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Les policiers ont ouvert une enquête après l’agression d’un homme de 27 ans à Sarcelles. (©Illustration Actu.fr)

Une enquête de police a été ouverte à la suite de l’agression au couteau d’un homme de 27 ans samedi 12 janvier dans la soirée, à proximité de la gare de Garges-Sarcelles (Val-d’Oise).

Hospitalisé en urgence absolu

Dans des circonstances et pour des raisons qui restent à établir, la victime a été poignardée au thorax.

Prise en charge par les secours, elle a été évacuée en urgence absolue au centre hospitalier de Gonesse.

Avec le n°2 au centre, Bahia Quesnot (née et élevée à Brix) a décroché sa qualification au Grand Prix d’Amérique avec brio. (©LeTrot.com)

Ce dimanche 13 janvier 2019 à l’hippodrome de Vincennes, temple du trot, se déroulait le Grand Prix de Belgique, dernière course qualificative au Grand Prix d’Amérique du dimanche 27 janvier. Plusieurs Manchois étaient au départ : deux chevaux et deux drivers.

Parmi les quatorze partants se trouvait Bahia Quesnot, née chez la famille Lefebvre à Brix il y a 8 ans. Deuxième du champion Aubrion du Gers à Vichy en juillet 2018 et lors de finale du Grand national du trot 2016, Bahia Quesnot s’est transcendée dans ce Grand Prix de Belgique 2019 en étant déferrée des quatre pieds.

Pour courir la grande épreuve de fin janvier, elle devait impérativement terminer dans les trois premiers. Elle y est parvenue en passant la ligne d’arrivée en 3e position. Après enquête des commissaires sur un changement de ligne d’un concurrent, elle allait monter sur la deuxième marche du podium, comblant tout son entourage : ses propriétaires, sa nouvelle équipe d’entraînement du Sud-Est de la France, et ses éleveurs.

Alain Lefebvre qui élève depuis une vingtaine d’année à Brix avec son épouse Chantal et leurs fils Matthieu savourent :

On était en famille devant la télé. Les téléphones ont sonné de toutes parts. C’est de l’émotion. C’est inespéré pour nous. »

Valko Jénilat gêné

L’autre trotteur né dans le Cotentin, était le champion et étalon Valko Jénilat, gagnant du Grand Prix de Bretagne l’an passé et 9^e (dans un temps record) du Grand Prix d’Amérique 2018 faisait partie des plus expérimentés.

REVIVEZ LA COURSE EN REPLAY EN CLIQUANT ICI

Eric Raffin drivant Eridan, « Valko » était confié pour la première fois à François Lagadeuc, jeune jockey-driver de talent, installé à Grandcamp-Maisy (près d’Isigny-sur-Mer). Il n’a pas hésité à attaquer dans la partie montante de la grande piste noire de Vincennes car, c’est à cet endroit stratégique, que Valko Jénilat est le plus fort.

A l’entrée de la ligne droite, Valko Jénilat était en troisième position, en dehors du leader Bird Parker qui avait pris la tête à Bélina Josselyn. Mais le sulky de cette dernière, pilotée par Jean-Michel Bazire, a gêné Valko Jénilat en se décalant à l’entrée de la ligne droite. « Valko » ne pouvait éviter de se mettre au galop.

Les éleveurs de Valko Jénilat, à La Pernelle, Laëtitia et Vincent Hautemanière, ont aussi vécu cela de chez eux, devant Equidia, car il faut s’occuper de l’élevage tous les jours :

Forcément, on est déçus mais on est aussi contents de sa course. Il prouve qu’il est encore au niveau. François Lagadeuc l’a bien mené. Il ne lui avait pas encore débouché les oreilles au moment où il a été gêné. Il aurait sans doute terminé 3e ou 4e. »

S’il n’a pas décroché une des quatorze qualifications directes, Valko Jénilat semble quand même assuré de participer au Grand Prix d’Amérique car il fait partie des plus riches de la discipline dans le monde.

Le vainqueur s’était ressourcé à Utah-Beach

Bélina Josselyn a donc été disqualifiée logiquement (Jean-Michel Bazire écopant de deux jours de mise à pied). Bird Parker a hérité de la victoire. Il sera l’un des favoris dans deux semaines.

Comme Readly Express (5e dans ce Grand Prix de Belgique mais en étant mal parti et étant ferré) et Uza Josselyn (6e), Bird Parker s’était ressourcé un mois (en septembre) à Utah-Beach dans l’établissement de Stéphanie Lepetit.

David Thomain qualifié aussi

Habitués du très haut niveau européen et mondial, les deux cracks drivers manchois David Thomain et Franck Nivard étaient associés respectivement à Carat Williams et Cash Gamble. Le Carentanais David Thomain s’est classé finalement troisième, empochant leur qualification également. Franck Nivard sera associé de toute façon associé à l’un des favoris, Bold Eagle, vainqueur de l’épreuve en 2016 et 2017.

Vous pouvez aussi revivre et analyser cette course de l’intérieur du peloton, comme si vous étiez un driver, grâce à l’application gratuite PMU Tracking.

Luc Chauvel a de nouveau apprécié la force de caractère de son groupe à La Roche-sur-Yon, même si Caen était parti là-bas pour un autre résultat… (©Léa Quinio/Sport à Caen)

Mené 3-0 au début du troisième tiers, le Hockey Club de Caen a finalement perdu 4-3 après prolongation, samedi 12 janvier 2019 contre La Roche-sur-Yon. Les Drakkars ont donc ramené un point de leur déplacement. Ils en ont laissé deux à La Roche. Caen est huitième d’un championnat extrêmement serré, où les huit premières équipes disputeront les playoffs.

Les commentaires de Luc Chauvel après la défaite de Caen 4-3 à La Roche.

« Un sentiment mitigé »

« Il y a de la déception parce que nous étions venus chercher les trois points, mais en même temps je suis content de la réaction des garçons qui se sont battus jusqu’au bout pour retourner une situation très mal embarquée. C’est peut-être ce point qui nous permettra d’accrocher les playoffs. Le sentiment est vraiment mitigé après un match comme celui-là.

On fait une de nos meilleures entames de la saison à l’extérieur. Les garçons étaient très concentrés et appliqués. Malheureusement, on n’a pas concrétisé. Cela dit, La Roche a aussi eu des occasions. Dans le deuxième tiers, on prend deux buts en infériorité numérique. À 2-0, on déjoue un peu à cause de la frustration… Et dès l’entame du troisième tiers, on encaisse un troisième but.

« J’y croyais quand même »

À 3-0, c’est un peu délicat. J’y croyais quand même parce que ce groupe ne lâche jamais. Personne n’a abdiqué. Pierre-Antoine (Devin) a réduit le score, et Phil (Bushbacher) nous a permis d’égaliser. Cela me laisse un petit regret parce qu’on a vraiment dominé la fin de match. L’équipe a réagi au pied du mur. Après, je sais aussi qu’on ne peut pas mettre cette intensité pendant soixante minutes.

En prolongation, on a une énorme occasion après seulement vingt secondes. Le défenseur dévie du bout de sa palette devant la cage vide. Ça n’a pas voulu tourner pour nous. Le but de La Roche, c’est impossible qu’il soit validé… Il y a faute. Cette fois, il y a une vraie frustration envers l’arbitrage, mais j’en ai fait mon deuil cette saison… On essaie de rester focus sur le jeu.

« Le groupe est déterminé »

Nous sommes à quatre points de la quatrième place et à quatre points de l’avant-dernière place. Ce championnat est complètement fou. La Roche, qui est en mauvaise position, reste une équipe très difficile à manœuvrer. En plus (à l’instar de La Roche, ndlr), toutes les équipes se sont renforcées cet hiver. C’est une course à l’armement. Cela densifie le championnat. Nous, on fait avec nos armes. La première d’entre elles est de ne jamais rien lâcher. Le groupe est déterminé.

« Palpitant et usant »

[Samedi] soir, cela s’est encore joué sur des détails. On est obligé de batailler tout le temps. C’est palpitant et à la fois un peu usant, parce qu’on a le sentiment de ne pas faire une mauvaise saison. Mais c’est aussi pour vivre ça qu’on joue au hockey. Notre objectif est de garder notre destin entre nos mains jusqu’au bout. Si on compte sur les autres, cela ne pourra pas marcher. Je suis très terre à terre : quand une équipe se bat, travaille dur, les choses finissent par lui sourire. Le groupe ne triche pas. »

Hélène Laporte en deuxième position sur la liste du Rassemblement National (©DR)

La Villeneuvoise, Hélène Laporte, a de très fortes chances de faire son entrée au parlement européen, à l’issue du scrutin qui se déroulera en mai prochain (le 26).

En position éligible

En effet, l’élue du Lot-et-Garonne a été désignée en deuxième position de la liste du Rassemblement National qui a été dévoilée, aujourd’hui, par Marine Le Pen, lors d’une convention du parti pour lancer officiellement la campagne.

Hélène Laporte, conseillère régionale RN en Nouvelle Aquitaine, en 2e place sur la liste du RN pour les européennes, derrière J.Bardella pic.twitter.com/R3z1BVr7AH

— Julien Rousset (@julienrousset) January 13, 2019

Devant Thierry Mariani

L’actuelle conseillère régionale est située derrière Jordan Bardella qui, à 23 ans, ménera cette campagne européenne. Hélène Laporte, également membre du conseil national du parti dirigée par Marine Le Pen, précède la transfuge des Républicains, Thierry Mariani (n°3).

Battue par Alexandre Freschi

La quadragénaire n’est pas inconnue sur le Marmandais. Elle a été candidate lors des dernières élections législatives en 2017. Elle a été battue au second tour par Alexandre Freschi, député LREM.

Sur les réseaux sociaux, la candidate s’est exprimée suite à cette annonce :

Merci à Marine Le Pen pour la confiance qu’elle m’accorde. Menons la campagne tous derrière Jordan Bardella »

Garraud, le transfuge

Cette liste du Rassemblement National comporte aussi un candidat de la Gironde avec la présence de l’ex-député Jean-Paul Garraud en neuvième position.

A l’UMP et chez LR, "dans les coulisses, tous m’approuvaient mais rien ne suivait", dit l’ex-député LR Jean-Paul Garraud devant les militants RN pic.twitter.com/lYrLgBmUcQ

— Louis Hausalter (@LouisHausalter) January 13, 2019

A lire aussi : La lettre d’Emmanuel Macron

Une centaine de membres de l’Adeva Cherbourg se sont rendus à Paris pour la manifestation annuelle. (©DP)

Le 8 janvier, la juge d’instruction a rendu une ordonnance de non-lieu suite à la plainte pénale déposée par les victimes de l’amiante de la DCN à Cherbourg en 2005.

Après 14 ans d’instruction, la décision sonne comme une « insulte à la mémoire », de ceux qui ont disparu, s’insurge Pascal Canu, le président de l’Adeva. Rappelons que les maladies dues aux fibres d’amiante peuvent se déclarer 20 voire 30 ans plus tard.

Pascal Canu note :

La juge ne nie pas l’existence des maladies liées à l’amiante. Elle ne remet pas en cause la maladie professionnelle. Mais, ne pouvant dater le début du processus pathologique dû aux fibres d’amiante et donc précisément la date de l’empoisonnement, elle affirme qu’elle ne peut pas établir une corrélation entre la maladie et les responsables. Elle ne peut imputer clairement la responsabilité à telle ou telle personne.

La décision est donc prise de ne reconnaître aucun responsable mais l’Adeva fera appel ce non-lieu. D’autres actions qui n’ont pas encore été définies vont être mises en place.

Face à une telle décision, la colère est présente mais pas l’abattement. Il l’affirme : « Nous irons en cassation, s’il le faut. Les Cherbourgeois sont des Warriors ! »

Le prévenu, un habitant de Montmerrei, jugé par le tribunal d'Argentan est connu pour ses problèmes d'alcoolisme.

Le prévenu, un habitant de Montmerrei, jugé le 8 janvier par le tribunal d’Argentan, est connu pour ses problèmes d’alcoolisme. (©Illustration Le Journal de l’Orne)

Le tribunal correctionnel d’Argentan a décidé de condamner, mardi 8 janvier 2019, un septuagénaire de Montmerrei à une peine de deux mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pour avoir insulté et frappé un vétérinaire.

Le 26 juin 2017 un vétérinaire de Mortrée se présente à la gendarme de Sées afin de déposer plainte à l’encontre d’un de ses clients.

Selon le vétérinaire, certains chiens manquent de soins

Il explique aux gendarmes que cet habitant de Montmerrei, un homme de 71 ans, est propriétaire de plusieurs chiens dont certains manquent de soins.

Il décide d’ailleurs, avec l’appui du maire de la commune, de lui en retirer certains. Quelques mois après, ce même homme se présente à la clinique vétérinaire avec un de ses chiens souffrant.

Face au litige qui les oppose, le vétérinaire refuse de soigner le chien malade et lui donne l’adresse d’un confrère proche.

Le prévenu reviendra quelque temps après fortement alcoolisé. Après l’avoir copieusement insulté, il s’énerve et lui porte deux coups de poing dans l’abdomen.

Il nie les coups portés

Les deux secrétaires du cabinet présentes aux moments des faits sont entendues. L’une déclare ne pas avoir entendu d’insulte et l’autre confirme en tout point les dires du plaignant et précise avoir elle-même été insultée.

Le prévenu présent à la barre ne cesse de bougonner obligeant la présidente à lui demander d’avoir un autre comportement et d’arrêter ses insultes.

L’expertise psychiatrique ordonnée révèle un individu obstiné, fermé à la critique qui nie les maltraitances et les coups portés au vétérinaire.

La présidente rappelle les six mentions portées à son casier judiciaire principalement pour des faits de conduite d’un véhicule sous l’empire d’un état alcoolique et rébellion.

Pour le ministère public le comportement du prévenu aujourd’hui à la barre tend à favoriser les déclarations du plaignant, le prévenu étant un homme connu pour ses problèmes d’alcoolisme.

Il requiert une peine de six mois d’emprisonnement avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans avec l’obligation de soin et ne pas entrer en contact avec le plaignant.

Les mauvais traitement, « Une rumeur non fondée », selon son avocat

L’avocat de la défense revient sur l’état de son client.

Personne n’ignore dans la commune qu’il s’agit d’un majeur protégé. Il ne sait ni lire ni écrire et le mauvais traitement de ses animaux n’était qu’une rumeur non fondée.

Il demande au tribunal de tenir compte de cette situation et de revoir le quantum de la peine requise.

Après en avoir délibéré, le tribunal reconnaît cet homme coupable des faits qui lui sont reprochés et le condamne à une peine de deux mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans avec obligation de soin.

$La chanteuse caennaise Julie Erikssen attend depuis vendredi au CHU de Caen que sa mère soit opérée d'une fracture du cil du fémur. Pour elle, la question de la santé et de son manqu de moyens doit figurer dans le grand débat lancé par Emmanuel Macron.$

La chanteuse caennaise Julie Erikssen attend depuis vendredi au CHU de Caen que sa mère soit opérée d’une fracture du col du fémur. Pour elle, la question de la santé et de son manque de moyens doit figurer dans le grand débat lancé par Emmanuel Macron. (©DR)

Julie Erikssen est une chanteuse caennaise installée à Paris, mais c’est en qualité de citoyenne que ce 14 janvier 2019, elle a décidé d’utiliser le réseau social Twitter pour piquer un coup de gueule et interpeller Emmanuel Macron et sa lettre aux Français avant le lancement du « Grand Débat ».

Admise vendredi à 15h30, elle attend toujours d’être opérée

Depuis vendredi 11 janvier 2019 l’artiste veille Nicole, sa maman âgée de 79 ans admise au service traumatologie du CHU de Caen en attendant d’être opérée. Elle la réconforte et lui tient compagnie pour alléger sa souffrance en espérant qu’enfin, une place se libère au bloc opératoire dédié aux urgences.

Victime d’une chute à son domicile, la maman de Julie s’est fracturé le col du fémur. « Et depuis vendredi, elle attend et elle souffre », s’insurge Julie. Non pas que l’artiste prétende obtenir un quelconque traitement de faveur, « mais j’estime que depuis son admission vendredi à 15h30, ça commence à faire long… C’est beaucoup de souffrances inutiles. »

#lettremacron #Scandale Ma mère à l'#hôpital de #Caen depuis vendredi avec une fracture du col du fémur. 4 jours qu'elle attend pour se faire opérer! Souffrances ultimes à cause du manque de personnel. Pas assez de chirurgiens, infirmières débordées… Il faut que ça change!

— Julie Erikssen (@JulieErikssen) January 14, 2019

A la veille du lancement du grand débat pour lequel Emmanuel Macron vient de publier sa lettre aux Français pour dire qu’il n’y a pas de sujet tabou, Julie Erickssen veut ainsi attirer l’attention de « l’état du secteur de la santé… »

Je ne fais pas de politique, mais j’estime que s’il y a un sujet qui mérite qu’on y consacre une question, et ensuite qu’on débloque de l’argent, c’est bien la santé.

« Personnel hospitalier débordé et en détresse »

Avec la mésaventure survenue à sa mère, Julie Erikssen dit mesurer combien les personnels hospitaliers sont à bout. « Tout le monde est débordée… »

Le personnel est adorable, l’accueil aux urgences a été parfait, les infirmières font ce qu’elles peuvent mais on voit bien qu’elles sont à bout. Elles sont en détresse, et ne s’en cachent pas. Elles nous disent que c’est de pire en pire (…), indique l’artiste caennaise.

Concernée par le mouvement des gilets jaunes et par leurs revendications

Seuls trois blocs opératoires des « Urgences », sur cinq au total, seraient en fonctionnement ce lundi 14 janvier 2019 parce qu’il n’y aurait que trois chirurgiens de garde… « C’est ce qu’on nous répond quand on demande des nouvelles », explique Julie.

Le plus difficile à gérer c’est que personne ne peut nous dire, voilà, ce sera tel jour à telle heure. On nous dit peut-être cet après-midi, ou demain matin… Et ça n’avance pas. C’est quand même incroyable. »

Pour Julie, s’il y avait davantage d’infirmières et de médecins, on n’aurait sûrement pas à vivre de telles situations de souffrances.

Je comprends que les cas les plus graves soient évidemment traités en priorité, mais si pendant trois semaines il n’y a que des cas plus graves, ma mère va devoir rester avec un col du fémur cassé pendant trois semaines ?

Julie Erikssen ne veut pas entrer en politique. Néanmoins, elle dit se sentir « concernée par tout ce qui se passe actuellement dans le pays, avec le mouvement des gilets jaunes et leurs diverses revendications. J’ai juste envie de dire n’oublions pas le thème de la santé dans les revendications, et dans le mécontentement qui s’exprime actuellement ».

Joint par téléphone à deux reprises, le service communication du CHU de Caen n’a pas répondu à nos questions.

L’accident s’est produit sur le chantier de construction de la LGV à Auvers-le-Hamon. (©Les Nouvelles de Sablé)

Les faits, spectaculaires, se sont produits le 1er juillet 2016, à Auvers-le-Hamon (Sarthe), à quelques kilomètres de Sablé-sur-Sarthe, sur le chantier de construction de la LGV Bretagne-Pays-de-Loire.

Le train propulsé 6 mètres en arrière

Ce soir-là, un train de chantier circulant vers l’Ouest percute un convoi d’essai arrivant en sens inverse. Le choc, d’une grande violence en dépit de l’allure modérée des machines, occasionne l’arrachement de la cabine de la motrice d’essai, tandis que le train de chantier est propulsé six mètres en arrière.

Un technicien blessé

Bilan, un technicien blessé à bord du train d’essai.

L’enquête établira que le train de chantier avait franchi sans autorisation un « garage franc », une balise disposée en bord de voie pour prévenir les collisions.

Le copilote suivant le match de foot…

Deux opérateurs comparaissaient lundi après-midi devant le tribunal correctionnel du Mans.

Ces salariés de la société Eiffage, âgés de 39 et 33 ans, étaient censés piloter le train de chantier en binôme.

Mais au soir des faits, seul le conducteur se trouvait en cabine. Son copilote suivait un match de foot dans une salle de pause.

À la barre, le conducteur du train de travaux a affirmé avoir franchi le garage franc sans s’en apercevoir.

« Je surveillais l’écran de contrôle. Je ne regardais qu’à ma gauche » a-t-il déclaré.

N’était-ce pas dangereux de circuler sans agent d’escorte à vos côtés ? », a réagi le procureur de la République.

« On m’a dit de continuer, j’ai laissé couler » s’est défendu l’intéressé, évoquant une hiérarchie mal définie.

L’agent licencié

Son binôme, licencié sur le champ après l’accident, a pour sa part reconnu s’être absenté de son poste sans autorisation.

La victime s’est déplacée à l’audience pour livrer sa version des faits.

Pressentant ce qui se tramait, le technicien avait enjoint à son mécanicien de réduire l’allure.

Cette présence d’esprit aura permis d’éviter un impact à haute vitesse.

L’accident lui vaudra néanmoins une longue convalescence.

Sans violation du règlement par les deux prévenus, l’accident ne serait pas arrivé » a regretté son avocat.

La défense évoque un « concours de circonstance » et des torts partagés.

Les deux hommes ont écopé de 6 mois de prison avec sursis.

Et si votre voiture électrique se rendait, seule, à une borne de charge sans fil ? C’est que Hyundai est en train de concevoir avec ses prochaines voitures autonomes. Une fois chargée, elle retournera se garer ou ira retrouver… son conducteur. (©Hyundai)

Ce dispositif de Hyundai Motor Group sera sans aucun doute des plus utiles aux conducteurs confrontés à la saturation des parkings et emplacements de charge, résultant du nombre croissant de véhicules électriques en circulation.

Un fonctionnement autonome

Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction mais d’une future réalité… Lorsque l’utilisateur enverra l’ordre à son véhicule de se recharger à l’aide de son smartphone, celui-ci se déplacera automatiquement vers une station de charge sans fil, libre. Lorsque le véhicule sera totalement chargé, il redémarrera vers une place vacante grâce au système de stationnement automatisé, laissant ainsi l’accès à la borne aux autres véhicules électriques.

De même, quand il sera « appelé » toujours depuis le smartphone, le véhicule se déplacera de manière totalement autonome pour retrouver son conducteur.

Communication continue pour résultat bluffant

L’ensemble du processus reposera en fait sur une communication continue entre le véhicule électrique, le parc de stationnement, le système de charge et le smartphone du conducteur. Le parc de stationnement communiquera la localisation des places et des stations de charge libres tandis que le système de charge actualisera l’état de charge du véhicule en temps réel.

Hyundai envisage de commercialiser cette technologie au moment du lancement de ses véhicules autonomes de niveau 4, à l’horizon 2025. La commercialisation de véhicules totalement autonomes est prévue d’ici 2030.

APEI-Actualités. Philippe Lacroix

Une « ligne jaune » pourrait relier Pontoise à Versailles (Yvelines) dimanche 27 janvier.

Une « ligne jaune » pourrait relier Pontoise (Val-d’Oise) à Versailles (Yvelines) dimanche 27 janvier. (©CC Thomas Bresson)

Dimanche 27 janvier 2019 en France, cinq chaînes humaines de Gilets jaunes pourraient partir de Châteaulin (Finistère), Marseille (Bouches-du-Rhône), Strasbourg (Bas-Rhin), Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) et Lille (Nord) pour se rejoindre symboliquement à Versailles (Yvelines), devant le château.

« Après avoir relié Amiens, et Beauvais, la chaîne traverserait le Val-d’Oise, en passant par Pontoise, Saint-Ouen-l’Aumone et Éragny-sur-Oise, avant de rejoindre les Yvelines en passant par les mairies de Conflans-Sainte-Honorine et Saint-Germain-en-Laye, jusqu’au moins au château de Versailles », explique Jean-Claude Debuly, l’un des organisateurs de la manifestation.

» Pas une mince affaire »

« Nous nous occupons du tronçon reliant Pontoise à Versailles. Ce n’est pas une mince affaire sachant que le tracé fait 31 km et qu’il faut environ 500 personnes par kilomètre pour faire une belle chaîne », confie ce gilet jaune qui manifeste régulièrement sur l’un des ronds-points de la Rd14, près de la Foir’Fouille, à la Patte d’Oie d’Herblay.

« Nous avons prévenu les préfectures des deux départements concernés, ainsi que les mairies de chaque ville traversée », insiste Jean-Claude Debuly.

Le rendez-vous est fixé devant l’hôtel de ville de Pontoise, « très tôt le matin, pour avoir le temps de placer tout le monde au bon endroit », précise l’organisateur, par ailleurs membre de la section argenteuillaise de La France Insoumise.

« La chaîne devrait être en place entre 10h et midi », conclut-il.

Lundi 14 janvier 2019, un homme de 43 ans a été incarcéré dans l’attente de son procès, après les violences lors du rassemblement des gilets jaunes, samedi 12 janvier 2019, à Caen (Calvados). (©Philippe Rifflet/Liberté – Le Bonhomme libre.)

Samedi 12 janvier 2019, à l’occasion du mouvement de manifestation des gilets jaunes, un quadragénaire est interpellé par la police, à Caen (Calvados). Muni d’un lance-pierre, il vise les forces de l’ordre avec des projectiles divers, notamment des boules de pétanque et des boulons… On retrouve également sur lui une bombe lacrymogène. Lors de son interpellation, il décline une identité imaginaire.

Il demande un délai pour préparer sa défense

Il avait déjà été photographié dans les mêmes circonstances, samedi 8 décembre 2018, à Mondeville. Cette fois un agent est blessé, avec une incapacité de travail de 3 jours.

Devant être jugé en comparution immédiate ce lundi 14 janvier 2019, l’homme a sollicité un renvoi afin de préparer sa défense comme la loi l’y autorise.

Liberté, contrôle judiciaire ou détention provisoire ?

La question qui se pose alors pour les magistrats est la suivante : jusqu’à son procès, peut-il demeurer en liberté, en liberté sous contrôle judiciaire ou en détention provisoire ? A la lecture de son casier judiciaire, qui comporte 18 mentions, la procureure n’émet aucun doute : pour elle, il convient de le placer en détention provisoire pour mettre un terme à ses comportements délictueux :

Sur les réseaux sociaux, il réclamait des munitions en vue des prochaines manifestations.

Son avocat Maitre Perol sollicite un placement sous contrôle judiciaire, l’homme pour le moment étant présumé innocent. Il conteste d’ailleurs formellement avoir blessé le policier au mois de décembre. Reconnu sur photo, il affirme ne pas avoir quitté son domicile.

Procès le 27 février 2019

Le tribunal décide d’un mandat de dépôt jusqu’au jugement du mercredi 27 février 2019. « Je suis violent quand je suis enfermé », prévient-il.

Stéphane Lepage est professeur de batterie pour l’association Art N’Drums à Avranches.

L’association Art N’Drums lance un concours de chant, le 3 février à Avranches.

« Nous organisons des présélections au Ti’Boussa pour la grande finale à Flers le 23 juin en partenariat avec l’association Clé de sol académy », explique Stéphane Lepage, professeur de batterie.

Quatre catégories

Le candidat jouera le morceau de son choix. Il doit fournir sa propre bande-son et doit payer 16 € pour s’inscrire. Le concours a été découpé en quatre catégories : pour les enfants jusqu’à 12 ans, les adolescents et jeunes adultes de 12 ans à 18 ans, les personnes majeures, et les auteurs-compositeurs interprètes de tout âge. Ces présélections se dérouleront dans d’autres villes normandes comme à Vire-Normandie. Huit personnes seront choisies dans chaque ville. « Il en faut 30 en tout. »

La grande finale

Les plus belles voix chanteront, pour la finale à Flers, devant un jury de quatre aux cinq professionnels. On notera notamment la présence de Bruno Berberes, le directeur casting de l’émission de télévision The Voice sur TF1.

Il a découvert des artistes désormais reconnus comme la chanteuse Louane. « Il vient pour repérer », assure Stéphane Lepage. Karoline Blandin intégrera aussi le jury. « Elle a été choriste pour Johnny Hallyday et va démarrer une émission sur M6. » Le gagnant de chaque catégorie remportera pourra enregistrer deux titres dans le studio NRJ de Flers. Ils seront aussi diffusés. Le 2e gagnera un micro d’une valeur d’environ 500 €.

Depuis 4 ans à Avranches

L’association Art N’Drums existe depuis quatre ans à Avranches. Elle propose des cours de : piano, batterie, chant guitare électrique et folk. Un professeur donne aussi des ateliers pour les groupes. « Nous comptons 60 élèves, mais nous avons toujours de la place », poursuit Stéphane Lepage. Il existe aussi des antennes à Vire, Flers et bientôt à Deauville.

Le concours sur inscription tarif 16 € sur le site www.artndrums.com.

Un homme a été interpellé, mercredi 9 janvier 2019, par la Bac d'Évreux (Eure) pour possession d'objets volés.

Les voleurs ont été pris en flagrant délit, jeudi 10 janvier, vers 22 h 30, à Vannes. (©Illustration / 76 Actu)

Deux personnes ont été vues en train d’escalader une barrière pour rejoindre l’arrière-cours d’un supermarché à Vannes. Les policiers ayant repéré le manège des cambrioleurs, ils les ont interpellés jeudi 10 janvier vers 22 h 30. Ils avaient en leur possession des denrées alimentaires.

Les voleurs ont été pris en flagrant délit par les policiers. Jeudi soir, 10 janvier, deux personnes escaladent une barrière d’une moyenne surface aux abords du Palais des arts.

Rapprochement avec d’autres affaires

Ayant repéré la combine, la brigade de surveillance attend le retour des individus et les interpellent au moment où ils refranchissent la palissade. Sur eux, des lampes torches, des gants et des sacs contenant des denrées alimentaires.

Les deux hommes sont en réalité accompagnés d’une femme et tous les trois sont placés en garde à vue. Ils reconnaissent les faits et le mode opératoire permet aux enquêteurs de faire le rapprochement avec une autre série de cambriolages.

Une série de six cambriolages

La femme de 45 ans, son fils de 26 ans et le conjoint de celle-ci ont participé à des vols par escalade ou effraction dans des domiciles du quartier nord gare de Vannes. Six maisons ont été visitées depuis le mois de décembre dernier. Lors de la perquisition, les policiers ont découvert des ordinateurs, des vêtements, de l’alcool, etc.

A l’issue de la garde à vue, le conjoint a été remis en liberté. A la vue de leurs antécédents judiciaires, c’est-à-dire des faits similaires, la mère et son fils seront convoqués devant le tribunal le 2 mai 2019.

L’auteur des tirs, qui se sont déroulés à Gournay-en-Bray, a reconnu son geste. Il a été déféré au tribunal de Dieppe jeudi 10 janvier 2019. (©photo illustration Pixabay)

Dimanche 6 janvier 2019 à Gournay-en-Bray un différent de longue date entre deux hommes s’est terminé par des tirs de pistolet à billes Lorsque l’un des deux arrive en voiture au bas de l’immeuble de son rival, il le somme de descendre pour venir s’expliquer. En réponse, il recevra une pluie de billes d’acier tirée avec un pistolet airsoft.

7 tirs dont 1 dans la tête

À sept reprises, des tirs seront envoyés sur la voiture et un autre dans la tête de l’automobiliste qui se trouvait à côté de sa voiture. Le projectile s’est logé juste à côté de l’œil de la victime. La bille d’acier a été retirée par un médecin 48 heures après les faits.

Lors de sa garde à vue, le prévenu a reconnu les faits. Il a été déféré devant le Tribunal de Dieppe en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) jeudi 10 janvier 2019.

Il a écopé de 6 mois de prison avec sursis, obligation de soins, 140 heures de travaux d’intérêts généraux (TIG) et 1 500 € d’indemnisation pour les dégâts causés à la voiture de la victime.

Invitée par Flers Agglo, la chanteuse Vitaa sera sur la scène du Forum de Flers samedi 27 avril. (©DR)

Vous pouvez réserver votre place pour le concert de Vitaa au Forum de Flers : la billetterie est ouverte ! Invitée par Flers Agglo, la chanteuse se produira au Forum de Flers samedi 27 avril à 20 h 30.

Ses plus grands succès

Révélée grâce à son duo avec Diam’s sur le titre « Confessions Nocturnes », la chanteuse a sorti plusieurs albums tels que « A fleur de toi », « Celle que je vois », « Ici et Maintenant » et dernièrement J4M.

Elle a également collaboré avec Claudio Capéo, Maître Gims ou Stromae. Plus récemment, le public a plus retrouvé la chanteuse comme jurée de « Destination Eurovision », diffusé sur France 2.

« Après avoir vendu plus d’un million d’albums en 10 ans de carrière, VITAA nous présente sur scène ses plus grands succès, ainsi que les titres de son dernier opus « J4M » qui est d’ores et déjà disque de platine avec plus de 100 000 exemplaires vendus. Entourée de ses musiciens, un DJ et deux choristes, Vitaa retrouve son public et nous embarque, le temps d’un concert, à la rencontre de son univers scénique. Ses collaborations sont multiples et son spectacle est un mélange de toutes les influences qui ont bercé son parcours artistique. Inclassable, Vitaa se dévoile sur scène et laisse apparaître une sensibilité, une force et une énergie incroyables ! »

Où acheter vos places ?

Les billets sont en vente à l’Office de Tourisme de Flers, en ligne sur flers-agglo.fr dans la rubrique Vie culturelle, et sur place dans la limite des places disponibles.

Tarifs : réduit 18 € avec le Pass+ Flers Agglo (réduction possible uniquement pour les billets achetés à l’Office de Tourisme de Flers, 4 place du Docteur-Vayssières, 61100 Flers, 02 33 65 06 75, accueil@flerstourisme.fr), plein : 25 €.

Un jeune homme de 30 ans a été interpellé après avoir exhiber plusieurs fois son sexe, devant ses victimes.

Un homme de 30 ans a été interpellé après avoir exhiber plusieurs fois son sexe, devant ses victimes.

Jeudi 10 janvier 2019, en début d’après-midi, un homme qui venait de déposer son véhicule dans un parking souterrain situé route de Seysses, au sud de Toulouse, a fait une fâcheuse rencontre…

Il tente d’agresser un homme…

Devant lui, un homme sort de sa voiture avec un ceinturon à la main et se met à exhiber son sexe. Il tente alors de donner des coups avec son ceinturon à sa victime, qui ne se laisse pas faire et repousse son agresseur. Le mis en cause prend alors la fuite à bord de son véhicule. Mais cela ne va pas l’empêcher de recommencer.

… puis deux femmes

Un peu plus tard, dans le même secteur, une jeune femme se gare sur un parking et voit surgir le même individu, qui exhibe à nouveau son sexe. Une autre femme, également présente, se met alors à crier. Cela n’effraie pas l’agresseur. Pantalon baissé, il fonce sur cette dernière et tente de lui enlever son pantalon… sans y parvenir. La première s’interpose et appelle alors la police, tandis que l’exhibitionniste prend à nouveau la fuite.

Un policier mordu lors de l’interpellation

Un peu plus tard dans la journée, aux alentours de 23 heures, la première victime signale aux policiers avoir vu l’individu dans le quartier, à bord de sa voiture. Les hommes de la Brigade anti-criminalité (BAC) se rendent alors sur les lieux et tente de l’interpeller, mais il prend à nouveau la fuite au volant de son véhicule. Il termine finalement sa course un peu plus loin contre des plots de travaux. Au moment de son interpellation, il se débat et mord un policier au niveau de la main, qui a été légèrement blessé.

L’individu hospitalisé

Placé en garde à vue, l’individu, âgé de 30 ans, a été finalement hospitalisé suite à une expertise psychiatrique, qui a déterminé que le mis en cause avait besoin de soins.

La patinoire en février, le critérium d’après Tour en juillet, le rallye de Lisieux en septembre et la grande brocante en novembre font partie des principaux événements de l’année à Lisieux (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Patinoire, critérium d’après Tour de France, concerts, brocantes, salons… L’année 2019 sera riche en événements et en animations à Lisieux (Calvados). Voici une liste non exhaustive des dates à retenir.

Janvier

Concert « Mosaïc Le Live » le 18 janvier
Fête foraine jusqu’au 20 janvier, place de la République.
Fête des aînés le dimanche 27 janvier

Février

Salon des antiquaires/brocante du 8 au 10 février au parc des expositions
Patinoire du 9 au 24 février, place Mitterrand
Concert « Mosaïc Le Live » le 8 février
½ finale des Championnats de France de cross le 17 février à l’hippodrome
Bal « Dimanche’s M » à Mosaïc le 24 février

Mars

Foire aux arbres du 2 au 4 mars
Bourse militaria le 3 mars au parc des expositions
Concert « Mosaïc Le Live » le 8 mars
Brocante vide-grenier le 17 mars organisé par #Les Vitrines de Lisieux dans le centre-ville
Bal « Dimanche’s M » à Mosaïc le 24 mars
Forum Emploi Formation le mercredi 27 mars au parc des expositions
Salon de l’auto voitures d’occasion les 30 et 31 mars au parc des expositions
Concert « Vents aux folies » le 31 mars à la salle multiactivités

Avril

Concert « Mosaïc Le Live » le 5 avril
Bal « Dimanche’s M » à Mosaïc le 28 avril
Journée nationale du souvenir des déportés le 30 avril

Le carnaval de Lisieux aura lieu en mai. La date précise n'a pas encore été fixée.

Mai

Concert « Mosaïc Le Live » le 3 mai
Anniversaire de la victoire du 8 mai 1945 le 8 mai
Bal « Dimanche’s M » à Mosaïc le 19 mai
3e festival de la Locomotion rétro au parc des expositions les 25 et 26 mai
Fête des voisins le 31 mai
Salon des antiquaires du 30 mai au 2 juin au parc des expositions
Carnaval (date non encore fixée)
Festival de la Jeunesse (date non encore fixée)

Juin

Cérémonie à la mémoire des victimes civiles des bombardements le 6 juin
Concert « Mosaïc Le Live » le 7 juin
Cérémonie en souvenir des morts en Indochine le 8 juin
Anniversaire de l’Appel du Général de Gaulle le 18 juin
Fête de la musique le 21 juin
Les 25 et 26 juin, Sommet européen de l’innovation agricole au parc des expositions
Bal « Dimanche’s M » à Mosaïc le 30 juin

Juillet

Les rendez-vous de l’été (concerts, feu d’artifice, ciné plein air, animations dans les quartiers, etc.)
Cérémonie de fête Nationale le 14 juillet
Critérium cycliste d’après Tour de France le 30 juillet

Août

Les rendez-vous de l’été (concerts, feu d’artifice, ciné plein air, animations dans les quartiers, etc.)
Foire aux picots dimanche 4 août en centre-ville
Jazzitudes (date non encore fixée)

Septembre

Forum des associations le samedi 7 septembre
Rallye de Lisieux le 14 et 15 septembre
Cérémonie de la Journée Nationale d’Hommage aux Harkis le 25 septembre
Les Foulées du cœur le 29 septembre

Octobre

Salon du mariage de Lisieux au parc des expositions les 12 et 13 octobre
Fêtes thérésiennes (date encore non fixée)
Randonnée VVT marche La Cerza au départ de l’hippodrome le 27 octobre

Novembre

Bourse militaria le 3 novembre au parc des expositions
Salon des antiquaires du 8 au 11 novembre au parc des expositions
Commémoration de l’Armistice 1914-1918 le 11 novembre
Grande brocante dans le centre-ville le 17 novembre

Décembre

Journée Nationale d’Hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie le 5 décembre
Téléthon (date non encore fixée)
Animations de Noël (marché, concert, spectacles etc. – date non encore fixée)

Manuella et Mickaël attendent les visiteurs en compagnie de leurs dinosaures.

Tricératops, tyrannosaure et diplodocus n’auront plus de secrets pour vous. Du 8 janvier au 13 février, la bibliothèque de Saint-Saëns (Seine-Maritime) présente une exposition sur les dinosaures.

Tout savoir sur les dinosaures, tel est l’objectif de l’événement. Composée de seize panneaux, plusieurs livres et jeux, l’exposition a été prêtée à la bibliothèque de Saint-Saëns par la médiathèque départementale de Notre-Dame-de-Bondeville. Les livres seront à consulter sur place, en raison de la durée de l’exposition. « Nous l’avons réservée il y a un an », explique Manuella Mouquet, bibliothécaire. L’exposition a déjà beaucoup tourné. Elle est très prisée. À Saint-Saëns, la société NLC déco, spécialiste en fabrication de d’animaux et de statues en résine, a prêté deux dinosaures.

À l’occasion de la nuit de la lecture, le 19 janvier, l’atelier créatif proposera des maquettes de dinosaures à monter.

Des lots à gagner

Manuella et Mickael, bibliothécaires, ont préparé un questionnaire. Il a pour but de tester les connaissances du jeune public sur les dinosaures. Deux questions subsidiaires sont prévues pour départager les meilleures réponses. Les gagnants remporteront des places pour le zoo de Jurques ou celui de Cerza. Des cartes postales, des magnets et des posters sont aussi à gagner.

Infos pratiques :

Mardi de 16 h 30 à 18 h, mercredi – samedi 10 h à 12 h 30, jeudi 10 h à 12 h. Fermée lundi, vendredi et dimanche.

24 kg d'héroïne ont été écoulé par un couple sur six ans;

Depuis octobre, les enquêteurs du commissariat de Cherbourg travaillaient sur une affaire de trafic de stupéfiants dans le quartier des Provinces.

Au cœur des surveillances et des écoutes téléphoniques, un couple de Cherbourgeois, âgés respectivement de 44 et 38 ans, soupçonnés de trafic d’héroïne. Ils ont été interpellés le 7 janvier à leur domicile.

Lors de la perquisition, les enquêteurs ont notamment saisi 2 700 euros en espèce, 40 grammes d’héroïne en plusieurs pochons, ainsi qu’une vingtaine de grammes dissimulée dans le véhicule.

24 kg en six ans !

50 grammes de cocaïne et une plaquette de 100 grammes de résine de cannabis ont également été retrouvés.

Quelque 24 kilogrammes d’héroïne auraient été écoulés en six ans par le couple pour un chiffre d’affaires estimé de 490 000 euros.

Le couple dit toutefois ne pas avoir tiré de bénéfices de ce marché juteux.

On s’est juste acheté une voiture, un sèche-linge, un canapé… Tout partait dans notre consommation personnelle.

Des propos que la présidente du tribunal ne peut croire.

Les investigations et les écoutes prolongées permettront de mettre au jour un second trafic, actif depuis octobre 2018. Celui d’un autre couple demeurant le Cotentin.

L’homme et la femme seront à leur tour interpellés et placés en garde à vue. À leur domicile seront retrouvés 1 120 euros en liquide, des pochons, des seringues. 57 grammes d’héroïne seront aussi découverts dans une cache située dans le Vallon sauvage.

Les cinq protagonistes jugés hier matin en comparution immédiate ont écopé de lourdes peines de prison allant de 6 à 30 mois de prison avec une mise à l’épreuve de deux ans et des obligations de soin, de trouver un travail et de ne pas entrer en contact avec leurs complices. Quatre ont été écroués. Seule une femme verra sa peine aménagée.

Philippe Geluck présidera le concours de plaidoiries des lycéens le 25 janvier 2019 au Mémorial de Caen (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Le concours de plaidoiries du Mémorial de Caen (Calvados) approche à grands pas. Ce sont les lycéens qui se lancent les premiers, le vendredi 25 janvier 2019.

14 équipes devant le dessinateur belge Philippe Geluck

Cette année, la pré-sélection des candidats lycéens s’est faite par vidéo. 1 200 petits films de présentation des plaidoiries ont ainsi été envoyés. 14 équipes plaideront devant un jury dont le président est, cette année, Philippe Geluck.

J’ai hâte d’y être et je suis très honoré de présider le jury, explique le dessinateur belge. Je n’ai jamais présidé un concours d’éloquence. Dans un dessin humoristique, c’est le coup de foudre qui fonctionne. Il faut que ça soit bref et capter immédiatement le regard du public. L’éloquence, c’est différent.

Son conseil pour les lycéens

Philippe Geluck a assisté une fois à un concours d’éloquence à Bruxelles et parmi les conseils qu’il peut donner aux lycéens qui plaideront devant lui, il y a celui-ci :

Surtout il ne faut pas s’écouter parler. Il n’y a rien de pire qu’un auditoire qui s’ennuie. Les lycéens vont devoir vivre leur sujet. Dans l’éloquence tout est possible, ils peuvent bouleverser le cours de leur plaidoirie.

En plus de présider pour la première fois le concours d’éloquence, Philippe Geluck vient également pour la première fois au Mémorial de Caen. « Je ne connais pas bien la Normandie, ni le musée, ça sera l’occasion de visiter. »

Si la finale du concours de plaidoiries des lycéens affiche complet le vendredi 25 janvier, il reste des places pour assister au concours des élèves avocats (le samedi 26 janvier) et des avocats (le dimanche 27 janvier). Pour s’inscrire, il faut se rendre sur le site internet du Mémorial.