Quantcast
Channel: actu.fr - Toute l'information nationale, régionale et locale.
Viewing all articles
Browse latest Browse all 26281

Quatrième jour de grève au lycée Joliot-Curie : une plainte à venir contre la rectrice ?

$
0
0

Les équipes éducatives du lycée Joliot-Curie ont voté ce vendredi matin la poursuite de leur mouvement
Les équipes éducatives du lycée Joliot-Curie ont voté ce vendredi matin la poursuite de leur mouvement

Pour la quatrième journée consécutive, les équipes éducatives du lycée Joliot-Curie ont voté, ce vendredi matin, la poursuite de leur mouvement de grève lors d’une assemblée générale au sein de l’établissement de Dammarie-lès-Lys. En cause, la réintégration d’un proviseur adjoint dans le lycée après son départ précipité du lycée Flora-Tristan de Montereau-Fault-Yonne.

Dans un courrier, l’association des parents d’élèves et des amis du lycée Joliot-Curie (Apal) dénonce le fait “que les enseignants ont signalé leur difficulté pour travailler normalement pour la première fois en 2013. (…) Aucune réponse n’a jamais été donnée à leurs interpellations et aucune réponse n’a jamais été donnée aux nôtres.” Ils demandent  que la rectrice de l’académie de Créteil reconnaisse “le véritable problème posé” et “de pouvoir continuer l’année avec la personne qui l’a remplacée, et qui fait l’unanimité.”

Vers une plainte de l’association de parents d’élèves

Dans le courrier, l’association prévient qu’elle va recourir à une aide juridique en vue de porter plainte pour non respect de l’obligation de service public. “Il est nécessaire pour le fonctionnement normal de l’établissement que les enseignants enseignent et que les élèves apprennent”, insiste l’Apal dans le courrier. Et de conclure : “Le rectorat a décidé d’hypothéquer les études de nos enfants, plutôt que d’assumer ses responsabilités.”

De son côté le rectorat déplore la poursuite du mouvement “d’autant que la situation est connue  est actuellement à l’étude”, évoquant une réaction “incompréhensible”. Et d’ajouter : “Nous ne pouvons qu’encourager les professeurs à reprendre les cours car la place des élèves est en classe. Nous ne comprenons pas la persistance de ce mouvement, d’autant plus qu’une délégation a été reçue et que les problématiques ont été entendues.”

Lire l’article complet dans La République de Seine-et-Marne du lundi 14 décembre.


Viewing all articles
Browse latest Browse all 26281

Trending Articles