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Marmande : décès d'une sexagénaire diabétique à l'hôpital

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Une enquête est ouverte par la gendarmerie suite au décès d'une sexagénaire, mardi, à l'hôpital de Marmande.

Une enquête est ouverte par la gendarmerie suite au décès d’une sexagénaire, mardi, à l’hôpital de Marmande. (©Photo Le Républicain)

Pourquoi Maryse Lanxade, cette Marmandaise de 62 ans, est-elle morte alors qu’elle se trouvait à l‘hôpital de Marmande ? Sa fille évoque une non prise en charge, elle a porté plainte contre X à la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

Le service des urgences mis en cause

Le service des urgences est mis en cause par la famille : médecin et personnels auraient été débordés en ce dimanche 6 janvier, à 18h, lorsque Maryse Lanxade et sa fille sont arrivés sur place, ainsi que le rapporte sa fille, âgée de 30 ans : «Ma mère est diabétique. Elle était en hyperglycémie après une chute et ne tenait pas debout. Il y avait du monde aux urgences, c’était archi-bondé».

Cette dernière est aujourd’hui effondrée et en colère : « le médecin n’est venu la voir que le lundi à midi » affirme-t-elle. Le mardi 8 janvier à 6h30, elle reçoit un appel, l’anesthésiste lui demande de venir d’urgence, sa mère est dans un état très grave. Elle décédera à 11h20. 

A lire aussi : la maman et son bébé meurent à la maternité de Villeneuve-sur-Lot


EN IMAGES. À Toulouse, les gilets jaunes ont essayé (en vain) d'approcher Emmanuel Macron

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Syndicalistes et Gilets jaunes rassemblés, jeudi 17 janvier 2019, route de Portet, à l'occasion de la venue d'Emmanuel Macron, à Toulouse.

Syndicalistes et Gilets jaunes rassemblés, jeudi 17 janvier 2019, route de Portet, à l’occasion de la venue d’Emmanuel Macron, à Toulouse. (©G.K. / Actu Toulouse)

S’ils savaient que ça allait être très compliqué, les gilets jaunes étaient bien décidés à s’approcher le plus près possible d’Emmanuel Macron, en visite à Toulouse à l’occasion de ses voeux aux armées, jeudi 17 janvier 2019. Mais c’était sans compter sur l’exceptionnel dispositif de sécurité mis en place par les forces de l’ordre, qui a transformé la base militaire aérienne de Francazal en forteresse imprenable. 

LIRE AUSSI : DIRECT. Emmanuel Macron à Toulouse : temps forts, gilets jaunes, trafic routier… La visite en temps réel

Tentative d’action à l’aéroport 

Dès le matin, un groupe de gilets jaunes s’est réuni à 11 heures, sur le parking du Carrefour Purpan. Alors que plusieurs manifestants se sont faits contrôler par les policiers, la trentaine de gilets jaunes a décidé de mener une action à l’aéroport de Toulouse-Blagnac, pour tenter de bloquer les accès, et notamment le rond-point menant au parking visiteurs. 

Mais les forces de l’ordre sont très vite intervenues et la tentative de blocage a vite tourné court. Une opération escargot était également envisagée depuis plusieurs jours aux abords de la base militaire aérienne de Francazal, mais là encore, en raison du faible nombre de manifestants et de la présence massive de gendarmes et de policiers, elle n’a pas pu avoir lieu. 

LIRE AUSSI : Visite d’Emmanuel Macron à Toulouse : des gilets jaunes tentent de bloquer l’aéroport de Blagnac

Rassemblement au plus près de Macron… 

Au final, c’est aux alentours de 14 heures que gilets jaunes et syndicalistes de la CGT, FSU, Solidaires et Sud Rail se sont rejoints au niveau de la route de Portet, à Cugnaux, non loin de la base de Francazal, où le chef de l’Etat se trouvait. 

Un rassemblement qui a réuni environ 200 à 250 personnes, strictement encadré par les forces de l’ordre, et qui s’est déroulé sans accroc, dans une ambiance pacifique et bon enfant. 

« Déçus de ne pas avoir pu l’approcher »

Christophe, gilet jaune depuis le 17 novembre 2018, fait part de sa déception :

On s’est rassemblé pour qu’Emmanuel Macron voit que les gilets jaunes existent et existeront jusqu’à ce qu’il cède. On est très déçus de pas avoir pu l’approcher. Il ne débat pas avec les vraies personnes, celles qui sont dans la rue. C’est avec nous qu’il faut qu’il discute et pas avec les maires ! Au début, on attendait beaucoup du Grand débat national, mais dès le premier jour, je n’y ai plus cru. 

Emile, autre gilet jaune mobilisé depuis la première heure, confie : 

On aurait bien aimé le voir de près. Nous voulons montrer que c’est un président enfermé dans une forteresse et que son pouvoir ne tient plus qu’à un cordon de policiers qui le sépare de la majorité de la population. On a pas envie d’être dans la confrontation, contrairement à ce qu’on entend souvent. On veut simplement pouvoir manifester tranquillement et exprimer nos revendications. C’est quand même incroyable qu’après deux mois et demi de mobilisation de masse, on nous ignore encore complètement ! 

Émile, Gilet jaune depuis le début du mouvement, explique pourquoi il est venu manifester à l occasion de la venue d Emmanuel Macron à Toulouse.

Publiée par Actu Toulouse sur Jeudi 17 janvier 2019

Un acte X prévu samedi 

Les gilets jaunes se donnent déjà rendez-vous samedi 19 janvier 2019, pour l’acte X de la mobilisation, au centre-ville de Toulouse. 

Saint-Lubin-des-Joncherets. L'athlétisme s'ouvre au sport adapté pour personnes handicapées

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Lors de la remise de maillots.

Lors de la remise de maillots. (©La Dépêche de Verneuil-sur-Avre)

Dernièrement a eu lieu la remise des maillots de compétition à la section sport adapté athlétisme du club Athlétic Vallée d’Avre (AVA) à la Résidence du Bois de Nonancourt. Un club qui remercie Martin Lepetit, Mme Gorgeot ainsi que toutes les personnes présentes lors de cet événement. 

En effet, depuis le début de l’année, une section spécifique a été créée pour les résidents de l’Association. Ce projet de collaboration entre le club d’athlétisme l’AVA et l’association du Bois Clair était une priorité afin de faire découvrir le sport loisirs et santé d’une part, mais aussi le milieu des personnes handicapées, d’autre part.

Cette section a des objectifs ambitieux puisqu’elle participera aux championnats de France d’athlétisme Sport Adapté à St-Denis (93).

Club en essor

Cette équipe d’hommes et de femmes courageux (ses) est emmenée par Martin Lepetit et entraînée Cécile Néhou.

Le club, créé en 2014, n’a cessé de grandir pour accueillir 130 athlètes de tout niveau, dont 70 en compétitions FFA et 10 en compétition FFSA. Le public accueilli commence à partir de 4 ans et ce jusqu’à 68 ans ! Le niveau importe peu, tant que le respect et le partage sont présents à chaque étape de la vie du club.

Municipales 2020 : Catherine Vincent conduira la liste de la majorité en place à Villers-sur-Mer

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Catherine Vincent Villers-sur-Mer

Catherine Vincent, infirmière de formation a travaillé dans l’immobilier, aujourd’hui elle se consacre au milieu associatif, à la mairie et à ses petits-enfants, elle sera candidate à la mairie de Villers-sur-Mer (©Le Pays d’Auge).

Depuis quand êtes-vous élue à Villers-sur-Mer ?
Depuis 30 ans. Je suis adjointe en charge de l’environnement, de la qualité de la vie, de la jeunesse et de la vie associative.

Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter ?
Nous savions depuis un certain temps que Thierry Granturco allait se présenter à la mairie et quand le maire actuel, Jean-Paul Durand, a annoncé qu’il ne se représenterait pas, plusieurs conseillers municipaux ont regretté que personne, dans la majorité municipale, ne reprenne le flambeau.
J’ai donc accepté de le faire. Je pense que nous pouvons être fiers du travail accompli. Lors de mon arrivée dans le conseil, j’ai eu la chance d’être parrainée par des Villersois : Julien Perdrisot, Gérard Vauquelin, Jean-Paul Durand, des hommes de terrain, tous très attachés à la qualité de la vie dans leur commune et qui en connaissent parfaitement l’histoire.

Il faut dire que vous avez une certaine expérience…
Je suis déléguée communautaire depuis très longtemps. J’ai débuté avec Michel d’Ornano. À l’époque, on parlait encore de District. Je connais donc tous les rouages de la communauté de communes.
Pour être maire, il y a des étapes à franchir, il faut apprendre. L’histoire d’une commune ne s’arrête pas avec un mandat, elle perdure. Si on ne connaît pas l’histoire des hommes ou des structures qui ont été édifiées, les choix qui ont été faits, je pense qu’il est difficile de prendre le train en marche.

Quelle ligne allez-vous vous fixer ?
Des choix ont été faits. Il y a encore des choses à faire. Des projets à mener, à améliorer.

Votre équipe est-elle constituée ?
Plusieurs élus m’ont dit oui tout de suite, d’autres s’interrogent encore. Il me reste 15 mois, c’est vrai, mais je tiens à composer une liste avant d’élaborer un programme qui doit être le fruit d’un travail en commun.
D’ici un mois, je pense avoir des réponses et avancer dans le choix de mes colistiers en multipliant les compétences.

Quel pourrait être votre slogan ?
La stabilité pour aller vers l’avenir. Stabilité parce que nous bénéficions d’un certain ancrage. Mais nous devons améliorer les choses pour aller jusqu’au bout.

Des volontaires du service national universel dès juin dans le Val-d'Oise

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Comme les militaires, les volontaires du Snu porteront un uniforme et procéderont au salut quotidien du drapeau.

Comme les militaires, les volontaires du Snu porteront un uniforme et procéderont au salut quotidien du drapeau. (©Wikimedia Commons)

Les jeunes appelés volontaires mobilisés pour cette phase de préfiguration participeront d’abord en juin 2019 à un séjour de cohésion de quinze jours. Puis, ils réaliseront dans un second temps leur mission d’intérêt général, d’une durée de quinze jours également, entre juillet 2019 et juin 2020.

Au cours du séjour de cohésion, les activités s’articuleront autour de sept thématiques : Défense, sécurité et résilience nationales ; autonomie, connaissance des services publics et accès aux droits ; citoyenneté et institutions nationales et européennes, développement durable et transition écologique ; activités sportives et de cohésion ; culture et patrimoine ; découverte de l’engagement.

Une fois le séjour de cohésion effectué, les volontaires réaliseront dans un second temps leur mission d’intérêt général d’une durée de quinze jours durant l’été ou au cours de l’année scolaire suivante.

Les modalités suivantes seront possibles :

  • Mission perlée : un ou plusieurs appelés apportent leur concours régulier à une structure locale association ou chargée de service au public, comme les clubs sportifs, les services de pompiers, les Ehpad…
  • Mission ponctuelle : un ou plusieurs appelés apportent leur concours à un projet d’intérêt général existant et ponctuel comme l’organisation d’événements culturels ou sportifs, des chantiers de restauration du patrimoine, etc.
  • Projet Snu : les appelés apportent leurs concours à un projet ad hoc, mis sur pied grâce à la participation des appelés Snu et permettant d’apporter un service substantiel à la société.
  • Projet collectif : plusieurs appelés décident de poursuivre un projet autonome d’intérêt général accompagnés par une structure d’intermédiation spécialisée, par exemple le Réseau national des juniors associations (Rnja), la Fédération des maisons des lycéens (Fmdl)…

« Le Snu sera un outil puissant d’insertion pour les jeunes décrocheurs. Il marque aussi l’engagement de l’État de ne laisser aucun jeune sans solution et constitue une brique importante dans l’extension de l’obligation de formation jusqu’à 18 ans. Cela s’inscrit aussi dans un contexte inédit puisque nous investissons 15 Md€ pour la formation et les compétences des jeunes les plus éloignés de l’emploi », espère Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.

Le Snu sera également l’occasion de réaliser un bilan personnel du volontaire à travers : bilan de santé, évaluation des apprentissages fondamentaux de la langue française, premier bilan-découverte de compétences incluant une composante numérique.

Une large place sera également accordée aux symboles de la République et de la nation (salut au drapeau et hymne national, etc.).

Le recrutement s’effectuera par les services de l’État dans chaque département (rectorat, centres de formation d’apprentis, missions locales, etc.) afin de composer une cohorte représentative de la jeunesse de chaque territoire (respectant les parts respectives de jeunes lycéens, décrocheurs, apprentis, etc.)

Le contingents des volontaires aux Snu seront hébergés dans des internats, des centres de vacances, des bâtiments du ministère des Armées, etc. Les appelés seront répartis en « maisonnées » (dizaine de jeunes) afin de renforcer la cohésion et la responsabilité collectives.

 

Effeuillage, expo de graffiti, Disney à Toulouse... un mois de janvier pour tous les goûts

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Le programme s’annonce hétéroclite à Toulouse. (©DR)

En janvier, il y en a pour tous les goûts. Au programme : des personnages de Disney au Zénith de Toulouse, une expo de graffiti à la Cartoucherie, un effeuillage au Bascala, le Petit Prince en musique à la Halle aux grains… Voici notre sélection.

Le Lac des Cygnes

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Le Lac des Cygnes. (©DR)

Après le triomphe de La Belle au Bois Dormant, le Yacobson Ballet revient avec Le Lac des Cygnes : un chef-d’œuvre du ballet russe interprété ici par une troupe de 50 danseurs dans des décors somptueux. L’histoire est inspirée des contes slaves et danois de Pouchkine et Andersen. À découvrir en famille.

Du 23 au 27 janvier, à Odyssud. 4, avenue du Parc, à Blagnac. Tarifs : de 22 à 37 euros.

Disney sur glace

Disney sur glace.

Disney sur glace. (©Feld Entertainment)

« Crois en tes rêves », c’est le nouveau spectacle de Disney sur glace. Envolez-vous vers le Pays Imaginaire avec Peter Pan. Vivez la magie de Cendrillon. Chantez avec la Reine des Neiges. Découvrez un nouveau monde avec Jasmine et traversez l’océan avec la téméraire Vaina !

Du 18 au 20 janvier, au Zénith : 11, avenue Raymond Badiou.
Tarifs : à partir de 25,50 euros.

Expo de graffiti

L’expo The Bullet Factory se prolonge. Quarante artistes ont investi plus de 1000 m² des Halles de la Cartoucherie, autrefois arsenal des Pyrénées. Comme un hommage à un lieu emblématique.

Jusqu’au 25 janvier aux Halles de la Cartoucherie : rue des Munitionnettes. En Tram (arrêt Casselardit).
Accès libre, participation appréciée.

Carmen

Quoi de plus moderne que l’histoire de cette Carmen, femme libre et forte, indépendante face aux diktats que la société semble insuffler ? Le Carmen de Bizet est d’une grande modernité : un ballet qui met en avant le rapport inversé entre l’homme et la femme.

Dimanche 20 janvier au Casino Barrière : 18, chemin de la Loge.
Tarifs : à partir de 29 euros.

Ils chantent a cappella

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The King’s Singers. (©DR)

C’est l’un des groupes vocaux les plus populaires dans le monde. The King’s Singers est un ensemble vocal britannique de six chanteurs. Ils chantent la musique de la Renaissance, des Beattles ou les standards du jazz. Ces concerts ont lieu à Toulouse dans une ancienne église.

Auditorium Saint-Pierre des Cuisines : 12, place Saint-Pierre. Samedi 19 janvier, à 20 heures.
Tarifs : 16 / 36 euros.

Un cabaret burlesque

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Le Burlesque Klub. (©DR)

Mises en scènes soignées, esthétique rétro avec plumes et paillettes… Les artistes du Burlesque Klub présentent un show alliant glamour et humour. Un spectacle d’effeuillage oui, mais à mille lieues des idées reçues. Ici, le déshabillage est vu de manière poétique ou drôle, car totalement kitsch.

Au Bascala : 12, rue de la Briqueterie, à Bruguières. Samedi 19 janvier, à 21 heures.
Tarifs : de 25 à 29 euros.

Les fourberies de Scapin

La scène se passe à Naples, la mer est là avec ses pêcheurs, ses matelots, ses soldats. La ville bruissante abrite deux familles bourgeoises. Il est question de mariage secret, d’une traversée malheureuse, d’argent, de ruse et de tromperies… Un véritable concentré du théâtre comique signé Molière.

Jusqu’au 19 janvier, au Théâtre du Fil à Plomb : 30, rue de la Chaîne. 
Tarifs : de 9 à 13 euros.

Le Petit Prince

Présente-t-on encore le héros d’Antoine de Saint-Exupéry ? Un aviateur, un enfant et une rose pour une fable qui, depuis longtemps, fait le bonheur des familles. Thierry Huillet a relevé le défi de mettre le conte en musique. Une rencontre avec les artistes est possible à l’issue de la représentation.

Halle aux Grains : 1, place Dupuy. Dimanche 20 janvier, à 15 heures.
Tarifs : de 3,50 à 20 euros.

Yvelines. Houilles : en pleine crise de démence, elle balance le courrier d'une bicyclette de La Poste

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Une femme de 19 ans a été interpellée en pleine crise d'hystérie, ce midi, rue de Stalingrad à Houilles (Yvelines).

Une femme de 19 ans a été interpellée en pleine crise d’hystérie, ce midi, rue de Stalingrad à Houilles (Yvelines). (©Adobestock)

Quand les nerfs lâchent. Houilles (Yvelines), a été le théâtre d’une scène peu banale ce matin. À la mi-journée, la police était requise parce qu’une femme partie du Val-d’Oise circulait pieds-nus sur un vélo.

Et pas n’importe quel vélo, puisqu’il s’agissait en l’occurrence d’une bicyclette jaune, sur laquelle les postiers du groupe La Poste grimpent pour effectuer leurs tournées.

Elle jetait le courrier dans la rue

Cette dernière a été arrêtée par la police rue de Stalingrad en pleine « crise de démence », selon des policiers. La jeune femme était en train de jeter dans la rue les lettres se trouvant dans la sacoche du vélo.

Âgée de 19 ans et originaire de Bezons (Val d’Oise) elle a été appréhendée. L’officier de police judiciaire a prévenu La Poste. On ignore à ce stade de l’enquête s’il s’agissait d’une employée du groupe postal qui voulait alléger sa tournée, ou si l’adolescente avait au préalable dérobé ce vélo à un facteur avant de l’enfourcher.

Tourcoing. Pour Wonder Augustine, il va tenter de battre le record du monde d'immersion dans la glace

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Originaire de Tourcoing (Nord), Romain Vanderdope va tenter de battre le record du monde d'immersion dans la glace pour Wonder Augustine.

Originaire de Tourcoing (Nord), Romain Vanderdope va tenter de battre le record du monde d’immersion dans la glace pour Wonder Augustine. (©Copie d’écran Youtube/Romain Vanderdope)

C’est un défi un peu fou que vient de se lancer Romain Vanderdorpe, du côté de Tourcoing (Nord). A 32 ans, il va tenter de battre le record du monde d’immersion dans la glace.

Un défi qu’il entreprend pour Wonder Augustine. Le petite fille de 4 ans est décédée d’un cancer il y a quelques mois.

Augustine est partie 48 heures après notre rencontre. J’ai été bouleversé, j’ai trouvé cela profondément injuste. Moi qui ai perdu mon père dans un cancer, cela a réveillé en moi une colère, une rage. Je veux utiliser cette rage pour en faire quelque chose de positif », lance le Nordiste.

Lire aussi : Jeff Panacloc et François Berléand jouent pour Wonder Augustine dans Qui veut gagner des millions

Entraînement physique et mental

Le record actuel est de 1 h 53 10 s. Un sacré défi ! Pour y parvenir, Romain va s’entraîner dur, se préparer physiquement bien-sûr, mais aussi mentalement.

Il va parcourir le monde, rencontrer des personnes d’univers très différents pour se préparer au mieux. Il faut dire que Romain se dit « conscient du potentiel cérébral inexploité » de l’homme.

Je parcours le monde pour donner des conférences et des formations afin d’informer l’opinion publique de nos véritables possibilités neuro-physiologiques. De nombreuses techniques existent et sont validées scientifiquement. Leur efficacité, couplée à la médecine traditionnelle ouvrirait un réel espoir pour les enfants atteints de cancer… » souffle-t-il.

Ce sont aussi ces valeurs qu’il veut incarner par l’expérience : Romain pratique l’hypnose au sein d’Alternativ’Thérapies, organisme pour particuliers et professionnels de Santé à Tourcoing.

Lire aussi : Après le décès d’Augustine, se battre contre les cancers pédiatriques

Le Nordiste va s'entraîner dur pour battre le record.

Le Nordiste va s’entraîner dur pour battre le record. (©Copie d’écran Youtube/Romain Vanderdope)

Une cagnotte

Le Nordiste a annoncé que 100 % des bénéfices liés au « Wonder Ice Record » seront reversés à l’association Wonder Augustine « aider les enfants atteints de cancer ». 

Une cagnotte a été créée, vous pouvez y participer en cliquant sur ce lien.

Romain présente son projet : 


Finistère. Quimper : les conciliateurs de justice règlent les litiges du quotidien

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Cinq des six conciliateurs de justice de Quimper : Michel Pasquier, Françoise Guillou, Bernard Audren, Francine Kerjose et Gérard Lebeau.

Cinq des six conciliateurs de justice de Quimper : Michel Pasquier, Françoise Guillou, Bernard Audren, Francine Kerjose et Gérard Lebeau. (©Côté Quimper)

Le Finistère compte au total 43 conciliateurs de justice. Six d’entre eux officient à Quimper

La conciliation : pour quoi faire ?

La conciliation est une alternative à un passage devant le tribunal. En clair, cette procédure vise à trouver un accord amiable pour une série de litiges entre des particuliers, ou entre un particulier et une personne morale (une association, une entreprise…).

Dans 60 % des cas, un accord est trouvé. « Il s’agit parfois de bon sens », souligne Michel Pasquier, conciliateur de justice. Un gain de temps et d’argent est souvent à la clé.

Dans quels cas peut-on solliciter un conciliateur de justice ?

Leur champ de compétences ne relève que du droit civil. Ils interviennent pour : 

  • des problèmes de voisinage (nuisances, limites de propriété, droit de passage…)
  • des conflits entre un propriétaire et son locataire pour des loyers impayés

Et Michel Pasquier d’énumérer : « En matière de droit à la consommation, on fait appel à nous pour des litiges avec son opérateur de téléphonie, son fournisseur d’électricité ou de gaz, sa banque, son assurance… »

Des particuliers ont parfois recours à un conciliateur pour contester une vente sur internet, des malfaçons constatées après des travaux. « Cette année, nous avons aussi traité quelques affaires concernant la vente de véhicules d’occasion entre particuliers », ajoute Michel Pasquier.

En revanche, toute demande à l’égard de l’Etat, d’une collectivité (commune ou communauté d’agglomération) n’est pas du ressort des conciliateurs. Ils n’interviennent pas non plus en droit pénal ou de la famille.  

Comment saisir un conciliateur ?

Il suffit de prendre un rendez-vous par téléphone. A Quimper, les conciliateurs recevront le demandeur lors d’une de ses permanences. Elles ont lieu dans les mairies annexes

  • à Ergué-Armel : le 1er et 3e jeudi du mois et le 1er et 3e vendredi du mois
  • à Kerfeunteun : le 1er et 3e vendredi du mois et le 2e et 4e mardi du mois
  • à la maison des services publics de Penhars : le 1er et 3e jeudi du mois

Une permanence a aussi lieu au palais de justice, le 1er et 3e mercredi du mois. 

Comment se déroule la procédure ?

Lors du premier rendez-vous, le conciliateur prend connaissance de la situation. « Nous prenons ensuite contact avec la partie adverse par courrier. Nous organisons un rendez-vous pour recueillir leur version des faits. Cette démarche vise à trouver un accord », explique Michel Pasquier.

Cet accord peut être oral.

L’accord est bien souvent écrit quand le litige est d’ordre financier. Il peut être enregistré au tribunal d’instance et a valeur de jugement. 

Qui sont les conciliateurs à Quimper ?

Leur équipe s’est étoffée. Elle comptait quatre conciliateurs. Ils sont à présent six :

  • Bernard Audren et Françoise Guillou (Ergué-Armel) 
  • Robert Dubuis et Francine Kerjose (Kerfeunteun)
  • Gérard Lebeau (maison des services publics de Penhars)
  • et Michel Pasquier (palais de justice).

Leur point commun : tous sont en retraite mais ont eu une expérience juridique d’au moins trois ans dans leur parcours. « Nous sommes bénévoles, nous assurons cette fonction pour rendre service à la population », confie Françoise Kerjose.

Françoise Guillou conclut : « Nous oeuvrons en quelque sorte pour la paix sociale. »

Infos pratiques. Pour les permanences dans les mairies annexes de Quimper : 02 98 98 89 05. Pour la permanence au palais de justice : 02 98 82 88 00.

Hommages, commerces, sécurité… : ce qu'il faut retenir de la visite d'Emmanuel Macron à Toulouse

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Emmanuel Macron était à la base aérienne militaire de Toulouse-Francazal ,jeudi 17 janvier 2019.

Emmanuel Macron était à la base aérienne militaire de Toulouse-Francazal ,jeudi 17 janvier 2019. (©Twitter / Corinne Vignon)

Comme annoncé depuis plusieurs jours, c’est donc à Toulouse qu’Emmanuel Macron a présenté ses seuls vœux pour 2019, aux Armées. Le chef de l’État s’est rendu sur la base militaire aérienne de Francazal, à cheval sur les communes de Cugnaux, Toulouse et Portet-sur-Garonne (Haute-Garonne). Un lieu choisi « car ici, les parachutistes ont été très sollicités pour aller sur des opérations extérieures en 2018 » selon des militaires.

LIRE AUSSI : Direct. Emmanuel Macron à Toulouse : temps forts, gilets jaunes, trafic routier… la visite en temps réel

Jean-Luc Moudenc et les doléances des commerçants

Le président de la République est arrivé vers 14h45, accompagné de Florence Parly (ministre des Armées) et de Geneviève Darrieussecq (secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées). Ils ont été accueillis par la 11e brigade parachutiste. Emmanuel Macron a participé à plusieurs « ateliers » comme la démonstration d’un saut en parachute, ainsi qu’à la visite d’un avion militaire A400M, sans oublier une large revue des troupes, dont le 8e régiment d’infanterie de marine de Castres (Tarn).

Avant son discours, Emmanuel Macron a rencontré le maire (LR) de Toulouse, Jean-Luc Moudenc. Le premier magistrat de la Ville rose a remis au président de la République des propositions formulées par les commerçants du centre-ville, en difficultés depuis le début des manifestations des gilets jaunes.

LIRE AUSSI : Toulouse : 700 commerces du centre-ville s’affichent « à vendre » après les manifs des gilets jaunes

Hommage à Arnaud Beltrame

Les vœux ont débuté vers 17h30, devant un parterre de 1600 invités. Le chef de l’État a rendu hommage au colonel Arnaud Beltrame, qui s’est sacrifié lors de l’attaque terroriste d’un supermarché de Trèbes (Aude) et « dont le courage a ému la France et le monde entier », ajoutant également une pensée « à tous ceux qui sont tombés dans l’exercice de leur mission. »

« Une nouvelle forme de guerre » en Afrique

Emmanuel Macron a également abordé la question des interventions menées sur le continent africain avec les opérations Barkhane (au Sahel), Chammal (en Irak et en Syrie) et Hamilton (Syrie) : « Ce que nous sommes en train de faire en Afrique, c’est une nouvelle forme de guerre. Ce n’est pas qu’un combat militaire, mais aussi un combat contre la pauvreté et pour l’éducation. » Il a également annoncé que l’armée française ne quittera pas encore la Syrie.

L’opération Sentinelle « indispensable »

Quant à la France et au terrorisme qui frappe le pays, le président de la République a assuré que « l’opération Sentinelle demeure indispensable car la menace terroriste persiste sur notre sol. » Emmanuel Macron a donc confirmé que la mission « continuera autant que cela sera nécessaire. » La stratégie militaire à l’échelle européenne a par ailleurs été évoquée, appelant à une coopération des pays, ce qui est « stratégiquement indispensable. L’Europe doit être un levier. »

Dans le Lot, vendredi

La cérémonie s’est terminée à 18h45 par une Marseillaise très militaire. A l’issue des vœux, Emmanuel Macron n’est pas rentré à Paris. Le président de la République est attendu vendredi 18 janvier 2019 dans le Lot, en compagnie de Sébastien Lecornu, ministre chargé des Collectivités territoriales et co-conducteur du Grand débat national. Il rencontrera des maires de la région Occitanie dans la commune de Souillac (Lot), comme il l’avait fait à Grand Bourgtheroulde (Eure) pour le lancement du Grand débat national.

Important dispositif de forces de l’ordre

A l’occasion de cette visite présidentielle, un important dispositif de forces de l’ordre avait été déployé autour de la base de Toulouse-Francazal. Dans le viseur également, les gilets jaunes qui n’ont finalement pas pu approcher le chef de l’État.

LIRE AUSSI : Visite d’Emmanuel Macron à Toulouse : des gilets jaunes tentent de bloquer l’aéroport de Blagnac

Handball : la JS Cherbourg battue en amical

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Justin Larouche et les joueurs de la JS Cherbourg ont été dominés lors de ce premier match amical de 2019.

Justin Larouche et les joueurs de la JS Cherbourg ont été dominés pour leur premier match amical de 2019. (©Jean-Pierre BARGE)

La JS Cherbourg a été battue ce jeudi 17 janvier 2019 lors d’un match amical à Pontault-Combault.

L’équipe du Nord-Cotentin s’est inclinée sur le score de 32-26 face à une formation d’Ile-de-France, pensionnaire de la Lidl Starligue (Division 1), et qui compte dans ses rangs les anciens Mauves, Bastien Khermouche (pivot) et Cherif Hamani (entraîneur).

A la pause, la JS Cherbourg, privée de son pivot Nicolas Bordier blessé, était déjà menée 18-16.

A LIRE AUSSI : à Cherbourg, les clubs sportifs professionnels rêvent d’une Arena

Un second amical ce vendredi face à Vernon

L’équipe entraînée par Nicolas Tricon va enchaîner ce vendredi avec un second match amical face à Vernon (Proligue). La rencontre est prévue à 19 h 30 à Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne).

La reprise du championnat de Proligue est programmée le vendredi 2 février avec la réception, à Chantereyne, de Caen.

Vidéo. Bordeaux : après 10 ans de travaux, le Muséum rouvrira ses portes le 30 mars

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Le Muséum ouvrira ses portes au public le 30 mars 2019.

Le Muséum ouvrira ses portes au public le 30 mars 2019. (©Crédit Muséum)

La réouverture avait été plusieurs fois repoussée mais cette fois-ci, c’est Alain Juppé qui l’annonce, le Musée d’histoire naturelle ouvrira ses portes le 30 mars 2019.

Le Muséum de Bordeaux (Gironde), qui figure parmi les plus anciennes collections publiques française, avait dû fermer ses portes pendant près de 10 ans pour mener à bien d’importants travaux de rénovation.

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Le Musée d'histoire naturelle en travaux.

Le Musée d’histoire naturelle en travaux. (©Crédit Muséum)

1 million de spécimens

Au-delà des travaux de rénovation, une extension de 500 m² qui sera dédiée aux expositions temporaires a aussi été aménagée en sous-sol.

Avec cette réouverture, le Muséum affiche clairement son objectif d’attirer un public jeune avec la création d’un Musée des Tout-petits, réservé aux enfants de moins six ans.

Pour rappel, c’est plus d’1 million de spécimens qui sont conservés dans le Muséum.

Le Muséum prêt à accueillir les visiteurs le 30 mars.

Le Muséum prêt à accueillir les visiteurs le 30 mars. (©Crédit Muséum)

Conseil municipal de Vitré : le ton monte entre les élus et les opposants au projet de gare scolaire dans l'allée verte

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Jeudi 17 janvier, le ton est monté entre les opposants au projet de gare scolaire dans l'allée verte et les élus de Vitré.

Jeudi 17 janvier, le ton est monté entre les opposants au projet de gare scolaire dans l’allée verte et les élus de Vitré. (©Le Journal de Vitré)

A Vitré, une cinquantaine d’opposants au projet de transfert de la gare scolaire dans l’allée verte se sont invités au conseil municipal, ce jeudi 17 janvier 2019.

Le groupe attendait les élus dans la cour du château de Vitré, avant la séance qui devait démarrer à 19h30. Le ton est rapidement monté.

« Vous irez en prison à ma place ! »

Rappelons que les élus envisagent de déplacer la gare scolaire de Vitré de la place du champ de foire vers l’allée verte ; ce qui ne plaît pas aux riverains. Des riverains soutenus par de nombreux habitants du Pays de Vitré puisqu’une pétition a rassemblé plus de 4 000 signatures.

A LIRE AUSSI : A Vitré, ils se rassemblent contre le projet de gare scolaire dans l’allée verte

Les élus ont été vivement chahutés par les membres du collectif qui ont travaillé sur un projet alternatif. Celui-ci consiste à réaménager la place du champ de foire pour y maintenir la gare scolaire.

Pierre Méhaignerie s’est emporté :

S’il arrive quelque chose place du champ de foire, vous aurez un mort sur la conscience. Vous irez en prison à ma place ! »

Début de la séance avec trente minutes de retard

Le maire de Vitré s’est tout de même dit « prêt à étudier leur projet ».

Ensuite, quatre personnes opposées au projet de gare scolaire dans l’allée verte sont entrées dans la salle du conseil pour assister aux débats. Un conseil qui a débuté avec près de trente minutes de retard.

Le Journal de Vitré

Jeudi 17 janvier, le ton est monté entre les opposants au projet de gare scolaire dans l’allée verte et les élus de Vitré. (©Le Journal de Vitré)

Beaulieu mise sur l'énergie solaire

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Élus locaux et population ont assisté en grand nombre à la cérémonie des vœux de Beaulieu (Orne).

Élus locaux et population ont assisté en grand nombre à la cérémonie des vœux de Beaulieu (Orne). (©Le Réveil Normand)

De nombreux élus et habitants Belloquois ont assisté à la cérémonie des vœux de la municipalité, en présence d’Emmanuel Le Secq, maire, et de son conseil municipal.

Concernant le recensement, Beaulieu (Orne) compte 210 habitants au lieu de 211. Le maire a trouvé « regrettable que certaines personnes, bien qu’étant résidents sur notre commune toute l’année, ne souhaitent pas se faire recenser en tant que tel, puisque cela a un impact financier pour notre budget. En effet, la dotation globale de fonctionnement que nous verse l’Etat est calculée en fonction de notre population, et cela aura donc un effet négatif sur les finances de notre commune ».

La commune a acquis la maison qui se trouve à l’entrée du bois communal. Il est prévu de consacrer ce terrain à la création d’un espace technique pour l’employé communal, ce qui permettra de regrouper l’ensemble du matériel et d’avoir enfin un aménagement fonctionnel.

Concernant l’aire de loisirs, elle sera, à partir du printemps prochain, le point de départ de quatre circuits de randonnée qui emprunteront les chemins de la commune mais aussi ceux des communes voisines de Normandel et Chennebrun. Un panneau regroupant l’ensemble de ces circuits y sera installé dans les jours qui viennent.

Projet photovoltaïque

Il devrait se concrétiser dans le courant de l’année et concernera les toitures de l’ancienne école et du presbytère.

« Nous avons choisi de travailler avec la société Solesens de Saint-Julien-sur-Sarthe, en raison de son expertise en matière d’énergie solaire, mais également pour pouvoir installer des panneaux qui seront fabriqués dans l’usine SNA de Tourouvre, dans le but de favoriser l’emploi local. Le conseil municipal a estimé que la production d’énergie renouvelable n’avait de sens que si nous faisions intervenir des acteurs locaux ».

Toiture du clocher

Toujours dans le courant de l’année, il est prévu la réfection de la toiture du clocher de l’église.

« Nous nous sommes rapprochés de la Fondation du Patrimoine afin de pouvoir lancer une campagne de financement participatif. Ainsi, toutes les personnes qui le souhaitent pourront faire un don, par l’intermédiaire de l’association Mémoire de Beaulieu, comme cela a déjà été fait lors des restaurations précédentes ».

VIDÉO. Au CHU à Caen, la démolition du "bâtiment des infirmières" est lancée

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La démolition de l'ancienne école d'infirmières à côté du CHU à Caen a commencé jeudi 17 janvier 2019.

La démolition de l’ancienne école d’infirmières à côté du CHU à Caen a commencé jeudi 17 janvier 2019. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

Comme prévu trois engins de chantier se sont lancés, jeudi 17 janvier 2019 dans la matinée, dans la démolition du bâtiment qui a servi pendant plusieurs décennies à la formation des personnels dédiés aux soins infirmiers (IFSI), à proximité du CHU de Caen (Calvados). Cette destruction doit durer une semaine. Elle est liée à la nécessité de faire disparaître cinq bâtiments pour dégager l’espace nécessaire à la construction du futur hôpital public, à l’horizon 2026.

LIRE AUSSI : EN IMAGES, Reconstruction du CHU de Caen : les plans et l’agenda complet dévoilés

Onze camions pour déblayer les gravats

Sept ouvriers sont mobilisés. Ce grand bâtiment orange largement visible depuis la route de Lion-sur-Mer, ne sera donc plus d’ici quelques jours. Suivra un balai de onze camions pour évacuer les centaines de tonnes de gravats vers une déchetterie.

Déjà, le 2 janvier dernier, des coups de pelles mécaniques ont été infligés à l’ancienne école des cadres, également mise à terre. « L’idée sur cette partie de l’emprise du CHU, c’est de démolir cinq bâtiments pour libérer le terrain de toutes ses constructions, afin d’ y construire à l’avenir le futur hôpital », explique avec un grand sourire, Jérôme Riquet, chef de chantier pour la société Poulingue en charge notamment du désamiantage. Les opérations qu’il mène, préalables à chaque démolition, ont été lancées en septembre et s’achèveront en février.

En vidéo, le chantier de démolition de l’école d’infirmière et le désamiantage de la blanchisserie :


Un "supermarché de la bière et du vin" va ouvrir à Cherbourg

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Frédéric Bossis et Chris Bullimore lancent à Cherbourg un magasin Wine Beer Supermarket (WBS), qui devrait ouvrir à la mi-mars.

Frédéric Bossis et Chris Bullimore lancent à Cherbourg un magasin Wine Beer Supermarket (WBS), qui devrait ouvrir à la mi-mars dans l’ancien magasin Vêt’affaires. (©Carole LE GOFF)

L’enseigne n’est pas encore apposée, mais cela ne saurait tarder. A la mi-mars, une nouvelle enseigne va donc s’installer à La Glacerie, sur la zone commerciale d’Auchan.

Les portes devraient être ouvertes pour accueillir les premiers passagers du plus grand navire mixte (passagers-fret) au monde, le W.B. Yeats, de la compagnie Irish ferries, qui assurera les liaisons entre Dublin et Cherbourg dès le 14 mars.

A LIRE AUSSI : Première escale à Cherbourg pour le W.B Yeats d’Irish Ferries

70 % de la clientèle étrangère

Wine Beer Supermarket est une entreprise spécialisée dans la vente de vins et de bières, de France et du monde, majoritairement à destination du marché transmanche et de ses nombreux clients anglais et irlandais. 

Implantée à Roscoff depuis plus de 20 ans, elle n’a pas choisi par hasard sa nouvelle implantation. Ses dirigeants, Frédéric Bossis et Chris Bullimore, expliquent : 

Il y a beaucoup de personnes qui sont prêtes traverser la Manche pour se fournir en vin et bière. A titre de comparaison, avec les différences liées aux taxes, quand on achète une bouteille 5 euros en France, elle coûte 10 en Angleterre et 15 en Irlande. Notre concept vise à offrir aux passagers des ferries en escale plus de 700 références et les conseils de nos cavistes. Bien entendu, tout le monde peut venir se faire conseiller auprès de nous, sachant que nous proposons des produits différents de ceux des grandes surfaces, plus orientés vers des vignerons indépendants.

A LIRE AUSSI : Cherbourg : le restaurant du casino ouvrira ses portes à la mi-février

Des embauches à venir

Sur leur site de Roscoff, les deux hommes constatent que les achats réalisés par les Anglais et les Irlandais réunis sont de l’ordre de 70 % du chiffre d’affaires, contre 30 % pour les Français.

Nous avions ce projet en tête depuis un petit moment. L’élément déclencheur a été l’annonce d’Irish Ferries de lancer son nouveau bateau entre Cherbourg et Dublin toute l’année. Nous sommes déjà partenaires d’Irish Ferries, et les passagers connaissent notre magasin, installé à Roscoff. L’idée est de réaliser un commerce similaire, avec plus de 700 références de vins et de bières, que nous avons sélectionnés.

Pour faire fonctionner le site de Roscoff, Frédéric Bossis et Chris Bullimore emploient douze personnes. Ils sont à la recherche de cavistes bilingues et d’une équipe pour lancer leur activité à La Glacerie. Des embauches sont donc à prévoir, sans que le nombre ne soit précisé pour le moment.

Val-d’Oise. Un immeuble ravagé par les flammes à Bezons

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Une quarantaine de pompiers a été mobilisée pour venir à bout de l'incendie d'un immeuble de Bezons (Val-d'Oise).

Une quarantaine de pompiers a été mobilisée pour venir à bout de l’incendie d’un immeuble de Bezons (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

C’est à la rue que se retrouvent les résidents d’un immeuble de la rue Francis-de-Pressenssé, dans le quartier des Impressionnistes, à Bezons (Val-d’Oise) à la suite d’un violent incendie qui s’est propagé à tous les étages et a détruit la toiture, jeudi 17 janvier.

Il était 6h45 lorsque les pompiers ont été alertés. A leur arrivée sur place, le feu s’était propagé à plusieurs appartements. Les secours ont rapidement procédé à l’évacuation des dix occupants, l’un d’eux s’étant réfugié sur son balcon, alors qu’une épaisse fumée avait gagné les parties communes.

Trois lances déployées, un drone utilisé

Trois lances ont été déployées notamment sur deux échelles pour venir à bout des flammes qui se sont propagées à trois appartements situé au rez-de-chaussée, au premier et au troisième étage avant de détruire le toit.

Alors qu’une quarantaine de pompiers est intervenue, les secours ont également eu recours à l’utilisation d’un drone pour comprendre comment le feu s’était propagé.

Gaine technique

Selon les premiers éléments recueillis, le sinistre se serait déclaré dans une gaine technique abritant les réseaux d’évacuation, de ventilation ainsi que l’électricité. Une équipe d’expertise en recherche de causes et circonstances d’incendie a été dépêchée afin de déterminer l’origine du feu.

Un arrêté a été pris par la municipalité interdisant aux locataires de regagner leur logement dans l’attente du passage d’un expert. Les résidents ont été pris en charge par la mairie.

En visite près de Toulouse, Laurent Wauquiez dénonce les violences des manifestations

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Laurent Wauquiez a visité l'entreprise Gentilin à Launaguet (Haute-Garonne), jeudi 17 janvier 2019.

Laurent Wauquiez a visité l’entreprise Gentilin à Launaguet (Haute-Garonne), jeudi 17 janvier 2019. (©Maxime Gil / Actu Toulouse)

Emmanuel Macron d’un côté, Laurent Wauquiez de l’autre. Toulouse était au centre de la vie politique, jeudi 17 janvier 2019. Si le président de la République était du côté de la base militaire aérienne de Francazal pour présenter ses seuls vœux de la nouvelle année, aux Armées, le président des Républicains était lui en visite pour deux jours en Haute-Garonne.

LIRE AUSSI : Voeux, commerces, sécurité… : ce qu’il faut retenir de la visite d’Emmanuel Macron à Toulouse

Emmanuel Macron « voyage dans sa bulle »

Hasard du calendrier ? Pas pour Laurent Wauquiez, qui défend « une approche qui n’a rien à voir », fustigeant les méthodes d’Emmanuel Macron : «  Le président veut faire un grand débat mais ne va pas à la rencontre des Français. Il voyage dans sa bulle, il fait des monologues… » Et d’ajouter : « un président de la République qui se déplace à coup d’hélicoptères avec des communes qui sont quadrillées par des dispositifs de forces de l’ordre qu’on a jamais connu, c’est pas ça comprendre la réalité d’un pays. »

Le patron des Républicains était lui en visite, jeudi, de l’entreprise Gentilin, spécialisée dans l’usinage de matériaux durs, notamment en titane, avec la création de diverses pièces pour les industries aéronautiques et spatiales. Accompagné de Frédéric Gentilin, vice-président du groupe Nexteam (à qui appartient Gentilin SA), Laurent Wauquiez a visité pendant une heure l’usine située à Launaguet (Haute-Garonne), avant de s’entretenir avec Frédéric Gentilin.

« Pas possible de s’exprimer par la violence »

La visite est venue conclure une tournée de deux jours en Haute-Garonne du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Mercredi 16 janvier 2019, il s’est rendu à l’école Orh Torah, où un professeur et trois enfants avaient été assassinés par Mohamed Merah en mars 2012, avant de tenir, dans la soirée, un meeting à Quint-Fonsegrives (Haute-Garonne), durant lequel il a notamment demandé l’expulsion de l’imam Mohamed Tataï.

LIRE AUSSI : Mohamed Tataï, l’imam de la grande mosquée de Toulouse, mis en examen après son prêche sur les juifs

Jeudi matin, Laurent Wauquiez a rencontré les commerçants toulousains, lourdement impactés par les manifestations des gilets jaunes depuis deux mois. Selon lui, « on ne peut pas continuer à voir cette situation où, semaine après semaine, on a la violence et les casseurs qui s’installent. » Et de poursuivre sur les débordements en marge des manifestations : « Ça n’est pas possible de s’exprimer en France par le biais de la violence. »

LIRE AUSSI : Toulouse : 700 commerces du centre-ville s’affichent « à vendre » après les manifs des gilets jaunes

Gironde : disparition inquiétante d'une femme de 53 ans à Langon

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Mme Barbosa a disparu mercredi 16 janvier en début de soirée à Langon (Gironde).

Mme Barbosa a disparu mercredi 16 janvier en début de soirée à Langon (Gironde). (©Gendarmerie de la Gironde)

La gendarmerie de la Gironde lance ce jeudi soir 17 janvier un appel à témoins pour la disparition inquiétante d’une femme âgée de 53 ans à Langon (Gironde)

Il s’agit de Suzanna Barbosa Barreiro De Melo. 

Elle a quitté son domicile pour promener son chien

La gendarmerie indique que :

Mme Barbosa a quitté le domicile de son fils à Langon mercredi 16 janvier vers 17h30 pour promener le chien. L’animal est revenu seul à la maison vers 21h30. Mme Barbosa n’est pas réapparue depuis, elle n’a pas non plus donné de nouvelles.

Mme Barbosa mesure 1,58 m, est de corpulence assez forte et a les cheveux châtains.

Elle était vêtue d’un jean bleu, d’un pull en laine marron clair et de bottines.

Elle ne dispose ni de téléphone portable ni de moyen de paiement et ne comprend ni ne parle le français.

La gendarmerie a engagé ce jeudi des recherches à Langon et dans les environs, avec l’appuie d’un hélicoptère. Les recherches se poursuivent.

A lire aussi : Un hélicoptère de la gendarmerie survole Langon pour retrouver une personne disparue

Tout renseignement pouvant aider les gendarmes à la localiser peut être communiqué à la brigade de gendarmerie de Langon-Toulenne au 05.57.98.12.60 ou en composant le 17.

DISPARITION INQUIÉTANTE D'UNE PERSONNE MAJEUREMadame BARBOSA BARREIRO DE MELO Suzanna, 53 ans, a quitté le domicile de…

Publiée par Gendarmerie de la Gironde sur Jeudi 17 janvier 2019

Vidéo. L'aquarium de Biarritz aux petits soins d'un bébé phoque trouvé sur la plage

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Le bébé phoque, découvert sur la plage d'Hossegor (Landes), a été pris en charge par l'aquarium de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques).

Le bébé phoque, découvert sur la plage d’Hossegor (Landes), a été pris en charge par l’aquarium de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques). (©aquarium de Biarritz)

Ils sont une poignée de phoques, chaque hiver, à s’échouer sur les plages du littoral atlantique. Jeudi 10 janvier, une équipe de l’aquarium de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) est venue à la rescousse d’un bébé phoque de trois mois.

L’animal, décrit comme « assez faible », avait été emporté par des courants marins depuis le sud de l’Angleterre.

Aux petits soins

Agé de trois mois, il était arrivé sur la plage d’Hossegor, dans les Landes avant d’être transporté au centre de soins de l’aquarium de Biarritz.

Les équipes avaient communiqué, sur la page Facebook de l’aquarium :

Il pèse environ 17 kilos, ne bouge pas beaucoup et semble blessé à l’œil du moins. L’équipe le laisse se reposer avant de le manipuler pour voir les blessures et mieux évaluer l’état de santé.

Sur place, donc, le bébé phoque a été pesé, mesuré et observé sous toutes les coutures.

Puis, il a été soigné au niveau des yeux ainsi qu’au niveau du thorax où les équipes de l’aquarium de Biarritz avaient découvert une plaie.

Le bébé phoque retrouve l’appétit

Quelques jours plus tard, le lundi 14 janvier, le bébé photo a mangé « ses premiers morceaux de maquereaux ». Encourageant, donc.

D’autant qu’hier, les nouvelles sur l’état de santé du bébé phoque étaient rassurantes :

Le bébé phoque continue de bien s’alimenter. On lui donne des morceaux de poisson de plus en plus gros pour qu’elle s’habitue à ce qu’elle trouvera dans le milieu naturel 

 

Vidéo > L’aquarium de Biarritz à la rescousse d’un bébé phoque

Pratique. Aquarium, Esplanade du Rocher de la Vierge, 64000 Biarritz. Tél. :  05.59.22.75.40.

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