Une équipe de BFM TV et même des journalistes de la télévision japonaise avaient fait le déplacement, au Millénaire, à Savigny-le-Temple, dimanche après-midi. « Didi, les japonais veulent savoir s’ils peuvent, au moins filmer tes pieds », demande un des organisateurs de la table-ronde, au responsable de la sécurité depuis 10 ans au Bataclan.
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Mais non. Il préfère toujours rester dans l’ombre, Didi. Pas moyen d’avoir une photo dans le journal. S’il a accepté de participer à la conférence organisée par l’association Géréractions 77, c’est uniquement dans un but pédagogique. D’autant que trois jeunes de Sénart auraient rejoint la Syrie pour combattre aux côtés de Daesh.
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