Les investigations ont rapidement abouti. Un homme de 40 ans, qui réside au Mée-sur-Seine; a été interpellé, ce vendredi 24 septembre vers 14 h 30, dans l’affaire de la fausse alerte à la bombe qui a mené à l’évacuation du groupe scolaire Jean-Racine du Mée-sur-Seine, jeudi après-midi.
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Les enquêteurs sont parvenus à identifier le numéro de téléphone portable qui a servi à passer l’appel malveillant et son remontés jusqu’au domicile de cet homme, très connu des services de police. Il a été placé en garde à vue, dans le cadre de l’enquête pour “divulgation d’une information fausse afin de faire croire à une destruction”, précise une source proche de l’enquête. Entendu par les policiers, ce Méen nie toutefois les faits qui lui sont reprochés.
Ce vendredi, des psychologues scolaires sont intervenus dans l’école Racine afin de parler aux enfants “et éviter un traumatisme”, a confié le rectorat. Pendant l’évacuation du groupe scolaire, une note a été envoyée aux autres établissements de la commune afin d’empêcher les élèves de sortir de leurs écoles.
Selon nos informations, l’individu aurait indiqué lors de son audition avoir prêté son téléphone à des adolescents. Toutefois, “des éléments objectifs” relevés dans le cadre de l’enquête laissent à penser qu’il pourrait bien être à l’origine de cet appel malveillant.
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