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Il y a 10 ans jour pour jour, Yoann Gourcuff marquait un but d’anthologie pour les Girondins de Bordeaux face au PSG. (©Capture d’écran Twitter – FC Girondins de Bordeaux)

« On le compare à Zidane mais on va le comparer un peu plus à Zizou après un tel enchaînement. »

Grégoire Margotton, commentateur à Canal +, n’en revenait pas. Tout comme les supporters des Girondins de Bordeaux.

Il y a 10 ans jour pour jour, Yoann Gourcuff inscrivait un but d’anthologie face au PSG.

Une victoire large et sans bavure

Encore aujourd’hui, de nombreux supporters des Girondins se passent en boucle ce but incroyable.

Alors que le FCGB menait déjà 2-0 au Parc Lescure face au PSG, Yoann Gourcuff a eu la bonne idée de réaliser cet enchaînement fantastique : une roulette dribblant Sylvain Armand, un double contact pour mettre dans le vent Samy Traoré et un pointard venant mystifier Mickaël Landreau.

Finalement, les Girondins s’étaient imposés 4-0 lors de cette rencontre. Avant Yoann Gourcuff, Souleymane Diawara et Fernando Cavenaghi avait fait trembler les filets adverses avant que ce soit Fernando Menegazzo, une dizaine de minutes après le bijou du milieu de terrain français.

Avant la merveille de Gourcuff, il y avait eu celle de @Fercaveoficial 😍 pic.twitter.com/1moJFr0hMm

— FC Girondins de Bordeaux (@girondins) January 11, 2019

Quand Bordeaux ne craignait pas le PSG

Pour les passionnés récents de football qui suivent la Ligue 1, cette victoire large des Girondins peut paraître étonnante.

Pourtant, il y a dix ans, les rôles étaient presque inversés entre les deux équipes.

Bordeaux pratiquait un excellent football, couronné d’un titre de champion de France lors de la saison 2008-2009 tandis que le PSG, de son côté, était à la recherche d’un renouveau, que le club trouva peu après à travers son rachat et sa nouvelle dimension.

Pour en revenir au but de Yoann Gourcuff, il représente particulièrement bien son niveau de jeu. En confiance et peu touché par les blessures, le Breton était au sommet de son art, à tel point qu’il avait rejoint les rangs de l’équipe de France.

Par ailleurs, son but face au PSG a été récompensé en étant désigné le plus beau but de la saison 2008-2009 en Ligue 1.

11 janvier 2009. Parc Lescure. La magie pure, Yoann #Gourcuff pic.twitter.com/EUAlOLWt4Y

— FC Girondins de Bordeaux (@girondins) January 11, 2019

Comme si c’était hier… 🙏🏼 https://t.co/96sTcQyJZg

— Grégoire Margotton (@gregmargotton) January 11, 2019

Les revendeurs sont souvent des consommateurs qui financent ainsi leur produit. (©LeTrégor (archives))

Lannion. Mercredi 9, il est 15 h quand les policiers interpellent trois jeunes gens dans le quartiers de Park Nevez. Sur eux, ils trouvent un gramme de cannabis et un joint.

Revendeurs

Après avoir entendu ces consommateurs, les enquêteurs remontent à un échelon supplémentaire et interpellent un premier revendeur. La perquisition ne donne rien mais le jeune homme reconnaît, au cours de sa garde à vue, être un consommateur qui finance ses achats par la revente de produits.

« Nous avons pu alors remonter à un autre niveau », explique Jean-Luc Petitbois commandant le commissariat de Lannion. Un autre revendeur, plus important, est interpellé le jeudi 10 vers 16 h. Chez lui, les policiers trouvent 10 grammes de résine de cannabis et 100 €. Gros consommateur, lui aussi revend pour financer sa consommation. Il reconnaît avoir écoulé un kilo de résine de cannabis.

30 mois de trafic

L’enquête ne s’arrête pas là. Les policiers interpellent un troisième revendeur jeudi à 19 h. Chez lui, lors de la perquisition, les policiers trouvent 400 g de résine de cannabis et un peu moins de 500 €. Mais aussi du matériel spécifique au trafic, balance, couteau. En garde à vue, il reconnaît deux ans et demi de trafic à raison d’un kilo par mois pour une trentaine de clients.

Au final, une trentaine de kilo pour un trafic évalué à 120 000 €. » Un trafic de quartier qui prend ainsi fin. » Au total, ce sont huit usagers (dont trois mineurs), qui seront convoqués pour une ordonnance pénale. Les trois revendeurs sont, eux, convoqués le 23 septembre au tribunal de grande instance de Saint-Brieuc.

Julie Sévéan, une passionnée de cuisine depuis son plus jeune âge. (©Courrier vendéen.)

Julie Sévéan est arrivée sur l’île de Noirmoutier en 2013, tout d’abord employée à la Poste, elle a souhaité revenir à sa passion première : la cuisine.

« J’ai appris la cuisine toute jeune auprès de mes grands-mères ». En 2016, elle intègre l’équipe du restaurant L’assiette au jardin. « J’ai appris énormément dans cet établissement, malheureusement pour des raisons familiales, je n’ai pu y rester ». Julie enchaîne avec une saison au restaurant L’avion à Barbâtre où elle occupe différents postes.

Des produits frais et locaux

Désormais Julie a décidé de lancer sa propre entreprise : un service de traiteur en livraison à domicile sur l’île durant la semaine, et un service de traiteur à domicile, où elle assurera la cuisine directement au domicile des clients. La jeune entrepreneuse proposera de la cuisine à l’ancienne, des plats cuisinés, à partir de produits frais et locaux, mais également des apéros dînatoires ou des goûters d’anniversaire, « J’ai souhaité démarrer cette activité car je me suis aperçue que ce service n’existait pas sur l’île de Noirmoutier ».

Pour se lancer Julie vient de démarrer une collecte sur kisskissbankbank afin de pouvoir finir de s’équiper. Les contreparties seront bien évidemment des repas livrés à domicile.

Contact : kisskissbankbank : cooking à Dom’ ou julieseveanpartout sur Facebook.

Après quatre matchs sans défaite, Caen est tombé logiquement devant Lille. Sans pouvoir rivaliser. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Deux actions d’école ont suffi. Du LOSC dans le texte. Pépé a été le premier à tromper Samba après un parfait appel en profondeur. La défense caennaise est restée impuissante et son gardien n’a pu s’interposer sur la frappe croisée de la terreur nordiste (0-1, 8′). Un peu plus tard, c’est Leao qui a pris la profondeur et surpris l’arrière-garde locale dans son dos. Servi par Pépé, le Portugais a pris le temps de contrôler pour ajuster Samba (0-2, 20′).

Caen pourtant bien rentré dans son match

Saut de haie version Khaoui. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le score était alors bien sévère. Le début de match, paradoxalement, avait plutôt été caennais. Dès la deuxième minute, l’excellent centre de Ninga raté de peu par Crivelli avait donné le ton des bonnes intentions normandes. Après le premier but, Caen a continué, à l’image d’une tête de Beauvue de peu à côté (11′), d’un face à face gagné par Maignan contre Ninga (14′) et d’un bonne détente de ce même Maignan sur un coup-franc travaillé de Fajr (16′).

Ninga est à créditer d’un bon match. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le coup de massue

Après le but, Caen n’a plus existé au long de cette première période. Éteints, incapables de réagir au coup de massue, les Malherbistes ont affiché leurs insuffisances dans les attitudes et leurs carences techniques. Une ou deux fois, Lille aurait pu espérer marquer un troisième but. Plus souvent, le LOSC s’est contenté de gérer très tranquillement son avantage. Et Caen a enfin réagi, ce fut par des mauvais gestes de Diomandé (42′) et Guilbert (43′), tous deux punis d’un jaune très logique.

Diomandé n’a jamais été laissé tranquille en première mi-temps. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Du mieux en seconde période

Le répondant, Malherbe l’a proposé davantage en deuxième période. Au moins, les intentions étaient là. Elles n’ont pas suffi contre la très solide défense nordiste. Lille, toujours aussi tranchant offensivement, aurait même pu assommer un peu plus encore son adversaire. Leao a un peu trop croisé dès la reprise (47′), puis Samba s’est montré intraitable face à Leao toujours (55′), Pépé (68′) et Thiago Mendes (74′).

Guilbert a offert un but à Ninga, percutant, en fin de match. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Une fin de match à rebondissements

Les Rouges et Bleus ont accéléré dans le dernier quart d’heure, bénéficié de l’expulsion de Celik en dernier défenseur (l’arbitre avait initialement sifflé penalty et donné un carton jaune, ce qui devint un coup-franc et un rouge après avoir l’utilisation de la VAR, 84′), inquiété quelque peu leur adversaire, mais n’ont plus sollicité Maignan… jusqu’à la reprise de Ninga seul devant le but dans les arrêts de jeu sur une offrande de Guilbert (1-3, 96′). Problème, Luiz Araujo avait marqué le même but, en contre cette fois, trois minutes plus tôt (0-3, 93′). Pépé, très fort, lui avait délivré un caviar. La dernière frappe d’Armougom (98′) n’y change rien : Caen s’incline très logiquement.

Les buts en vidéo

Replay #SMCLOSC SMC 0-1 LOSC. BUT de @NicolasPepe19 Nicolas Pépé. #LOSC pic.twitter.com/GBRxgSco2x

— LoscVidéos (@LoscVideos) January 11, 2019

Replay #SMCLOSC SMC 0-2 LOSC. Deuxième BUT pour le LOSC Leao. pic.twitter.com/P2DmLMhxVv

— LoscVidéos (@LoscVideos) January 11, 2019

Un hélicoptère de la gendarmerie ainsi qu’un drone ont survolé le secteur de Louvres et Fosses à la recherche de la disparue. (©La Rép 77/ JVC)

De l’aveu même d’un pompier, « c’est un miracle qu’elle ait réussi à tenir avec ce froid ». S’étant perdue au cours de la soirée de mardi 8 janvier, Nadine, 58 ans, a été retrouvée à Louvres (Val-d’Oise), jeudi 10 janvier, après deux jours de recherche et deux nuits passées dehors.

En hypothermie, elle a été évacuée en urgence absolue vers le centre hospitalier de Gonesse.

Une quarantaine de gendarmes mobilisés, un hélicoptère et un drone

C’est son fils qui avait donné l’alerte mardi soir, sa mère n’ayant pas regagné son domicile. Les gendarmes ont immédiatement tenté de la localiser par le biais de son téléphone portable. Mais celui-ci avait cessé d’émettre.

La zone de recherche s’étendant de Louvres à Fosses, d’importants moyens ont été déployés par les militaires.

Un hélicoptère ainsi qu’un drone ont survolé le secteur tandis qu’une quarantaine de gendarmes a été mobilisée sur le terrain dont une équipe cynotechnique.

Vidéosurveillance

Ces derniers ont reçu le soutien des pompiers, jeudi matin, qui ont également envoyé un maître-chien sur le terrain.

C’est finalement le visionnage des images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance qui allait permettre de faire avancer les recherches. Sur celles-ci, Nadine était vue empruntant un bus dans la mauvaise direction en gare de Fosses. Elle était ensuite apparue désorientée avant de se perdre.

Les militaires recentraient leurs patrouilles sur le secteur où elle avait été aperçue pour la dernière fois. Le chien des gendarmes allait ainsi flairé son odeur à proximité de la rue de Puiseux avant qu’une patrouille du Psig de Domont ne la retrouve inconsciente contre le mur d’un immeuble en construction.

Selon ses proches, Nadine pourrait souffrir d’une méningite virale qui aurait entraîné une perte de conscience. Raison pour laquelle elle aurait été ainsi désorientée.

Louis Vogel, le maire de Melun a annoncé une baisse des impôts fonciers en 2019 et 2020 (©La Rep 77)

À Melun, les impôts avaient augmenté en 2015. À l’agglomération Melun Val de Seine, ils avaient augmenté en 2016. En 2019 et 2020, les Melunais vont avoir une bonne nouvelle sur leurs avis d’imposition. Lors de la cérémonie des vœux, Louis Vogel (Agir), le maire de Melun a annoncé une double baisse des impôts fonciers.

2019 et 2020

« Nous allons abaisser la pression fiscale, non pas de façon démagogique et ponctuelle, mais de façon progressive et continue, a-t-il promis. En 2019, vos impôts fonciers baisseront et nous les abaisserons encore en 2020, je m’y engage solennellement devant vous. » Effet d’annonce, deux ans avec les élections ?

« Certainement pas, balaye Louis Vogel, en marge de son discours. Si c’était un coût politique tout aurait été annoncé en 2020. Nous devons être attentifs à la situation. Le contexte est difficile pour les ménages français et à Melun il y a des difficultés alors quand c’est possible, il en va de la responsabilité des élus de rendre du pouvoir d’achat. »

Lire l’article complet dans La République de Seine-et-Marne du lundi 14 janvier

À l’occasion de la nouvelle mobilisation des igilets jaunes, ce samedi, la mairie de Bordeaux (Gironde) a pris de nouvelles mesures exceptionnelles, avec la fermeture de sites municipaux. (©Photo d’illustration – Pixabay)

À Bordeaux (Gironde), depuis le début de la mobilisation des gilets jaunes, les samedis passent et se ressemblent.

Encore une fois, la mairie a pris la décision d’appliquer des mesures exceptionnelles, en prévention de la nouvelle mobilisation des gilets jaunes prévue ce samedi 12 janvier.

Ces mesures interviennent à la suite des événements qui ont rythmé ces dernières semaines et concernent plusieurs sites municipaux qui seront fermés au public.

Les sites municipaux fermés

Les services de la mairie de Bordeaux, dont le service de l’état civil de l’hôtel de ville
Les établissements culturels suivants : Bibliothèque de Mériadeck, bibliothèque du Jardin public, Musée des Beaux-arts, Auditorium, Théâtre L’Inox, Grand Théâtre – Opéra de Bordeaux, Espace Bordeaux Patrimoine CIAP.
Jardin de l’hôtel de ville et square Vinet
Cimetière de la Chartreuse, à l’exception des cortèges et entreprises

À noter que le Musée d’Aquitaine et le Musée des arts décoratifs et du design seront ouverts ce samedi de 10h à 13h.

La mairie, comme lors des précédentes mesures prises, est attentive à la protection des chantiers susceptibles de fournir des projectiles aux casseurs qui viendraient se faufiler au sein de la mobilisation des gilets jaunes.

Enfin, elle recommande aux Bordelais de rentrer leurs bacs de déchets ménagers dans les immeubles.

Opération parking gratuit

Dans son communiqué, la mairie de Bordeaux indique qu’en soutien au commerce, l’opération de parking gratuit sur la place des Quinconces est reconduite ce dimanche 13 janvier, qui est le premier dimanche des soldes.

Cette opération avait déjà été réalisée avant les fêtes de fin d’année.

Fabien Mercadal estime que la marche était trop haute. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Caen s’est incliné 3-1 contre Lille ce vendredi 11 janvier 2019 dans le cadre de la 20ème journée de Ligue 1. Les réactions des entraîneurs.

Christophe Galtier (Entraîneur de Lille) : « On avait identifié pas mal de choses. On a beaucoup travaillé entre le match de Sochaux (lundi en coupe, ndlr) et celui de ce soir. On savait les possibilités qui pouvaient se présenter. Il fallait bien jouer les coups et surtout être bien discipliné sur un plan tactique, très bon sur le plan défensif. Ça s’est bien passé pour nous. On marque de beaux buts, on a des situations. Je suis très satisfait du comportement de l’équipe, un peu en colère de finir à dix alors qu’on a le match en main, un peu agacé qu’on prenne un but. L’adversaire a réagi en deuxième période. Il y a eu un peu plus de jeu direct de la part de Caen. On a toutefois les situations pour mener 3-0.

Fabien Mercadal (Entraîneur de Caen) : « J’avais trouvé qu’on avait fait une bonne entame, dans ce qu’on voulait faire, tenter de les agresser. On fait une erreur d’alignement, une mauvaise fermeture, et on le paye cash. Quand on est mené, ça devient compliqué face à cette équipe. La marche était un peu trop haute pour nous. Je suis obligé de positiver ce match parce que je ne peux rien reprocher à mes garçons. Avec nos moyens du moment, on n’a pas lâché. On ne s’est pas effondré, on a tenté de rester dans le match. J’ai rapidement compris qu’il était perdu, mais il peut nous servir pour la suite. »

Patrick Babagbeto devant le nouvel espace de coworking, rue Pompidou à Lannion, dans l’ancien restaurant l’Auberge du Léguer. (©Christophe Ganne)

Dès l’entrée, on est dans le ton. La porte s’ouvre via une application sur smartphone qui délivre immédiatement le code wifi. Bienvenue au BHZ coworking à Lannion.

Une vaste salle collective avec des lampes, style industriel, qui éclairent cet espace commun. Autour s’articulent des salles de différents formats. Pour des entretiens en face-à-face ou des réunions jusqu’à douze personnes. Ici on loue un espace de travail pour une heure comme pour une journée. Comme on veut. C’est l’esprit de BHZ coworking.

Une autre façon de travailler

Une idée née il y a deux ans par Patrick Babagbeto et son associé :

C’est un lieu qu’on a voulu vraiment comme à la maison. Très chaleureux et humain. C’est une autre façon de travailler mais aussi une possibilité de rompre l’isolement pour les télétravailleurs par exemple.

Ingénieurs télécoms, ils ont travaillé chez Orange Labs à Lannion avant de rejoindre le siège de Nokia dans la région parisienne :

On y passait trois jours, et les deux jours restants on était ici en télétravail. C’est comme ça qu’est née l’idée.

L’ancienne Auberge du Léguer

Dans la capitale, ils ont l’habitude de fréquenter des lieux de coworking. Un concept au stade embryonnaire à Lannion. Les deux collègues ont aussi envie de monter leur entreprise. Ils créent d’un côté BHZ Consulting, spécialistes pour l’architecture de réseaux télécoms pour les TPE et PME et de l’autre l’espace de coworking en rachetant l’ancien restaurant L’Auberge du Léguer, rue Pompidou.

« Je suis installé avec ma famille à Lannion depuis un moment maintenant et il y a un vrai potentiel dans ces domaines ». Et peu encore de lieux de co-working.

Il nous a fallu trouver le lieu. On voulait être en centre-ville pour faciliter les déplacements, et la convivialité quand on veut aller manger quelque part.

170 m² de salles et bureaux

Avec le cabinet rochois B. Houssais architecture, il rénove de fond en comble l’ancienne Auberge du Léguer. Une ancienne très bonne table de la ville. Dans un coin reste un lustre de la décoration passée de la salle de restaurant. Maintenant les 170 m² sont totalement transformés, « mais je souhaite que cet espace retrouve sa notoriété d’antan. »

BHZ s’affiche déjà sur le mur. Un sigle pour dire « Be inside high zone ». Mais c’est aussi une référence à son pays d’origine, le Bénin :

Pour le roi Behanzin, qui était pour une vie en communauté, mais quand je présente le projet à ma famille, ils disent tous BZH, pour la Bretagne. Je trouve ça sympa aussi.

Comme un signe qui ne trompe pas. L’espace de coworking devrait ouvrir ses portes à la mi-février.

Philippe Germain est le premier maire de Val Couesnon, la commune nouvelle. (©Chronique républicaine)

Philippe Germain, ancien maire de La Fontenelle, a été élu maire de la commune nouvelle Val Couesnon, dans le pays de Fougères, ce vendredi 12 janvier.

Cette commune nouvelle née le 1er janvier dernier est formée d’Antrain, Tremblay, Saint-Ouen-la-Rouërie et La Fontenelle. Elle regroupe plus de 4300 habitants.

Philippe Germain était seul candidat à la fonction. « Les quatre maires souhaitaient une candidature unique et ont proposé que ce soit le plus jeune » a -t-il expliqué avant le vote, en rappelant « le rôle moteur » qu’il a joué dans la création de la commune nouvelle, « avec Claudine Clossais, maire d’Antrain ».

Agé de 62 ans, chef d’entreprise à la retraite, Philippe Germain est élu communal depuis 1989, et maire de La Fontenelle depuis 2001.

Beaucoup de votes blancs

Candidature unique, mais vote complexe cependant. Il a en effet été marqué par un nombre important de bulletins blancs : 17 sur 57 (deux conseillers étaient absents, sans avoir donné de pouvoir).

Philippe Germain a obtenu 25 voix sur 37 suffrages exprimés (57 votants).

Claude Guérin (Saint-Ouen-la-Rouërie) a obtenu neuf voix, Pierre Masson (adjoint à Tremblay) deux, et Claudine Clossais une.

Trois bulletins ont été déclarés nuls : ils portaient la mention M. Guérin, sans précision du prénom. Or il y a deux élus portant ce nom parmi le nouveau conseil municipal, Claude et Marcel. Impossible donc de les distinguer…

Les premiers mots de l’élu

Philippe Germain a précisé, juste après son élection :

La création d’une commune nouvelle ouvre la voie vers de nouvelles perspectives en matière de responsabilités et de projets, car l’ambition pour notre commune nouvelle est grande. Même si elle doit rester dans la mesure de ses possibilités (…), c’est dans ce cadre que nous débattrons ici de questions essentielles (urbanisme, logement, politique sociale, coopération intercommunale, éducation etc.) pour le bien de la collectivité… »

Le nouveau maire de Val Couesnon a aussi souhaité que « cette assemblée demeure un espace privilégié de démocratie, et je m’emploierai à ce que les principes essentiels de ce jeu démocratique soient respectés ».

« J’ai d’ores et déjà pris en compte les projets des communes déléguées et je m’engage à les mener à bien » a conclu Philippe Germain.

Les maires délégués sont adjoints

Philippe Germain sera secondé par trois adjoints au maire, qui seront aussi maires délégués : Claudine Clossais (Antrain), Brigitte Mariau (Tremblay) et Claude Guérin (Saint-Ouen-la-Rouërie).

A noter que chaque commune déléguée va disposer d’un conseil communal (on y retrouvera les conseillers municipaux de chaque commune) et que chaque maire délégué aura lui même ses propres adjoints.

Rappelons enfin que le nouveau conseil municipal (à 59) sera en place pendant un peu plus d’un an, jusqu’aux prochaines élections municipales de 2020. Le nombre de conseillers sera réduit à vingt-neuf.

Quatre nouveaux maires dans le Pays de Fougères

Cette élection a conclu une semaine chargée dans le pays de Fougères, où quatre nouveaux conseils municipaux ont été formés dans autant de communes nouvelles.

A Luitré-Dompierre, l’ancien maire de Dompierre-du-Chemin Joël Maupilé a été élu. Michel Balluais est maire délégué de Luitré.

Aux Rives du Couesnon, David Lebouvier a été élu premier magistrat.

Enfin à Saint-Marc-le-Blanc, le maire de Saint-Marc Alain Besnier a été élu. Olivier Gaigne sera le maire délégué de Baillé.

La route qui conduit à la zone a été interdite à la circulation par arrêté départemental. La zone de crash se situe dans la Combe noire. (©DR)

Après la mort « en service aérien commandé » des deux membres d’équipage du Mirage 2000D, qui a été annoncée jeudi soir par la ministre des Armées Florence Parly, c’est dans un contexte particulièrement difficile que les recherches se poursuivent sur le site de la Combe Noire à Mignovillard, à 1 050 mètres d’altitude, à la frontière du Doubs et du Jura pour retrouver tous les éléments du chasseur-bombardier dont la boite noire et dépolluer le site. L’avion s’est craché mercredi 9 janvier alors qu’il effectuait un vol d’entraînement à basse altitude. Le lieu est particulièrement difficile d’accès et les conditions climatiques n’arrangent rien.

Une zone difficile à pénétrer

« C’est une zone assez vaste, très boisée avec de la végétation qui n’est pas uniformément haute mais qui est assez difficile à pénétrer, due à des chutes naturelles d’arbres et à des coupes de bois, les ratissages qui s’effectuent à pied sont assez ardus d’autant que c’est en légère déclivité », explique le colonel Fabrice Allegri, commandant du groupement de gendarmerie du Jura. Les renforts sont acheminés à pied ainsi que du matériel de pointe (détecteur de métaux, etc).

« On continue à faire converger toutes les forces qui nous permettent de mener ces recherches », ajoute Stéphane Spet, commandant de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains.

300 hommes sur site

Vendredi matin, par – 10 °C, près de 300 hommes se sont déployés sur le site, avec de nombreux renforts comme cela avait été annoncé dès jeudi soir lors d’un point presse (ils étaient 150 à 200 jeudi). Des spécialistes de l’Institut criminel de la gendarmerie nationale (légistes, spécialistes des empreintes ADN) étaient déjà sur place jeudi. Des tentes du laboratoire de l’Institut de recherches de la gendarmerie nationale (IRCGN) ont été dressées dans le centre de Mignovillard.

Dans la matinée de vendredi, les températures restaient basses (- 7 °C) et des militaires sont repartis sur la zone qui a été délimitée. L’épaisse couche de neige (15 cm) tombées dans la nuit perturbe les recherches. L’appui aérien pour tout ce qui est imagerie et recherche des débris s’est poursuivi sous une forte cadence. Les hélicoptères de l’armée de l’air (venus de Villacoublay et Solenzara en Corse) et de la gendarmerie se relayant de façon coordonnée. Ces opérations de recherches sont placées sous la direction du colonel Nelly Jegaden qui dirige la section de recherches de la gendarmerie de l’air basée à Velizy-Villacoublay. Le site est désormais classé en zone militaire et a été totalement bouclé. Ces recherches ont été stoppées en fin de journée. On ne connait pas la nature exacte des éléments qui ont été recueillis sur place.

La ministre des armées Florence Parly a effectué vendredi une visite à huis clos à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey pour rencontrer les familles et les collègues des deux victimes. Elle était accompagnée par le chef d’état-major de l’armée de l’Air.

La zone de crash se situe au delà de cette route qui mène au chalet de la Bourre. (©DR)

En comptant les retardataires, une bonne trentaine de volontaires a ramassé les détritus sur la plage de Saint-Michel-en-Grève. (©Jean-Paul Leclercq)

À l’initiative de Mathieu Ropartz, une quinzaine de jeunes surfeurs de Mat’Surf School, accompagnés de leurs parents pour la plupart, se sont donné rendez-vous dernièrement sur la plage de Saint-Michel-en-Grève. Pendant près d’une heure et demie, ils ont traqué les déchets en tout genre.

Ces détritus sont qualifiés de toxiques pour la faune, en particulier les contenants en plastique tels bouteilles, sachets ou sacs, ou des restes de filets et de fils de pêche entremêlés.

L’usager habituel des plages n’est pas en reste de quelques incivilités également, mais Matthieu Ropartz est plutôt optimiste :

La plage de Saint-Michel est de moins en moins souillée, les personnes semblent avoir pris conscience de l’importance de respecter le rivage.

L’initiative de Matthieu avait un triple objectif, « garder une plage propre, préserver autant que faire se peut la faune aquatique et surtout entretenir une sensibilisation à la protection et au respect des plages, auprès du plus jeune public ».

Pour les récompenser, mais aussi pour marquer la fin de la saison de surf, le patron de l’école de surf leur a réservé un goûter entre amis à la salle des fêtes :

C’est un peu l’occasion de dresser un rapide bilan de la saison, de se souhaiter une bonne fin d’année et de se donner rendez-vous en mars pour la reprise.

Stéphane Bern est le parrain de la « Grande cause municipale de Louviers » en 2019 sur le thème du patrimoine. (©Les Nouvelles de Sablé)

Stéphane Bern à Louviers en 2019 ? La chose est probable, bien qu’aucune date ne soit annoncée pour le moment. En revanche, ce qui est certain, c’est que l’animateur et journaliste vedette est le parrain de la « Grande cause municipale » de cette année, sur le thème du Patrimoine.

François-Xavier Priollaud (MoDem), maire de Louviers, l’a annoncé lors de sa cérémonie des vœux à la population, vendredi 11 janvier 2019.

2019 va rimer avec patrimoine. C’est le thème de la grande cause municipale, un dispositif qui permet de faire converger un certain nombre d’initiatives, de projets, autour d’une thématique transversale. De faire travailler les habitants, les services et les élus ensemble pour faire des actions, dont certaine dans la pérennité. »

La Ville a donc décidé de solliciter Stéphane Bern. Ce que ce dernier a accepté. Il s’en est expliqué dans une vidéo diffusée lors de la cérémonie des vœux.

M. le maire, et cher M. Priollaud, j’accède très volontiers à votre demande d’être le parrain de cette grande cause municipale autour du patrimoine de Louviers. Et c’est vrai que j’ai une passion pour cette région et pour l’Eure particulièrement, ce département dont le ministre Sébastien Lecornu a fait beaucoup et duquel il me parle beaucoup. Mais également Jacques Garcia [architecte] qui est un ami personnel, avec tout ce qu’il a fait au château de Champ-de-Bataille. Catherine Morin-Desailly [sénatrice de Seine-Maritime] m’a parlé aussi de cette grande cause municipale de Louviers. C’est donc très volontiers que j’accède à votre demande, très humblement je vous dis oui. Je souhaite d’abord à tous les administrés de très bons vœux, une bonne et heureuse année 2019 et vous me trouverez donc à vos côtés pour défendre ce patrimoine si riche de votre ville et de votre région. Merci d’avoir pensé à moi et heureuse année à tous. »

Actions 2019 sur le patrimoine

C’est, sans cacher son plaisir, que le maire de Louviers a fait cette annonce, secret gardé en interne pour le réserver lors de la soirée des vœux 2019. François-Xavier Priollaud l’affirme.

On va parler du patrimoine sous toutes ses formes : historique, culinaire, urbain, économique, industriel, naturel, audiovisuel, forain, insolite, architectural. Bref, des actions tout au long de l’année. »

Parmi elles, on peut citer quelques exemples.

Le musée de Louviers proposera une exposition interactive au printemps sur le patrimoine de la reconstruction d’après guerre à Louviers.

Le Moulin organisera une soirée sur le Louviers insolite et sur le patrimoine musical. La comptine célèbre Sur la route de Louviers sera notamment au menu, revisitée par Sevy Golden.

Le salon Au four et au moulin 2019 se chargera de remettre au goût du jour un certain nombre de spécialités culinaires anciennes.

Enfin, la foire Saint-Michel de cette année sera consacrée au patrimoine forain.

3^e édition de la « Grande cause municipale »

La « Grande cause municipale » devient une tradition à Louviers. Chaque année, une thématique est choisie.

En 2017, c’était la Lecture. L’auteur vedette Michel Bussi, né à Louviers et citoyen d’honneur de la Ville, avait été le parrain de cette première édition. De cela, avaient notamment découlé la Grande dictée de Louviers organisée en juillet mais aussi les boîtes à livres installées dans la ville.

En 2018, le thème choisi était celui de l’Engagement. La marraine était Frédéric Bedos, réalisatrice normande qui a fondé l’ONG Le Projet Imagine.

L’hiver est la plus belle saison pour découvrir les marais du Cotentin et du Bessin, dans la Manche. (© Marais de Carquebut – Thierry Houyel)

1/ Manche : en hiver, découvrez les marais du Cotentin et du Bessin à vélo, à pied ou en attelage

Des paysages incroyables, des visites guidées et des animations, des oiseaux à observer : l’hiver est la plus belle saison pour profiter des marais du Cotentin et du Bessin.

Avec près de 21 500 personnes atteintes, 116 likes, 197 partages et 8 commentaires, c’est le carton de la semaine.

2/ VIDÉO. Manche : un Gilet jaune installe un vélo d’appartement sur un rond-point et pédale tous les jours

Depuis le début du mois de janvier 2019, Fabrice Patry a installé un vélo d’appartement au rond-point de la Maison du Département, à Saint-Lô (Manche). On vous dit pourquoi.

Avec plus de 13 500 personnes atteintes, cet article a rencontré un joli succès. Le bilan : 139 likes (dont 16 Haha), 89 partages et 57 commentaires.

3/ Manche : Route 66 et Le Gipsy, deux discothèques pour le prix d’une, à Lessay

Les deux discothèques voisines, Route 66 et Le Gipsy, ont lancé un nouveau concept à Lessay (Manche) : vous payez une entrée à 12 € et vous avez accès aux deux boîtes de nuit.

Posté sur notre page Facebook, jeudi 10 janvier 2019, ce sujet a réalisé un bon score avec plus de 9 500 personnes atteintes. Le bilan : 35 likes, 37 partages et 5 commentaires.

4/ Insolite : Laurent Jalabert s’engage pour la sauvegarde du patrimoine d’une petite commune de Normandie

Vendredi 25 janvier 2019, une soirée caritative sera organisée en présence de l’ancien coureur cycliste professionnel, Laurent Jalabert. Objectif : rénover l’église de la commune.

Posté sur notre page Facebook, mardi 8 janvier 2019, cet article approche les 8 500 personnes atteintes. Le bilan : 66 likes, 41 partages et 9 commentaires.

5/ Manche : une soirée zen au centre aquatique de Saint-Lô

Le centre aquatique de Saint-Lô (Manche) organise, samedi 19 janvier 2019, une soirée zen. Au programme : différentes activités bien-être avec des professionnels et l’accès au sauna et hammam.

Plus de 7 000 personnes ont été atteintes par ce sujet, qui a recueilli 55 likes, 23 partages et 59 commentaires.

La vidéo de la semaine
Avec plus de 7 000 vues, la vidéo de la marche des Gilets jaunes organisée, samedi 5 janvier 2019, à Saint-Lô (Manche) a très bien marché. Le bilan : 144 likes, 100 partages et 10 commentaires.

Le sujet qui a cartonné le week-end dernier
Basé dans la Manche, le photographe professionnel Arnaud Chapelle participe à des concours internationaux de photos de mariage. Deux de ses photos ont été primées en 2018. Avec près de 10 000 personnes atteintes, ce sujet intitulé « Manche : avec ses photos de mariage pas comme les autres, il rafle des prix dans des concours internationaux » a connu un joli succès. Le bilan : 61 likes (dont 10 J’adore), 43 partages et 5 commentaires.

Merci de votre fidélité !

Les gilets jaunes de la Manche prévoient samedi 12 janvier une action groupée.

Les Gilets jaunes de la Manche prévoient une action groupée ce samedi 12 janvier, dans le cadre de l’Acte IX de leur mouvement. (©Le Pays d’Auge)

Comme chaque samedi depuis le 17 novembre dernier, les Gilets jaunes programment des actions un peu partout en France. Dans la Manche, et pour la première fois, tous les Gilets jaunes sont invités par leur porte-parole à se réunir dans un même lieu le samedi 12 janvier 2019.

Un rassemblement « à 2 heures de Cherbourg »

Encore tenue secrète, la destination se trouve « à 2 heures de Cherbourg », indique un des porte-parole.

Plusieurs bruits de couloirs parlent toutefois d’un rassemblement au Mont-Saint-Michel. Mais selon John, l’un des porte-parole cherbourgeois :

C’est bien aussi de faire des surprises. Non pas pour dégrader, car nous sommes pacifistes, mais parce qu’il est important de ne pas trop être attendu par les forces de l’ordre, pour ne pas être parqué. Même si l’information a déjà fuité…

Une marche pacifique dimanche

Aux Pieux, plusieurs Gilets jaunes maintiennent, eux, leur position. Certains reprendront leur place sur le rond-point dès 9 heures, alors que des actions pourraient être organisées. Mais là encore, le secret est de mise.

Dimanche 13 janvier, rendez-vous est en tout cas fixé à 10 heures, sur le parking de la station essence d’Octeville pour faire une marche pacifique sur le marché.

Michel Priziac est à l’initiative des discussions en breton proposées le 3e mercredi du mois au Gwaskell à Locquirec. (©Christine Varesi)

Il est un chantre de la culture bretonne. S’il a adopté Locquirec, Michel Priziac est né à Maël-Carhaix avec pour langue maternelle le breton. Ce n’est qu’à l’âge de 5 ans, lorsqu’il va à l’école de Locarn qu’il apprend ses premiers mots de français :

Ma grand-mère n’avait jamais appris un mot de français, ni vu un médecin. Elle est morte en 1964 à l’âge de 82 ans.

Dans le hameau, on ne parlait qu’en breton.

Prof de maths

Doué en langues et en maths, il fréquente l’École Normale. « Il y avait une heure de breton. Ce n’était pas à la mode, on était en 1964, nous n’étions qu’une dizaine, la surprise, c’était de pouvoir l’écrire. »

Michel Priziac embrasse la carrière d’enseignant, il devient professeur de mathématiques à Matignon (Côtes-d’Armor) puis principal de collège 27 années durant, entre Saint-Nicolas-du-Pélem et Corlay puis Guingamp, avant sa retraite en 2006. Sa langue natale, il l’a aiguisée en passant une licence puis une maîtrise de langues bretonne et celtique.

S’il est une réussite dont je suis fier, c’est d’avoir réintroduit le breton au collège de Saint-Nicolas-du-Pélem.

Des chroniques à la radio

L’homme a endossé bien d’autres costumes : de présidents du pays touristique d’Argoat, des associations Bretagne-Irlande, des écrivains de Bretagne, ou du pays touristique Terres d’Armor. Mais, l’habit que le retraité goûte le plus est sans conteste celui d’écrivain et son goût prononcé pour l’histoire, la toponymie, le patrimoine, la vie des gens, celle des villages. Il a publié une quinzaine d’ouvrages depuis 1995. C’est d’ailleurs dans ses ouvrages qu’il puise la matière de ses chroniques radios.

Depuis quatre ans, chaque matin, à 8 h 20, Michel Priziac livre toute l’âme bretonne sur Radio Bretagne 5. « Avec tout un volet sur la guerre 14-18, les ânes soldats, les lettres d’un poilu à sa famille ou encore la situation d’un village durant le conflit. » L’auteur évoque aussi ses souvenirs d’enfance et parle de sujets actuels. C’est aussi lui qui est à l’initiative des discussions en breton proposées le 3e mercredi du mois au Gwaskell.

Je veux rendre à la Bretagne ce qu’elle m’a donné.

Suzanne Mantrina-Soanirina présente le bocal à idées, accompagnée d’Olivier Lefort, responsable du Secours catholique de Perros-Guirec. (©Françoise Le Bronec)

C’est une idée de Suzanne Mantrina-Soanirina, bénévole depuis 7 ans : au Secours catholique de Perros-Guirec, un atelier sur le thème de la débrouillardise est proposé tous les jeudis de 14 h à 16 h.

« Des trucs pour faire face aux difficultés de la vie quotidienne »

« Lors de ces ateliers, nous allons essayer de trouver des solutions d’appoint et autres trucs pour faire face aux difficultés de la vie quotidienne. L’idée est simple. Tout le monde sait quelque chose et peut le transmettre quels que soient son âge, sa culture, ses conditions sociales », explique Suzanne Mantrina-Soanirina.

Il suffit d’avoir envie de partager, d’échanger des savoirs, des savoir-faire, des expériences, des idées (cuisine, couture, informatique, etc.).

Il n’y a pas de petits ni de grands savoirs, chacun à sa place. C’est une activité de loisirs et d’échange de services pour dynamiser et mutualiser les moyens. Nous souhaitons stimuler et partager la créativité de chacun.

Les personnes intéressées peuvent déposer leurs idées dans le bocal disposé à l’entrée.

Secours populaire de Perros-Guirec, 28 boulevard Aristide-Briand.

Une bourse aux livres, CD, DVD, vinyles, jeux vidéos
L’association caritative venant en aide aux plus démunis de la commune et du canton de Perros envisage de créer une sorte de bourse aux livres, CD, DVD, vinyles, jeux vidéos. Ils peuvent être déposés le jeudi lors de la permanence de 14 h à 16 h. « Le but est de permettre aux gens de se rencontrer, d’échanger, voire de récolter quelques subsides. Nous voulons rendre la lecture et la culture accessible à tous », explique Olivier Lefort, responsable de l’antenne perrosienne.

Pavel Marinov a terminé la rencontre avec 14 points.

Caen 69 – 81 Nantes

19-20 / 36-38 / 52-59 / 69-81

Caen : Duwiquet 5, Brooks 7, Clerc 4, Salmon 1, Marinov 14, Norelia 6, Ramseyer 19, Tolbert 13.

Nantes : Marshall 16, Negrobar 6, David 13, Fofana 8, Ekperigin 16, Niang 2, Chathuant 7, Guillou, Wilson 11, Desseignet 2.

Encore que des nuages aujourd’hui, avec même un risque de pluies éparses cet après-midi. (©Météo France – Capture d’écran)

Ce samedi 12 janvier 2019, 12e jour de l’année, bonne fête aux Tatiana, Tatienne, Tania, Tanya, Tigrane, Césarine et Arcade.

Ce n’est pas encore aujourd’hui que la situation va s’arranger du côté du ciel.

Météo France nous promet encore un ciel bien gris ce samedi, avec beaucoup de nuages et même quelques pluies éparses dans l’après-midi.

Par contre les températures vont encore gagner quelques degrés, avec 4° en fin de nuit et jusqu’à 10° cet après-midi.

Il y a presque deux ans, un incendie avait ravagé la salle Imagin'Arts de Querqueville.

Le 7 mars 2017, la salle Imagin’Arts de Querqueville avait été ravagée par un incendie d’origine criminelle. Tout le matériel, de la régie notamment, a été détruit. Cette salle pouvait accueillir jusqu’à 250 spectateurs assis.

D’abord le nettoyage

Depuis, c’est un vrai casse-tête pour organiser dans la commune déléguée de grands événements publics (concerts, spectacles, voeux du maire…), comme privés (mariages, repas des associations…). Mais après des mois de retard, les appels d’offres pour la maîtrise d’œuvre et le nettoyage vont être lancés.

Jean-Michel Maghe, maire délégué de Querqueville, détaille :

En mars-avril, les premiers travaux vont concerner le nettoyage, l’évacuation de tous les éléments brûlés et la décontamination du site. Puis il y aura une phase de diagnostic et d’expertise de la structure pour voir ce qui a souffert, notamment sous l’effet de la chaleur, entre 800 et 1 000 °C durant l’incendie !

Une facture à 2 millions d’euros

Pour l’instant, la facture globale des travaux s’élève à environ 2 millions d’euros, dont 1,3 million en indemnisation d’assurance. En espérant que le diagnostic ne dévoile pas de mauvaises surprises.

Au programme, l’isolation thermique et phonique du bâtiment. Il faudra également changer les fenêtres, les faux plafonds, remplacer les matériels, et notamment la régie, supprimer une partie de la baie vitrée, refaire un peu la façade, et réaliser les travaux d’accessibilité pour être dans les normes.

La livraison des deux salles est prévue en septembre 2020.