglais avec les deux classes de 4e plus impliquées dans la démarche. Une façon de rendre les cours encore plus vivants. Même chose en sports, ou encore en physique où les élèves calculent les trajectoires des objets avec lesquels il jongle. Pour les enseignants, c’est aussi une découverte : 

Tous les cours y sont impliqués. Les élèves viennent le voir répéter et des ateliers seront proposés la troisième semaine.

Wes Peden proposera son spectacle mardi 22 et jeudi 24 janvier au Carré Magique à Lannion à 20 h. 

Wes Peden est capable de jongler avec de nombreux objets différents.

Wes Peden est capable de jongler avec de nombreux objets différents. (©Le Trégor)


Trouville-sur-Mer. Le maire organisera huit débats publics dans sa commune dès le 24 janvier

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Lors de la cérémonie des voeux,

Lors de la cérémonie des voeux, Christina Cardon avait annoncé son intention d’organiser les débats publics dans sa commune. (©Le Pays d’Auge)

 Alors que Philippe Augier, maire de Deauville (Calvados) , souhaite organiser des débats publics communs pour toutes les communes de Cœur Côte fleurie, son voisin Christian Cardon lui coupe l’herbe sous le pied en faisant cavalier seul. Le maire de Trouville-sur-Mer fut le premier à rendre publiques les dates des réunions et les thèmes qui y seront abordés.

De même il renvoie dans ses buts l’association Allô Citoyen qui avait manifesté l’intention de s’en adjuger l’organisation dès la fin du mois de décembre, en rappelant à sa présidente : « Il est hors de question de laisser une association se substituer au maire et au conseil municipal, surtout lorsqu’elle est représentée par une personne travaillant au ministère de l’intérieur et représentante du parti majoritaire à l’Assemblée nationale, mal placée pour exprimer les orientations de la base sans être taxée de récupération par le pouvoir en place ».

Rendez-vous

  • Jeudi 24 janvier à 18 h à l’hôtel de ville Fiscalité et dépenses publiques et Transition écologique
  • Jeudi 31 janvier à 18 h à l’hôtel de ville Organisation de l’Etat et des services publics + Démocratie et citoyenneté
  • Vendredi 8 février à 18 h au bureau de vote d’Hennequeville (école Delamare)    Fiscalité et dépenses publiques + Transition écologique
  • Jeudi 14 février à 18 h à l’hôtel de ville Organisation de l’Etat et des services publics + Démocratie et citoyenneté
  • Samedi 23 février à 15 h à l’hôtel de ville Fiscalité et dépenses publiques + Transition écologique
  • Jeudi 28 février à 18 h à l’hôtel de ville Organisation de l’Etat et des services publics + Démocratie et citoyenneté
  • Jeudi 7 mars à 18 h à l’hôtel de ville Fiscalité et dépenses publiques + Transition écologique
  • Vendredi 15 mars à 18 h à l’hôtel de ville Ensemble des thèmes. Conclusions.

Chaque réunion comprendra un débat public animé par le maire et les conseillers municipaux et permettra également aux personnes qui le souhaitent de faire part de leurs propositions individuellement auprès des conseillers municipaux de toutes tendances. Des thèmes sont choisis mais il ne sera pas interdit d’aborder d’autres questions.

Les réunions sont destinées avant tout aux Trouvillais, résidents permanents et secondaires mais nous n’exclurons personne, précise Christian Cardon. Les modalités des réunions pourront évoluer en fonction de l’expérience acquise au début du débat : nous informerons le public des éventuelles modifications décidées .

Plougrescant. Plus question de construire hors du bourg

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La mer qui l'entoure est à la fois un atout et une contrainte pour Plougrescant

La mer qui l’entoure est à la fois un atout et une contrainte pour Plougrescant (©Le Trégor)

Le site du Gouffre, Pors Hir, la chapelle Saint-Gonery, les huîtres : Plougrescant a tout pour plaire. Mais la démographie renvoie à une autre réalité. Depuis 1968, le nombre d’habitants décroît. Entre 2011 et 2016, la commune a perdu encore 114 habitants pour un total de 1 202 âmes à l’année.

55,6 % de résidences secondaires

C’est une autre donnée que Anne-Françoise Piedallu met en relief : « Nous sommes à 55,6 % de résidences secondaires, c’est un seuil très inquiétant par rapport à un équilibre », souligne la maire. Et également pour la dotation globale de fonctionnement qui prend en compte un habitant par résidence secondaire, « loin de la réalité ».

Car à Plougrescant, ce taux mérite des nuances :

Nous avons des propriétaires qui passent très régulièrement leur temps ici, dès qu’il y a un week-end prolongé.

Ce sont notamment des familles ou des retraités qui partagent leur année entre Plougrescant et une grande ville.

« Dans les faits, ils sont plus présents dans l’année », résume Anne-Françoise Piedallu, apportant déjà les recettes des taxes (habitation et foncière) et surtout faisant vivre le commerce local.

Cela vient en appui d’une dynamique économique autour de l’ostréiculture, de l’agriculture et du tourisme, la commune accueillant quelque 6 400 personnes en été.

Résolument optimiste, l’élue note également un certain rajeunissement de sa population, « l’attrait du paysage attire ainsi beaucoup d’artistes. Nous avons eu dix naissances en 2018 », contre sept en 2017 et deux l’année précédente. Ce qui ne compense pas évidemment les décès.

Pas de nouveaux villages

La marge de manoeuvre des élus reste fortement contrainte par la loi Littoral. L’avantage de posséder une superbe côte a son revers. 

Nous sommes la seule commune de Lannion Trégor communauté à être une presqu’île.

Les propositions pour le Plan local d’urbanisme de nouveau hameau à Kernevez et de village pour Pors Hir ont été retoquées. « Il s’agissait de pouvoir construire sur de petites parcelles non cultivées. Mais, désormais, il n’y aura plus de nouvelles constructions ailleurs qu’au bourg. C’est évidemment un frein », déplore Anne-Françoise Piedallu.

Avec cet autre effet pénalisant : « Les maisons restantes vont être encore plus attractives ». Et donc plus chères à l’achat pour les jeunes ménages.

Perros-Guirec. La Société des régates soutient la SNSM

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Ronan Le Gonidec, président de l'amicale des équipiers de la station SNSM de Ploumanac'h, Kim N'Guyen et Yann Colin, lors de la remise du don de la Société des régates de Perros au profit de la SNSM.

Ronan Le Gonidec, président de l’amicale des équipiers de la station SNSM de Ploumanac’h, Kim N’Guyen et Yann Colin, lors de la remise du don de la Société des régates de Perros au profit de la SNSM. (©Françoise Le Bronec)

Lors de sa dernière assemblée générale (c’est même une tradition), Yann Colin, président de la Société des régates de Perros (SRP), a fait un don de 600 € à la station SNSM de Ploumanac’h. Le président de la station, Kim N’Guyen, en a profité pour faire le bilan de l’activité 2018.

Le canot tout temps Président-Toutain a réalisé 20 interventions de secours, a participé à une opération d’hélitreuillage et à dix immersions de cendres.

Les équipiers se sont entraînés en mer lors de 15 sorties de jour, quatre sorties de nuit et deux fois lors d’opération d’hélitreuillage avec la Marine nationale. Le canot a participé à de nombreuses fêtes maritimes de la région. Au total, le canot est sorti 59 fois de son abri.

Encore des travaux à prévoir à la cale de Pors Kamor

Si une partie de la cale (35 m) de Pors Kamor a été rénovée, « il est impératif d’effectuer des travaux sur les rails et sur le chariot. En 2018, nous avons déraillé quatre fois. Des devis sont en cours. Un coût de l’ordre de 200 000 € à 250 000 € est à envisager, et le financement reste à établir », souligne le président de la station de Ploumanac’h.

Un autre gros chantier, la grande visite du canot où tout est démonté, vérifié et remonté, devrait être mené en 2019. 

Ça se fera après l’été et lors de l’immobilisation du canot. Nous serons dotés d’un canot de réserve qui mouillera dans le port de Ploumanac’h.

Vidéo. Basket : Pont-l'Evêque domine Ouistreham et reprend le pouvoir

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Pont-l'Evêque, en dominant Ouistreham 73 à 61, a pris la tête du classement de prénationale ce samedi 19 janvier 2019.

Pont-l’Evêque, en dominant Ouistreham 73 à 61, a pris la tête du classement de prénationale ce samedi 19 janvier 2019. (©Le Pays d’Auge)

Après une fin d’année 2018 difficile, Pont-l’Evêque a retrouvé le sourire avec le début de l’année 2019. Les partenaires de Boris Dadeke ont, en effet, à la faveur de deux succès face à deux autres prétendants au titre, réussi à reprendre la tête du championnat de prénationale.

Pont-l'Evêque menait déjà de 16 points à la pause.

Pont-l’Evêque menait déjà de 16 points à la pause. (©Le Pays d’Auge)

Ce samedi 19 janvier 2019, face à Ouistreham, dans une première période rondement menée, les hommes de Jean-Emmanuel Le Brun ont rejoint les vestiaires avec 16 points d’avance (40-24). Cet avantage s’est avéré déterminant sur la deuxième période puisque Pont-l’Evêque a pu se contenter de gérer son avance face au leader du championnat… 57-45 à la fin du troisième quart-temps et Pont-l’Evêque a su en faire de même sur le dernier quart-temps pour finalement l’emporter sur le score de 73 à 61. 

Au classement, l’affaire est évidemment bonne puisque les Pontépiscopiens prennent, à la faveur d’un meilleur goal average, la tête du classement.

Pont-l'Evêque fait, avec une étroite marge de manoeuvre, la course en tête en prénationale.

Pont-l’Evêque fait, avec une étroite marge de manoeuvre, la course en tête en prénationale. (©Le Pays d’Auge)

Des candidats recherchés pour une nouvelle émission de vente aux enchères

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Un appel à candidatures vient d'être lancé par le Groupe M6.

Un appel à candidatures vient d’être lancé. (©Groupe M6)

Le Groupe M6 prépare une nouvelle émission de vente aux enchères qui s’adresse aux groupes de personnes ayant un projet commun à réaliser et à financer :

Nous recherchons des candidats dans votre région. Vous avez un ou plusieurs objets à vendre ? Vous souhaitez le/les faire expertiser et le/les vendre au meilleur prix ? Vous avez un projet/événement à réaliser à plusieurs et souhaitez le financer en vendant un ou plusieurs objet(s) ?

Entre collègues, en famille…

Si vous vous sentez concernés, que vous soyez en famille, entre amis, entre collègues ou autres… inscrivez-vous à cette nouvelle émission du Groupe M6 sur le site internet shortaudition.com/prendreouenchere

A LIRE AUSSI : Équeurdreville : le centre aquatique rouvre partiellement

L’émission devrait s’intituler « À prendre ou à l’enchère » et constitue un deuxième essai après l’échec de « Reines des enchères », un programme présenté par Cristina Cordula depuis début janvier.

M6 espère avoir autant de succès que France 2 et son « Affaire conclue », présenté par Sophie Davant chaque après-midi, qui enchaîne les belles performances en termes d’audimat avec plus d’un million de fidèles.

A LIRE AUSSI : Big Walter : une association de Cherbourg à la Mecque du son à Los Angeles

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