Une dizaine de tribunaux de commerce en France disposent déjà d’une Assistance psychologique pour les entrepreneurs en souffrance aiguë (Apesa).
« La détresse psychologique grave qui parfois résulte des échecs et s’exprime à l’occasion des audiences, était jusqu’à présent largement passée sous silence, souligne l’association. Or, connaître la loi et l’appliquer strictement n’impose pas d’ignorer la souffrance ».
Mercredi 21 septembre, c’était au tour des juridictions de Melun et de Meaux d’adhérer au dispositif, avec la création de sentinelles capables de détecter les symptômes de dépression voire les risques de suicide. ” Sur les 1 200 ouvertures de procédures ouvertes à Meaux et Melun, on a détecté une centaine de cas qui nécessiteraient une communication avec un psychologue “, indique Jean Gaillard, le président du tribunal de commerce de Melun.
Retrouvez notre article complet dans la Rep à paraître ce lundi 26 septembre.