Elles ont encore des images du désert plein les yeux, c’est le contraire qui aurait été surprenant car il s’agit d’une expérience unique. Une aventure et un dépassement de soi doublés d’une action humanitaire et d’un pari environnemental. Karine Machado s’en souvient « dans cette course, arriver la première n’est pas une priorité, c’est le bonheur et la fierté de pouvoir aller jusqu’au bout de cette aventure de dingue, de prier pour que la voiture qui fait partie intégrante de l’équipe aille jusqu’au bout, et de se découvrir dans les moments de grandes difficultés » Une réalité parmi toutes celles de la course « nous avons fait des rencontres extraordinaires, renchérit Isabelle Duvigneau, que cela soit avec les autres participantes ou les habitants que nous avons pu croiser. Des échanges autour d’un bivouac, lors d’une halte ou malheureusement lors d’une panne et qui permets de découvrir d’autres gens et de comparer des expériences ».
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