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Bordeaux : le premier Tremplin Relâche recherche des candidats groupes et musiciens

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Le festival Relache à Bordeaux fête son dixième anniversaire.

Le festival Relâche à Bordeaux (Gironde) fêtera son dixième anniversaire cet été. (©Festival Relâche)

L’association Allez Les Filles et Relâche organisent le premier Tremplin Relâche à Bordeaux (Gironde) et recueillent les candidatures des artistes jusqu’au 31 janvier.

Ce tremplin musical est ouvert aux artistes confirmés ou non, de la région Nouvelle-Aquitaine et dans des styles spécifiques: soul, blues, rhythm’n’blues, rock’n’roll, musiques Latines, indie rock, garage, ska, rocksteady, Reggae, Afrobeat (pas de hip-hop, ni d’électro et de chanson française).

A lire aussi :  Vidéo. Bordeaux : Florence Foresti jouera deux représentations à l’Arkea Arena en mai 2019

Les 10 ans du festival Relâche

Le festival Relâche fêtera ses 10 ans cette année.

C’est donc l’opportunité pour les artistes de faire partie de la nouvelle programmation prévue pour l’été 2019.

Les organisateurs expliquent :

Le gagnant du concours se verra offrir une prestation rémunérée au festival Relâche #10 + des bonus en fonction des affinités »

Alors si comme Datcha Mandala, Alexis Evans, The Possums, Th Da Freak, Shaolin Temple Defenders ou encore Leon Newars, Magnetix, I Am Stramgram, Archi Deep & The monkey shakers, Raw Wild, Decheman and the gardener et The Jouby’s, vous avez envie de faire partie de l’aventure Relâche, inscrivez-vous à :

relache@allezlesfilles.com

ou au 9, rue Teulère à Bordeaux avant le 31 janvier 2019.

La finale du Tremplin Relâche aura lieu à la salle des fêtes du Grand-Parc à Bordeaux le mercredi 24 avril 2019.

A lire aussi :  Luxey : Trois Cafés Gourmands, Patti Smith et Hocus Pocus rejoignent la programmation du festival Musicalarue

Site : relache.fr ; pour adhérer à l’association Allez Les Filles et/ou soutenir le festival Relache : adhésions : https://bit.ly/2sUGjie  ; Dons: https://bit.ly/2Lod3Yi


À cause du Brexit, le manège et ses voisins n’auraient plus leur place sur le port de Ouistreham

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Martial Desclos, patron du manège et d’une salle de jeux sur le port de Ouistreham.

Martial Desclos, patron du manège et d’une salle de jeux sur le port de Ouistreham. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

Depuis un mois, Martial Desclos, patron du manège et de la salle de jeux sur le port de Ouistreham près de Caen (Calvados) est dans l’attente.

C’est un client qui m’a prévenu en lisant Liberté. Vous imaginez le réveillon du 24 que j’ai passé ! 

« Depuis 1956, il y a un manège ici »

Les commerces de Martial (manège et salle de jeux) comme ses trois voisins commerçants (2 snacks et une autre salle de jeux) sont situés sur le port de Ouistreham sur des terrains qui appartiennent à Ports de Normandie (ex PNA).

Avec la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne (le Brexit) le 30 mars 2019, les autorités doivent agrandir la zone d’attente en amont de la gare maritime. Les commerces qui s’y trouvent actuellement devraient en faire les frais. « Depuis 1956, il y a un manège ici ! ».

Les commerces qui devraient partir sont situés dans la rue qui mène à la garde maritime de Ouistreham.

Les commerces qui devraient partir sont situés dans la rue qui mène à la garde maritime de Ouistreham. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

A LIRE AUSSI : A Caen-Ouistreham comme dans 11 ports de France, les contrôles d’identité des migrants renforcés

« Pas de solution » pour l’instant

« On attend une réunion préfectorale. Mais c’est très probable que ces commerçants doivent partir. Pour l’instant, nous n’avons pas de solutions », confirme Romain Bail le maire qui juge la situation « très compliquée pour la ville puisque ce sont des animations et des loyers en moins. »

A LIRE AUSSI : Port de Caen-Ouistreham : 10 mois de travaux pour accueillir des plus gros bateaux

Martial Desclos a repris le manège de Ouistreham il y a 2 ans « et j’ai pris 7 ans de crédit », souffle-t-il. Déjà inquiet pour son exploitation comme beaucoup de commerces de la zone portuaire en souffrance (crise migratoire, parkings payants l’été, Gilets jaunes depuis peu) Martial Desclos souhaiterait « rester dans le coin avec les pêcheurs (le marché aux poissons devrait lui rester). Souvent justement, les parents achètent des poissons et nous laissent les enfants au manège ou à la gaufre. »

Jean-louis Daire, tient les délices du port depuis 5 ans sur le le port de Ouistreham.

Jean-louis Daire, tient les délices du port depuis 5 ans sur le le port de Ouistreham. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

« Inquiétude totale »

La gaufre, c’est par exemple Jean-Louis Daire le patron des Délices du port, le snack à côté du manège qu’il connaît bien : « c’est mon oncle qui l’a eu pendant 25 ans. »
Jean-Louis Daire en place sur le port de Ouistreham depuis 5 ans, et qui au même titre que Martial Desclos fait part « d’une inquiétude totale pour sa petite entreprise familiale. »

EN IMAGES. La réserve du SM Caen, avec sept pros, s'impose contre Dieppe en N3

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Baïssama Sankoh entre chien et loup.

Baïssama Sankoh entre chien et loup. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Erwin Zelazny, Jonathan Gradit, Adama Mbengue, Baïssama Sankoh, Jessy Deminguet, Jan Repas et Evens Joseph : pas moins de sept professionnels composaient le onze de départ du Stade Malherbe Caen face à Dieppe en National 3, samedi. Les Caennais, mis en échec en première mi-temps, ont fini par faire la différence dans le second acte. Brice Tutu, sur un centre de Jessy Deminguet puis une mauvaise passe en retrait adverse, s’est offert un doublé.

LIRE AUSSI : Jessy Deminguet en 2019 : deux matchs, deux sorties sur blessure, deux cartons rouges provoqués

Retour en images sur cette rencontre finalement remportée 2-0 par Caen, quatrième de N3 à seulement un point de la deuxième place. À noter que ce même samedi 12 janvier 2019, l’ASPTT Caen a ramené un bon point de son déplacement à Avranches (2-2). Bilan complet lundi sur Sport à Caen.

Les buts

Les photos

Adama Mbengue était titulaire à gauche.

Adama Mbengue était titulaire à gauche. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Baïssama Sankoh jouait à son poste de milieu défensif.

Baïssama Sankoh jouait à son poste de milieu défensif. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Younn Zahary, défenseur central, s'entraîne désormais avec les pros. Un bel athlète.

Younn Zahary, défenseur central, s’entraîne désormais avec les pros. Un bel athlète. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Brice Tutu tout sourire : l'attaquant caennais au grand gabarit a inscrit un doublé.

Brice Tutu tout sourire : l’attaquant caennais au grand gabarit a inscrit un doublé. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Ça s'est très vite réuni après la faute sur Deminguet...

Ça s’est très vite réuni après la faute sur Deminguet… (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Baïssama Sankoh, la voix de la sagesse après la grosse faute sur Jessy Deminguet.

Baïssama Sankoh, la voix de la sagesse après la grosse faute sur Jessy Deminguet. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Erwin Zelazny intervient pour calmer Brice Tutu.

Erwin Zelazny intervient pour calmer Brice Tutu. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Et c'est le rouge...

Et c’est le rouge… (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Jessy Deminguet a dû sortir après avoir été victime d'une grosse faute de Jonathan Bideau.

Jessy Deminguet a dû sortir après avoir été victime d’une grosse faute de Jonathan Bideau. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Erwin Zelazny, remplaçant la veille contre Lille, était titulaire.

Erwin Zelazny, remplaçant la veille contre Lille, était titulaire. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Jad Mouaddib, un des espoirs du centre de formation, est entré en deuxième mi-temps.

Jad Mouaddib, un des espoirs du centre de formation, est entré en deuxième mi-temps. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Adama Mbengue tente de faire parler sa vitesse.

Adama Mbengue tente de faire parler sa vitesse. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Duel physique pour Evens Joseph.

Duel physique pour Evens Joseph. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Jan Repas joue exclusivement en réserve cette saison, où ses qualités technique et de déplacement sont appréciées.

Jan Repas joue exclusivement en réserve cette saison, où ses qualités technique et de déplacement sont appréciées. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Adama Mbengue figurait la veille sur la feuille de match de Caen - Lille, en remplacement d'un Emmanuel Imorou malade.

Adama Mbengue figurait la veille sur la feuille de match de Caen – Lille, en remplacement d’un Emmanuel Imorou malade. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Adama Mbengue a parfois eu la langue bien pendue, et pas seulement pour la photo. Le coach de Dieppe a dénoncé du chambrage auprès de l'arbitre.

Adama Mbengue a parfois eu la langue bien pendue, et pas seulement pour la photo. Le coach de Dieppe a dénoncé du chambrage auprès de l’arbitre. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Les Caennais se regroupent après le but de Brice Tutu.

Les Caennais se regroupent après le but de Brice Tutu. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Evens Joseph est sorti sans avoir marqué.

Evens Joseph est sorti sans avoir marqué. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Younn Zahary en fin de match.

Younn Zahary en fin de match. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Trafic de drogue présumé : il transportait 12 700 € en liquide entre Angers et Le Mans

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L'individu interpellé transportait une grosse somme d'argent en liquide (Photo d'illustration

L’individu interpellé transportait une grosse somme d’argent en liquide (Photo d’illustration (© axelle b/CC/publicdomaine)

Vendredi 11 janvier, un homme a été interpellé par les douaniers dans un train entre Angers et Le Mans, rapporte Ouest France

C’est un chien spécialisé de la douane qui a flairé les billets de banque… Le suspect transportait avec lui 12 700 € en liquide.

Lire aussi : [VIDEO/PHOTOS] Retour en images sur la manifestation des gilets jaunes au Mans

Il est soupçonné de participer à un trafic de stupéfiants. Il devrait être jugé lundi 14 janvier en comparution immédiate au tribunal du Mans.

Gironde : qui est le serial-killer qui a massacré des dizaines de chats à Andernos-les Bains ?

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Qui est le tueur en série des chats à Andernos ? Une enquête est ouverte.

Qui est le tueur en série des chats à Andernos ? Une enquête est ouverte. (©Pixabay)

L’inquiétude est grandissante chez les riverains du quartier du Pas de Moliets à Andernos (Gironde). Depuis quelques semaines, plusieurs dizaines de chats ont disparu. 

Des cadavres retrouvés dans la rue

D’autres ont été retrouvés complètement mutilés par les habitants, comme le révèle nos confrères de la Dépêche du Bassin. Des cadavres jonchent la chaussée. Des habitants s’en sont émus auprès de l’association girondine Andernochats.

Via un communiqué, l’association d’Andernos s’est inquiété de cette situation ne faisant pas mystère que ces différents actes sont signées d’une personne qu’elle qualifie « de grand malade qu s’en prend exclusivement aux chats ». 

Des animaux décapités 

les images sont atroces et font étal de la souffrance des félins : têtes fracassées, parfois même décapitées. 

Des dépouilles retrouvées ont fait l’objet d’examens vétérinaires. Les spécialistes écartent la piste d’animaux prédateurs

Au vu des blessures constatées, cela ne peut être l’oeuvre que d’un humain »

Des chats capturés au collet

Selon toute vraisemblance, celui qui peut être considéré comme le tueur en série de chat opérerait selon un même procédé. Ils captureraient les animaux au collet, bien que cela soit strictement interdit et répréhensible par la loi avant de les massacrer. 

Une bêche ou une pioche pourraient être utilisés pour tuer les chats

Une plainte déposée

Pour l’heure, une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie d’Andernos-les-bains par un particulier pour « actes de cruauté envers animal ». Une enquête a été ouverte pour mettre fin aux agissements de ce serial-killer de félins. 

Des associations de défense comme 30 millions d’amis et la fondation Brigitte Bardot ont été alertés de ces agissements indignes. 

A lire aussi : Une chienne abandonnée survit dans un appartement, en Lot-et-Garonne, en mangeant ses excréments 

Ligue 1. Le Toulouse football club s'incline face au RC Strasbourg à domicile

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Nouvelle défaite des Violets face à Strasbourg,, dimanche 13 janvier 2019, à Toulouse.

Nouvelle défaite des Violets face à Strasbourg,, dimanche 13 janvier 2019, à Toulouse. (©Icon sport)

Les joueurs du TFC ont reçu ceux du RC Strasbourg au Stadium de Toulouse, ce dimanche 13 janvier 2019, dans le cadre de la 20e journée de Ligue 1 de football. Score à l’issue de la rencontre : 1-2

LIRE AUSSI : Après sa qualification en Coupe de France, le TFC de retour en Ligue 1 pour affronter Strasbourg

Le premier but est strasbourgeois…

Quatorzième du classement avant le coup d’envoi, les Violets affrontaient une équipe mieux classée, le RC Strasbourg occupant la 7e place de la Ligue 1

Dès le début du match, les Toulousains prennent les choses en main et démarrent de façon plutôt offensive, en se procurant deux grosses occasions par Sylla et Garcia quelques minutes seulement après le coup d’envoi. 

Pourtant le premier but sera strasbourgeois : à la 17e minute, Ludovic Ajorque contourne la défense violette et sa frappe à ras de terre du gauche arrive entre les jambe du gardien Reynet.

…avant un penalty pour les Violets

Quelques minutes plus tard, Toulouse réclame un penalty après un accrochage dans la surface strasbourgeoise entre Stefan Mitrovic et Yaya Sanogo qui reste au sol et est pris en charge par les soigneurs. Une intervention de Jonas Martin sur Max-Alain Gradel est aussi fustigée par les Toulousains.

L’arbitre va alors consulter la vidéo, et accorde un penalty sur la faute de Jonas Marin sur Gradel. C’est Sanogo qui s’y colle, transforme et marque ainsi son premier but de la saison en Ligue 1.

Les Strasbourgeois plus efficaces dans la seconde partie du match

À la mi-temps les deux équipes se retrouvent donc dos à dos. Mais les Strasbourgeois rentrent mieux dans le match que les Violets lors de la seconde mi-temps et inscrivent très vite le troisième but de la rencontre : c’est sur un corner que le Strasbourgeois Ibrahima Sissoko inscrit une second but pour le compte de son équipe.

À la 82e minute, Max -Alain Gradel prend le ballon à 25 mètres du but des Strasbourgeois, élimine deux défenseur avant de frapper. Jonas Marin contre: corner. Mais Strasbourg tient face aux Violets, c’est le scénario qui va d’ailleurs prédominer jusqu’à la fin de la rencontre.

Prochain match mercredi

Prochain match pour les joueurs du Toulouse football club : la réception de l’olympique lyonnais, mercredi 16 janvier 2019, à 19h.

Championnats de la Manche de cross-country : Julien Marie titré

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Julien Marie (AM Carentan), champion de la Manche de cross-country.

Julien Marie (AM Carentan), champion de la Manche de cross-country. (©Etienne PIGNOL)

Environ 600 coureurs, de toutes les catégories d’âge, se sont retrouvés à l’hippodrome de La Glacerie afin d’y disputer les championnats de la Manche, ce 13 janvier 2019.

Chez les messieurs, la victoire est revenue à Julien Marie. Le coureur de l’AM Carentan, déjà vainqueur sur le cross court à Querqueville, a réussi à dominer l’armada du MACS, et notamment le tenant du titre Marin Blondel (2e). La troisième place est pour Guillauume Bonnard (MACS).

Chez les dames, c’est la jeune Saint-Loise Margaux Lemouton qui l’a emporté. La Préfectorale a dominé de bout en bout cette course. Michèle Dodemand (AS Tourlaville) a pris la 2e place, et Melissa Leseine (NCA) la 3e.

Tous les résultats, réactions et photos dans notre édition papier du lundi 14 janvier 2019.

A LIRE AUSSI : Sports : les résultats du week-end dans la Manche

Une soirée pour changer d’avis sur l’éolien organisée à Lons-le-Saunier

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La soirée est organisée le 17 janvier prochain au Carcom, par Jura Nature Environnement (JNE) dans le cadre du programme Plateau Débat Public.

La soirée est organisée le 17 janvier prochain au Carcom, par Jura Nature Environnement (JNE) dans le cadre du programme Plateau Débat Public. (©Voix du Jura)

« Eh ! Oh ! L’éolien », tel est l’intitulé de cette soirée qui interpelle. Une soirée organisée le 17 janvier 2019 au Carcom de Lons-le-Saunier, par Jura Nature Environnement (JNE) dans le cadre du programme Plateau Débat Public.

« C’est un programme étatique qui pousse les citoyens, les associations et les élus à débattre autour de thèmes d’actualité », explique Vincent Dams, animateur nature au sein de JNE, et de poursuivre, autour de la thématique de la soirée, « l’éolien, on en parle beaucoup ; sauf que les anti et les pro ne se réunissent qu’entre eux et ne se rencontrent jamais pour débattre. Il se dit de tout, mais surtout n’importe quoi sur le sujet. Le but de la soirée est donc de battre tous ensemble autour du déploiement régional de l’éolien. »

Durant la soirée, de nombreuses thématiques seront abordées, parmi lesquelles la législation, les paysages ou la biodiversité. « Nous ne serons pas là pour donner une vérité, mais pour aborder différents points de vue. Il faut prendre conscience que nous sommes parfois en contradiction avec nous-même ; d’un côté nous sommes contre le nucléaire, donc pour les énergies alternatives, et d’un autre coté, nous sommes pour la préservation de la biodiversité à tout prix. Le but de la soirée sera donc d’identifier nos points communs à tous, pour ne pas ressortir de la soirée avec des clivages. »

Être ouvert d’esprit

Après une entrée en matière par l’intermédiaire d’une animation ludique, pour détendre l’atmosphère, de nombreux spécialistes se succéderont, parmi lesquels des citoyens, des associations, ou encore des élus, avant de finir par un temps d’échange.

« La question n’est pas de savoir si les gens sont pour ou contre l’éolien, mais de savoir comment on l’implante ; dans quelles conditions. Pour cela, il est nécessaire que les personnes qui viendront à la soirée aient l’esprit ouvert et soient prêtes à modifier leurs perceptions. »

Une soirée qui se poursuivra le mardi 22 janvier à la salle des fêtes de Villeneuve-sous-Pymont, en plus petit comité et sur inscription, pour participer à des ateliers thématiques autour des paysages, des contributions citoyennes ou des possibilités d’implantation.

À l’issue, un cahier technique sera rédigé par JNE, puis remis aux élus des territoires locaux, « afin de leur montrer ce que souhaite réellement la population. Nous allons faire des propositions, sur lesquels nous seront prêts, tous ensemble, à travailler avec eux. »

Soirée le 17 janvier à partir de 19 h 30 au Carcom, puis le mardi 22 janvier à la salle des fêtes de Villeneuve-sous-Pymont dès 19 h 30. Réservation sur contact@jne.asso.fr


Football. Caen n’a pas eu les moyens de ses ambitions contre Lille

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Ismaël Diomandé a souffert au milieu de terrain contre Lille.

Ismaël Diomandé a souffert au milieu de terrain contre Lille. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Il y avait un gouffre entre Caen et Lille, vendredi 11 janvier 2019. Supporters, observateurs et entraîneur se sont accordés sur ce point : le LOSC était beaucoup trop fort. Impériaux derrière, rapides devant et, avant toute chose peut-être, extrêmement bien huilés, les Dogues ont régalé sans forcer au stade d’Ornano. Leurs deux premiers buts, ceux qui ont suffi à plier le match au bout de vingt minutes, sont des modèles de qualité technique, de timing et d’appel dans la profondeur. Ils portent aussi la marque d’un garçon qui marche actuellement sur la Ligue 1, l’épatant Nicolas Pépé. Le deuxième buteur du championnat (13 buts, auxquels s’ajoutent cinq passes décisives dont deux contre Caen) a donné le tournis au pauvre Yoël Armougom. Fabien Mercadal :

On est tombé sur un des meilleurs joueurs d’Europe à son poste, qui est tombé sur un jeune joueur. On a souffert de la différence individuelle.

Contre une équipe aussi bien armée que Lille, Caen a peut-être payé son ambition initiale. Son dispositif résolument offensif, avec un seul homme (Ismaël Diomandé) à vocation clairement défensive au milieu de terrain, n’a pas été en mesure d’embêter des Nordistes sûrement pas mécontents de l’opposition proposée. La défense normande est par ailleurs apparue beaucoup plus friable que lors de ses précédentes sorties, sous pression devant la vivacité adverse.

Il y a eu de la fébrilité en défense.

Il y a eu de la fébrilité en défense. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« Je le prends pour moi, je l’assume »

Fabien Mercadal n’a pas eu peur de prendre ses responsabilités devant ces choix tactiques. Avec Fayçal Fajr, Saïf Khaoui, Casimir Ninga, Claudio Beauvue et Enzo Crivelli, Caen alignait cinq joueurs à vocation offensive.

On a essayé de les bousculer. Ça n’a pas fonctionné. Je le prends pour moi, je l’assume. On avait envie d’emballer ce match et de tenter de le gagner. Peut-être à tort. Après coup, on peut penser qu’on aurait dû verrouiller, mais on aurait peut-être perdu 1-0…

L’entraîneur caennais rappelle, aussi, qu’il a dû faire avec les moyens dont il dispose. C’est-à-dire sans Prince Oniangué ni Aly Ndom, même si un joueur comme Baïssama Sankoh était sur le banc. Pour lui, l’écart de niveau était trop grand entre le deuxième de Ligue 1 et le seizième.

Enzo Crivelli a beau s'être battu comme un beau diable, Caen manque d'atouts en attaque quand Claudio Beauvue est si transparent.

Enzo Crivelli a beau s’être battu comme un beau diable, Caen manque d’atouts en attaque quand Claudio Beauvue est si transparent. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

La marche était un peu trop haute pour nous. On a perdu le rapport de force contre cette équipe lilloise qui nous était supérieure.

« Bien sûr, c’est un coup d’arrêt »

Fidèle à lui-même, Fabien Mercadal préfère toutefois retenir le positif. Le Stade Malherbe aurait pu craquer tant il est apparu inférieur à son adversaire. Il a eu le mérite de s’accrocher et de moins se laisser marcher sur les pieds en seconde période.

Je suis obligé de positiver ce match parce que je ne peux rien reprocher à mes garçons. Avec nos moyens du moment, on n’a pas lâché. On ne s’est pas effondré, on a tenté de rester dans le match. J’ai rapidement compris qu’il était perdu, ce match-là, mais il va nous servir pour la suite. J’en suis certain.

La suite, ce sera dimanche 20 janvier (17h00) contre Marseille, toujours au stade d’Ornano. « Bien sûr, c’est un coup d’arrêt. On avait envie de continuer la bonne série. On va mûrir tout ça, le digérer et préparer l’OM. »

Patrice Chapon, chocolatier à Chelles, à la conquête du monde

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La chocolaterie Chapon est désormais implantée à Hong-Kong dans le plus grand mall commercial.

La chocolaterie Chapon est désormais implantée à Hong-Kong dans le plus grand mall commercial.

 Pourquoi avez-vous décidé d’ouvrir une boutique éphémère à Hong-Kong ?

L’un de mes plus gros clients est à Hong-Kong donc j’ai décidé d’essayer de nous exporter via cette boutique éphémère. Elle est installée pour six mois dans l’endroit le plus visité de cette ville : le mall commercial. Il n’y a que des produits haut de gamme qui sont vendus là-bas, ils sont triés sur le volet par des décideurs.

Ce n’est pas la première boutique que vous ouvrez à l’étranger ?

Tout à fait, nous sommes déjà implantés à Tokyo ainsi qu’à Dubaï. Mais il était nécessaire d’être présent sur la côte est. C’est une fierté de voir les produits de la marque Chapon en avant dans les centres commerciaux asiatiques.

Quels sont les produits qui sont vendus à l’étranger ? Comment sont-ils transportés ?

Les produits qui sont vendus hors des frontières de France sont fabriqués dans notre atelier à Chelles, puis ils sont envoyés par avion. Nous exportons les mêmes recettes que pour la France mais nous avons énormément de demandes pour nos best sellers.

Pourquoi avez-vous décidé de vous tourner vers l’international ?

Dans un premier temps, je voulais faire connaître mes produits. Puis dans un second temps, je voulais retracer une histoire. Les fèves de cacao que j’utilise proviennent du Venezuela, je les torréfie à Chelles et je les vends à Hong-Kong. Cela intéresse beaucoup les clients étrangers. Encore plus quand les produits viennent de France.

Pour l’heure, il s’agit d’une boutique éphémère. Est-ce que vous prévoyez d’y installer une boutique sur le long terme ?

Cela fait quatre fois que nous sommes présents de façon éphémère. Donc, il y a un objectif de s’y installer pour de bon. Tout cela est en pourparlers. Nous avons déjà une boutique fixe à Tokyo et une seconde qui va ouvrir au mois de février. À Dubaï aussi il s’agit d’une boutique définitive.

Vous aimeriez vous implanter dans d’autres pays ?

Nous n’avons pas de boutique partout mais nous sommes présents dans quatorze pays via des épiceries fines, des grands magasins ou des cavistes. Les étrangers nous achètent donc il fallait absolument développer la vente internationale de façon directe. Les projets suivront maintenant.

Débat national : "il n’y a pas de questions interdites", voici la lettre d'Emmanuel Macron aux Français

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Le président de la République Emmanuel Macron est attendu au musée des Impressionnismes de Giverny ce vendredi 13 juillet 2018.

Dans une lettre aux Français adressée après plusieurs semaines de mobilisation des « Gilets jaunes », Emmanuel Macron ouvre la voie à de nombreuses réformes. (©Archives/Le Perche)

Après des semaines de mobilisation des « Gilets jaunes » et une reprise surprise du mouvement ce samedi à l’occasion de l’acte 9, Emmanuel Macron s’adresse aux Français.

Deux semaines après ses voeux télévisés du 31 décembre, le président de la République introduit le grand débat national promis il y a un mois en publiant une lettre de six pages. Elle doit paraître lundi 14 janvier dans de nombreux journaux de la presse quotidienne régionale et nationale.

Il promet de « transformer (avec vous) les colères en solutions » et de « rendre compte directement dans le mois qui suivra la fin du débat ». Emmanuel Macron espère « que le plus grand nombre (d’entre vous) puisse participer à ce grand débat afin de faire œuvre utile pour l’avenir de notre pays ».

actu.fr vous dévoile son contenu et revient sur les extraits forts à retenir :

« Il n’y a pas de questions interdites »

Le chef de l’Etat assure aux Français qu’il « n’y aura pas de questions interdites » durant le grand débat national qui doit débuter le 15 janvier et s’achever le 15 mars prochain. 

Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre. Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d’accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu’on ne le croit.

Impôts : « poursuivre la baisse » en dépensant moins

Sans jamais trancher – ce que doit permettre ce grand débat national – Emmanuel Macron multiplie les questions à propos de la fiscalité et assure que « nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique ».

Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?  Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ? Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?

A LIRE AUSSI : Prélèvement à la source : « il n’y a pas de bug », assure Gérald Darmanin

Services publics et collectivités : il y a t-il trop d’échelons ?

Le président de la République pose aussi plusieurs questions sur l’organisation de l’Etat et les échelons des administrations et des collectivités locales. Le débat pourrait trancher cette question, selon lui. 

Y a-t-il trop d’échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d’action au plus près des citoyens ? A quels niveaux et pour quels services ? Comment voudriez-vous que l’Etat soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l’administration et comment ? 

Vote blanc, obligatoire, nombre de députés, proportionnelle… tout est sur la table

Emmanuel Macron se montre ouvert pour débattre de nombreux sujets institutionnels, certains soulevés directement par les « Gilets jaunes ».

Il relève la question de « la reconnaissance du vote blanc« , de la possibilité d’instaurer le « vote obligatoire » ou encore de choisir « la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ».

Il s’interroge aussi « dans quelles proportions limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d’élus ? ».

Sur la participation des citoyens aux décisions politiques, il esquisse quelques pistes :

Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?  Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l’initiative ? 

A LIRE AUSSI : Chantal Jouanno se retire du débat national… mais conserve son poste et son salaire

Immigration : des quotas annuels votés par le Parlement ?

Le chef de l’Etat conclut sa lettre par le sujet de l’immigration. Emmanuel Macron reconnaît « des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration ».

Là aussi il interroge les Français en mettant quelques pistes dans le débat notamment l’idée d’un « vote annuel par le Parlement de quotas » en matière d’immigration.

Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ? En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Voici l’intégralité de la lettre d’Emmanuel Macron :

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Rugby - Honneur. Les résultats et classements du week-end du 12,13 janvier 2019

Rugby - Promotion Honneur. Les résultats et classements du week-end du 12,13 janvier 2019

Rugby - 1e série. Les résultats et classements du week-end du 12,13 janvier 2019

Rugby - 2e série. Les résultats et classements du week-end du 12,13 janvier 2019


Doublé du Ski-Club du Mont-Noir à la Traversée de la Haute Joux

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Le vainqueur du 34 km Florian Greusard avec Corentin Jacquot et Nicolas Martin.

Le vainqueur du 34 km Florian Greusard (au centre, dossard 504) avec Corentin Jacquot (à droite, dossard 502) et Nicolas Martin.

Il fallait un certain sens de l’héroïsme ou du déraisonnable pour organiser la 43e Traversée de la Haute-Joux au tout dernier moment jeudi dernier alors que les bulletins d’enneigement étaient plutôt défavorables. Pas de report cette fois-ci. A la différence des 3 années précédentes, l’épreuve organisée par le Ski-Club du Plateau de Nozeroy a bien eu lieu dimanche matin, non à Cerniébaud, mais bien à Mouthe au Liadet où la neige était tombée entre-temps en abondance. « On a eu de la chance avec les éléments. Moi qui suis très optimiste pas nature, je ne l’étais pas du tout jeudi matin. Il faut saluer le super travail du site de Mouthe qui a peaufiné les pistes au maximum. Le fait qu’il neige beaucoup et qu’on s’enfonce par endroits n’était pas de leur responsabilité car ils avaient damé au maximum », souligne Georges Balanche, dirigeant du Ski-Club du Plateau de Nozeroy.

Une centaine de fondeurs au rendez-vous

Une centaine de fondeurs étaient au rendez-vous trouvant des conditions de course de qualité sur ce site de repli malgré deux grosses bosses à négocier dans le dénivelé, plutôt pénibles, le reste du parcours permettant à tous de renouer avec la haute compétition. « Les gens se sont fait vraiment plaisir. Dans les descentes, ça brassait un peu avec cette neige fraîche. Même les bons ont été obligés de faire du chasse-neige par moments. On déplore un seul accident non grave avec un ski cassé. A Cerniébaud, on n’aurait pas pu rester, on était dans la pluie. Là, pour les coureurs, il n’y a pas eu de pluie, donc pas de grattage et de skis abîmés », ajoute Georges Balanche. Une cinquantaine de bénévoles était au rendez-vous et l’organisation s’est montrée sans faille.

Une course tactique

Côté course, Florian Greusard (SC Mont Noir) a livré une prestation prudente sur le 34 km avec Corentin Jacquot (ES Saugette), Nicolas Martin (Les Fourgs) et Aurélien Blondeau (Mont Noir) du fait d’un fond un peu mou : « Ce n’était pas évident de savoir si les choses allaient tenir jusqu’au bout. Les conditions ont rendu l’épreuve difficile. Tout s’est décanté dans le dernier quart. Je suis tombé, j’ai crocheté la piste mais je savais que j’étais costaud dans les montées et j’en ai profité pour faire l’écart. On s’est expliqué dans les dernières bosses. J’ai fini avec l’écart que j’avais acquis au-dessus de la bosse. Ce n’est pas plus mal, je ne voulais pas arriver sur un sprint à 4 », souligne Florian Greusard, heureux d’entamer la saison longue distance avec un succès. Corentin Jacquot et Nicolas Martin ont pris la 2e et la 3e place tandis que Marion Blondeau, la sociétaire du Mont Noir terminait 1ere féminine en prenant la 20e place devant Mathilde Grenard (Haut-Jura Ski) et l’inusable Marie-Pierre Guilbaud (SC Grandvaux).

Le 17 km est revenu à Florian Buffard (SC Mont Noir) qui a terminé avec 24 secondes d’avance sur Titouan Reeb (Oye-Pallet) et plus de trois minutes sur Jean Locatelli (ES Saugette). La première féminine Clémentine Laurence (Pontarlier) termine 7e à près de 6 minutes. 

Marion Blondeau 1ere féminine du 34 km avec Georges Balanche.

Marion Blondeau 1ere féminine du 34 km avec Georges Balanche. (©DR)

Marie-Pierre Guilbaud termine à la 3e place de des féminines sur le 34 km.

Marie-Pierre Guilbaud termine à la 3e place des féminines sur le 34 km. (©DR)

Le site avait été bien préparé par les dameurs de Mouthe.

Le site avait été bien préparé par les dameurs de Mouthe. (©DR)

Le podium du 34 km.

Le podium du 34 km. (©DR)

Le podium féminin du 34 km.

Le podium féminin du 34 km. (©DR)

Christophe Belhomme

Rugby 3e/4e série. Les résultats et classements du week-end du 12,13 janvier 2019

"Pour nos frères", le reportage vidéo émouvant qui retrace le titre de champion de France d'Emak Hor

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Le capitaine Jon Bertizberea, véritable meneur d'hommes à toujours une pensé pour Antton et Jakes.

Le capitaine Jon Bertizberea, un véritable meneur d’hommes. (©Pablo Ordas)

« Pour nos frères », c’est le reportage qui retrace la journée du 24 juin 2018, jour où Emak Hor est devenu pour la première fois de son histoire champion de France, un reportage réalisé par Pablo Ordas.

LIRE AUSSI : La chronique de Monsieur Rusigby : « Les phases finales »

L’idée est née quelques jours avant la finale quand les membres de la Peña Buhamia avec Mikel Amilibia, Benjamin Garmendia et Jérôme Aguerre contactent Pablo Ordas pour lui demander s’il serait d’accord pour immortalisé ce moment. « Je n’ai pas hésité longtemps » avoue le réalisateur, « la peña avait déjà trouvé les partenaires et tout préparé ».

Un titre pour le club mais aussi pour Antton et Jakes

Ce reportage retrace donc la journée du premier titre de l’histoire du club, mais plus encore où à travers les 43 minutes on se rend compte que cette aventure est plus humaine que sportive. Les joueurs ont su trouver des forces là où le drame l’avait frappé par deux fois dernièrement avec la perte de leur pote Antton Mimiague et Jakes Aguerre, tout deux emportés par la maladie. C’est un premier titre pour le club mais pour les joueurs et dirigeants, c’est aussi une façon d’avoir rendu un bel hommage à Antton et Jakes.

Le reportage « Pour nos Frères », de Pablo Ordas :

Andrésy. La Ville va s'équiper de douze caméras de surveillance

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Cinq caméras de surveillance seront installées dans une première phase. Le déploiement du dispositif a démarré à la mi-décembre.

Cinq caméras de surveillance seront installées dans une première phase. Le déploiement du dispositif a démarré à la mi-décembre. (©La Gazette du Val-d’Oise)

C’était dans l’air du temps depuis plusieurs mois. C’est désormais officiel.

La municipalité d’Andrésy (Yvelines) va s’équiper, à terme, de douze caméras de surveillance, dont la plupart seront implantées sur la voie publique. Le déploiement du dispositif a débuté à la mi-décembre.

Projet estimé à 270 000 euros

Dans un premier temps, cinq caméras seront installées. Deux en centre-ville. La première place du 8-mai-1945 et l’autre aux abords de la mairie, ce qui permettra de surveiller à la fois l’hôtel de ville, l’école de danse Ivry-Gitlis et l’espace Julien-Green.

Une autre assurera la surveillance du centre commercial des Charvaux et deux autres seront positionnées à l’entrée et à la sortie du tunnel du Ponceau.

Plusieurs sortes de caméras vont être déployées mais la majorité d’entre elles seront de type 360 degrés. Les seules caméras déjà installées concernaient des lieux privés, tels que le complexe sportif Stéphane-Diagana ou encore la résidence pour personnes âgées les Magnolias.

Le coût du projet est estimé à 270 000 euros, dont une partie est financée par la Région Île-de-France.

Problèmes de sécurité

« Il était nécessaire de nous en équiper, insiste Hugues Ribault, maire (Dvd) d’Andrésy. Même si l’on ne doit pas faire partie des communes les plus insécurisées et/ou insécures, il existe des problèmes de sécurité en ville. » 

Parmi eux, les feux de voitures ou encore les vols sur des véhicules en stationnement font partie des incivilités constatées dans la commune.

Ce dossier de la vidéosurveillance était pourtant en stand-by depuis trois ans. À l’époque, l’élu espérait obtenir des subventions de la part de l’État, qui accordait un fonds interministériel de prévention de la délinquance. « Les subventions ne sont jamais venues et l’information nous a été donnée très tardivement », regrette le maire.

Malgré ce revers, la municipalité a tout de même décidé d’enclencher le processus. 

« Nous nous sommes rapprochés du syndicat mixte ouvert Yvelines Numérique, qui nous a aidé d’un point de vue technique et financier à mettre au point le système de vidéosurveillance », précise Hugues Ribault.

Un système de contrôle a posteriori sera mis en place dans un premier temps. À terme, le système devrait être raccordé à un centre de contrôle qui permettra d’intervenir en direct lorsqu’une incivilité sera constatée.

Fédérale 1. L'US Marmande confirme devant Tyrosse

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Le demi de mêlée sud-africain Jovelian De Koker a parfaitement manœuvré dans ses choix derrière les "gros".

Le demi de mêlée sud-africain Jovelian De Koker a parfaitement manœuvré dans ses choix derrière les « gros ». (© Ohvalie – photos Dominique Empociello)

Déroulement du match

Dès lors que ça défend dur, l’USM possède l’arme dissuasive, décisive pour l’emporter. Ce fut encore le cas ce dimanche à Dartiailh, devant des Tyrossais, limités dans leur champ d’action. Les Marmandais ont fait en sorte de se mettre dans les meilleures dispositions en prenant d’abord l’ascendant en mêlée. 

De Koker: clairvoyance et justesse  

Jusqu’à la sortie de Brahim Baffou (carton jaune), l’USM a occupé intelligemment le camp tyrossais, notamment par des coups de pieds de déplacement audacieux, bien sentis dans les angles du demi de mêlée Jovelian De Koker. Cette période de domination aurait pu se concrétiser par un essai, si la possession avait été mieux maîtrisée. On devait se contenter de deux pénalités de Thomas Fontalirant, la deuxième ayant sanctionné Vervoort (carton jaune, 15e). Le score étriqué à la mi-temps (6-3) laissait planer le suspense. 

 A la reprise, une accélération de De Koker derrière sa mêlée, filant petit côté, permettait à son compatriote sud-africain Hendry Storm de s’écrouler derrière la ligne de but (50e). Par la botte de Descazaux, les Landais gardaient tout de même le contact. 

Ce filou de Broudiscou

Cette menace persistait, jusqu’au coup de génie de Broudiscou (68e). Le 3e ligne centre anticipait un mouvement d’attaque tyrossais, s’interposait entre un centre et son ailier. A la suite de cette interception, il filait à toutes jambes sur 80 mètres, plongeant au pied des poteaux (18-9). Les Tyrossais se remettaient tardivement de ce coup du sort, en arrachant le bonus dans le temps additionnel. 

Benoît Broudiscou "coffre" le Tyrossais Paul Dubert.

Benoît Broudiscou « coffre » le Tyrossais Paul Dubert. (© Ohvalie)

La réaction de « Juju » Bouic, entraîneur

Avec ce succès sur Tyrosse, on valide notre performance obtenue à Lannemezan, la semaine précédente. Les Landais n’ont marqué que des pénalités face à nous lors des deux confrontations. Nous avions pris un point de bonus sur leur terrain. A leur tour, ils en prennent un ici chez nous. Mais nous avons marqué trois essais sur les deux manches. Un à l’aller, deux aujourd’hui. 

L’homme du match: De Koker

On pourrait évoquer l’activité inlassable d’un Storm, au four et au moulin. Le 3e ligne aile sud-africain réalise une saison en tout point remarquable. Sinon, comment passer sous silence la prestation de son compatriote Jovelian De Koker, demi de mêlée, variant le jeu avec justesse. A Lannemezan, auteur d’une « valise », il avait marqué un essai. Devant Tyrosse, ses jambes ont permis de faire la dif sur l’essai de Storm. Sans parler de la longueur de son coup de pied, donnant de l’air, soulageant son équipe. 

Le capitaine Baptiste François défie la défense landaise.

Soutenu par Bruno Mantovani, le capitaine Baptiste François défie la défense landaise. (© Ohvalie)

Fiche technique

A Marmande (stade Dartiailh): US Marmande – US Tyrosse 18-12 (bd).

Mi-temps: 6-3. Arbitre: M. Lespes (Île de France).

USM: 2 E Storm (50e), Broudiscou (68e), 1 T (68e) et 2 P (2e, 15e) Fontalirant. 

UST: 4 P (23e, 48e, 56e, 83e) Descazaux. 

Évolutions du score: 3-0, 3-3, 6-3, 6-6, 11-6, 11-9, 18-9, 18-12.

Les équipes:

US Marmande: Pampouille – Fumey, François (cap), Mantovani, G. Bares – (o) Fontalirant, (m) De Koker – Mijoint, Broudiscou, Storm – Murat, Germain – J. Barès, Sisombath, Baffou; 

puis sont rentrés en cours de jeu: N’Nomo, Kankowski, Sicaud, Kotze, Marmié, Vaccaril, Sylvestre, Tao. 

Carton jaune: Baffou (32e). 

US Tyrosse: Sarthou – Chasseur, Descazaux, Dhuin, Ducom – (o) Hourcade, (m) Dubert (cap) – Fabre, Sainte-Croix, Lesbats – Vervoort, Kahn – Lagain, Brissot, Hontebeyrie.

Puis sont rentrés: Auzqui, Belestin, Azpiroz, Lemes Vieira, Samson, Lafitte, Villetorte, Barbe. 

Carton jaune: Vervoort (15e). 

Résultats de la 14e journée

St Jean-de-Luz – Nafarroa 19-6

Bagnères – Lannemezan 7-21

Lavaur (bo) – Tarbes 28-9

Albi (bo) – Valence d’Agen 53-19

Marmande – Tyrosse (bd) 18-12

Anglet – Oloron (bd) 17-16.

Prochaine journée

Dimanche 27 janvier

Nafarroa – Lavaur

Valence d’Agen – St Jean de Luz

Oloron – Albi

Lannemezan – Anglet

Bagnères – Marmande

Tarbes – Tyrosse. 

Classement

ezment (©@ DR)
Ce classement ne tient pas compte de l'éventuelle sanction pesant sur Tarbes, menacé d'une perte de 8 points par la FFR. 


Ce classement ne tient pas compte de l’éventuelle sanction pesant sur Tarbes, menacé d’une perte de 8 points par la FFR.  (© DR)

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