Cliquez ici pour voir la vidéo embarqué
Six semaines tout juste après sa chute, la Croix de Guise a retrouvé son socle, sur l’ancienne route de Bourgogne entre Avon et Thomery. Elle a beaucoup fait parler cette croix, surtout sur les réseaux sociaux. Car elle n’est pas tombée n’importe quand : dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 janvier, la fameuse nuit où l’église de Fontainebleau et Veneux-les-Sablons ont subi de graves incendies.
Et si pour la justice les deux feux n’ont pas la même origine (criminelle à Fontainebleau, accidentelle à Veneux), le cas de la Croix de Guise laissait perplexe. « On ne saura jamais très bien si c’est le vent ou la main de l’homme qui a provoqué sa chute, reconnaissait le directeur inter-départemental de l’ONF Benjamin Beaussant. Il est vrai qu’elle était concomitante à des faits qui ont choqué la communauté chrétienne. On reste très perplexes, mais il n’en reste pas moins qu’elle était très abîmée ».
Abimée au point de chuter par la simple action du vent ? La majorité des internautes n’y croient pas. Et c’est la première fois qu’un responsable public laisse entrouverte la porte d’une autre inteprétation que le simple accident.
>>> Article complet à lire ce lundi dans “la Rep”, édition C