Au nom de « l’équité entre les usagers », Yvon Le Jan, vice-président de Loudéac communauté Bretagne Centre, souhaite mettre en place « un même mode et une même fréquence de collecte des ordures ménagères sur tout le territoire » de l’intercommunalité.
Car tel qu’il existe aujourd’hui, les gens « ne bénéficient pas du même traitement » et la redevance qu’ils doivent payer chaque année est basée non pas sur la quantité de déchets qu’ils jettent, mais sur le nombre de personnes dans leur foyer.
Tout cela va changer.
D’ici « la fin du troisième trimestre 2019« , estime Yvon Le Jan, la collecte des ordures ménagères n’aura plus lieu, partout sur le territoire, qu’« une fois tous les quinze jours », et tous les foyers seront équipés de bacs individuels qu’ils vivent en ville ou pas. Cela va permettre de calculer la redevance de chaque foyer en fonction de la taille du conteneur qu’il aura choisie. Naturellement, ceux qui auront les plus petits paieront moins que ceux qui ont besoin de plus gros bacs de déchets ultimes.
De quoi inciter sérieusement au compostage !
Pour la collectivité,
Si l’on arrive à baisser les tonnages de 30 kg par habitant en passant de 187 kg de déchets à 157 kg, c’est, au bas mot, 300 000 € d’économies.
Régie ou prestataire privé ?
Après la hausse faramineuse de la redevance votée l’année dernière, LCBC est prête à explorer toutes les possibilités pour diminuer les coûts de la collecte. « Passer à un rythme de collecte d’une semaine sur deux nous amènerait déjà à une économie de 10 % », mais la collectivité pourrait aussi faire appel à un prestataire privé.
D’autant plus que « la poursuite en régie nécessite de réinvestir dans une flotte » plus importante de camions.
Un appel d’offres va être lancé. Le choix de la poursuite de la collecte en régie,
ou pas, dépendra de ce que proposent les prestataires.
Si vous avez l’habitude de déambuler place Esquirol, à Toulouse, sans doute avez-vous été surpris de ne plus voir s’afficher l’enseigne La Mie Câline, à côté de Midica et de la sortie de la ligne A du métro. Pourtant, les viennoiseries, les sandwichs et autres pâtisseries sont les mêmes… sauf le nom du magasin, qui est devenu « Exquis Roll ». Un changement de façade loin d’être anodin qui cache, en fait, une guerre judiciaire entre les gérants et la maison-mère de La Mie Câline, basée à Saint-Jean de Monts, en Vendée.
Rappel des faits
Eloy Dias et Enrick Clément étaient les deux gérants franchisés de La Mie Câline d’Esquirol, jusqu’au 30 septembre 2018. En 2011, ils récupèrent le commerce en location-gérance, dont le contrat est reconduit tacitement tous les ans par la direction de l’entreprise, qui reste propriétaire du fonds de commerce.
Au début, aucun nuage à l’horizon, d’autant que les deux commerçants toulousains deviennent propriétaires de La Mie Câline du Capitole, en 2013 – qu’ils continuent de gérer, par ailleurs, avec un contrat courant jusqu’à fin 2019 avec La Mie Câline -.
Le premier couac survient en 2015, quand Eloy et Enrick demandent une baisse du loyer, qui se monte à 16 000 euros par mois. « Cela représentait un taux d’effort de 25% pour nous », explique Eloy. Finalement, un accord est trouvé, fin 2016, pour baisser le loyer à 13 000 euros.
L’impact des travaux à Esquirol
Arrivent alors les travaux de la ligne A du métro en 2017, qui ont entraîné, selon les gérants, « une baisse d’activité de 25%, alors que nous étions en croissance avant les travaux. Ils n’ont pas accepté la baisse d’activité et nous sommes entrés dans le dur au niveau de nos relations. » « Faux », rétorque la Mie Câline à Actu Toulouse, par la voix de Gaëlle Heyer, responsable juridique, et de Wilfrid Billon, le directeur financier :
Il n’y a jamais eu de notre part de reproche quant au chiffre d’affaires ou à la rentabilité, le contrat est le même pour tous les points de vente. Notre seule exigence est que le point de vente doit être viable et à jour de ses paiements.
Embellissements et perte de trésorerie
La situation continue de se détériorer en février 2018, période durant laquelle le commerce ferme pendant deux semaines pour être embelli. « Nous avons perdu 40 000 euros de trésorerie alors que les travaux n’étaient pas urgents ni obligatoires », dénoncent les deux gérants.
« C’est pour développer le chiffre d’affaires que le point de vente devait être embelli et mis aux normes. La décision de faire les travaux n’a pas été imposée et cela s’est fait en période creuse », répond La Mie Câline, qui est présente près du Capitole, à Jeanne-d’Arc, avenue des Etats-Unis et à Muret, également, dans l’agglomération.
Expulsion notifiée en juillet 2018
Un mois plus tard, les gérants du commerce d’Esquirol reçoivent un courrier de la direction pour remettre en cause le contrat. « Le contrat de location-gérance est reconductible chaque année, mais nous avons un délai de prévenance de six mois pour prévenir les franchisés si nous ne souhaitons plus collaborer », précise-t-on en Vendée. C’est pourquoi Enrick et Eloy ont vu apparaître l’épée de Damoclès six mois avant la fin du contrat, avant de se voir notifiés leur expulsion en juillet 2018.
Le divorce est consommé. Le 26 novembre 2018, les deux parties se retrouvent au Tribunal de commerce de La Roche/Yon (Vendée), qui se prononce, en référé, pour l’expulsion des deux gérants.
« Le recours en appel n’est pas suspensif », précise la préfecture
Ces derniers font appel pour avoir un jugement sur le fond. Une première date est avancée : le 9 janvier 2019, avant un report au 27 mars 2019. Sauf que… La préfecture de Haute-Garonne décide d’exécuter la décision d’expulsion, prévue pour ce jeudi 7 février 2019. Eloy tombe des nues :
Dans 98% des cas, on attend le délibéré de l’audience d’appel. Notre avocat, en 20 ans de carrière, n’avait jamais vu ça.
« Le recours en appel du jugement n’est pas suspensif de cette exécution », précise la préfecture. « Si nous sommes déboutés par la cour d’appel, la sanction serait purement financière, les gérants ne reprendraient pas la jouissance du lieu. Ils ont changé de nom mais le matériel ne leur appartient pas, ni les lieux ! Nous sommes dans notre bon droit« , rétorquent Gaëlle Heyer et Wilfrid Billon.
Pas de préjudice social
Mercredi 6 février, Enrick et Eloy devaient évoquer la situation du commerce à leurs dix salariés. « Nous reprendrons tous les salariés dans la future gérance, il n’y aura évidemment pas de préjudice social », explique la direction de l’enseigne agroalimentaire qui entend poursuivre son activité avec les actuels, ou de nouveaux, gestionnaires.
Expulsables jeudi 7 février, les gérants n’excluent pas de faire un sit-in, voire de sensibiliser les Toulousains.
Le batteur Franck Vaillant, qui s’échappe des carcans stylistiques, vient de sortir son nouvel album, DrummerZ, qui « met en lumière les talents d’écriture de quelques grandes figures de la batterie qui l’ont passionné étant jeune », annoncent les hôtes qui l’accueilleront ce samedi.
L’idée de rendre hommage aux batteurs compositeurs est venue d’une conversation avec Robert Wyatt il y a une dizaine d’années.
« Je n’ai pas cherché à faire un top 10 des meilleurs batteurs puisque cela ne devrait pas exister, mais plutôt faire ce que je pense savoir faire, un bon disque qui se ré-écoute, et qui nous raconte une histoire. Imaginez le big bang d’une petite galaxie où j’invite tous ces batteurs à jouer les batteries d’autres batteurs pour en interpréter les compositions d’autres batteurs encore… », explique Franck Vaillant.
Aux tambours, cymbales et percussions, il sera accompagné par Pierre de Bethmann (piano, piano Rhodes, claviers et effets), Bruno Chevillon (contrebasse, basse et effets).
Tony Hymas, pianiste et compositeur, Hélène Labarrière, contrebassiste, et Simon Goubert, batteur, au vu de leurs affinités musicales, ont tout naturellement constitué un trio.
« S’y croise une inaltérable passion pour ce que le jazz, riche d’une histoire forte, peut offrir de vivant, une passion qui révèle un monde où se croisent Armand Gatti, l’Espagne libertaire, les Indiens d’Amérique, le blues infini et bien d’autres chants d’amour. »07
Ils donneront leur concert à l’issue de leur travail en résidence qui a débuté lundi 4 février et se poursuit jusqu’au samedi 9.
À noter que Tony Hymas se produira en solo, dès ce jeudi 7 février à 18 h 30, toujours au café de la Maison du peuple (entrée libre).
Samedi 9 février à 21 h au café de la Maison du Peuple à Saint-Claude. Tarifs : 10 €, 8 € et 5 €.
Ce fut l’une des annonces faites par Denis Jullemier, président de l’OPH77 devenu depuis peu Habitat 77, lors de ses vœux prononcés le 22 janvier. En 2019, « 500 000 € sont d’ores et déjà prévus, avec le soutien financier du Département de Seine-et-Marne, pour l’installation d’équipements en vidéo-protection ».
Le dispositif, qui sera étendu à toutes les habitations seine-et-marnaises appartenant au bailleur, est en test depuis un an à Provins. Dans la cité médiévale, Habitat 77 possède 185 logements : huit au niveau de la rue de la Vénière, dans le centre-ville, mais surtout 177 au sein de la résidence Paul Vigny, située dans le quartier des Coudoux.
« Davantage de dissuasion »
C’est justement dans cette dernière que trois caméras ont été installées en janvier 2018, pour expérimenter le dispositif visant à améliorer la sécurité et le quotidien des habitants : « Le test a été mené en partenariat avec la mairie de Provins avec qui nous avons signé une convention, explique Denis Jullemier. Les caméras sont reliées au serveur de la police municipale. Si besoin, c’est ensuite les forces de l’ordre et la justice qui prennent la main. »
La mise en place des caméras et l’installation des réseaux a coûté 30 000 €, dont 15 000 à la charge d’Habitat 77. « Nous avons de bons retours, se réjouit le président d’Habitat 77. Le dispositif permet une meilleure prévention et davantage de dissuasion. »
Il faut dire que les nuisances étaient nombreuses : urine dans les boîtes aux lettres, vitres brisées, tags, squatters, alcool, dégradations de voiture, bagarres, dépôts sauvages d’ordures, et même une suspicion de trafic de drogue.
Sur place, les effets positifs de la vidéosurveillance ont été ressentis par les locataires : « Oui, c’est plus calme, confie Carlos*. Il y a moins de bruit le soir, c’est dissuasif, les gens font plus attention. »
Lucie*, qui habite la résidence depuis deux ans, confirme : « Un jour, on a essayé de me voler ma voiture. Ils n’ont pas réussi alors ils l’ont vandalisé, raconte-t-elle. Depuis l’arrivée des caméras, c’est vrai que les choses se sont un peu améliorées. »
« Sont-elles vraiment connectées ? »
Si tous les habitants que nous avons rencontrés ont constaté l’effet bénéfique des caméras sur leur quotidien, certains n’hésitent pas cependant à exprimer quelques interrogations, en pointant les limites du dispositif.
« On se demande parfois si les caméras sont vraiment connectées, admet Sambar, posté devant la porte de son bâtiment vandalisée il y a peu. Elles dissuadent, mais les gens ne voient pas toujours ce qu’elles apportent lorsqu’il se passe quelque chose. » Avant de relativiser : « On est quand même à Provins. J’ai vécu à Melun, notamment dans le quartier de Montaigu. Là-bas, ça n’avait rien à voir. Je devais payer pour rentrer chez moi. »
Ce manque de « retour » et d’information est également partagé par Abdel* : « Le gardien de la résidence devrait avoir accès au serveur vidéo, il pourrait parfois intervenir en direct, propose-t-il. Notamment en ce qui concerne les incivilités des habitants. On a quand même vu des gens balancer leur machine à laver ou des bouteilles d’alcool par la fenêtre… »
Le locataire explique également que les problèmes n’auraient pas disparu, ils se seraient simplement déplacés : « La semaine dernière, en pleine journée, quelqu’un a démonté une fenêtre, s’étonne-t-il. La nuit, les caves sont aussi squattées, les gens passent par les issues de secours, hors-champ des caméras. Il faudrait en installer à l’arrière des bâtiments. »
Du côté d’Habitat 77, on n’exclut pas la pose de nouvelles caméras à l’avenir, mais on précise que ce n’est pas d’actualité. D’ici février 2019, le bailleur va cependant lancer SoWell, une application mobile à destination des gardiens de résidence : « Elle va permettre de faire remonter les informations plus rapidement, de tracer les réclamations, d’assurer un meilleur contrôle des équipements et de signaler et suivre les éventuels désordres en temps réel, précise Denis Jullemier. Ces informations seront ensuite transmises vers les techniciens d’agence, puis aux entreprises ou services compétents pour une meilleure prise en charge. »
*Le prénom a été changé à la demande des locataires
La communauté de brigades de Poligny a livré mercredi matin à Grozon son bilan d’activité pour l’année écoulée. La délinquance est en baisse sur le ressort de la COB : 482 faits délictueux (crimes et délits) ont été constatés par les militaires en 2018 contre 579 en 2017 et 517 en 2016.
Les atteintes aux biens (cambriolages, dégradations, destructions) : 289 cas en 2018 contre 315 cas en 2017 et 250 en 2016. Même si le chiffre est globalement en baisse, on déplore une augmentation des cambriolages et des vols de véhicules sur les secteurs de Poligny et Arbois, une équipe spécialisée a d’ailleurs été interpellée dans le courant de l’année 2018. Elle avait une quarantaine de faits délictueux à son actif.
« Une forte augmentation des cambriolages a été constatée depuis décembre. Beaucoup d’analyses sont en cours d’attente de résultats et nous poursuivons nos investigations par un travail de fond », souligne le major Biever, commandant de la COB.
On observe également une augmentation des dégradations et des destructions de radars (fixes ou de chantier) avec 26 plaintes enregistrées en 2018 contre 12 l’année précédente. Les violences physiques sont en baisse : 60 faits en 2018 contre 72 en 2017 et 81 en 2016. Les infractions économiques et financières dont les escroqueries sont, là encore, en baisse : 55 en 2018 contre 64 en 2017. Certaines, commises sur Internet, restent difficiles à contrôler.
Le taux d’élucidation des faits de délinquance par la COB de Poligny est supérieur à la moyenne nationale : 39 % contre 32 %. Dont 26 % pour les atteintes aux biens (alors que le taux national est de 12 %) et 30 % de cambriolages solutionnés contre 7 % au niveau national.
Nouveaux horaires à Poligny
Au total la COB de Poligny a effectué 898 interventions en 2018, un chiffre en constante augmentation.
« Le nombre d’interventions ramené à chaque gendarme est très important sur ce secteur » constate le chef d’escadron Aubry.
En 2019, l’objectif sera de réduire le taux de cambriolage. Concernant la brigade de Poligny, les horaires d’ouverture au public vont changer à partir du lundi 11 février. L’après-midi l’accueil sera assuré du lundi au samedi de 14 h à 18 h contre 19 h initialement afin de se recentrer sur des missions extérieures : « Mais toute personne qui se présentera à n’importe quelle heure avec une plainte qui le nécessite et qui n’est pas reportable aura une réponse à ses sollicitations », a assuré le chef d’escadron Aubry.
« Hormis la problématique des cambriolages que nous allons nous attacher à résoudre, tous les voyants sont au vert pour 2019 » a conclu le commandant de la compagnie de Dole.
Accidentologie en légère baisse. Du côté des accidents de la route, on recense un mort en 2018, un chauffeur routier français, décédé dans un face-à-face avec un autre camion sur la RN83 à Buvilly. L’homme s’était endormi au volant. Les principales causes d’accidents sont le non respect des priorités et des distances de sécurité ainsi que les dépassements. En 2017, un autre décès avait été enregistré par l’escadron de sécurité routière. On avait constaté 7 accidents pour 1 tué et 9 blessés. En 2018, 6 accidents ont été constatés occasionnant 1 tué et 7 blessés.
Proposer des produits du terroir 100 % français et privilégier les circuits courts, tout en garantissant aux producteurs une rémunération équitable : c’est tout l’enjeu de l’épicerie en ligneIssu d’à côté, cofondée par Bastien Moussou et Julien Millérioux en novembre dernier.
13 000 kilomètres
Implantée à Vienne-en-Arthies (Val-d’Oise), cette société coopérative propose une large gamme de produits du terroir provenant des quatre coins de l’Hexagone.
« Notre objectif, dès le départ, était de faire rayonner le savoir-faire de petits producteurs français, mais aussi de leur garantir un revenu juste, témoignent les deux entrepreneurs, amis de longue date, qui ont sillonné les routes l’été dernier en vue de développer leur réseau. C’était un véritable tour de France puisqu’au total, nous avons parcouru quelque 13 000 kilomètres ! »
Avec près de six cents références, l’offre d’Issu d’à côté se décline autour de produits secs (foie gras, rillettes, confiture…), mais aussi de produits cosmétiques et pour bébés, avec la possibilité de commander à l’unité ou sous forme de box.
Éco-responsable
En plus d’accroître la visibilité de nombreux producteurs locaux, cette nouvelle boutique en ligne s’inscrit également dans une démarche éco-responsable en ayant recours aux colis verts, garantis sans plastique. « Nous préparons nous-mêmes les commandes dans nos locaux et n’utilisons que des matières recyclables », assurent Bastien et Julien.
Ces derniers proposent, par ailleurs, le retrait des commandes directement dans les locaux de l’entreprise, pour éviter les frais de livraison.
Aimeriez-vous vivre dans un habitat participatif ? Que partageriez-vous avec vos voisins ? Qu’amélioreriez-vous dans votre habitat ? Telles sont les questions auxquelles les personnes intéressées ont été invitées à répondre, samedi 26 janvier 2019, à Saint-Jacques-sur-Darnétal près de Rouen (Seine-Maritime), dans le cadre du projet de réhabilitation de l’ancienne mairie, en logements locatifs.
Une initiative originale pour la commune, qui a fait appel à l’association Néologis, pour concrétiser cette forme d’habitat. Public visé en priorité : des familles modestes qui ont des difficultés pour se loger mais aussi, pourquoi pas des seniors…
Une offre solidaire et participative
Réhabiliter le patrimoine des communes, tout en répondant aux besoins de logement des plus modestes, en imprimant une démarche participative à leur action : telle est la raison d’être de l’association Néologis, créée en 2016, qui propose « une offre solidaire et participative d’habitat social ». La commune de Saint-Jacques-sur-Darnétal a donc été séduite par cette forme d’habitat et la maire Danielle Pignat souligne ainsi que l’ancienne mairie, qui abritait également jadis l’école de garçons, faisait l’objet d’une « longue réflexion, depuis quatre ans. Et comme souvent, c’est le hasard de rencontres qui a fait naître ce projet avec Neologis ».
Quatre à cinq logements pourraient ainsi être aménagés dans l’ancienne bâtisse, évocatrice de nombreux souvenirs pour les plus anciens des Saint-Jacquais, d’où la volonté affichée par les élus de préserver ce patrimoine, partie intégrante de l’histoire du village et de son évolution. Et l’originalité de cette réhabilitation, c’est que les attentes, les souhaits des futurs locataires sont pris en compte avant même qu’un architecte prenne possession du projet, qu’il devra faire coïncider avec les attentes candidats.
« L’objectif dans ces logements c’est aussi que les gens ne vivent pas chacun chez soi. Il y a derrière ce projet une volonté d’entraide et de solidarité », insistent les responsables de Neologis qui ont déjà mené un projet similaire à Quillebeuf, où le presbytère a été réhabilité en logements.
D’abord rencontrer les candidats, puis définir le projet
Impossible pour l’heure de chiffrer le coût du projet puisque, justement, l’étape actuelle consiste à rencontrer les futurs locataires et à prendre en compte leurs attentes. Quand cette phase sera terminée, il sera alors possible de définir un projet et donc, de le chiffrer. Un projet éligible à subventions, notamment par la fondation du patrimoine.
La partie administrative du dossier est réglée, maintenant, on écoute les habitants ou futurs locataires. Et l’architecte fera des propositions en fonction des souhaits émis, fait valoir l’association.
Un jardin solidaire derrière la bâtisse ?
Samedi 26 janvier, c’était donc une matinée porte ouverte qui a permis aux personnes intéressées de s’informer et de visiter les lieux pour déjà tenter de se projeter dans de futurs logements. À noter qu’à l’arrière de l’ancienne mairie se trouve également un petit jardin, qui pourrait lui aussi faire l’objet d’un potager solidaire.
Une offre locative au cœur du village
Avec ce projet de réhabilitation, la commune de Saint-Jacques-sur-Darnétal continue ainsi de développer son offre de logements : d’ici le début de l’été, les appartements neufs situés au-dessus du nouveau supermarché devraient être livrés et donc, toujours au cœur du village, ces quatre ou cinq logements au concept original et différent, devraient également trouver preneurs. Un dossier évidemment à suivre…
Enfin ! Après une petite trêve hivernale, le zoo de Lille (Nord)rouvre ses portes ce samedi 9 février 2019.
Et pour l’occasion, de nombreuses animations seront mises en place tout le week-end par la structure.
Des rencontres avec les soigneurs et des présentations au micro des animaux du zoo seront ainsi mises en place à 10 h 30, 11 h 30, 12 h 30, 14 h 30, 15 h 30 et 16 h. La liste des espèces sera à retrouver à l’entrée du zoo.
Une performance artistique surprise et féérique sera présentée dans les allées du parc de 14 h à 16 h », enchaîne le parc (événement soumis aux conditions météo, NDLR)
Des animatrices et l’association Zooalil tiendront également un stand dans la salle Voyage Exotique, pour manipuler toutes sortes de plumes, des mues de serpent, des piquants de porc-épic ou de la laine d’alpaga.
Enfin, vous pourrez également obtenir un quiz gratuit à l’entrée pour une visite ludique et pédagogique.
On les appelle des mules. Des passeurs de drogue qui ingurgitent des sortes de petites boulettes de cocaïne avant de les expulser une fois arrivés à destination.
En une semaine, les douaniers ont intercepté trois hommes dans la gare Saint-Jean de Bordeaux (Gironde), tous en provenance de Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyanne, rapporte Sud Ouest.
Le 28 janvier, c’est un habitant de Talence qui a été arrêté puis conduit au CHU où il a expulsé 20 boulettes, soit au total 431 g de cocaïne.
Le lendemain, c’est directement dans un TGV Paris-Bordeaux que les douaniers ont interpellé un passeur qui avait avalé une centaine de boulettes pour un poids total de 828 g.
Et enfin, samedi dernier, un Guyanais de 18 ans a été dépisté sur les quais de la gare Saint-Jean. Il avait ingurgité 80 boulettes de cocaïne.
Après les gilets jaunes, les stylos rouges ! Désormais, ce sont les enseignants qui se mobilisent. Pour le pouvoir d’achat, mais aussi contre les réformes du lycée et du baccalauréat préparées par le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer. Des stylos rouges qui s’étaient déjà mobilisés devant le rectorat, à Toulouse, mercredi 30 janvier 2019.
Mardi 5 février, c’est dans les rues de Toulouse que les enseignants se sont donné rendez-vous pour la mobilisation inter-professionnelle. Hausse des salaires, dégel du point d’indice, reconnaissance du métier, moins d’élèves par classe, fin de la suppression de postes d’enseignants… Les enseignants, que l’on a peu entendu durant la crise des gilets jaunes, ont décidé de se faire entendre.
Les lycées mobilisés
Dans la Ville rose et l’agglomération, une quinzaine de lycées et collèges sont mobilisés selon la carte publiée par l’Inter-Collectifs « La chaîne des bahuts » (une vingtaine en Occitanie), un collectif national d’enseignants mobilisés contre la réforme, une initiative qui a pris racine au lycée Victor-Hugo de Colomiers (Haute-Garonne) :
Lycée polyvalent Saint-Exupéry à Blagnac
Lycée international Victor-Hugo à Colomiers
Lycée polyvalent Marie-Louise Dissard à Tournefeuille
Lycée polyvalent Raymond Naves à Toulouse
Lycée Stéphane Hessel à Toulouse
Lycée général et technologique Henri Matisse à Cugnaux
Lycée général Clémence Royer à Fonsorbes
Lycée général et technologique Jean-Pierre Vernant à Pins-Justaret
Lycée Saint-Sernin à Toulouse
Lycée général et technologique des Arènes à Toulouse
A Toulouse et dans l’académie, plusieurs modes d’action vont être mises en oeuvre. Le premier sera une Nuit des lycées, organisée partout en France dans la soirée du jeudi 7 février 2019. Le principe de cette soirée : occuper les lycées, voire dormir sur place, afin d’expliquer aux parents les raisons de cette fronde. Pour garder un effet de surprise, les enseignants décideront dans la journée de jeudi pour savoir quels établissements participeront. Mais on sait déjà que plusieurs lycées de Toulouse, de l’agglo et de la région en organiseront.
Une centaine de démissions de professeurs principaux
Un autre mode de protestation est parti du lycée Déodat de Séverac, à Toulouse : démissionner, avec effet immédiat, de son poste de professeur principal. François Chérigny, professeur d’histoire-géographie, en fait partie. Il explique à Actu Toulouse les ressorts de cette décision :
Nous n’avons aucune visibilité sur la réforme du lycée à la rentrée 2019. De fait, nous ne sommes pas capables de répondre aux élèves ni aux parents ! Rien ne nous empêche de décider de ne plus exercer cette mission, sauf de perdre l’indemnité de prof principal. Lors d’une assemblée générale, qui s’est déroulée mardi 5 février, une centaine de professeurs de Toulouse et de l’agglo, issus de Berthelot, des Arènes, de Cugnaux… qui représentent 3000 élèves, ont décidé de démissionner dans ce cadre.
Ces professeurs sont venus symboliquement remettre leur démission et une série de pétitions de soutien devant le rectorat, mercredi 6 février, et indiquent que d’autres professeurs se sont engagés à ne pas devenir professeur principal à la rentrée 2019. Ils réclament une rencontre urgente avec Elisabeth Laporte, la Directrice académique des services de l’Education nationale (Dasen).
« Stoppons les travaux gratuits ! »
Les collèges sont concernés par le mouvement. Exemple au sein de l’établissement René Cassin de Saint-Orens, au sud-est de la Ville rose. Sur la page Facebook des Stylos Rouges Toulouse, un professeur indique qu’une quinzaine d’entre eux ont décidé d’arrêter des tâches du quotidien :
Dès aujourd’hui, nous stoppons tous les travaux gratuits que nous réalisons au quotidien : accompagnement des sorties scolaires en dehors de nos heures de cours, les rencontres parents professeurs de septembre qui présentent les équipes pédagogiques aux parents et les épreuves communes d’entraînement pour les élèves.
Ces professeurs indiquent également que s’ils ne sont pas entendus par l’Education nationale, ils « annuleront l’organisation des brevets blancs », refuseront la charge de professeur principal en septembre 2019″ et « d’organiser la correction du diplôme national du brevet 2019 ».
Des notes de 20/20 « pour bloquer Parcoursup »
Selon « La chaîne des bahuts », d’autres modes d’action sont prévus dans les prochains jours comme « des réunions d’informations avec les parents, le refus de siéger au conseil pédagogique pour ne pas participer à la mise en place de cette réforme, des grèves reconductibles, des actions flashs tous les jeudis matins ». La possibilité d’accorder des notes de 20/20 à tous les élèves, de la Seconde à la Terminale « pour bloquer Parcoursup », est également envisagée.
Et les syndicats ? Un peu dans le sillage des gilets jaunes, la mobilisation des enseignants parie (pour le moment) sur des actions initiées hors des radars syndicaux. Cyril Lepoint, le secrétaire régional de SE-Unsa, dit « comprendre les revendications et le désinvestissement des collègues » mais « sans les encourager » :
« Les tensions sont diverses dans l’académie. Nous savons que des départements seront lésés par les dotations, notamment les Hautes-Pyrénées. Mais de façon générale, les enseignants sont remontés contre la dégradation des conditions de travail et les 2600 postes supprimés au niveau national. Les démissions ou les occupations de lycées permettent de mobiliser l’opinion publique. Nous, ce que nous voulons, c’est un report de la réforme pour la rentrée 2020 car le timing n’est pas bon. Les enseignants et les élèves ne sont guère informés sur la prochaine rentrée.
Ce sera désormais 14h. Après avoir donné rendez-vous quasiment chaque samedi depuis le 17 novembre et le début du mouvement à 10h sur la place du théâtre de Caen (Calvados), les gilets jaunes ont décidé de modifier l’horaire du rassemblement samedi 9 février 2019. Depuis plusieurs semaines, sur les réseaux sociaux ou dans les rassemblements, des personnes ont fait entendre leur voix pour que la manifestation hebdomadaire se tienne désormais l’après-midi.
Ce sera donc chose faite pour l’acte XIII qui se profile samedi 9 février 2019. La décision a été prise pendant la dernière assemblée générale citoyenne.
À Caen, les gilets jaunes expliquent ce choix par une motivation stratégique : « ne pas laisser la place aux casseurs l’après-midi ». Ils espèrent aussi permettre à certaines personnes qui habitent loin de Caen, d’avoir plus de temps en journée pour rejoindre la manifestation. Le nouvel horaire continue cependant à faire débat.
Le matin me semble être une bonne chose parce que certains samedis nous avons vu des personnes venir en début d’après-midi pour d’autres revendications que les nôtres, pour se friter avec la police. Ils risquent de revenir et de se mêler à nous », estime Timoléon, un gilet jaune de Caen.
Le lieu de rendez-vous ne change en revanche pas pour l’instant. « Il y a tout un symbole à être en centre-ville, puisqu’il y a de grandes enseignes et ça nous permet d’avoir une réflexion sur notre rapport à la consommation, mais ça pourrait être des grands centres commerciaux également », conclut Timoléon.
C’est le volume de poissons, coquillages et crustacés débarqués et vendus sous la halle à marée de Cherbourg en 2018. Une baisse de 10 % par rapport à 2017, qui s’explique par de mauvaises conditions météo en début d’année et plusieurs arrêts techniques prolongés pour des hauturiers. Comme l’explique Séverine Jean, responsable d’exploitation :
Au total, pour l’ensemble de la flottille hauturière, ces arrêts représentent l’équivalent de 7,5 mois.
13,6 millions
C’est, en euros, le chiffre d’affaires des transactions réalisées par la criée. C’est un peu moins qu’en 2017, mais le prix moyen, en augmentation de 2,26 % à 2,75 euros le kilo, a permis d’atténuer la baisse.
C’est le chiffre d’affaires de la principale espèce vendue à Cherbourg, le calmar. Il devance le merlan (1,7 million d’euros), la coquille Saint-Jacques (1,16 million) et la raie (781 373 euros). La cinquième espèce, en valeur, est le homard. Un résultat d’autant plus intéressant que les responsables du centre de marée cherche à attirer davantage la pêche côtière.
912 tonnes
C’est le volume de merlan passé l’an dernier sous la criée. Suivent la coquille Saint-Jacques (424 tonnes), la roussette (408 tonnes), le tacaud (399 tonnes) et le calmar (354 tonnes).
Le Ruban bleu vient récompenser le chalutier hauturier qui a réalisé le meilleur chiffre d’affaires. Cette année, le lauréat est le Maribélise de l’Armement cherbourgeois, un navire neuf qui a été livré en fin d’été 2017
L’affaire a été révélée la semaine dernière et elle commence à faire grand bruit. Six adolescents de 12 à 14 ans scolarisés dans un collège d’Achères (Yvelines) ont été mis en examen vendredi dernier pour des viols en réunion et agressions sexuelles.
La victime présumée a 13 ans
Ils sont soupçonnés d’avoir, à deux reprises, abusé d’une camarade de classe de 13 ans, dans un immeuble situé à proximité du collège Camille-Du-Gast. Les faits se seraient produits entre décembre et janvier.
Une première fois, en décembre, la jeune fille a suivi trois garçons de son collège jusque dans le hall d’un immeuble en compagnie d’une amie à elle. C’est là que trois individus l’auraient forcée à pratiquer des attouchements, avant de la violer.
L’adolescente a également décrit une agression similaire, ayant eu lieu courant janvier, dans les étages de ce même immeuble avec, cette fois, six garçons impliqués. Des faits relatés par le journal Le Parisien.
Dans le quartier, l’émotion est vive
On est tombés des nues quand on a appris cela. Des enfants qui font des bêtises on en a, mais là… Nous on n’a rien vu, rien entendu. On n’aurait jamais rien su si cette affaire n’était pas sortie. Maintenant il faut laisser la police faire son enquête « , raconte une riveraine de l’allée des Tulipes, en promenant ses chiens.
Au collège Camille-du-Gast d’Achères, parents et élèves sont sous le choc. La nouvelle a d’ailleurs rapidement fait le tour des réseaux sociaux.
J’ai peur pour ma fille qui est dans ce collège », réagit une parent d’élève.
Cette situation fait l’objet d’un suivi attentif », indique-t-on en retour dans l’entourage de Serge Clément, l’inspecteur d’Académie.
La mise en place d’une cellule psychologique au collège n’a pas été évoquée, mais on indique cependant qu’une infirmière et des assistants sociaux sont déjà présents pour les élèves qui en ressentiraient le besoin.
Un adolescent reconnaît les faits
L’adolescente s’était confiée sur ces faits auprès d’éducateurs du collège, avant que la principale de l’établissement ne prévienne la police.
Un psychiatre a jugé que le témoignage de la victime était fiable et que son discours était cohérent.
Des premières auditions de ces garçons, il ressort que l’un des adolescents a reconnu sa participation à l’ensemble des faits, impliquant ses amis, assure une source proche du dossier à l’AFP. Les autres ont nié, affirmant que la victime était consentante.
Les six jeunes ont été remis en liberté, certains faisant l’objet d’un contrôle judiciaire.
Le juge d’instruction de Versailles chargé de l’affaire poursuit son enquête.
Un accident de circulation a eu lieu ce mercredi 6 février 2019 sur la RD 315, dans le sens Grandvilliers-Le Coq gaulois, entre Sarcus et Saint-Thibault (Oise).
Selon les témoins qui suivaient la Citroën, la voiture a quitté la route pour une raison indéterminée. Le véhicule a heurté le talus et fini sa course dans le champ.
La conductrice a été prise en charge par les pompiers de Grandvilliers (Oise).
Aucune barre ou un faible signal. Depuis plus d’un mois, plusieurs habitants du Sud-Gironde subissent une grosse panne de téléphonie mobile.
Ce sont plusieurs secteurs de la région qui sont concernés : autour de Langon, Bazas, La Réole, Monségur… Tous les réseaux mobiles sont concernés par ce phénomène. La raison, elle, est clairement identifiée : c’est l’incendie criminel de l’antenne relais de Casseuil, fin décembre, qui a provoqué cette panne à grande échelle.
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Autre sujet : ne ratez pas notre page spéciale consacrée aux Bœufs Gras de Bazas. Jusqu’au jour J, chaque semaine, Le Républicain consacrera une page à cet événement phare de la vie du territoire. Cette semaine, nous avons poussé la porte du Bœuf Pop, le célèbre restaurant de la place de la Cathédrale.
Il y aura beaucoup de monde, à Bazas. D’après moi, ce sera une grosse édition. A Bazas, les traditions restent et les nouveaux habitants y adhèrent rapidement. C’est de cette façon qu’elles se perpétuent
Un grave accident de la circulation s’est produit mercredi soir, aux alentours de 19 heures, sur la RD 918, entre le carrefour de Sainte-Anne et le bourg de Randonnai, en pleine ligne droite, dans la forêt du Perche.
Neuf personnes impliquées
Un bus du circuit Cap Orne se dirigeait vers L’Aigle avec cinq passagers à bord. A hauteur du carrefour de la route forestière de La Poterie, alors que la pluie tombait et que la visibilité était réduite, une automobiliste s’est engagée sur la route départementale alors que surgissait au même moment l’autocar. Le choc a été très violent et le bus a terminé sa course en contre bas de la route, dans le sous-bois, sans heureusement se renverser.
La conductrice de la voiture a été grièvement blessée et deux passagers du bus ont été légèrement blessés. 9 personnes ont été impliquées dans cette collision. Trois personnes dans le véhicule accidenté, une personne dans un second véhicule et les cinq passagers du bus.
De nombreux moyens d’intervention ont été engagés sur cet accident avec les centres de secours de Tourouvre-au-Perche, de L’Aigle, de Moulins-la-Marche, de Mauves-sur-Huisne et de Longny-au-Perche, chef de groupe assistés de l’antenne SMUR de L’Aigle.
Les victimes ont été dirigées vers le centre hospitalier de L’Aigle et la circulation a été déviée durant plusieurs heures, le temps de dégager le bus et les véhicules accidentés. Un autre car s’est rendu sur les lieux pour récupérer les passagers indemnes.
Les joueurs de l’AS Vitré ont créé un nouvel exploit en se qualifiant pour les quarts de finale de la Coupe de France. Une première dans l’histoire du club !
Les Sang et Or étaient pourtant menés 2-0 par Lyon Duchère après 22 minutes de jeu. Mais les joueurs de Michel Sorin ont fait preuve de caractère pour revenir à 2-2 à la mi-temps grâce à des buts de Gros et Leborgne.
Un scénario épique ! Pour se qualifier pour la première fois de son histoire en quart de finale de la Coupe de France, l’AS Vitré a renversé la vapeur ce mercredi 6 février en 8e de finale, en dominant Lyon Duchère 3 à 2.
Touchés mais pas coulés. Très vite menés au score, les Sang et Or ont trouvé les ressources pour revenir à la marque à la mi-temps (2-2). William Gros avait montré la voie sur corner avant que Maxime Le Borgne n’inscrive un bijou de coup-franc, dans la lucarne, à l’image de celui de Jordan Lebacle en 16e de finale contre Le Havre.
Toujours à flots à la pause, les Vitréens ont ensuite tenu bon contre vents et marées et ont terminé en trombe la partie.
Profitant d’une accalmie, le latéral droit Vincent Guilbault a mené un contre à toute allure jusque dans la surface alors qu’il ne restait que quelques secondes à jouer. Son centre anodin heurta la main d’un défenseur adversaire et l’arbitre désigna le point de penalty.
Un dénouement inespéré pour les locaux, partis pour disputer les 30 minutes de prolongation !
Le buteur maison Rémi Laurent, à la peine cette saison et souvent remplaçant, ne s’est pas fait prier pour transformer l’offrande.
L'AS Vitré (N2) est en quart de finale de la #CoupedeFrance ! Le club breton s'impose face à Lyon-Duchère (3-2) grâce à un penalty dans les arrêts de jeu après avoir été mené 0-2. C'est le nouveau Petit Poucet de la compétition ! pic.twitter.com/1SDtV0ncxD
Elles avaient déjà été repérées par les agents de sécurité de l’hypermarché Leclerc de Gonesse (Val-d’Oise) qui n’avaient toutefois pas réussi à les prendre sur le fait. La femme et les deux adolescentes étaient soupçonnées d’avoir volé les cartes de crédit de plusieurs clients de l’enseigne.
Alors vendredi 1er février, vers 18h, lorsque les vigiles les voient s’aventurer dans les rayons ils alertent aussitôt la police.
Elles visaient les personnes âgées
Les suspectes sont retrouvées aux abords des caisses. Elles s’intéressent plus particulièrement aux personnes âgées qui règlent leurs achats en carte de crédit, regardant par dessus leur épaule au moment de payer afin de noter le code secret.
Contrôlées par les policiers sans avoir toutefois été attrapées en flagrant délit, l’une des femmes est retrouvée en possession d’une carte bancaire ne lui appartenant pas. Les fonctionnaires contactent la propriétaire domiciliée à Sarcelles.
La victime, âgée de 68 ans, déclare s’être aperçue s’être fait dérober sa carte après avoir ses courses à Auchan.
Alors que la femme de 34 ans devait être déférée au tribunal de Pontoise, les adolescentes de 13 et 16 ans devaient être présentées à un juge des enfants.
On a frôlé le drame mercredi 6 février au stade municipal de Vitré, lors du 8e de finale de la Coupe de France entre l’AS Vitré et Lyon Duchère.
La joie du kop vitréen fut tellement intense après le premier but l’équipe vitréenne (2-1 pour Lyon Duchère) qu’une barrière située le long du terrain a cédé sous la pression de supporters.
Plusieurs spectateurs se sont retrouvés à terre. L’un d’eux a mis plus de temps à se relever mais ils ont finalement tous pu reprendre leur place. Et le match a pu continuer.