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Bird Box Challenge : la mise en garde de la gendarmerie de Gironde

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Lancé suite à la diffusion sur Netflix d'un film avec Sandra Bullock, le Bird Box Challenge suscite l'inquiétude. En Gironde, la gendarmerie a lancé un appel à la prudence.

Lancé suite à la diffusion sur Netflix d’un film avec Sandra Bullock, le Bird Box Challenge suscite l’inquiétude. En Gironde, la gendarmerie a lancé un appel à la prudence. (©Capture d’écran Netflix)

Une nouvelle pratique agite les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines. Son nom : le Bird Box Challenge.

Il est inspiré du film Bird Box, diffusé sur Netflix. L’hsitoire est simple : pour survivre, les héros doivent garder les yeux bandés.

Vidéo > Le trail de Bird Box

Des défis sur Internet

Depuis, donc, les gens se lancent des défis, via Internet. En parcourant la toile, on peut découvrir des vidéos montrant, par exemple, un homme conduire avec les yeux bandés.

Aux Etats-Unis, une jeune fille a ainsi provoqué un accident de la circulation. « Elle est passée sur l’autre voie avant de foncer dans une autre voiture puis dans un poteau », rapporte ainsi Ouest France.

Un appel à la prudence

Des pratiques à risque qui ont incité la gendarmerie de Gironde à diffuser un message de prévention, via sa page Facebook : 

Quand on observe le nombre d’accidents qui arrivent avec les yeux biens ouverts, nous n’osons imaginer les conséquences de ce que serait une journée ordinaire avec vie avec les yeux bandés.

Dans ce message, la gendarmerie de Gironde appelle « les plus jeunes à la prudence et à ne s’aventurer dans ce « challenge » que dans un espace sécurisé ».


Toulouse : une première "battle" géante organisée à Luminopolis, l'expo en mode escape game

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Avec Luminopolis, qui organise sa première "battle", jeudi 17 janvier 2019, le Quai des Savoirs se transforme en escape game géant !

Avec Luminopolis, qui organise sa première « battle », jeudi 17 janvier 2019, le Quai des Savoirs se transforme en escape game géant ! (©Quai des Savoirs)

Jusqu’au 1er septembre 2019, avec sa nouvelle exposition, Luminopolis, le Quai des Savoirs propose aux visiteurs d’explorer le thème de la lumière en mode « escape game » sur 600 m2. 

LIRE AUSSI : Toulouse : Luminopolis, la nouvelle expo en mode escape game du Quai des Savoirs

Escape game géant

Plus qu’une exposition, Luminopolis est un escape game grandeur réelle. Les visiteurs pénètrent dans la cité mais ne peuvent en ressortir qu’après avoir résolu un certain nombre d’énigmes… en 60 minutes chrono ! 

Quatre grands thèmes sont abordés dans le parcours de l’exposition :

  • Qu’est ce que la lumière ? Le visiteur se questionne sur les différentes formes que peut prendre la lumière.
  • Qu’est ce que la lumière me fait ? Le visiteur découvre la vision, les cycles de la lumière et ses effets sur le corps humain.
  • La lumière nous permet-elle d’être vivant ? Le visiteur explore le rôle essentiel de la lumière dans le vivant.
  • Comment la lumière nous rassemble-t-elle ? Le visiteur s’interroge sur l’impact de la lumière sur la société et sur les relations sociales.

Une « Battle » avec 100 participants ! 

Les participants devront faire preuve d’astuce, d’esprit d’équipe et de curiosité pour comprendre les mécanismes de la lumière et déverrouiller la porte de la sortie en moins de 60 minutes.

Jeudi 17 janvier 2019, à partir de 18h30, le Quai des Savoirs organise sa première « battle ».  Jusqu’à 20 équipes de 5 personnes peuvent ainsi s’affronter dans l’exposition. Pour le moment, 80 personnes sont inscrites pour cette première battle, il reste donc encore de la place. Et avis aux amateurs, ce mode «battle» sera organisé chaque 3e jeudi du mois !

Infos pratiques
Luminopolis, au Quai des Savoirs
39 allées Jules-Guesde, à Toulouse. 
Jusqu’au 1er septembre 2019.
Durée 1h30 Fonctionnement par séance toutes les 30 min.
Visite en équipe conseillée (de 2 à 5 personnes) 
Réservation conseillée ici :
Plus d’infos sur le site du Quai des savoirs

À Ardouval. Les habitants deviennent les yeux des gendarmes

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François Sanson, maire d'Ardouval, le sous-prefet et la gendarmerie ont signé le dispositif de participation citoyenne.

François Sanson ( à droite), maire d’Ardouval, le sous-prefet et la gendarmerie ont signé le dispositif de participation citoyenne. (©Le Réveil de Neufchâtel )

« Vous n’êtes que les yeux de la gendarmerie, car le filtre c’est eux. C’est leur métier », a insisté Jehan-Eric Winckler, sous-préfet de Dieppe s’adressant à la dizaine ‘habitants d’Ardouval (Seine-Maritime) présents et volontaires pour participer au dispositif.

La signature du contrat de participation citoyenne liant la gendarmerie, la sous-préfecture et la commune est le fruit du travail du major Stéphane Langlois et de l’adjudant-chef Stéphane Lebas. Les gendarmes ont ainsi concrétisé leur sixième contrat de Participation citoyenne sur le pays de Bray et d’autres sont encore à venir.

Être attentif, pas plus

Les volontaires auront pour mission d’être attentif à ce qu’il se passe dans la commune. Une voiture qui rôde, un visage inconnu qui tourne un peu trop près des habitations ? Et les référents appelleront la gendarmerie pour donner un signalement. Ils sont aussi encouragés par les forces de l’ordre à prendre une photo avec leur smartphone et à relever les plaques d’immatriculation.

Mais attention, « vous ne devez pas devenir une milice communale car en face de vous, vous avez des gens perturbés », a souligné le sous-préfet Winckler.

Le contrat, effectif pour un an, pourra être ou non renouvelé à son terme.

Être solidaire

« Il faut participer à la vie de la commune. Le dispositif nous a été bien présenté, c’est une forme d’entraide. Nous étions déjà vigilants mais à partir d’aujourd’hui, nous le serons dans un cadre officiel », explique une Ardouvalaise. Pour François Sanson, conclure ce pacte c’est avant tout penser à la sécurité. « Il y a beaucoup de trafic routier, il vaut mieux prévenir que guérir. Par ailleurs, nous sommes sur l’axe Dieppe Paris et nous pourrions être perçus comme une commune dortoir ou une planque car nous avons de grands bâtiments agricoles isolés », observe l’édile.

 

 

Lisieux : ils s’opposent à la démolition de leur immeuble

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Eliane et Serge Demiannay ont lancé une pétition pour le maintien de leur tour, à Lisieux (Calvados).

Eliane et Serge Demiannay ont lancé une pétition pour le maintien de leur tour, à Lisieux (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

À peine dévoilé, le plan de rénovation urbaine de Hauteville, à Lisieux (Calvados), suscite déjà l’inquiétude des habitants.

Le programme doit rendre le quartier plus attractif en privilégiant la verdure au détriment d’un habitat jugé aujourd’hui trop dense. Cela passe par deux fois plus de démolitions (644 logements) que de reconstructions (322 logements).

LIRE AUSSI. Rénovation du quartier de Hauteville : place à la concertation avec les habitants

Au premier centre commercial, les trois tours de 14 étages seront rayées de la carte. Et ça, les locataires du 6 square Barbey d’Aurevilly ne l’acceptent pas.

« Nous refusons d’être déracinés »

En décembre 2018, à l’initiative d’Eliane et Serge Demiannay, une pétition a circulé dans l’immeuble. Elle a recueilli 39 signatures.

LIRE AUSSI. Rénovation de Hauteville à Lisieux : le quartier sera plus vert et plus attractif

Le couple de retraités habite depuis 37 ans au 9e étage, avec une vue imprenable sur la basilique et la vallée. Autant dire qu’il n’a pas envie de partir.

« Attachés à notre quartier, à nos voisins et à nos commerçants, nous refusons d’être déracinés sous des prétextes qui nous paraissent infondés. Notre tour est calme, bien entretenue. Le stationnement est facile et gratuit. Nous nous plaisons ici ».

Autre atout présenté dans la pétition : l’immeuble est pourvu d’ascenseurs, en bon état et jamais en panne. « Certains d’entre nous résident dans la tour depuis 40 ans. La population vieillissante a besoin de vivre dans des endroits conçus pour elle. Un ascenseur fait partie des équipements indispensables ».

Un déménagement qui inquiète

L’annonce de la démolition a d’autant plus surpris les habitants que les trois immeubles de 14 étages ont été rénovés par le bailleur social La Sagim, en 2010, pour 4,5 millions d’euros. La pétition souligne :

« Rénover notre quartier est sans doute une bonne idée, à condition que des solutions satisfaisantes soient trouvées dans le respect des habitants et dans un souci d’économie » 

Les locataires vont donc devoir déménager, à moyen terme. Aucune date ne leur a été précisée pour le moment. Le bailleur et la ville de Lisieux assurent qu’ils seront accompagnés.

LIRE AUSSI. Rénovation urbaine du quartier de Hauteville à Lisieux : des locataires inquiets

La pétition a été envoyée au maire de Lisieux, Bernard Aubril, et La Sagim. Eliane et Serge Demiannay attendent leur réponse, sans trop se faire d’illusions.

Cherbourg : l'éolienne géante de General Electric sera finalement implantée à Rotterdam

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Une vue d'artiste de l'Haliade X de General Electric Renewable Energy. Le prototype sera installé à Rotterdam. Consolation pour Cherbourg, les pales seront fabriquées dans l'usine de LM Wind Power, dont la construction s'achève sur le port.

Une vue d’artiste de l’Haliade X de General Electric Renewable Energy. Le prototype sera installé à Rotterdam. Consolation pour Cherbourg, les pales seront fabriquées dans l’usine de LM Wind Power, dont la construction s’achève sur le port. (©General Electric)

En mars dernier, General Electric Renewable Energy avait annoncé un investissement de 400 millions d’euros dans le développement d’une éolienne de 12 MW, l’Haliade X, pour répondre au développement des parcs éoliens en mer.

L’ambition du groupe est de proposer une turbine capable de réduire le coût de l’énergie éolienne pour en faire une source d’énergie propre et renouvelable plus compétitive.

A LIRE AUSSI : Accès perturbé à la centrale nucléaire de Flamanville en raison d’un mouvement social

Une éolienne de 225 mètres de haut

Le groupe cherchait donc un lieu d’implantation pour le prototype de cette éolienne géante de 225 mètres de haut. Une étape indispensable pour tester et certifier la courbe de puissance en conditions réelles.

Plusieurs ports ont été candidats. Mais après études, deux seulement restaient dans la compétition finale : Rotterdam et Cherbourg. Dans le Cotentin, cette éolienne aurait été installée au bout des terre-pleins des Flamands, sur le port de commerce. Ce dont se réjouissait le maire de Cherbourg-en-Cotentin, Benoît Arrivé :

C’est une question d’image, de valorisation de la ville, qui s’implique dans le développement des énergies marines renouvelables. Et il y a une mobilisation exceptionnelle autour de ce projet.

A LIRE AUSSI : Énergies nouvelles : bientôt un cadastre énergétique à disposition à Cherbourg-en-Cotentin

Un recours aux délais trop tardifs pour GE

Le dossier administratif a été monté dans un court délai, pour une enquête publique qui s’est déroulée en fin d’été et une autorisation environnementale signée le 19 novembre par le préfet de la Manche.

Le problème, c’est que le recours contre cette autorisation court jusqu’à la fin du mois de mars. Alors qu’à Rotterdam, il a été purgé il y a quelques jours. En choisissant les Pays-Bas, General Electric (GE) va gagner au moins 3 mois précieux pour l’installation de son prototype.

L’Haliade X va être installée dans le courant de l’été sur le site de Sif Holding Netherlands, un fabriquant de composants tubulaires pour les fondations offshore implanté sur le port de Rotterdam.

Les pales fabriquées à Cherbourg

L’accord passé avec Future Wind, une entreprise commune de Pondera Development, qui participe au développement de presque tous les parcs éoliens en mer néerlandais, et Sif Holding, porte sur cinq années d’essais pour l’Haliade, puis quinze ans d’exploitation. Une perspective qui a sans doute aussi pesé dans le choix de GE.

Cherbourg ne sera cependant pas absente du projet. Si la nacelle est assemblée dans l’usine de GE à Saint-Nazaire, et les sections de la tour produites de Séville, en Espagne, les pales de 107 mètres de long sortiront, elles, de l’usine LM Wind Power dont la construction s’achève sur le port de Cherbourg.

Un nouveau plan pour la réserve naturelle de Bresolettes

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Nathalie Goulet, au centre, a participé à la cérémonie des vœux.

La sénatrice Nathalie Goulet, au centre, a participé à la cérémonie des vœux.

Bresolettes est devenue commune déléguée de la commune nouvelle de Tourouvre-au-Perche (Orne) au 1er janvier 2017. Elle a donc perdu son titre de plus petite commune de Normandie mais reste tout de même la plus petite commune déléguée ornaise avec ses 21 habitants.

Malgré ce mariage intercommunal, Bresolettes a souhaité conserver ce rendez-vous des vœux dans cette petite mairie où une permanence hebdomadaire persiste avec la secrétaire de mairie.

Franck Poirier, maire délégué, a ainsi accueilli les habitants, dont un nouvel arrivant.

1 763 visiteurs en 2018

La Réserve naturelle régionale arrive à la dernière année de son premier plan de gestion. Le circuit découverte a accueilli 1 763 visiteurs entre le 23 juin et le 3 décembre 2018, suite à la pose d’un compteur. Il est en revanche l’heure de réfléchir au prochain plan de gestion 2020 – 2030.

« Lors du dernier comité de gestion, j’ai demandé aux représentants qu’il soit mené une étude sur l’évolution potentielle du territoire de la réserve, sur la possibilité d’intégrer de nouvelles parcelles écologiquement intéressantes, sur l’approfondissement des actions en cours et sur les nouvelles orientations à donner Quelques obstacles demeurent, comme la restauration de l’étang de la Forge pour qui, plus on étudie, plus on s’envase avec des problèmes de pollution, le dispositif de vidange et de trop-plein, la digue… Tout ça sur un domaine privé où l’attribution des fonds publics est évidemment limitée. »

Il est aussi prévu cette année des travaux de maintenance sur les toitures, et la porte du logement communal sera changée.

« Garder de l’humain »

Nathalie Goulet, sénatrice, est une fidèle de la commune puisque Franck Poirier est son suppléant.

« Je suis inquiète et pessimiste car notre pays déraille […] En revanche, je crois à l’intelligence territoriale mais je m’inquiète de la numérisation de notre vie administrative et sociale. Il y a une nouvelle exclusion par le numérique et c’est un vrai danger pour notre territoire ornais. La moindre démarche se fait maintenant par Internet. Le seul rempart qui reste contre tout ça, ce sont les secrétaires de mairie, les maires et les conseils municipaux, même dans les communes déléguées. Il faut y garder de l’humain ».

Ligue 1 : alors qu'il menait 2-0, le TFC décroche un match nul frustrant contre Lyon (2-2)

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Kalidou Sidibe et le TFC n'ont pas réussi à renverser l'Olympique Lyonnais, mercredi 16 janvier 2019.

Kalidou Sidibe et le TFC n’ont pas réussi à renverser l’Olympique Lyonnais, mercredi 16 janvier 2019. (©Manuel Blondeau/Icon Sport)

Le TFC à nouveau ralenti. Trois jours après une défaite contre Strasbourg au Stadium de Toulouse (1-2), les Toulousains ont concédé le match nul face à Lyon, mercredi 16 janvier 2019, toujours sur leur pelouse, lors du match en retard de la 17e journée de Ligue 1, reportée à cause des manifestations des gilets jaunes.

LIRE AUSSI : Ligue 1 : initialement prévu à Toulouse samedi, le match TFC-Lyon est reporté

Une rencontre qui est venue mettre un point final à une journée compliquée en coulisses. Quelques heures avant le match, le club annonçait la résiliation du contrat de Stéphane Mbia, puis le décès d’un salarié du TFC.

LIRE AUSSI : Ligue 1 : Mbia résilie son contrat, Gradel refuse une offre saoudienne, le mercato s’agite au TFC

Durmaz montre la voie…

Mais sur le terrain, les Toulousains entrent de plain-pied dans la rencontre. Dominateurs dès le coup d’envoi, les joueurs d’Alain Casanova voient leurs efforts récompensés grâce à Jimmy Durmaz. L’attaquant décroche un tir à l’entrée de la surface lyonnaise qui vient se loger dans le but d’Anthony Lopes, avec l’aide de la barre transversale (12e, 1-0). Le TFC continue de mettre la pression mais Lyon réagit bien en fin de première période et se crée quelques occasions, notamment avec Bertrand Traoré qui voit le ballon échouer au ras du poteau de Baptiste Reynet.

… et double la mise grâce à la vidéo

Le deuxième acte repart également sur un rythme soutenu. Et c’est l’Olympique Lyonnais qui se procure la meilleure occasion, mais Houssem Aouar, pourtant seul au point de penalty, ne cadre pas sa frappe (56e). Mis sur le reculoir, Toulouse va s’en remettre à l’arbitrage vidéo. Après consultation de l’assistance vidéo, l’arbitre de la rencontre, Ruddy Buquet, accorde un penalty aux Toulousains. Jimmy Durmaz ne se fait pas prier pour doubler la mise (74e, 2-0).

Toulouse craque dans le dernier quart d’heure

A un quart d’heure du terme de la rencontre, le TFC pensait alors tenir un précieux succès. C’était sans compter sur la réaction immédiate des Lyonnais, initiée par Moussa Dembélé qui réduit rapidement le score (75e, 2-1). Les hommes de Bruno Génésio continuent de pousser et finissent par faire craquer les Violets. Nabil Fékir enroule parfaitement un coup-franc dans les buts d’un Baptiste Reynet pas assez ferme sur son intervention (87e, 2-2). Le gardien toulousain effectuera tout de même un arrêt décisif en toute fin de match pour éviter une défaite cruelle à son équipe.

Toujours englué en milieu de tableau

Le TFC peut être frustré de concéder le match nul, alors qu’il semblait pouvoir s’imposer face au 4e du championnat. Mais la domination lyonnaise (16 occasions à 3) aura eu raison du pragmatisme toulousain. En ne prenant qu’un point, les Violets restent englués dans le ventre mou de la Ligue 1 (14e) avant de se déplacer à Nîmes, samedi 19 janvier 2019.

Des centaines de kilmomètres pour le concours de puzzle du Pallet

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Le concours de puzzle du Pallet se déroulera exceptionnellement sur deux jours cette année.

Le concours de puzzle du Pallet se déroulera exceptionnellement sur deux jours cette année. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

C’est complet depuis des semaines. La 25e édition du concours de puzzle du Pallet (Loire-Atlantique) attend 350 participants. Pour maintenir cette jauge habituelle et ne pas décevoir trop de candidats, la Banque humanitaire a organisé l’événement sur deux jours. Une première.

Lire aussi : Pour le concours de puzzle au Pallet, ils parcourent 600 km

« Les travaux de la salle des sports réduisant l’espace, nous proposons deux après-midi avec 175 joueurs, au lieu d’une affluence totale le dimanche, » précise Jean-marie Roussière, un président qui a dû, en plus d’adapter ses dispositions, multiplier par deux les lots.

La manifestation attire de plus en plus. Deux signes : la cloture des inscriptions de plus en plus précoce et l’origine des joueurs. Cette année, ils viendront de 20 départements. Région parisienne, Normandie et même Occitanie seront des régions représentées.

« Un rêve d’enfant »

A l’instar de Michaelle Gion qui viendra de Roquefort dans les Landes. Pour la première fois. « Le puzzle c’est une passion qui remonte au collège. A cette époque, on en faisait plein. Jusqu’à 5000 pièces. Il y a toujours un placard rempli de boites chez mes parents, sourit la femme de 40 ans. Avec le temps cette activité s’est estompée. Puis l’an passé, je m’y suis remise. Et comme j’ai toujours rêvé de participer à un concours, j’ai cherché sur Internet : l’un des plus près était celui de Loire-Atlantique. Il y en a très peu en fait et je pense beaucoup de mordus ». Celui du Pallet se disputant en duo, elle a convaincu une ancienne amie de la fac, passionnée comme elle, de l’accompagner. « Elle viendra d’Orléans. C’est vrai que cela fait aussi des kilomètres », indique-t-elle. Environ 300. Pour la fonctionnaire, ce sera aussi l’occasion de venir voir une famille résidant dans le secteur d’Aigrefeuille-sur-Maine.

Lire également : Chez les Roinssard, le puzzle se transmet de mère en fille

Le Pallet, « c’est le rendez-vous à ne pas manquer » pour Elodie Nauleau. La jeune femme de 27 ans qui habite Taverny (Val d’Oise) y participe depuis une douzaine d’années. A l’époque, elle vivait chez ses parents dans le secteur de Challans (Vendée).

« Un rituel »

« C’est moins que ma soeur jumelle qui a commencé à participer au concours à l’âge de 10 ans et qui s’est mesurée à celui des 1000 pièces« , lance celle qui désormais est son binôme. Pour la technicienne d’études cliniques, c’est la seule fois dans l’année où elle fait un puzzle. Mais la rareté n’efface pas la performance, puisque le duo termine désormais régulièrement sur le podium. Un événement auquel elles emmènent parents et amis. « C’est un rituel. C’est d’autant plus un plaisir de nous y rendre que c’est très bien organisé ».

D’autres viendront de la région toulousaine et même du Tarn. Comme la famille de Luna, 15 ans. Cette adolescente, atteinte du syndrome de Prader-Willy, maladie génétique rare, qui se traduit par une hypotonie sévère (baisse du tonus musculaire) et des troubles du comportement (discours en boucle, répétitions, crises liées à l’anxiété), s’est prise de passion pour le puzzle.

Cette activité lui permet de canaliser ses émotions, d’optimiser sa concentration et de développer la motricité fine.

Enfin, certains rallieront les bords de Sèvre en provenance de l’Orne. Bref, de quoi donner une envergure nationale au concours.


A la Une du Républicain du 17 janvier : "Mon mari baignait dans le sang"

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Olivier, au sol, après avoir reçu un projectile des forces de l'ordre, samedi 12 janvier, lors de la manifestation des gilets jaunes, à Bordeaux (Gironde).

Olivier, au sol, après avoir reçu un projectile des forces de l’ordre, samedi 12 janvier, lors de la manifestation des gilets jaunes, à Bordeaux (Gironde). (©©capture d’écran / vidéo Twitter @Steph_Roy_)

Cette semaine, Le Républicain Sud-Gironde consacre sa Une, à Olivier. Ce sapeur-pompier volontaire, originaire de Bazas (Gironde), manifestait à Bordeaux avec les gilets jaunes quand il a été touché par un projectile des forces de l’ordre, samedi 12 janvier.

Opéré d’urgence au CHU de Pellegrin, le quadragénaire a été, dans la foulée, plongé dans un coma artificiel. Son épouse, Cindy, se confie au Républicain.

Pour vous procurer l’édition numérique du Républicain Sud-Girondecliquez ici

La Une du Républicain Sud-Gironde

La Une du Républicain Sud-Gironde (©Le Républicain)

Un pervers à Podensac 

Autre sujet à la Une du Républicain Sud-Gironde : le témoignage d’un père de famille de Podensac. Sa fille, âgée de 11 ans, a été abordée par un inconnu, près de son établissement scolaire.

L’homme serait même sorti de sa voiture pour essayer de convaincre l’enfant.

Un lifting pour le Cercle de l’Avenir, à Bazas

Alain Lamigeon, le trésorier du Cercle de l'Avenir, à Bazas, entouré des membres du Bœuf qui Rit.

Alain Lamigeon, le trésorier du Cercle de l’Avenir, à Bazas, entouré des membres du Bœuf qui Rit. (©Le Républicain)

Plus réjouissant : les travaux au Cercle de l’Avenir, à Bazas. Durant l’hiver, ce lieu mythique, où sévit la célèbre peña Le Bœuf Qui Rit, s’est offert un joli lifting. 

Deux accidents de la route dans le secteur d'Aigrefeuille-sur-Maine

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Pas de blessés mais de grosses frayeurs.

Pas de blessés mais de grosses frayeurs. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

Deux accidents de la circulation sont survenus ce mercredi 16 janvier dans l’après-midi.

Vers 16h, au giratoire du Gros Cailloux, au Bignon, trois véhicules, dont un poids lourd, sont entrés en collision, dans des circonstances qui restent à déterminer par la gendarmerie. Pas de blessés mais deux enfants très choqués. 

Sortie de route

Trois quarts d’heure plus tard, c’est une voiture qui a effectué une sortie de route, à la sortie d’un virage, vers le village de la Morinière à Vieillevigne. Le conducteur, âgé de 45 ans, est sorti indemne mais secoué de l’accident.

Val-d’Oise. Hospitalisée après une chute de cheval à Chaumontel

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Les pompiers ont transporté la victime au centre hospitalier de Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise).

Les pompiers ont transporté la victime au centre hospitalier de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise). (©Illustration Actu.fr)

Ce mercredi 16 janvier, les pompiers sont intervenus au poney club du bois de la Noue, à Chaumontel (Val-d’Oise) à la suite d’une chute de cheval d’une jeune femme de 18 ans.

L’accident est survenu peu avant 18h15 dans des conditions qui n’ont pas été précisées.

La victime a été transportée en urgence absolue au centre hospitalier de Beaumont-sur-Oise.

Un nouveau bar généraliste près du port de Caen avec Papa Jerry

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Etienne et Frédéric ont profité de leur expérience et de leur amitié pour lancer leur bar, Papa Jerry, près du port de Caen (Calvados) en ce début d’année 2019. (©DR)

Et voilà que Papa Jerry remplace le Wellington dan le centre-ville de Caen (Calvados) ! Après avoir travaillé neuf ans ensemble au London Café qui a fermé au deuxième semestre 2018, Etienne et Frédéric ont décidé de construire leur propre aventure. Côté ambiance, un parfum des année 50, flotte dans l’air.

Belle carte de cocktails

Pour « ne pas se fermer à des spécialités », les deux amis proposent à la fois boissons softs, vins, bières et une carte d’une quarantaine de cocktails. Une offre snack est également à venir. Idéal pour une soirée entre amis, ou en couple, dans une ambiance plus intime à l’étage. On pourrait même se croire dans le salon de l’appartement d’un pote.

LIRE AUSSI : À Caen, le magasin de fourrures Verhaque arrête son activité faute de main d’oeuvre qualifiée

Pratique. Papa Jerry. 6-8 rue de Bernières. Du lundi au dimanche de 16h à 1h. 02 61 92 04 26.

Cour d'assises du Lot. L'agriculteur de Gorses assure avoir tué sa femme « pour protéger ses enfants » !

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Le président de la cour d'assises (en robe rouge) Cyril Vidalie, entouré de ses deux assesseurs ; à gauche William Delamarre et à droite Mickaël Touche.

Le président de la cour d’assises (en robe rouge) Cyril Vidalie, entouré de ses deux assesseurs ; à gauche William Delamarre et à droite Mickaël Touche.

Mercredi 16 janvier 2019 s’est ouvert l’audience de la cour d’assises du Lot devant laquelle comparaît jusqu’à vendredi 18 janvier, Jean-Paul Gouzou, accusé d’avoir « avec préméditation, volontairement donné la mort » à Djeneba Bamia, son épouse, 37 ans. Les faits reprochés lui font encourir une peine de réclusion criminelle à perpétuité.

Tuer sa femme : « la seule solution »

Dans un premier temps, Cyril Vidalie, président de la cour, présente les faits reprochés à l’accusé. Vendredi 3 mars 2017, aux alentours de 9 heures, au lieu-dit Le Theil, commune de Gorses, dans le haut Ségala, après avoir tué son épouse à l’aide d’un fusil de chasse, en tirant trois coups, Jean-Paul Gouzou appelle les gendarmes. Cet agriculteur à la retraite avait attendu l’arrivée de sa femme en voiture dans la cour de la ferme, alors qu’elle venait de déposer les enfants à l’école. Il s’était caché derrière un muret de pierres. Après qu’elle eût coupé le moteur de sa voiture, il donne un premier coup de fusil, se rapproche pour tirer une deuxième fois et contourne le véhicule pour un troisième coup de feu. Les débats vont apporter diverses précisions sur la scène de crime, qui feront l’objet de développements ultérieurs.

L’accusé indique aux gendarmes qu’il avait mûri son projet avant de prendre sa décision la veille du 3 mars et de faire ses valises pour son départ en prison. Le couple était en instance de divorce et Jean-Paul Gouzou faisait valoir qu’il supportait mal l’éloignement de ses trois enfants. L’accusé était opposé au départ de Mme Bamia au Mali où elle avait prévu de se rendre avec les enfants pour quelques jours. Par ailleurs, il est fait état de plusieurs plaintes et d’un rappel à la loi concernant M. Gouzou, pour violences conjugales.

« J’ai reconnu les faits, j’en suis malheureux, j’ai tué ma femme que j’aimais le plus au monde, j’ai tué la mère de mes enfants. Mais je ne pensais pas pouvoir faire autrement, car je savais qu’en allant au Mali, ils risquaient leur vie » tels sont les premiers mots de Jean-Paul Gouzou à la fin de la lecture de l’acte d’accusation.

Un homme instruit et engagé

Jean-Paul Gouzou est né à Gorses en 1950. Après l’école communale, il poursuit sa scolarité dans le Cantal. Le bac en poche, il intègre l’école d’ingénieur agronome de Purpan pour trois ans, avant de reprendre l’exploitation familiale. Il est commandant de réserve dans la gendarmerie. Il se marie une première fois en 1982 et sera le père d’une fille. Le couple se sépare dans un premier temps avant de renouer pour une période d’une quinzaine d’années, jusqu’à la rupture définitive. Dans le même temps, Jean-Paul Gouzou se voit confier des responsabilités syndicales qui vont le conduire au Mali, en vue de l’organisation d’une filière interprofessionnelle bovine. C’est à l’occasion de ces déplacements qu’il fait la connaissance de Djeneba Bamia, exerçant la profession d’agent vétérinaire. L’accusé indique avoir envisagé de s’installer au Mali. Le mariage religieux à lieu au Mali dans la religion musulmane de Mme Bamia, alors que Jean-Paul Gouzou était en France. « Oui, oui, c’est bien comme cela que ça s’est passé ! » soutient l’accusé. Le couple se présentera ensuite devant le maire de Gorses en juillet 2008. Trois enfants naîtront de cette union, deux filles et un garçon. Djeneba suit une formation en vue de devenir chef de l’exploitation agricole en 2012, date à laquelle l’accusé fait valoir ses droits à la retraite.

Le couple aurait connu ses premières difficultés à partir de l’été 2015 et aurait fait chambre à part à partir de mars 2016, jusqu’à la séparation quelques mois après.

Le président Vidalie s’intéresse aux circonstances de ce mariage, alors que Djeneba Bamia est musulmane. « Mais comme j’étais très bien accepté par la belle famille, il n’y a pas eu de problème ! » assure M. Gouzou. Les enfants portent un prénom chrétien, suivi d’un prénom musulman et ont été baptisés dans la religion catholique.

La guerre au Mali et l’excision

L’accusé explique à maintes reprises durant cette première journée d’audience qu’il était opposé au départ de Mme Bamia au Mali avec ses enfants, précisément en raison du climat d’insécurité qui règne dans le pays depuis le coup d’État survenu en mars 2012. Il met aussi en avant sa crainte que ses deux filles puissent faire l’objet d’une excision ; une pratique courante dans la tribu dont est issue son épouse.

Une infirmière engagée dans une ONG pour la lutte contre l’excision au Mali et en France, affirme à la barre du tribunal que la pratique de l’excision reste un fléau dans ce pays et notamment dans la tribu à laquelle était rattachée la victime. Elle déclare : « Une enfant qui naît en France et qui arrive au Mali est considérée comme Malienne et va donc être excisée, car une fille non excisée ne pourra pas être mariée. » Ce témoin cité par la défense, termine sa déposition en déclarant « comprendre que Jean-Paul Gouzou ait cherché à empêcher ses enfants de se rendre au Mali. »

A l’issue de ce premier jour d’audience, l’interrogatoire musclé du président Vidalie, n’a guere ébranlé l’accusé, qui ne cesse de répéter avoir tué sa femme « pour protéger ses enfants ».

Jeudi 17 janvier les débats se poursuivent avec les expertises psychologiques et psychiatriques de l’accusé, les auditions des parties civiles et les plaidoiries. Se sont constituées parties civiles : la famille de la victime, le compagnon de la victime, la fédération nationale de solidarités femmes et l’UDAF du Lot administrateur ad hoc pour les trois enfants.

Vendredi sont programmés le réquisitoire de Frédéric Almendros avocat général, suivi des plaidoiries de la défense avec maître Edouard Martial et maître Sylvia Goudenege-Chauvin.

JEAN-CLAUDE BONNEMÈRE

Cherbourg : le bar eSport ouvrira en juin

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Le projet se concrétise à Cherbourg.

Le projet se concrétise à Cherbourg. (©Facebook WarpZone Cherbourg)

Espérée pour le début d’année, l’ouverture du bar eSport de Cherbourg est désormais fixée à juin 2019. « Cette fois, c’est sûr ! », souligne Antoine Dieu, qui mène ce projet depuis plusieurs mois.

MAD

Une simple formalité administrative [..]Voici un rapide aperçu de nos derniéres semaines, mais tout comme nos amis à moustache, nous avons franchis une nouvelle étape et sommes désormais en mesure de vous annoncer une date d'ouverture !!!Le WarpZone Cherbourg ouvrira officiellement ses portes en JUIN 2019 !!! Et oui !! Il vous faudra être encore patients, mais nous avons de quoi satisfaire vos appétits d'ogre et vous tenir en haleine !!Continuez de nous suivre, le plus croustillant est à venir ..

Publiée par WarpZone Cherbourg sur Lundi 14 janvier 2019

Franchisé par Warpzone, qui possède des bars eSport à Caen et Rennes, l’établissement, qui se trouvera dans le centre-ville de Cherbourg, promet six postes d’ordinateur, cinq postes de console et une borne d’arcade, ainsi que des jeux de société.

Et il sera également possible de s’y restaurer.

A lire aussi : Etablissement historique de Cherbourg, le Fifty’s va fermer ses portes

Un marin blessé au large de l’île d’Ouessant hélitreuillé à Brest

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Un marin géorgien a été évacué du tanker CForce par l’hélicoptère Caïman de la de la Marine nationale mercredi 16 janvier 2019

Un marin géorgien a été évacué du tanker CForce par l’hélicoptère Caïman de la de la Marine nationale mercredi 16 janvier 2019 (© Marine nationale ).

Mercredi 16 janvier 2019, le Cross (Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage) Corsen a été alerté qu’un marin était blessé à bord du tanker CForce, au large de l’île d’Ouessant dans le Finistère.

Tranporté à la Cavale-Blanche

Il a dépêché, vers 18h40, l’hélicoptère Caïman de la de la Marine nationale sur zone, à 25 milles nautiques (46 km) sud-ouest d’Ouessant, qui a  hélitreuillé le marin géorgien blessé à la main. 

Le marin a été transporté à l’hôpital de la Cavale-Blanche à Brest où il a été pris en charge vers 19h50.

 


Gironde : un camion transportant des bouteilles d'huile heurte la glissière de sécurité sur l'A62 à Pondaurat

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Un camion transportants des bouteilles d'huile a renversé son chargement sur la chaussée de l'autouroute A 62 à Pondaurat (Gironde).

Un camion transportant des bouteilles d’huile a renversé son chargement sur la chaussée de l’autouroute A62 à Pondaurat (Gironde). (©Le Républicain Sud-Gironde – Illustration)

Vers 16h ce jeudi 17 janvier, le chauffeur d’un poids lourd transportant des bouteilles d’huile a perdu le contrôle sur l’autoroute A62, au niveau de la commune de Pondaurat (Gironde), dans le sens Bordeaux-Toulouse.

Le camion a heurté la glissière de sécurité centrale et a perdu son chargement de bouteilles d’huile.

Il a pu s’arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence.

A lire aussi : Un hélicoptère de la gendarmerie survole Langon pour retrouver une personne disparue

D’importants dégâts matériels

Le conducteur n’est pas blessé mais les dégâts matériels sont importants.

Vinci Autoroutes précise que :

La circulation s’effectue ce jeudi soir sur une seule voie dans les deux sens de circulation »

Des travaux de réparation de la glissière de sécurité centrale vont être effectués dans la soirée par les équipes de Vinci Autoroutes.

A lire aussi : Gironde : un cycliste de 18 ans meurt percuté par un camion

La plus grande prudence est recommandée aux usagers de l’A62 entre Marmande et Langon.

SNCF. Voici ce que vous réserve l’offre TGV InOui déployée sur l'axe Lille-Paris

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L'offre TGV inOui a été lancée jeudi 17 janvier 2019 sur l'axe Lille-Paris.

L’offre TGV inOui a été lancée jeudi 17 janvier 2019 sur l’axe Lille-Paris. (©Illustration / Wikipedia)

Il y a du nouveau pour la ligne TGV Lille-Paris. Jeudi 17 janvier 2019, la SNCF a mis en place sa nouvelle offre TGV inOui. Déjà déployée sur les lignes entre Paris et Bordeaux, Strasbourg, Nancy, Metz, Lyon et Toulouse, la marque s’installe donc sur l’axe Nord avec 70 % des rames équipées et rénovées. D’ici fin 2019, la totalité des trains grande vitesse circulant sur la ligne Lille-Paris correspondront aux nouveaux standards : plus de confort, plus de connectivité et plus de services.

Pour la SNCF, qui souhaite marquer la différence avec son offre low-cost Ouigo, TGV inOui représente un « investissement historique d’1,5 milliards d’euros » pour acquérir de nouvelles rames et rénover celles déjà existantes. Pour l’axe Nord, 15 millions d’euros ont déjà été dépensés. Et en 2019  s’ajouteront 6,5 millions d’euros pour rénover les rames circulant entre Bruxelles, Lille et le sud-est de la France.

Des trains plus beaux et plus propres

Mais à quoi peut-on s’attendre dans les nouvelles rames TGV inOui ? Au final, pas de grande révolution mais une multitude d’améliorations pour « réinventer le temps de trajet des voyageurs et leur créer une bulle de confort », selon les mots de Tanguy Cotte-Martinon, directeur de TGV Nord, présent à la gare Lille Flandres jeudi pour expliquer ce nouveau concept.

A l’extérieur, le gris et le bleu laissent leur place au blanc et au rose. Une fois à bord, pas de changement de couleur. SNCF a souhaité garder l’identité de ses rames et a simplement rafraîchi les moquettes et tissus. Un travail a été fait sur les éclairages et le confort des sièges, dans le but de recréer cette fameuse « bulle de confort ».

L'intérieur des rames 1ère classe TGV inOui.

L’intérieur des rames 1ère classe TGV inOui. (©Hervine Mahaud / Lille Actu)

Un autre aspect non négligeable est l’ajout de prises électriques : une pour chaque siège en 1ère classe et d’une prise électrique pour deux sièges en 2nde classe.

Dans sa volonté de monter en gamme, la SNCF a également porté une attention toute particulière à la propreté des TGV inOui.

On a énormément travaillé sur cet aspect. De la part de nos clients, il y a une attente à ce que les rames restent irréprochables. Donc dès la semaine prochaine, on aura du personnel de nettoyage qui passera dans toutes les rames pour vider les poubelles, débarrasser les tablettes pendant le trajet », explique Tanguy Cotte-Martinon.

Wifi illimité et haut niveau de service

Avec cette nouvelle offre, tous les voyageurs disposent désormais d’une connexion Wifi gratuite et illimitée. Mais, à moins que le taux de remplissage soit très bas, le visionnage de vidéos, sur YouTube par exemple, sera très limité.

Avec un train qui circule en moyenne à 300 km/h, on a une connexion largement suffisante pour les usages professionnels »,assure de son côté Olivier Chalard, responsable du service Wifi TGV inOui.

Enfin, qui dit montée en gamme dit usager chouchouté. SNCF a souhaité mettre la barre très haut concernant la relation clients. En tout, 8000 collaborateurs, dont 1000 dans la région Hauts-de-France, ont été formés aux nouveaux standards inOui. Depuis l’embarquement à quai jusqu’à l’arrivée en gare, tout est fait pour que le client vive une « expérience de voyage positive ».

Et malgré toutes ces nouveautés, SNCF l’assure : il n’y aura pas d’augmentation de prix

Nous souhaitons vraiment démocratiser la grande vitesse. Depuis plusieurs années, le prix des billets baisse. Pour l’axe Lille-Paris, on pratique des prix vraiment canons à partir de 25 euros. Aujourd’hui, 35% de nos clients voyagent à 29 euros. Il faut juste parfois faire des concessions sur les horaires », indique le directeur de TGV Nord.

Pour savoir si votre prochain voyage se fera à bord d’un TGV inOui, vérifiez bien que le logo « TGV INOUI » est présent, comme ci-dessous.

Les TGV inOui sont déjà déployés sur l'axe Lille-Paris

Les TGV inOui sont déjà déployés sur l’axe Lille-Paris (©Capture www.oui.sncf)

Racing 92. Fin de carrière pour Pat Lambie ?

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Le Racingman Pat Lambie pourrait mettre prochainement un terme à sa carrière.

Le Racingman Pat Lambie pourrait mettre prochainement un terme à sa carrière. (©Icon Sport)

Pat Lambie s’inquiète sérieusement pour sa santé. L’ouvreur ou arrière du Racing 92 se poserait beaucoup de questions après avoir été victime de plusieurs commotions cérébrales. A tel point qu’il envisagerait de mettre un terme à sa carrière avec effet immédiat comme le rapporte Midi Olympique.

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Le Sud-Africain a repris l’entraînement il y a peu, pointant à l’infirmerie depuis mai dernier et une rupture des ligaments croisés d’un genou. Durant sa convalescence, il a consulté des neurologues, lui qui a subi deux commotions cérébrales très sérieuses avant de rejoindre le Racing 92 à l’automne 2017. Lambie avait été écarté des terrains quasiment pendant un an.

Un avis médical demandé ?

Depuis qu’il est arrivé en France, le Sud-Africain n’a plus subi de commotions. Mais il se ressentirait encore des précédents chocs subis en Afrique du Sud. Inquiet, il aurait évoqué sa situation auprès de ses deux entraîneurs Laurent Labit et Laurent Travers.

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A ce jour, aucune décision n’a été arrêtée. Il était prévu par le staff du Racing 92 de relancer Pat Lambie lors du déplacement à Lyon le 26 janvier prochain. Les doutes sont de plus en plus nombreux. Un avis médical devrait être demandé. La direction du club francilien serait, elle, en train d’étudier la possibilité de lui trouver un remplaçant. 

La Sarthe, la Mayenne et le Maine et Loire en vigilance jaune en raison de risques de verglas

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Attention cette nuit sur les routes.

Attention cette nuit sur les routes. (©Presse de la Manche)

La Sarthe, mais aussi la Mayenne et le Maine et Loire ont été placés en vigilance jaune par Météo France en raison de risques de verglas, depuis 16 h ce jeudi 17 janvier 2019 jusqu’à la même heure vendredi 18 janvier.

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La pluie de la journée combinée au gel annoncé cette nuit risque de rendre nos routes glissantes.

Soyez vigilants si vous devez circuler. 

À Saint-Père-en-Retz, une manifestation contre le projet de Surf park

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Le 20 décembre, des manifestants s'étaient déjà invités lors d'une réunion de la communauté de communes Sud Estuaire, à Saint-Père-en-Retz.

Le 20 décembre, des manifestants s’étaient déjà invités lors d’une réunion de la communauté de communes Sud Estuaire, à Saint-Père-en-Retz. (©Le Courrier du pays de Retz)

Le collectif Terres communes annonce qu’il manifestera le jeudi 24 janvier 2019, à Saint-Père-en-Retz, lors des vœux de la communauté de communes Sud Estuaire (CCSE), à 19 h, devant les salles annexes de la mairie, à Saint-Père-en-Retz.

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Il veut exprimer son refus du projet de Surf park, une vague artificielle, prévu dans cette commune.

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Le collectif réclame « l’arrêt immédiat du projet, la modification du Plan local d’urbanisme intercommunal et une véritable démocratie directe sur le territoire ».

Il veut aussi « des projets d’installations paysannes, des jardins familiaux et collectifs et la préservation des zones boisées et naturelles ».

Une manifestation avait déjà eu lieu jeudi 20 décembre 2018, à Saint-Père-en-Retz, contre le projet de Surf park, lors d’une séance plénière du conseil de la communauté de commune Sud Estuaire.

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