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Accident mortel au nord de Caen : un piéton décède dans le choc

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Un accident de la route a coûté la vie à une personne entre Caen et Ouistreham (Calvados), vendredi 11 janvier 2019.

Un accident de la route a coûté la vie à une personne entre Caen et Ouistreham (Calvados), vendredi 11 janvier 2019. (©Normandie Actu / Illustration)

Il était aux alentours de 21h, vendredi 11 janvier 2019, quand un grave accident de la circulation s’est produit dans le secteur nord de l’agglomération caennaise. Un automobiliste a percuté un piéton sur la route départementale 515, dans le sens Caen-Ouistreham (Calvados).

L’identité de la victime est à confirmer

La personne est décédée sur le coup. Les circonstances de l’accident ne sont pas établies et une enquête sera chargée de les déterminer.

LIRE AUSSI : Course poursuite à 160 km/h entre Caen et Thury-Harcourt : 18 mois de prison ferme

La préfecture du Calvados confirme le décès mais précise que « à ce stade, l’identité de la victime n’est pas confirmée ». Il ne s’agit pas là du premier accident mortel de la circulation depuis le début de l’année 2019 dans le Calvados. Le 1er janvier, deux personnes ont perdu la vie dans des accidents à Bayeux et Deauville.

LIRE AUSSI : Nouvel an, deux morts sur les routes du Calvados


Basket. Bras de fer perdant pour le CBC face à Nantes

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Jordan Tolbert et les Caennais sont de nouveau à terre.

Jordan Tolbert et les Caennais sont de nouveau à terre. (©Patrick Tapin / Sport à Caen)

On se serait cru un certain 27 décembre 2018, un jour ou le CBC commençait son match tambour battant face à une équipe d’Aix-Maurienne et finalisait une victoire qui lui permettait d’espérer pour 2019. Dans tous les cas, le scénario face à Nantes commence de la même façon avec un Pavel Marinov percutant et un Jordan Tolbert omniprésent. 12-4 après cinq minutes de jeu et Nantes qui perd un peu les pédales. Cinq minutes plus tard, les Nantais reprennent le match à l’endroit et là s’engage un match de tranchées. Les Caennais répondent aux offensives des Nantais, et en défense, on ne se fait pas de cadeaux. On voit parfois de véritables actions de rugby. La première mi-temps s’achève sur un score étriqué de 36-38.

Pavel Marinov a réalisé un bon match.

Pavel Marinov a réalisé un bon match. (©Patrick Tapin / Sport à Caen)

Le troisième quart temps est la copie conforme de la première mi-temps avec malgré tout une légère domination des visiteurs. Jordan Tolbert veille à ce que le score ne soit pas défavorable de plus de six points. Les Nantais ne sont pas loin à portée des Caennais à la fin du troisième quart temps (52-58). La fin du match est stressante et les Caennais perdent beaucoup de ballons. Du côté nantais, on est plutôt maladroit. La fatigue, peut-être, rend le match décousu. Le combat se durcit avec des Caennais qui ne lâchent rien mais ce sont les Nantais qui se détachent (55-66 à la 34ème) et les CBCistes ne les reverront plus malgré un David Ramseyer efficace sur les 5 dernières minutes. Une nouvelle défaite qui laisse les Caennais scotchés à la dernière place avant de recevoir un Gries en grande forme.

Les joueurs

Pavel Marinov est un excellent joueur. Les espoirs placés en lui lors de son arrivée se sont volatilisés match après match. Mais, ce soir il tient son match référence. On le voit partout, à la passe, aux rebonds et dans l’animation du jeu. Un état d’esprit et une ligne de stats plutôt valorisants malgré la défaite : 14 points / 6 passes décisives / 3 interceptions. David Ramseyer fait également un match très sérieux. A chacun de ses paniers, le public vibre et ses stats également ; 19 points – 6 sur 13 à deux points – 5 rebonds et une belle évaluation à 20.

Bon match de David Ramseyer.

Bon match de David Ramseyer. (©Patrick Tapin / Sport à Caen)

Caen 69 – 81Nantes

19-20 17-18 16- 20 17-23

Caen : Duwiquet (5) Brooks (7) Clerc (4) Salmon (1) Norelia (6) Marinov (14) Ramseyer (19) Tolbert (13)

Patrick Tapin

Gilets jaunes à Caen : une deuxième assemblée citoyenne "pour construire notre première démocratie"

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Une action de filtrage des camions de Logidis a été lancée par les gilets jaunes ce vendredi 11 janvier 2019.

Une action de filtrage des camions Logidis a été lancée à Logidis par les gilets jaunes ce vendredi 11 janvier 2019. (©MJ/Liberté Le Bonhomme Libre)

L’Acte IX et la suite de la mobilisation, démarrée le 17 novembre 2018, se préparent. Ce vendredi 11 janvier 2019, les gilets jaunes de Caen se sont retrouvés pour la deuxième assemblée citoyenne à Saint-Contest (Calvados).

En préambule d’un 9e week-end de mobilisation dont le programme de samedi 12 et dimanche 13 janvier a été dévoilé dans les grandes lignes le matin même, au moins 200 gilets jaunes se sont réunis à la Demeurée à 20h. Objectif : évoquer les travaux déjà réalisés dans les commissions qui ont été créées pour structurer le mouvement. Mais aussi préparer la suite.

Non pas notre 6e République mais notre première démocratie.

Réseaux sociaux ou pas ?

Dans ces commissions, il est souvent question d’organisation mais aussi d’entraide. Comment soutenir les gilets jaunes de plus en plus nombreux à être interpellés, placés en garde à vue ou en détention provisoire comme les quatre de cet après-midi. A de nombreuses reprises, les citoyens de l’assemblée sont mis en garde : 

Attention à ce que vous mettez sur les réseaux sociaux. 

Et pourtant, c’est grâce aux réseaux sociaux que la mobilisation des gilets jaunes a vu le jour. D’abord dans l’ombre. Puis en pleine lumière. En témoignent les groupes Facebook qui utilisent des pages différentes mais qui se retrouvent tous les samedis pour la même manifestation dans le centre-ville de Caen.

Depuis le début, les gilets jaunes usent, et abusent peut-être, de cet outil de communication à double tranchant… Tout le monde y a accès, y compris les forces de l’ordre. Mais comme les réseaux sociaux restent le moyen le plus rapide de communication, les gilets jaunes continuent de s’en servir, en créant de nouvelles pages en fonction des besoins. Un groupe vient encore de voir le jour sur Facebook pour le recensement « des victimes des violences policières ». 

LIRE AUSSI : Violences lors d’une manifestation des gilets jaunes, près de Caen : quatre hommes écroués jusqu’à leur procès

Demain « on sera 4 000 »

Dans la salle pleine à craquer de gilets jaunes d’horizons divers, une boîte à idées d’actions est disposée près de la pétition pour le référendum d’initiative citoyenne et des tracs sont distribués. Les 200 gilets jaunes écoutent, parlent des actions qu’ils aimeraient mettre en place. Certains s’agacent que l’assemblée citoyenne n’évoque pas davantage la lutte sociale. Il faut dire que les sujets sont nombreux. On parle de premiers secours pour les blessés sur les manifestations, d’actions de solidarité…

L’assemblée s’éternise, l’heure d’une éventuelle action est presque passée. La plupart des gilets jaunes opte tout de même pour partir à Logidis, filtrer les camions. D’autres se réservent pour le lendemain. « On sera 4 000 ! » 

Ligue 1. La victoire du LOSC à Caen en 10 tweets

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Ligue 1 : le LOSC l'a emporté 3 but à 1 sur la pelouse de Caen vendredi 11 janvier 2019.

Ligue 1 : le LOSC l’a emporté 3 but à 1 sur la pelouse de Caen vendredi 11 janvier 2019. (©Aline Chatel/Sport à Caen)

Belle performance pour le LOSC ! Lille l’a emporté 3 buts à 1 sur la pelouse de Caen vendredi 11 janvier 2019 en ligue 1.

Les buts lillois ont été inscrits par Pépé (8e), Leao (20e) et Luiz Araujo (93e), Ninga (95e) a réduit le score côté caennais.

Retour sur le match en 10 tweets.

Lire aussi : Football : Caen n’a pas fait le poids contre Lille

Les stats

La réaction de Christophe Galtier

Lille va vite !

Un peu plus d’avance sur Lyon

Deux joueurs au-dessus du lot

Monsieur 62,5 %

3 buts en 3 matchs

Les Caennais impressionnés

Quelque chose de grand

Abonnés au vendredi

Belgique. Un Gilet jaune meurt percuté par un camion

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Un Gilet jaune est mort percuté par un camion vendredi 11 janvier 2019 en Belgique.

Un Gilet jaune est mort percuté par un camion vendredi 11 janvier 2019 en Belgique. (©Illustration/L’Orne Combattante)

Un homme est mort renversé par un camion vendredi 11 janvier 2019 en Belgique. Il participait à un barrage filtrant des Gilets jaunes à hauteur de Visé sur l’autoroute E25 reliant Liège à Maastricht.

L’accident s’est produit aux alentours de 19 h. L’homme est mort sur le coup », précisent nos confrères de la RTBF.

Il s’agirait d’un accident, le routier n’aurait pas vu la victime. Mais il a ensuite continué son chemin et est toujours recherché par les autorités.

La victime se trouvait avec sa femme Jacqueline, et il est mort sous ses yeux », commente SudInfo.be

Les hommages se sont rapidement multipliés sur les réseaux sociaux.

Football (N3) : les Voltigeurs de Châteaubriant s'offrent le leader Challans

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Fodiba Danso a été dans tous les bons coups pour les Voltigeurs.

Fodiba Danso a été dans tous les bons coups pour les Voltigeurs. (©L’Eclaireur de Châteaubriant)

Les Voltigeurs de Châteaubriant (Loire-Atlantique), troisièmes du classement, ont reçu leurs voisins de Challans (Vendée), le leader du groupe de National 3, ce samedi 12 janvier 2019 dans un stade de la Ville en bois bien garni.

Obligés de l’emporter dans un choc pour la montée, les Voltigeurs ont dominé le premier acte. Ils ont été récompensés par un but de Fodiba Danso à la 18e minute, qui a marqué d’un tir croisé.

LIRE AUSSI : Football : les U15 féminines du FC Nantes, trop fortes, jouent désormais contre des garçons !

Challans s’est montré dangereux à plusieurs reprises (une tête à la 16e minute, deux tirs qui ont frôlé le cadre aux 27e et 40e minutes), mais les Vendéens ont manqué de réalisme et ils n’ont pas proposé grand-chose dans le jeu.

Jean-Pierre Mendy double la mise

Au retour des vestiaires, les locaux n’ont pas traîné pour alourdir la note. Très bien servi par Fodiba Danso, dans tous les bons coups, Jean-Pierre Mendy a disposé du gardien adverse à la 53e minute, pour que les siens mènent 2-0.

LIRE AUSSI : L’album de vignettes des Voltigeurs de Châteaubriant est disponible !

Fébrile, Challans a eu trop de déchet technique pour espérer revenir dans le match. Étonnant pour un leader ! Les Voltigeurs, qui ont manqué plusieurs balles de 3-0 (Babacar Leye a notamment touché le poteau), ont en donc profité pour signer une cinquième victoire à domicile en cinq matchs !

Réception de Sablé samedi 19 janvier

Les hommes de Papy Leye et de Florian Plantard rejoueront à domicile dès samedi prochain. Ils recevront Sablé-sur-Sarthe, pour un match en retard.

Voltigeurs : Grégory Douard – Adrien Bommé (Stéphan Welsh, 85e), Clément Chevalier, Ismaïla Touré, François Gaudiche – Guy Tapé, Lorys Fayolle, Jean-Pierre Mendy – David Vernet (Babacar Leye, 89e), Fodiba Danso, Pierre Nunge (Loïc Binet, 79e).

VIDÉO. Finn Russell (Racing 92) atomise à bout portant le visage du pilier adverse !

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Le pilier de l'Ulster se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment

Le pilier de l’Ulster se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment (©Twitter Ali Stokes)

Martin Moore est passé tout prêt d’une belle commotion ! Le pilier droit de l’Ulster s’est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment sur un dégagement de Finn Russell. L’ouvreur écossais du Racing 92, pas forcément réputé par son jeu au pied, à envoyer le ballon directement dans le visage de son adversaire !

LIRE AUSSI : Dopage. José Lima (Carcassonne) suspendu un an pour avoir pris un anti-inflammatoire !

Une action bien entendu involontaire mais qui aura sérieusement secoué le joueur de l’Ulster. Fort heureusement pour ce dernier, la province irlandaise s’est imposée face au Racing 92 au terme d’un match très engagé, 26-22.

Gilets jaunes à Caen : après les affrontements de l'Acte IX, à quoi faut-il s'attendre dimanche 13 janvier ?

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Comme une semaine plus tôt, environ 300 manifestants ont affronté les forces de l'ordre samedi 12 janvier 2019 à Caen. A quoi s'attendre ce dimanche 13 janvier ?

Comme une semaine plus tôt, environ 300 manifestants ont affronté les forces de l’ordre samedi 12 janvier 2019 à Caen. A quoi s’attendre ce dimanche 13 janvier ? (©Maxence Gorregues/Liberté le bonhomme libre)

Après une marche dans le calme en matinée pour 3.000 gilets jaunes dans les rues de Caen (Calvados), samedi 12 janvier 2019, l’acte IX des gilets jaunes a rapidement dégénéré en début d’après-midi, donnant lieu à des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre dans le quartier des Rives de l’Orne et de la gare, ainsi que rue d’Auge. Quatre personnes ont d’ailleurs été interpellées dans l’après-midi.

LIRE AUSSI : Affrontements et interpellations à Caen lors de l’acte IX de la mobilisation des Gilets Jaunes

Deux actions prévues ce dimanche

Ce dimanche 13 janvier 2019, deux nouvelles actions sont prévues. Les week-ends précédents, les manifestations dominicales se sont passées dans le calme, sans violence.

A 11 heures, un café des femmes est prévu, place de la reine Mathilde à Caen. Prévoir pique-nique, gobelets, sucres… A 13 heures, un second rassemblement est annoncé devant le magasin Electro dépôt d’Hérouville Saint-Clair, au centre commercial du Val Saint-Clair, pour « une action prédéfinie ».

LIRE AUSSI : À Caen, des commerçants en colère contre l’interdiction du marché se sont retrouvés sur le port

En revanche, contrairement à la semaine dernière où il avait été annulé, le marché du bassin Saint-Pierre aura bien lieu ce dimanche 13 janvier.


Brezolles. Un giratoire prévu à la place de l'ancien Silo

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Pendant le discours de Loïc Barbier, maire.

Pendant le discours de Loïc Barbier, maire. (©La Dépêche de Verneuil-sur-Avre.)

À Brezolles, l’heure des vœux, c’était vendredi 4 janvier 2019 dernier, à la salle des fêtes. De nombreuses personnalités avaient répondu à l’invitation du maire Loïc Barbier, dont le conseiller départemental Gérard Sourisseau, le député Olivier Marleix, Hubert Hériot, ancien maire et maire honoraire. On aura aussi noté la présence de la gendarmerie représentée par Christophe Papin, chef de brigade et Olivier Debiasi, chef de la brigade de Brezolles.

La cérémonie a débuté en musique avec l’Harmonie de Brezolles. Des photos étaient projetées sur un grand écran, illustrant les activités de l’année écoulée.

Loïc Barbier, maire, a commencé son discours en souhaitant la bienvenue aux soixante-cinq nouveaux habitants de la commune. Puis il a rendu un hommage au travail effectué par l’équipe municipale.

Gestion rigoureuse 

Rappelant les restrictions budgétaires, rendant une gestion rigoureuse encore plus nécessaire, il a ensuite énuméré les travaux et actions de l’année 2018. Citons la finalisation de l’entrée en ville par la route de Dreux, la réalisation d’une aire de jeux derrière la salle des fêtes pour les enfants de 3 à 12 ans, l’élargissement des trottoirs près de la halle en centre-ville, la rénovation du sol de la médiathèque, l’implantation de tables et bancs autour de l’étang.

Des logements

Pour 2019, plusieurs chantiers verront le jour, comme la construction d’un giratoire à la place de l’ancien silo route de Chartres et l’édification de plusieurs logements à l’angle de la rue de Paris et de la rue de la Maladrerie.

Avant le verre de l’amitié, Loïc Barbier a souhaité à ses administrés « de l’inventivité, de l’optimisme, de l’audace et un zeste de folie en prime ».

Des vœux, on le voit, permettant de chasser toute grisaille durant au moins douze mois.

Sinistrée des inondations dans l'Aude, une ferme pédagogique vient s'installer près de Toulouse

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La ferme pédagogique "des deux rivières" ouvre ses portes à Fonsorbes, près de Toulouse, dimanche 13 hanvier 2019.

La ferme pédagogique « des deux rivières » ouvre ses portes à Fonsorbes, près de Toulouse, dimanche 13 janvier 2019. (©Illustration / Pixabay)

Yann Jarry et sa compagne tenaient une ferme pédagogique du côté de Narbonne, dans l’Aude. Mais les inondations meurtrières qui se sont abattues sur le département, en octobre 2018, leur a fait « tout perdre ».

LIRE AUSSI : Inondations dans l’Aude : deux semaines après le drame, le bilan s’alourdit à 15 morts

Dès dimanche 13 janvier 2019, c’est à Fonsorbes (Haute-Garonne), à l’ouest de Toulouse, que leur activité va rebondir. Leur association de sauvetage d’animaux Equi’Libre 11 s’est jointe au Poneys club de Fonsorbes pour créer une nouvelle ferme pédagogique sur la commune, entraînant ainsi le rapatriement de quelque 90 animaux. 

Yann Jarry justifie ce choix :

Nous sommes depuis très longtemps en lien avec le Poneys club de Fonsorbes. C’était l’occasion de remettre sur la table notre projet commun de ferme pédagogique.

Une journée de jeux pour découvrir la ferme

De 10 heures à 17 heures, gratuitement, petits et grands pourront venir à la rencontre des vaches, des ânes, moutons, oies, cochons et autres rescapés des inondations de l’Aude. Le lieu ayant la volonté de devenir « un véritable parc d’activités équestre d’ici le printemps prochain », explique Yann Jarry, « une quarantaine de chevaux » seront déjà présents aux yeux des visiteurs.

Il sera possible de s’essayer à des balades en poneys et de découvrir les activités du parc équestre, proposées toute l’année, sur le domaine du Moulias. 

Une buvette et un snack seront installés pour l’occasion, et les familles sont invités à venir pique-niquer sur place (en intérieur comme à l’extérieur).

Informations pratiques :
Ouverture de la ferme pédagogique « des deux rivières »
82 route de Seysses, domaine du Moulias à Fonsorbes
Dimanche 13 janvier 2019, de 10 heures à 17 heures
Entrée gratuite pour la journée
Infos ou réservations : 07 87 83 62 49 ou au 06 74 52 92 52

Nicolas Drusian

Sports : les résultats du week-end dans la Manche

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Le SM Caen de Saïf-Edhine Khaoui s'est incliné, ce vendredi, face à Lille (1-3).

Le SM Caen de Saîf-Eddine Khaoui s’est incliné, ce vendredi, face à Lille (1-3). (©Roland LE MEUR)

Football

L1 : Caen – Lille : 1-3

N1 : Avranches – Le Mans : 0-2

N2 : Granville – Nantes B : 2-5

N3 : Cherbourg – Evreux : 0-1

Saint-Lô – Quevilly B : 3-5

Avranches B – PTT Caen : 2-2

R1F : Ifs – Cherbourg (dim, 14 h 30)

Gambardella : Avranches – Le Havre (dim, 14 h 30)

Basket

L2F : La Glacerie – Toulouse : 60-80

N3M : Caen BC B – Saint-Lô : 76-73

N3F : Gravenchon – La Glacerie B (dim, 15 h 30)

PNM : Cherbourg – Alençon : 97-67

BC Hague – Lisieux : 112-63

PNF : Cherbourg – Bayeux (dim, 15 h 30)

Equeurdreville – Douvres B (dim, 15 h 30)

La Glacerie C – Alençon B (dim, 15 h 30)

BC Hague – Ifs C (dim, 16 h 00)

U18F (poule Elite) : La Glacerie – Mondeville (dim, 13 h 15)

U18M (poule basse) : Rennes – Cherbourg (dim, 15 h 30)

Handball

N2F : Granville – Paris SG : 18-29

PNF : Tourlaville – E. Nord : 29-19

Alençon – Saint-Lô (dim, 14 h 00)

U18M (poule haute) : Cotentin – Nantes (dim, 14 h 00)

Coupe de France régionale masculine : Saint-Lô – Avranches : 20-22

Coupe de France régionale féminine : Saint-Lô – Dinan : 25-29

Rugby

Honneur : Rouen – Flamanville (dim, 15 h 00)

Saint-Lô – L’Aigle (dim, 15 h 00)

Roller-hockey

N2 : Caen – Cherbourg : 5-2

N3 : Flamanville – Aubergenville : 8-5

Acte IX des Gilets jaunes en Seine-Maritime : une deuxième partie de journée sous tension

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Après une première partie de mobilisation s'étant déroulée dans le calme, l'ambiance s'est crispée à Rouen et au Havre (Seine-Maritime), lors de l'acte IX des Gilets Jaunes.

Après une première partie de mobilisation s’étant déroulée dans le calme, l’ambiance s’est crispée à Rouen et au Havre (Seine-Maritime), lors de l’acte IX des Gilets Jaunes. (©JBM / 76actu)

L’acte IX de la mobilisation des Gilets jaunes avait commencé plutôt calmement en Seine-Maritime samedi 12 janvier 2019. L’ambiance s’est considérablement tendue dans la seconde moitié de la journée. Des petits groupes de manifestants ont joué à cache-cache avec la police dans les villes du Havre et de Rouen. Les affrontements se sont multipliés et les Gilets jaunes se sont dispersés petit à petit. Toutes les manifestations étaient terminées aux alentours de 19h.

LIRE AUSSI : Revivez la mobilisation des Gilets Jaunes en Seine-Maritime pour l’acte IX

A Rouen, deux journalistes et deux agents de sécurité molestés

La participation à Rouen, établie à 3500 Gilets jaunes dans la matinée par les journalistes de 76actu — les Gilets jaunes comptaient 6000 et la préfecture 2500 — s’est réduite au fil de l’après midi. Les autorités avancent le chiffre de 1500 personnes. Difficile de l’établir exactement, tant les manifestants ont été dispersés à la suite des différents affrontements avec les forces de l’ordre.

Le cortège, complètement éclaté, s’est reformé en fin d’après-midi. Le groupe moins nombreux était formé en majorité par des participants plus jeunes et agiles. Pour certains sans gilets jaunes et prêts à en découdre. Les manifestants ont monté des barricades et allumé des feux de poubelles.

Plusieurs incidents sont venus émailler cet acte IX. Des Gilets jaunes ont caillassé la caserne Grenier, où sont logés des gendarmes. Ils ont aussi visé le Palais de justice. Les vitres de deux logements de gendarmes ont été fracturées, Tout comme celles du bureau du procureur de la République.

Deux journalistes de LCI et TF1 et les deux agents de sécurité qui les accompagnaient ont aussi était pris pour cible. Ils ont été molestés. Un agent de sécurité a eu le nez cassé. Une plainte a été déposée au commissariat.

LIRE AUSSI : Acte IX des Gilets jaunes : une manifestation de grande ampleur à Rouen

Une marche blanche qui s’est déroulée dans le calme

Au Havre, la participation était en hausse dans l’après-midi. Il y avait plus de 1100 personnes sur place. Une agence du crédit agricole a été incendiée, tout comme un véhicule. Des manifestants ont jeté des galets sur les policiers. Une barricade a aussi été montée boulevard de Strasbourg.

À Fécamp, une vingtaine de Gilets jaunes ont manifesté. Ils se sont placés devant la permanence de la députée Stéphanie Kerbarh. À Dieppe, les personnes mobilisées au rond-point Eurochannel, tranquilles dans la matinée, sont passées à l’action. Elles ont tenté de bloquer les camions et ont été stoppées à chaque fois par les forces de l’ordre.

La situation était beaucoup plus apaisée à Gournay-en-Bray, où la marche en hommage aux victimes décédées depuis le début du mouvement s’est déroulée dans le calme.

27 interpellations à Rouen, 22 au Havre

Vu la situation crispée, le compte des interpellations a gonflé. 27 personnes ont été interpellées à Rouen, dont 22 sont toujours en garde à vue. 22 interpellations ont eu lieu au Havre, aboutissant à 19 gardes à vue.

Sept blessés seraient pour l’instant à déplorer côté Gilets jaunes. Du côté des forces de l’ordre, une personne a été blessée d’un jet de pavé au niveau du genou.

Scènes de guérilla au Mans : 6 blessés et 8 interpellations durant la manifestation des gilets jaunes

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Forces de l'ordre et gilets jaunes se sont confrontés dans le centre-ville du Mans, ce samedi 12 janvier.

Forces de l’ordre et gilets jaunes se sont confrontés dans le centre-ville du Mans, ce samedi 12 janvier. (©Les Nouvelles de Sablé)

L’acte 9 de la mobilisation des gilets jaunes, ce samedi 12 janvier, aurait rassemblé près de 1500 personnes, selon la préfecture de la Sarthe. 

Dans la soirée, l’heure était au bilan. 

Lire aussi : Le point sur la mobilisation des gilets jaunes en France ce samedi 12 janvier

Au total, 6 personnes auraient été blessées légèrement dont 3 ont été transportées à l’hôpital. Trois mineurs et un policier figurent parmi les victimes.

8 personnes ont été interpellées.

VIDEO/PHOTOS. Retour sur la manifestation des gilets jaunes au Mans

Pas de débordement au début

Les premiers manifestants se sont retrouvés vers 13 h, place de la République. Le cortège s’est alors déplacé dans le centre-ville, « sans qu’aucun débordement ne soit constaté », note la préfecture dans un communiqué.

C’est près de la préfecture, place Aristide Briand, que la manifestation a dégénéré.

Les forces de l’ordre, dont un escadron de gendarmes mobiles, déployées devant le bâtiment ont ainsi été prises à parti, subissant divers jets de projectiles.

Protéger la préfecture

Quelques manifestants ont alors arraché les barrières installées devant le bâtiment.

Le préfet rapporte :

Malgré l’ordre de dispersion qui leur a été adressé, les manifestants ont continué leur progression en direction des forces de l’ordre, ces dernières ont alors dû s’interposer pour empêcher l’atteinte des grilles de la préfecture.

Des barrières ont été lancées en direction des policiers, qui ont répliqué par des gaz lacrymogènes.

Des dégradations et un incendie

Des projectiles, notamment des pavés, ont été jetés en direction des agents.
Vers 17 h, « entre 600 et 700 manifestants étaient encore rassemblés », ont compté les services de l’Etat. 
Des gendarmes ont été appelés en renfort sur la zone.

Des dégradations ont été commises sur le mobilier urbain, rue des Minimes. En fin d’après-midi, un feu de détritus a été éteint par les pompiers.

Une manifestation « pas suffisamment sécurisée »

Dans son communiqué, le préfet rappelle que :

La liberté de manifester est un droit, mais déplore fermement l’usage de la violence. Cette manifestation, non déclarée, n’était pas suffisamment sécurisée et les débordements qui ont été constatés présentaient un risque important d’entraîner des blessés et des dégradations des biens publics qui ne saurait être toléré.

LREM « condamne ces violences »

Sur twitter, le compte de « La République en Marche » en Sarthe a réagi et « condamne ces violences » :

Nous saluons le travail des forces de l’ordre. Nous avons une pensée pour les commerçants et riverains victimes de ces faits.

« La violence d’une minorité »

L’adjoint au maire chargé de la sécurité publique, Christophe Counil (PS), a également réagi dans la soirée :

Il ne faut pas confondre la violence d’une minorité de manifestants avec le combat pacifique d’une majorité d’entre eux pour plus de justice sociale.

 

Val-d'Oise. À Sagy, la voie verte et le passage souterrain attendus pour 2020

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Guy Paris, maire (Dvd) de Sagy, a été très clair sur ce point : Sagy n'accueillera pas une aire d'accueil pour gens du voyage !

Guy Paris, maire (Dvd) de Sagy, a été très clair sur ce point : Sagy n’accueillera pas une aire d’accueil pour gens du voyage ! (©La Gazette du Val-d’Oise)


La cérémonie des voeux, « un moment unique et privilégié qui permet de rencontrer tous les acteurs de la vie communale et qui entretient et renforce les liens entre nous ».

C’est par ces mots que Guy Paris, maire (Dvd) de Sagy (Val-d’Oise), a débuté ses vœux devant plus de cent personnes rassemblées dans la salle des fêtes de la commune, samedi 5 janvier.

Liaison douce au second semestre

Revenant sur l’année écoulée, le maire a rappelé la réalisation d’un projet majeur, attendu depuis de nombreuses années : l’installation d’un giratoire, depuis juillet, au carrefour de la Rd28 à Sagy, en lieu et place des feux rouges installés jusqu’alors.

Un rond-point qui permet dorénavant de relier le village à Saillancourt (hameau de Sagy, ndlr), coupé par la route depuis 1973. 

« Il s’agissait de la phase 1 de la déclaration d’utilité publique (Dup) de 2014 », précise Guy Paris.

La phase 2, qui concerne l’aménagement d’une voie verte permettant aux habitants et aux cyclistes de rejoindre Sagy à Saillancourt, sera matérialisée « à partir du second semestre 2019, sous réserve de l’inscription des crédits au budget départemental 2019 bien sûr ».

Quant à la phase 3, à savoir la construction d’un passage inférieur sous la Rd28, « les travaux seront réalisés dans la continuité de la phase 2 ». Le coût total du projet est estimé à 1,6 million d’euros.

Pas d’aire d’accueil pour gens du voyage

Guy Paris a également déploré l’installation illégale des gens du voyage sur le champ de foire, durant une semaine en juin dernier. « Après des échanges tendus, voire agressifs, du côté des gens du voyage envers les élus, une demande d’expulsion a aussitôt été engagée auprès du préfet du Val-d’Oise. Ces occupations illégales de terrain sont intolérables », tempête l’élu.

Une situation qui pourrait perdurer. En effet, dans le cadre du renouvellement de l’actuel schéma départemental d’accueil et d’habitat des gens du voyage du Val-d’Oise, la communauté de communes Vexin-Centre (dont Sagy fait partie, ndlr) prévoit la création d’une aire d’accueil de seize places pour cette communauté.

Le hic, c’est que les communes de Sagy et de Longuesse ont été mentionnées dans la synthèse des orientations du schéma… sans en avoir été informées en amont. 

« Nous avons été surpris et choqués, insiste Guy Paris. Nous n’avons pas de terrain susceptible de recevoir une aire d’accueil de ce type. Il est inconcevable que nos terrains de football, pas plus que celui de loisirs, aient vocation à le devenir. Nous resterons très vigilants sur ce point ! »

L’élu en a également profité pour évoquer les nombreux dépôts sauvages constatés autour du village, assurant « tenter de trouver des solutions efficaces afin d’endiguer ces nuisances ».

Plu, fêtes de l’Épouvantail et de la Moisson

En 2019, la municipalité devra valider lors du prochain conseil municipal le Plan local d’urbanisme (Plu), élaboré depuis près de trois ans.

Ce document devra « fixer les grandes orientations du développement de la commune pour les quinze prochaines années », tout en conservant « à Sagy son caractère rural et agricole ».

Côté animations, la 18e fête de l’Épouvantail, dimanche 31 mars ou encore la 38e foire à tout, dimanche 14 avril, égayeront cette nouvelle année. Il y aura également la journée Plein air organisée par l’association les Copains d’Sagy en juillet et la fête de la Moisson, qui aura lieu dimanche 8 septembre.

VIDEO. Paul Willemse célébré avec la "Marseillaise" dans le vestiaire de Montpellier !

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Tout le vestiaire du MHR a repris l'hymne français.

Tout le vestiaire du MHR a repris l’hymne français. (©Twitter MHR)

Une sélection et une victoire fêtées comme il se doit ! Semaine parfaite pour Paul Willemse. Le Franco-sud-africain de Montpellier a été appelé par Jacques Brunel pour participer au Tournoi des VI Nations avec les Bleus.

LIRE AUSSI : VIDÉO. Finn Russell (Racing 92) atomise à bout portant le visage du pilier adverse !

Ce samedi après-midi, le deuxième ligne et le MHR ont signé une très belle victoire en Champions Cup face à Newcastle (45-8). Les Héraultais sont toujours en lice pour une qualification en quarts de finale.

Au coup de sifflet final, les coéquipiers, le staff de Montpellier et le Président du club Mohed Altrad ont tenu à célébrer Paul Willemse avec une « Marseillaise » reprise en coeur dans le vestiaire. Une image forte en émotions !


Mille personnes ont pris part à la sixième marche des gilets jaunes à Brest

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La sixième marche citoyenne et pacifique des gilets jaunes de Brest (ici sur le pont de L'Harteloire) a rassemblé un millier de personnes samedi 12 janvier 2019

La sixième marche citoyenne et pacifique des gilets jaunes de Brest (ici sur le pont de L’Harteloire) a rassemblé un millier de personnes samedi 12 janvier 2019 (© Côté Brest).

Samedi 12 janvier 2019, les gilets jaunes de Brest étaient sur deux fronts.
Une délégation s’est rendue à Saint-Brieuc, préfécture des Côtes-d’Armor, pour participer à une manifestation régionale.
À Brest, une sixième marche citoyenne et pacifique était organisée. Environ 600 gilets jaunes étaient au rendez-vous, place de Strasbourg en début d’après-midi. Le cortège s’est étoffé jusqu’à un millier de personnes environ, au fur et à mesure de sa progression vers l’objectif de la journée : le centre commercial Carrefour Iroise, rive droite. Soit une dizaine de kilomètres aller-retour à pied. 

Retour chronologique sur la journée 

Tout a donc débuté (comme depuis la première marche) place de Strasbourg, où le rendez-vous avait été avancé d’une demi-heure, à 13h au lieu de 13h30 d’habitude. 

Rassemblement place de Strasbourg

Samedi 12 janvier 2019 : les gilets jaunes se rassemblent place de Strasbourg à Brest pour une sixième marche citoyenne et pacifique

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Discours avant le départ

Vers 13h45, les porte-voix ont pris la parole. Pour rappeler que la marche qui allait débuter se voulait citoyenne et pacifique.
Les deux gilets jaunes placés en garde à vue pendant 24 heures au commissariat central de police de Brest, entre jeudi 10 et vendredi 11 janvier, ont également pris la parole pour remercier tous ceux qui leur avaient apporté leur soutien. 

LIRE AUSSI –  Les deux gilets jaunes sont sortis de garde à vue à Brest

Ils ont, notamment, indiqué qu’ils étaient encore plus déterminés à poursuivre le mouvement. 

Rassemblement des gilets jaunes place de Strasbourg à Brest : des discours avant le départ de la marche citoyenne et pacifique

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Quelque 600 personnes étaient réunies place de Strasbourg quand le cortège s’est élancé dans la rue Jean-Jaurès. Perturbant lors de son passage les transports en commun, notamment le tram, tout au long de la marche qui a duré quatre heures et quarante-cinq minutes.

Les gilets jaunes quittent la place de Strasbourg, direction place de la Liberté via la rue Jean-Jaurès à Brest. Samedi 12 janvier 2019, acte IX, sixième marche citoyenne et pacifique.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Première étape place de la Liberté

Le cortège s’est arrêté place de la Liberté vers 14h45. Pour une première pause devant l’hôtel de ville. En chants, musique et Marseillaise

Place de la Liberté à Brest : vers 14h45, les gilets jaunes s’arrêtent devant l’hôtel de ville. Samedi 12 janvier 2019, Acte IX, sixième marche citoyenne et pacifique.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Sur le pont de L’Harteloire

Il a ensuite descendu l’avenue Georges-Clemenceau puis la rue de l’Harteloire pour passer sur le pont de L’Harteloire et gagner la rive droite. C’était chose faite à 15h15. 

Gilets jaunes à Brest : direction rive droite via le pont de L'Harteloire

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Arrivée à l’objectif de la journée : le centre commercial Carrefour Iroise

Le cortège est passé devant la Brest Arena et a poursuivi sa route jusqu’au centre commercial Carrefour Iroise, boulevard de Plymouth. Dans lequel les gilets jaunes sont entrés, vers 15h50. C’était l’objectif de la journée : cibler un groupe qui, selon eux, «défiscalise à l’étranger, profite des aides du gouvernement français comme le CICE (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) et licencient des salariés (2400 postes supprimés)». 

Samedi 12 janvier 2019. Acte IX. Les gilets jaunes de Brest arrivent à leur objectif de la sixième marche citoyenne et pacifique : ils pénètrent dans le magasin Carrefour Iroise vers 15h50.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Petites danses improvisées

Après un petit tour dans bon nombre de rayons du magasin, sous les yeux des clients qui, pour certains, applaudissaient, pour d’autres baissaient la tête pour vite passer leur chemin, les gilet jaunes ont improvisé des danses dans le hall d’accueil et se sont positionnés devant les portes d’entrée pour perturber un moment l’accès au centre commercial. 

Petite danse improvisée des gilets jaunes dans le magasin Carrefour Iroise.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Chemin retour

Le cortège a ensuite quitté Carrefour pour le chemin retour vers la place de Strasbourg. 

Peu avant 17h, les gilets jaunes de Brest quittent Carrefour Iroise pour retourner, toujours à pied, vers la place de Strasbourg.

Publiée par Côté Brest sur Samedi 12 janvier 2019

Les gilets jaunes sont passés par Recouvrance et ont emprunté le pont éponyme. Un pont où ils avaient organisé une opération mardi 8 janvier.

LIRE AUSSI – Blocage du pont de Recouvrance : un gilet jaune blessé à Brest

Les gilets jaunes sur le pont de Recouvrance à Brest

Les gilets jaunes sur le pont de Recouvrance à Brest (©Côté Brest)

Puis ont remonté la rue de Siam.

Les gilets jaunes rue de Siam à Brest samedi 12 janvier 2019

Les gilets jaunes rue de Siam à Brest samedi 12 janvier 2019 (©Côté Brest)

Ont fait un crochet par le commissariat central de la rue Colbert où deux de leurs porte-voix avaient été placés en garde à vue. Pendant quelques minutes, cris et pétards ont retenti devant les grilles du bâtiment. 

Les gilets jaunes devant le commissariat central de police, rue Colbert à Brest, samedi 12 janvier 2019

Les gilets jaunes devant le commissariat central de police, rue Colbert à Brest, samedi 12 janvier 2019 (©Côté Brest)

Les gilets jaunes sont ensuite allés place de la Liberté, avant de retrouver le lieu de départ, la place de Strasbourg. 

Les gilets jaunes place de la Liberté à Brest samedi 12 janvier 2019

Les gilets jaunes place de la Liberté à Brest samedi 12 janvier 2019 (©Côté Brest)

Une mobilisation plus faible

La sixième marche citoyenne et pacifique des gilets jaunes de Brest, qui s’est une nouvelle fois déroulée sans incident, dans une ambiance familiale et bon enfant, a finalement rassemblé moins de monde que les précédentes.
Les porte-voix mettaient en avant le match que le Stade brestois 29 disputait à domicile contre Troyes à 15h au stade Francis-Le Blé en championnat de France de Ligue 2 (match nul 1-1) auquel de nombreux gilets jaunes avaient prévu d’assister. Ainsi que le temps, guère propice, une fois de plus. Mais en aucun cas ils ne parlaient d’essoufflement du mouvement.

Bien au contraire. Et nous sommes persuadés que nous serons toujours plus nombreux dans les prochaines semaines. 

Un nouveau camp

Place de Strasbourg, les gilets jaunes se sont dispersés. Certains sont allés terminer la journée au port de commerce de Brest, au nouveau campement en cours d’installation. Les gilets jaunes ont déménagé du site à proximité du rond-point de Pen-ar-C’hleuz (entrée-sortie de Brest vers la RN 12 Brest-Rennes) pour investir un terrain mis à leur disposition par la Ville, du côté du rond-point du Gaz, aussi appelé rond-point Herman-Melville. 

Plouzélambre. Cidre : cuvée spéciale pour Saint-Mélar

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Assis Christian Digherer et Laurence Trédan, présidente de l'association Saint-Mélar. Debout André Coënt et Jean-Louis Collette pour la dégustation, et la famille pour le coup de main. Jean Jacob (derrière le maire de Plouzélambre) distille quant à lui « ses bons conseils pour un bon cidre ».

Assis Christian Digherer et Laurence Trédan, présidente de l’association Saint-Mélar. Debout André Coënt et Jean-Louis Collette pour la dégustation, et la famille pour le coup de main. Jean Jacob (derrière le maire de Plouzélambre) distille quant à lui « ses bons conseils pour un bon cidre ». (©Jean-Paul Leclercq)

« Une cuvée spéciale… et exceptionnelle ». Christian Digherer n’a pas boudé son plaisir après avoir goûté « le premier jus de pomme qui sort de son pressoir ».

« Pour fêter les 30 ans du pardon autour de la chapelle de Saint-Mélar », il avait décidé d’offrir à l’association de Plouzélambre « moult bouteilles » de son cru ». Prometteur, au vu des éloges de ses amis sur la qualité du cidre qu’il produit dans son corps de ferme…

Râper les pommes

Dès 10 h, le jour de presse, déjà l’effervescence sous le hangar, chacun à son poste, affairé à la tâche qui lui incombe. Une bonne ambiance autour du pressoir.

Christian contrôle le remplissage des pommes dans la râpeuse électrique : 

Je préfère râper les pommes que les broyer : la pulpe est plus fine, sa mise en place dans le pressoir est facilitée et donnera le maximum de son jus en une seule presse.

En rythme cadencé, le pressoir est alimenté par sa femme Annick et Jean Jacob, l’ami de toujours. Christian constate qu’il y a de moins en moins de personnes dans les campagnes pour le coup de main. Il s’est donc équipé d’une râpeuse électrique et un pressoir hydraulique.

Le cylindre en lattes de chêne laisse des espaces d’où l’on perçoit déjà la pulpe ruisseler, alors que ses enfants Laura et Yoan la tassent consciencieusement à l’aide de battes artisanales.

Une fois le pressoir empli à ras bord, il leur appartient aussi de placer méthodiquement les billots numérotés en croisée : leur poids tassera de près de plus de 10 cm la pulpe avant même que le vérin n’agisse.

Un parfum de pomme et de sucre

Le bassin de réception du jus de pomme est plein vers 11 h. Déjà, le maître es cidre installe une cuve à sa sortie, y insère un tamis qui prélève les plus grosses impuretés et ouvre le robinet : le jus se libère alors. Brun ambré, épais, il exhale son parfum de pomme et de sucre.

Premier contrôle de vérité : Christian emplit une fiole et y plonge le pèse-cidre : il indique 1,065, ce qui est de bon augure. Première dégustation : pour les néophytes, il a un goût exceptionnel de jus de pommes acidulées surdosé en sucres. Pour les connaisseurs, « en arrière du goût, l’acidité des pommes transparaît, ce sera un très bon cru ».

Plusieurs variétés

Christian Digherer a planté son verger depuis 1995 : 

Des demi-tiges d’une dizaine de variétés de pommes à cidre, qui vont de la douce pour moitié du verger, de la douce-amère pour les 3/4 et le reste en variété acidulée. Plus on mélange les variétés, meilleur est le cidre.

Le ramassage des pommes se fait généralement après la Toussaint pour les variétés tardives, et le cidre est pressé avant Noël. « Il y a un temps pour le tri et le rinçage », explique Christian, qui prend soin « d’écarter les pommes noires, abîmées ou fondues : seule l’oxydation est bénéfique pour la teinte du cidre ».

Le jus tiré – cela prendra jusqu’au lendemain soir – il procède à l’étape de la maturation :

Je ne fais pas de filtrage mais je pratique selon le principe de la clarification : j’utilise de la pectine et du chlorure de calcium.

Éléments naturels, ils complètent le manque de pectine des pépins qui produisent la fermentation. Le bon cidre se retrouve en bas et les impuretés flottent en haut de la cuve.

Le jus doit fermenter lentement, « sans bouillir » : il écume, les variétés de pommes et la météo influent sur la vitesse de fermentation. À ce moment, le jus devient cidre, il est devenu clair et sera soutiré et transvasé dans une cuve scellée hermétiquement. « C’est la fabrication du chapeau brun ».

L’élixir va finir sa maturation jusqu’à la mise en bouteille trois à quatre mois plus tard.

Une étiquette spéciale Saint-Mélar

Christian fait du cidre pour son plaisir et par tradition. « C’est une production familiale », rappelle-t-il, qu’il distribue dans sa famille et aux amis. Chaque année, il fait don aussi de bouteilles à l’association de la chapelle Saint-Mélar dont il est membre.

À l’occasion du trentième anniversaire, les membres de l’association ont décidé d’en faire une cuvée spéciale portant l’étiquette du millésime.

Jean-Paul Leclercq

Basket : La Glacerie s'incline face à Toulouse

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Milena Marjanovic et l(US La Glacerie sont tombés sur plus fortes, face à Toulouse.

Milena Marjanovic et l(US La Glacerie sont tombés sur plus fortes, face à Toulouse. (©Nadine DJEBBAR)

Les Tangos n’ont rien pu faire. Ce samedi 12 janvier 2019, dans le cadre de la 9e journée de Ligue féminine 2, l’US La Glacerie a concédé une neuvième défaite, lors de la réception de Toulouse (60-80).

Dominées notamment par l’adresse impressionnante des visiteuses lors des trois premiers quarts-temps (40-66), les Glacériennes n’ont pas cessé de se battre pour échouer tout de même à 20 points.

Au classement, les joueuses de Didier Godefroy restent lanterne rouge. Elles se déplaceront à Chartres dans une semaine, l’un des cadors de cette Ligue féminine 2.

La Glacerie – Toulouse : 60-80

Arbitres : MM. Adam et Darier.
Quarts-temps : 11-23, 14-21, 15-22, 20-14.
Mi-temps : 25-44.
Spectateurs : 500 environ.
LA GLACERIE : Sissoko (5+3), Bakabadio (0+2), Courta, Cowling (9+10), Chasse (0+0), Marjanovic (2+0), Cabaton (0+11), Joseph (6+0), Baudy (4+4), Wallez (2+5). Ent. D. Godefroy.
TOULOUSE : Mulumba (4+0), Carlier (8+8), Strunc (15+10), Pochet (0+2), Brochant (0+0), Greuke (7+4), Stervinou (0+4), De Freitas (0+2), Jensen (2+4), Gruzczynski (6+3). Entr. : X. Noguera.

Pleumeur-Bodou. Un nouveau toiletteur pour chiens et chats

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Yvan Guélou a repris le salon de toilettage pour chiens et chats des Chardons à Pleumeur-Bodou.

Yvan Guélou a repris le salon de toilettage pour chiens et chats des Chardons à Pleumeur-Bodou. (©Georges Favennec)

Yvan Guélou a repris les rênes du salon de toilettage pour chiens et chats Atout poil, situé au centre commercial des Chardons, à Pleumeur-Bodou. Il succède ainsi à l’ancien maître des lieux, Vincent L’Hôtellier, parti à la retraite.

Comme son prédécesseur, Yvan Guélou propose toutes les prestations et soins divers en rapport avec la beauté et bien-être des animaux à quatre pattes. Il exerçait au Salon du chien à Perros Guirec depuis une trentaine d’années et a souhaité « voler désormais de ses propres ailes » en s’installant à la cité du Radôme.

Atout Poil est ouvert du lundi au samedi, de 9 h à 17 h, avec une fermeture les mercredis et samedis après-midi. Tél. 02 96 45 26 59.

Louannec. Nouveau : des séances de Taiji Quan

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Sylvie Jouhaud, présidente de Louannec Esprit Taiji, animera les séances de révision à 17 h le mercredi.

Sylvie Jouhaud, présidente de Louannec Esprit Taiji, animera les séances de révision à 17 h le mercredi. (©Clémentine Bruant)

À partir du 16 janvier, l’association Louannec Esprit Taiji, nouvellement créée à Louannec, proposera tous les mercredis deux séances de Taiji Quan style Yang

À l’origine de cette association, Sylvie Jouhaud, passionnée de Taiji et pratiquante de la discipline depuis plus de 10 ans. « Je l’ai découverte il y a 25 ans, raconte-t-elle. Quand je suis arrivée en Bretagne, j’ai voulu la pratiquer. J’ai acquis de très bonnes bases grâce aux cours de Catherine Lacroix à Perros-Guirec que j’ai suivis pendant huit ans. Je suis également des cours à Brest depuis trois ans. »

« Une discipline très riche »

Si aujourd’hui, elle crée sa première association, c’est avant tout par désir de partage : « Cette discipline très riche permet, au-delà des progrès sur le plan physique (équilibre, renforcement musculaire), des améliorations des capacités de concentration, mémoire, détente, relâchement du corps et de l’esprit ». 

Avec un minimum de travail personnel régulier, il est possible d’en ressentir les premiers effets rapidement.

Sylvie Jouhaud est accompagnée dans cette aventure par Bertrand Gagneux, professeur de Taiji Quan, ceinture noire de la fédération française de karaté et discipline associées (FFKDA) et 3e Duan Wushu. « J’ai connu Bertrand au cours d’un stage qu’il dirigeait à Plounévez-Moëdec en 2016, à l’époque où il vivait encore à Paris. Ses cours m’ont intéressée car ils traitent uniquement du Taiji. Depuis, il a déménagé et a ouvert un cours à Ploulec’h. C’est aussi cette coïncidence qui a mené à la création de cette association. »

Deux séances seront proposées chaque mercredi : 

Nous avons souhaité proposer deux séances qui peuvent contenter tous types de pratiquants.

Les débutants pourront apprendre grâce au cours de Bertrand Gagneux, et ceux qui ont déjà pratiqué pourront réviser des enchaînements entiers avec Sylvie Jouhaud. La séance d’entraînement et de révision se déroulera de 17 h à 18 h 30. Le cours de Bertrand Gagneux aura lieu de 18 h 30 à 20 h.

La cotisation, de 50 €, permettra également d’assister aux deux cours donnés par Bertrand Gagneux le mardi soir à Ploulec’h, un cours débutant de 19 h 30 à 20 h 30 et un cours avancé de 20 h 30 à 22 h. L’association offre également trois séances gratuites.

Renseignements auprès de Sylvie Jouhaud, tél. 06 27 41 13 02, sylviejouhaud@yahoo.fr

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