Un livre en guise de thérapie, dénonçant sous la forme d’un journal intime le harcèlement des enseignants. Le sujet du livre intitulé « N comme Nuit », avait, en 2011, retenu l’attention de l’Harmattan, qui décidait de publier le roman écrit sous pseudo par « Victoria Clair ». Un livre écrit par une enseignante du lycée Jeanne d’Arc Saint-Aspais de Fontainebleau, qui nous disait, lors de la parution du livre, avoir voulu « écrire une histoire romancée » à partir du témoignage de sa jeune collègue.
Seulement voilà, la jeune collègue en question avait déjà couché sur le papier cette douloureuse expérience. Elle avait à l’époque confié son manuscrit à Victoria Clair pour relecture et avis. Résultat : après un premier jugement du TGI de Paris en date du 10 juillet 2013 reconnaissant que le texte publié chez l’Harmattan était une contrefaçon, la Cour d’Appel de Paris vient de confirmer le verdict dans son arrêt du 27 mai.
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