Brosser, câliner, promener. Et si s’occuper des animaux aidait à se sentir mieux ? C’est l’idée de la médiation animale. Véritables anti-stress, les bêtes réduiraient la pression artérielle et le rythme cardiaque. « Les animaux ont un côté apaisant », analyse Violaine Laloyau, présidente de l’association Ani’Maux’Tion.
« Une véritable démarche de soin »
Monter son association de zoothérapie, c’était son rêve de petite-fille. La Combs-la-Villaise de 26 ans, éducatrice spécialisée dans un foyer de protection de l’enfance à Pontault-Combault, s’est formée à la médiation animale au centre de formation AGATEA en Alsace et à l’équithérapie à la société française d’équithérapie. Elle s’est également déplacée afin d’observer d’autres manières d’exercer l’équithérapie en Martinique et au Québec.
L’idée : apporter un bien être aux personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer, mais également aux handicapés, aux enfants en rupture sociale ou en difficulté scolaire, aux personnes souffrant de dépression, etc. Car, selon différentes études, être en contact avec les animaux serait bon pour le moral.
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