Avec Dammarie-lès-Lys, la commune du Mée-sur-Seine fait partie des villes pilotes. Ces communes ont répondu à un appel à projet de l’État pour empêcher les dérives possibles de certains jeunes dans les quartiers en politique de la Ville. Hélène Geoffroy, a participé à une table ronde, mardi dernier au Mas, pour rencontrer les élus et associations et découvrir les actions proposées dans la ville. Grâce au plan de l’État, la Ville va disposer de moyens supplémentaires pour déployer des actions ciblées.
Actions concrètes
« Il est urgent de s’occuper de nos jeunes car il y a une vraie demande et nous ne devons pas les laisser livrés à eux-mêmes », indique Anne Morin, élue méenne en charge de la politique de la ville. « Nous avons choisi trois grands axes : la culture, l’éducation et la médiation », détaille Franck Vernin, le maire du Mée-sur-Seine.
Concrètement, les équipements publics (Mas, MJC, conservatoire etc.) sont désormais ouverts le soir, les week-ends et pendant les vacances. « C’est une réponse pour éviter que des jeunes parfois désœuvrés ne tiennent les murs », poursuit le maire. En parallèle, un travail est mené avec des associations locales (Ida y Vuelta, Couleur Passion, Mots et Merveilles etc.).
Autre volet du projet, la scolarité. Le collège Jean-de-la-Fontaine et le lycée George-Sand proposent désormais une aide aux devoirs en soirée pour accompagner les élèves volontaires…
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