Avec comme rampe de lancement les festivités de la fête nationale, la mise en place des premières Zest’ivales ne pouvait que réussir. Seul le temps pouvait venir troubler le travail de Jean Lambert, président de l’orchestre de l’harmonie de Nangis, organisateur de l’événement.
Pour petits et grands
Le temps a finalement décidé de jouer le jeu puisqu’il a attendu la fin de la première soirée de concert pour se laisser aller à la pluie. Avant cela, la soirée du 13 juillet fut l’occasion pour les Nangissiens et leurs voisins de se retrouver pour la fête nationale. Les grands pouvaient écouter le son pop-rock et Breaking Savage et de Laura Cox, les petits attendaient leur tour pour s’amuser sur la structure gonflable. Les aires de loisirs pour enfants, situées eux aussi dans le parc de la mairie étaient encore là pour permettre aux enfants de s’amuser entre deux chansons.
Balade en centre-ville
L’arrivée des premiers lampions calmait les activités enfantines pour faire place au recueillement de ces derniers face aux lampions offerts par la mairie. Les Phoenix de Nangis pouvaient se mettre en tête de cortège, direction le centre-ville. Suivant les majorettes, les Nangissiens ont déambulé dans le centre-ville avant de revenir dans le parc, puis le stade municipal pour assister au feu d’artifice. ce dernier terminé, la scène attirait de nouveau l’attention avec Guy Alain.
Après cette première soirée, les Zest’ivales a poursuivi son jeu de séduction proposant du jazz-swing, notamment avec Pierre Fabre, révélé par la Nouvelle Star (D8), le 14 juillet, puis par du rap folk le 15 juillet. Trois jours de musique pour trois genres différents. La meilleure manière de satisfaire le plus grand nombre.
Une édition 2016 ponctuée par le groupe de rap Cadavreski. Il s’est produit devant un public sans âge. Preuve que le pari des organisateurs était réussi.
Sébastien LATTANZIO