C’est la première étape avant la liberté conditionnelle. Jacqueline Sauvage , condamnée à 10 ans d’emprisonnement pour le meurtre de son mari violent, puis graciée partiellement par le président, sera transférée, lundi, à la prison de Réau, l’un des trois centres nationaux d’évaluation. Le but : évaluer la dangerosité des prévenus. D’après une information de France TV, la détenue qui purge actuellement sa peine à la maison d’arrêt de Saran, près d’Orléans, devrait passer six semaines à Réau.
Cette mère de famille qui affirme avoir été victime de violences conjugales pendant plusieurs années avait tué son mari de coups de fusil dans le dos, en septembre 2012.