Dans le jargon hospitalier, on appelle ça un scanner 64 barrettes, pour 64 détecteurs. Réceptionné fin août et mis en service à la rentrée, ce nouveau matériel permet de garantir une imagerie de coupe de haut vol, beaucoup moins irradiante pour le patient. Ainsi, le scanner pourra notamment mettre en évidence de façon plus précise et plus rapide des éventuelles infections, hémorragies, kystes, tumeurs ou ganglions repérés dans le cerveau, la cage thoracique, l’abdomen ou bien les os et qui seraient invisibles sur des radiographies standards ou à l’échographie.
Partenariat
550 000 €, c’est le coût de la « bête », exploitée dans le cadre d’un Groupement d’Intérêt Économique entre les radiologues du privé et du public. Du 50-50, aussi bien en termes d’investissement que pour le fonctionnement avec des plages horaires spécifiques réservées aux deux entités. Le patient, lui, a toujours le choix de privilégier l’un ou l’autre des secteurs lors de sa prise de rendez-vous. Plus d’une trentaine de personnes en moyenne par jour utilisent ce scanner 64 barrettes depuis sa mise en activation.
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