La République de Seine-et-Marne : Pourquoi avez-vous décidé de venir témoigner sur France 2 ?
Mylène : En 2003, j’ai discuté avec une personne qui avait aussi été agressée. C’est elle qui avait proposé ma candidature pour une émission à ce moment-là sur le thème : « peut-on se remettre d’un viol ? ». En témoignant devant les caméras, j’avais eu le sentiment d’avoir déposé un lourd fardeau. Alors quand une journaliste m’a rappelée pour venir à nouveau sur le plateau sur le thème : « la vie après un viol », je n’ai pas hésité. L’ambiance est intime, on sent le public bienveillant et on a vite fait d’oublier les caméras. Tout pousse à la confidence.
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