Une heure avant le début des dédicaces, une longue queue de fans s’était déjà formée. Parmi eux des lecteurs passionnés venus du sud de la France et de Belgique. D’autres, de départements voisins, sont venus faire connaissance avec ce jeune auteur que la presse qualifiait déjà à la sortie de son premier roman, d’héritier de Marc Lévy et de Guillaume Musso.
Après « Une éternité plus tard », « Elle était si jolie » et « Se souvenir des beaux lendemains », Nicolas Carteron propose une histoire au suspense et au charme dont lui seul a le secret… Lucie, postière réservée, qui finit par demander sa mutation pour le département des lettres perdues de Libourne. Elle y découvre une lettre troublante d’une mère à son fils, qui transformera sa vie.
Dès son premier livre, le succès est immédiat et grandi à chaque nouvel ouvrage. « Se souvenir des beaux lendemains » s’est vendu à plus de 10000 exemplaires alors que le roman ne bénéficie pas (encore) de la logistique des grands groupes d’édition.
Aujourd’hui, Nicolas Carteron ne regrette pas du tout avoir abandonné ses études en informatique pour se consacrer à l’écriture. Il a trouvé à La Librairie du Château, en la personne d’Yves Grannonio, un conseiller et un soutien qui lui ont permis de réaliser son rêve de romancier.
Pour ce prodige, Yves Grannonio a créé sa propre maison d’édition et publie ses romans. Tous les passionnés du livre savent qu’Yves Grannonio est toujours de bon conseil. A en croire les commentaires laissés sur Amazon, la Fnac, il ne s’est pas trompé. Si vous commandez le livre à La Librairie du Château, il peut vous être dédicacé sur demande, pour le même prix.