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Bordeaux : un femme de 28 ans fauchée par un TER reliant Bordeaux à Arcachon

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Le drame s'est

Le drame s’est produit au niveau du cours de la Somme, à Bordeaux. (©GoogleStreet)

Le drame s’est produit ce mardi à 12h25 au niveau du pont enjambant le ballast, cours de la Somme, entre la rue Pierre-de-Ladime et l’allée Vignolles à Bordeaux (Gironde).

Une femme de 28 ans, qui se trouvait sur la voie ferrée reliant Bordeaux à Arcachon, a été mortellement fauchée par un Train Express Régional, rapporte Sud Ouest.

A lire aussi : une personne percutée par un train à Morcenx, une enquête ouverte

110 passagers évacués

On ignore pour l’instant les raisons de l’accident. Une enquête de police a été ouverte.

Au moment des faits, 110 passagers se trouvaient dans le TER. Ils ont tous été évacués vers la gare Saint-Jean, par bus.

Le trafic des trains a ensuite été perturbé un long moment cette après-midi.


Casino de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Gil Alma et Rachid Badouri, en "tête d'affiche" de cette saison 2019

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Gil Alma, samedi 11 mai, et Rachid Badouri, vendredi 22 mars.

Gil Alma, samedi 11 mai, et Rachid Badouri, vendredi 22 mars.

Depuis plus de 20 ans, le casino de Saint-Gilles-Croix-de-Vie rayonne sur le territoire. Plusieurs artistes s’y produiront en 2019, dont les célèbres Rachid Badouri, humoriste québécois d’origine marocaine, et Gil Alma, comédien de la série Nos Chers voisins.

Humour et magie

8 représentations sont programmées dans la salle de spectacle du casino jusqu’en octobre 2019, l’humour et la magie étant placés au cœur de cette programmation tous publics :

  • Samedi 19 janvier, 21h : Chérie, c’est qui le patron, théâtre d’humour, 12 €.
  • Samedi 9 février, 20h : Larsène, magicien, illusionniste et mentaliste, dîner spectacle, 39 €.
  • Vendredi 22 mars, 21h : one man show de Rachid Badouri, Rechargé, 35 €.
  • Vendredi 26 avril, 21h : Mars & Vénus, théâtre d’humour, 12 €.
  • Samedi 11 mai, 21h : one man show de Gil Alma, 100 % naturel, 35 €.
  • Samedi 29 juin, 20h : dîner spectacle et show sexy des Chippendales, 49 €.
  • Samedi 7 septembre, 21h : L’arnaqueuse, théâtre d’humour, 12 €.
  • Samedi 26 octobre, 21h : show de Cris William, transformiste et illusionniste, 15 €.

De la danse et des concerts

On pourra également danser toute l’année au casino, avec des soirées DJ organisées au bar tous les vendredis et les samedis de 22 h 30 à 3h (accès gratuit, consommation payante), sauf le 2e vendredi du mois, réservé à un concert live.

Le vendredi 11 janvier, rendez-vous avec le groupe Easy Pop Rock pour une soirée au rythme des plus grands tubes pop-rock, entre Supertramp, ZZ Top, Pink Floyd, The Doors, ACDC, Joe Cocker ou les Beatles.

Et le vendredi 8 février, c’est le groupe Fantastikha qui réchauffera l’ambiance hivernale avec de la musique antillaise.

 

Casino de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, 2 quai Garcie Ferrande. Plus d’informations sur www.casinosaintgillescroixdevie.com et réservations au 02 51 60 03 04.

Toulouse : ces chercheurs font partie des personnalités les plus influentes au monde

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L'économiste Jean Tirole, Prix Nobel 2014, fait partie des Toulousains les plus influents dans le monde de la recherche selon Clarivate Analytics.

L’économiste Jean Tirole, Prix Nobel 2014, fait partie des Toulousains les plus influents dans le monde de la recherche selon Clarivate Analytics. © Flickr

Comme le classement de Shanghai pour les universités dans le monde ou le Guide Michelin pour les restaurants, en France, Clarivate Analytics est le palmarès international qui fait autorité dans le domaine de la recherche. Et la dernière mouture met largement Toulouse à l’honneur.

Ce cabinet d’étude et de conseil pour l’information scientifique s’est basée sur les données de publications et de citations de « Web of science », une base de données mondiale, pour identifier les chercheurs influents dans leur domaine de compétences. Et ce, sur la période 2006-2016.

Jean Tirole et Bruno Vellas en chefs de file

Huit chercheurs toulousains figurent dans ce palmarès. Deux noms connus apparaissent : il s’agit de Jean Tirole, l’économiste de la Toulouse School of economics (TSE) et Prix Nobel 2014, et Bruno Vellas, chef du pôle gériatrie au CHU de Toulouse. 

LIRE AUSSI : « CHU nouvelle génération » sur le vieillissement : la candidature de Toulouse (encore) rejetée

Six autres personnalités ont été distinguées par Clarivate Analytics : Guillaume Bécard (professeur de biologie à l’université Paul-Sabatier), Jean Ferrières (professeur au laboratoire d’épidémiologie et analyses en santé publique, le LEASP, à Paul-Sabatier), Yves Rolland (professeur au LEASP à Paul-Sabatier), Patrice Simon (professeur en sciences de matériaux à Paul-Sabatier), Jérôme Chave (chercheur en écologie à Paul-Sabatier) et Pierre-Louis Taberna (chercheur en ingénierie des matériaux à Paul-Sabatier). 

Nouvelle distinction pour un chercheur

Pour Patrice Simon, il s’agit d’une distinction supplémentaire après avoir été couronné « Lauréat de la citation 2018 », pour ses travaux sur « le développement de matériaux carbonés pour le stockage capacitif de l’énergie et la compréhension des mécanismes de fonctionnement des supercondensateurs », précise l’université Paul-Sabatier.

Seine-et-Marne. Coup d'envoi des travaux d'électrification de la ligne P Paris-Provins-Troyes

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Les nouvelles rames Francilien qui entreront en service à partir de 2021. Le projet d'électrification, lui, est estimé à 320 millions d'euros

Les nouvelles rames Francilien qui entreront en service à partir de 2021. Le projet d’électrification, lui, est estimé à 320 millions d’euros

« On en parle depuis une trentaine d’années », rappelle Charlène Vella, administratrice du Collectif des usagers de la Ligne P. Véritable serpent de mer, l’électrification totale de la branche Paris-Provins-Troyes est enfin en train de devenir réalité.

Mercredi 2 janvier, les travaux ont officiellement débuté à Gretz-Armainvilliers et dureront jusqu’en juin 2021, pour une mise en circulation des nouveaux trains prévue en septembre de la même année.

 A lire aussi : En attendant l’État, Régions et Départements vont financer l’électrification de la Ligne P

« L’objectif est d’apporter une plus grande fiabilité à nos usagers en améliorer la ponctualité des trains, qui seront également plus modernes et performants (voir encadré), explique la SNCF Réseau. Cela va également favoriser le développement territorial et économique via une qualité de desserte optimisée et une diminution des émissions de gaz à effet de serre. »

Des modifications de circulation à prévoir

L’électrification de 77 km de double voie, de Gretz à Nogent-sur-Seine, et de 7 km de voie unique entre Longueville et Provins, durera jusqu’en juin 2021. Il s’agit de la seule portion de la ligne à ne pas l’être encore totalement puisque jusqu’à présent, les AGC bi-mode passaient d’une alimentation électrique à une alimentation diesel au niveau de Gretz-Armainvilliers.

Pour réaliser ces travaux, la SNCF annonce des modifications de circulation. Du 2 janvier 2019 à juin 2021, les deux derniers Paris ? Provins (21 h 46 et 22 h 46 au départ de Paris, 20 h 46 et 21 h 46 au départ de Provins) sont supprimés.

Le trafic sera également interrompu sur l’axe Paris-Provins les week-ends du 12-14 juillet 2019, du 15-18 août 2019, et du 12-13 septembre 2020 ; et entre les gares de Nangis et Provins du 15 juillet au 23 août 2019.

A lire aussi : Ligne P (branche nord) : Aucun train de circulera samedi 19 et dimanche 20 janvier

À cette occasion, le tunnel des « Bouchots », situé entre les gares de Nangis et de Longueville, sera démoli pour être remplacé par un ouvrage à ciel ouvert. Les trains auront pour origine et terminus la gare de Nangis où des bus de substitution seront mis en place, dont un direct vers Provins.

« L’électrification est une chose, mais les conditions de transport en sont une autre. Le nombre des usagers ne cesse d’augmenter et il va aussi falloir en tenir compte », précise néanmoins Charlène Vella, qui emprunte la ligne depuis 2009 pour se rendre de Mormant à Paris.

Quant aux désagréments causés par les travaux : « Le soir, les conditions sont déjà catastrophiques en temps normal. Là, avec la suppression des deux derniers trains, ça va être très compliqué, d’autant que les bus rallongent le temps de trajet d’1 h à 1 h 30. » Avant de conclure, lucide : « Maintenant, avec du recul, je ne pense pas qu’il aurait été possible de faire autrement. »

 

18 nouvelles rames commandées
Le 30 juillet dernier, l’entreprise Bombardier a annoncé la construction de 18 rames dernier cri version longue (Francilien), soit l’équivalent 144 voitures, destinées à entrer en service sur la Ligne P après l’électrification totale de la branche provinoise.
Elles seront équipées de prises USB, de nouvelles barres de maintien, de grands écrans facilitant les informations voyageurs, et pourront accueillir 1 000 voyageurs grâce à de larges sièges, de vastes plateformes d’accès et de grandes portes afin notamment d’accroître la rapidité des flux de voyageurs.

Basket – Nationale 3 Féminine. Ifs fait le boulot, La Glacerie en danger

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Assa Kanouté termine une nouvelle fois meilleure scoreuse de son équipe.

Assa Kanouté termine une nouvelle fois meilleure scoreuse de son équipe. (©Aline Chatel)

 

Face à la lanterne rouge, Ifs a fait ce qu’il fallait faire

CB IFS 60 – 34 C’CHARTRES BASKET FÉMININ

[17-5, 7-2 (24-7), 16-10 (40-17), 20-17]

Reprendre la saison à domicile face au dernier de la poule n’ayant toujours pas remporté le moindre match et se déplaçant en effectif réduit… on a vu plus compliqué comme reprise. Mais Max Cosnefroy préfère rester prudent : « On se méfie quand même car, là-bas, on s’était fait un peu piéger, et puis c’est un match de reprise. » Les Ifoises démarrent la rencontre avec la volonté de mettre du rythme et surtout de dominer physiquement : « En face, c’est un peu frêle et pas très grand. » Le CBI prend rapidement le large, n’autorisant qu’un seul panier à Chartres sur le premier quart-temps et s’appuyant sur le scoring d’Assa Kanouté et de Richard.

La défense locale reste quasi-hermétique sur le deuxième quart mais l’écart n’augmente pas plus que ça. La raison ? Une énorme maladresse : « On donne la balle où il faut, il y a de bons décalages. Le seul hic : beaucoup de maladresse. C’est un peu frustrant pour les filles mais au moins, on est dans les bonnes intentions. » Lors de la pause, l’entraîneur insiste sur le fait qu’il ne faut pas se relâcher malgré l’écart.

Le CB Ifs profite du passage au vestiaire pour retrouver de l’efficacité offensive : « Sur leur zone, on fait bien circuler la balle, on trouve des relations intérieure/intérieure, on a une séquence où on pique plusieurs ballons de suite car elles commencent à souffrir physiquement. » Si l’attaque va mieux, la défense n’est plus aussi efficace qu’en première période. Mais rien d’alarmant pour les Ifoises qui s’imposent facilement de 26 points : « On a eu le bon comportement, c’était important de repartir sur une dynamique de victoires. On a encore une marge de progression, ce n’était pas folichon mais on a fait le match qu’il fallait faire. » Dimanche, la réserve de la N1 affrontera Angers, deuxième de la poule mais que le CBI avait battu en début de saison.

Marque CBI : C. Seigneurie 7pts, L. Ovieve 2pts, D. Kanouté 2pts, O. Galouon 2pts, C. Delauné David , M. Arnoux 6pts, A. Kanouté 17pts, C. Richard 14pts, L. Pannetier 10pts

Marque C’CBF : N. Bernard 13pts, L. Marquer , A. Ahne 6pts, N. Diaby 10pts, K. Mounthault 2pts, L. Kantapareddy , M. Tasset 3pts

 


Les autres résultats bas-normands :

La Glacerie réussit l’introduction et la conclusion mais rate totalement le développement

CLUB SPORTIF GRAVENCHONNAIS 69 – 46 US LA GLACERIE

[14-17, 19-6 (33-23), 20-4 (53-27), 16-19]

Damien Lamotte (COACH USLG) : « Match où on était huit. Premier quart réussi, on est dans l’intensité défensive et on pique des ballons. Malheureusement, dès l’entame du deuxième quart, on baisse le pied défensivement, Gravenchon prend des tirs sans contestation de notre part. La deuxième mi-temps se passe à peu près de la même manière que le deuxième quart, les filles semblaient fatiguées de la reprise. Défaite logique. Prochain match face à Lamboisières, on est obligé de le prendre. »

Marque CSG : S. Caillot 8pts, M. Guillois 5pts, M. Devaux 2pts, M. Saillot 10pts, N. Vannier 6pts, T. Diagne 7pts, E. Maignan 3pts, M. Ponsar 18pts, P. Cantois 10pts

Marque USLG : J. Wallez 2pts, C. Dréan , J. Nord 2pts, J. Betton 6pts, I. Gnahore 11pts, F. Sorel 7pts, J. Cossais 13pts, H. Nagy 5pts

 


CLASSEMENT POULE E

Les équipes terminant aux deux premières places de la poule se qualifient pour le prochain tour.

Les équipes terminant aux deux premières places de la poule se qualifient pour le prochain tour. (©Sport à Caen)

 

TOP 5 SCOREUSES BAS-NORMANDES 12ème journée :

CLASS

JOUEUSES

POINTS

1

A. Kanouté (CBI)

17pts

2

C. Richard (CBI)

14pts

3

J. Cossais (USLG)

13pts

4

I. Gnahore (USLG)

11pts

5

L. Pannetier (CBI)

10pts

 

Les autres résultats :
LAMBOISIERES MARTIN 60 – 47 LE MANS SAINT PAVIN
VERSAILLES 59 – 44 LE HAVRE
PACÉ 61 – 47 PALAISEAU
AVRILLÉ 38 – 45 ANGERS

Au Mans, des gilets jaunes s'invitent à la mairie et rencontrent Stéphane Le Foll

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Stéphane Le Foll s'est retrouvé face à une dizaine de gilets jaunes ce mardi 15 janvier 2019.

Stéphane Le Foll s’est retrouvé face à une dizaine de gilets jaunes ce mardi 15 janvier 2019. (©Les Nouvelles de Sablé)

Des gilets jaunes sont parvenus à entrer dans la mairie et à s’inviter à une conférence de Stéphane Le Foll, au Mans, ce mardi 15 janvier 2019

Des gilets jaunes à la porte de la mairie ?

« Ce sont des employés des espaces verts » répond l’agent d’accueil de l’hôtel de ville. C’est vrai, des agents municipaux sont en intervention tous vêtus de jaune fluo devant la maison commune ce mardi 15 janvier, sur les coups de 14 heures.

Ce qui est très fort c’est qu’une poignée de « vrais » gilets jaunes vont réussir à s’infiltrer un peu incognito à la conférence de presse donnée par le maire pour présenter un projet culturel d’envergure.

LIRE AUSSI. Gilets jaunes. Un réunion à Sablé pour en savoir plus sur la marche ultra-pacifique du 19 janvier

Il faut dire que eux n’avaient pas revêtu leur signe distinctif…

Avant que la conférence ne débute, Thierry, l’une des figures des gilets jaunes en Sarthe aborde Stéphane Le Foll pour lui demander de les recevoir. Le maire accepte à condition qu’ils ne perturbent pas le bon déroulement de la présentation.

Le maire prêt à aider

Sitôt la conférence de presse achevée, les manifestants ont revêtu leur gilet jaune et ont rencontré le maire dans l’ancienne salle du conseil municipal. Ils ont souhaité que les médias assistent à la rencontre pour montrer leur non-hostilité à l’égard des journalistes.

Les questions vont bon train. Une femme demande à ce que le maire intervienne auprès du préfet pour exiger moins d’agressivité de la part des forces de l’ordre.

Je ferais passer le message ».

Un local à disposition des gilets jaunes ? 

Ce que l’on peut retenir de cette entrevue, c’est que Stéphane Le Foll se dit prêt à mettre à disposition un local qui pourrait devenir un QG.

Et alors que l’on parle beaucoup du grand débat national, le maire est prêt à mettre à disposition les outils nécessaires pour recueillir les doléances.

Ce pourrait être des urnes ».

Manifestation au Mans ce samedi 19 janvier

Les échanges se sont poursuivi dans le calme.

Les manifestants annoncent qu’une nouvelle manifestation aura lieu ce samedi 19 janvier 2019 avec un point de rassemblement à 11 heures devant la gare du Mans.

LIRE AUSSI. Sarthe. Des escrocs inventent de faux accidents de voiture pour soutirer de l’argent

Le cortège pourrait alors se diriger vers le centre commercial des Fontenelles, à l’est de la ville.

« J’ai été ministre de l’agriculture, je connais bien les manifestations »

Hostile à toute action violente mais ouvert à la discussion, au débat et au droit de manifestation, Stéphane Le Foll a conclu avec un brin d’ironie :

Vous savez j’ai été ministre de l’Agriculture et je connais bien les manifestations. J’en ai même eu une devant chez moi un dimanche soir ! »

Toulouse : le Stade Toulousain lance son escape game mobile avec deux énigmes autour du club

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Le Stade Toulousain lance son escape game avec deux énigmes autour du club.

Le Stade Toulousain lance son escape game avec deux énigmes autour du club. (©Stade Toulousain)

Le marché de l’escape game poursuit son expansion à Toulouse. Et cette fois, c’est le Stade Toulousain qui se lance dans le domaine. C’est le premier club de rugby à proposer une telle expérience. Avec plusieurs particularités…

Lancement contre Bath

Dimanche 20 janvier 2019, les supporteurs des Rouge et Noir ne feront pas que pousser derrière les joueurs d’Ugo Mola face à Bath (Angleterre) pour décrocher la qualification en quart de finale de Champions Cup. Non, ils pourront également tester la toute dernière expérience créée par le club : un escape game version Stade Toulousain.

Dans le vestiaire ou le bureau du président

Des équipes de 2 à 8 joueurs sont attendues pour tenter de résoudre deux énigmes de 40 minutes : la première, et elle sera de circonstance avec le match, concerne « une rencontre à domicile capitale [qui] débute dans 1h40. » Les joueurs doivent retrouver le nom des quinze rugbymen qui débuteront la rencontre et transmettre la feuille de match à l’arbitre. Pour découvrir le XV de départ, plusieurs indices ont été disséminés dans le vestiaire…

La deuxième épreuve emmène les participants dans le bureau de Didier Lacroix. Le président du club doit faire signer une prolongation de contrat à « l’un des joueurs emblématiques de l’équipe. » L’objectif est alors de trouver le contrat et les annexes, avant le début du rendez-vous, pour ne pas compromettre la signature.

Un escape game mobile

L’autre originalité, en plus des thèmes 100 % rugby, est la mobilité de l’expérience. En effet, l’escape game se compose de plusieurs tentes de 5x5m. Installées et ouvertes lors des matches au stade Ernest-Wallon, elles pourront être emmenées sur divers lieux (entreprises, clubs, associations…). Toutefois, le Stade Toulousain a d’ores et déjà annoncé que l’escape game sera présent lors de tous les matches à domicile d’ici la fin de la saison.

Tarifs dégressifs

Les premières séances seront possibles deux heures avant le coup d’envoi des rencontres (soit 3 créneaux par énigme). Des créneaux supplémentaires seront ajoutés après les matchs selon l’heure de fin de la rencontre. Par ailleurs, lorsque le Stade Toulousain jouera le dimanche, l’escape game sera accessible le samedi à Ernest-Wallon.

Côté tarifs, ces derniers sont dégressifs en fonction du nombre de personnes (31€/ personne pour un groupe de 3, contre 21€/ personne pour un groupe de 8). Les réservations se font sur internet.

Infos pratiques :
Escape game Stade Toulousain
A partir du dimanche 20 janvier 2019
Stade Ernest-Wallon à Toulouse
Tarifs entre 21€ et 31€
escapegame.stadetoulousain.fr

Lille. Happy Vet, un cabinet vétérinaire solidaire qui veut faire des petits

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Un cabinet de vétérinaire dont la salle d’attente ne désemplit pas, qui propose de l’ostéopathie et de la communication animale une fois par mois, qui ne prend que sur rendez-vous. Nous voilà chez Happy Vet à Lille (Nord), cabinet fondé voilà deux ans par la dynamique Karine Massé. Dynamique et inspirée, car la jeune femme a lancé un concept unique en France : ses clients sont principalement des personnes à faible revenu, dont des sans-abri.

D’un côté, des propriétaires n’ont pas toujours les moyens de bien s’occuper de leur animal. De l’autre, des vétérinaires ont envie de travailler autrement, stressés de leurs conditions de travail.

Cette lassitude devant la pression de l’argent, la relation avec le client, Karine Massé l’a vécue. Cela a d’ailleurs eu raison de son engagement : vétérinaire « classique » pendant 17 ans, elle a arrêté d’exercer pendant plusieurs années. Elle est devenue directrice commerciale dans des services aux vétérinaires.

Sans pression

Mais l’amour des animaux est le plus fort. « En 2016, j’ai lancé Happy Vet, le premier cabinet vétérinaire solidaire créé en France. J’ai retrouvé une pratique sans pression, je ne dois pas faire du chiffre, les gens comprennent que je fais de mon mieux… Et moi, de mon côté, je ne les juge pas. Une dame qui a 20 chats, je la prends comme elle est ! ».

Exemple de tarifs, après avoir fourni un justificatif de non-imposition : 30 à 35 € la stérilisation, soit 3 fois moins que d’ordinaire. Comment parvenir à un équilibre financier avec des tarifs aussi bas ?

D’abord, la vétérinaire accepte une rémunération « juste », mais moindre que dans un cabinet classique. Surtout, elle a choisi de ne pas investir dans du matériel onéreux à l’achat, et dont l’obligation de rentabilité alourdit les factures des clients.

Je me concentre sur des actes simples : vaccinations, stérilisations, auscultations générales. Mais ce n’est pas parce que les soins sont moins chers qu’ils sont low cost !, avertit la vétérinaire. La seule différence est que je n’ai pas de scanner, ni de radio. Il n’y a pas de course au diagnostic. »

Partenaire de maraudes

Les chiffres aussi sont impressionnants : le cabinet remplit plus de cent fiches nouveaux clients tous les 15 jours ! Le succès est au rendez-vous, ce qui explique l’attente pour les rendez-vous.

Karine Massé n’arrête pas là sa démarche solidaire. Elle a aussi créé l’association Vet Dispensaire, qui collecte les dons. Le but : fournir gratuitement aux animaux de la rue vermifuges, puçage, insectifuges…

Elle a reçu cet été un des 25 trophées 2018 de l’engagement, démarche portée par la Banque de France. Vet Dispensaire est partenaire des maraudes auprès des animaux de la rue, qui sont une création nordiste née en mars 2018.

A lire aussi : Lille. Les animaux sans domicile fixe ont aussi leur maraude

Créer d’autres cabinets solidaires

Deux ans après la création d’Happy Vet, Karine Massé a prouvé que c’était possible, et rentable. La preuve : le cabinet recherche actuellement un nouveau vétérinaire ! Karine Massé entame désormais une nouvelle étape : réinventer le métier en développer son concept.

On peut être vétérinaire autrement. Certains jeunes sortent de 7 ans d’études et ne veulent pas exercer ! D’autres abandonnent. Je veux qu’ils retrouvent leur rêve d’enfant ! ».

C’est pourquoi le docteur Massé a eu une idée : aider à l’installation des vétérinaires qui veulent exercer de manière solidaire. Happy Vet servira de cas d’école. « Nous sommes à l’écoute de ceux qui veulent connaître notre manière d’exercer. Nous partagerons notre modèle économique, notre organisation interne. Nous aiderons au financement tout cabinet qui s’inspirera de notre idéal ».

L’association Vet’Dispensaire aidera financièrement les vétérinaires intéressés.

Happy Vet reçoit tous les publics sur rendez-vous uniquement. Les personnes paient en fonction de leurs revenus. Happy Vet, 177 rue des Stations à Lille. Infos : 07 71 73 75 15. Voir le facebook. Le cabinet recrute un vétérinaire en CDI.
Faire un don : cliquer ici.


Trois Gilets jaunes interpellés près du Havre, à cause d'une statue injuriant la police

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Trois Gilets jaunes ont été interpellés, lundi 14 janvier 2019 près du Havre, pour outrage.

Trois Gilets jaunes ont été interpellés, lundi 14 janvier 2019 près du Havre, pour outrage. (©SL / 76actu / Illustration)

Il y a eu de l’agitation, parmi certains Gilets jaunes : dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 janvier 2019, trois militants du mouvement ont été interpellés à Gonfreville-l’Orcher, près du Havre (Seine-Maritime). Ils ont été arrêtés pour « outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Et non pour leur rôle supposé d’organisateurs de l’acte IX, qui s’est déroulé samedi 12 janvier. 

Interpellés pour outrage, pas pour organisation de l’acte IX

Dimanche 13 janvier, le premier acte s’est joué au rond-point des Huit-Fermes, lieu habituel de blocage des Gilets jaunes havrais. Des policiers qui s’y sont rendus ont noté la présence « d’un totem qui disait ACAB », note une source judiciaire. ACAB – All cops are bastards – est une insulte bien connue envers la police. Les policiers ont donc décidé de contrôler les identités des trois hommes présents aux abords du « totem mesurant deux mètres de large et avec des lettres hautes de 60 centimètres » ». 

Plus tard dans la nuit, vers 00h20, les trois hommes âgés de 27, 28 et 34 ans ont été arrêtés et mis en garde à vue pour « outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Il n’est pas établi qu’ils soient à l’origine du « totem », mais leur présence suffit « à les associer à ce qui est écrit », explique notre source. Avant leur interpellation, qui n’est pas liée à leur rôle dans le mouvement, le totem a été détruit. Au sujet de ces faits, les trois hommes seront convoqués en août 2019 devant le tribunal correctionnel du Havre.

Les interpellés de l’acte IX convoqués au tribunal

Tribunal qui devra aussi statuer sur 18 des 22 interpellés du samedi 12 janvier, lors de l’acte IX. Ils avaient été appréhendés pour « participation à un attroupement armé » pour la plupart, les armes étant les galets de la plage, où des heurts avec les forces de l’ordre ont éclaté. Une seule de ces affaires a été caractérisée de « violences volontaires ». Un cas concerne une rébellion et un autre une possession de stupéfiants. 

Quatre personnes n’ont pas été placées en garde à vue après avoir été interpellés. Deux hommes, équipés de casques et de masques sans pièce d’identité ont été emmenés pour une vérification d’identité, qui dure quatre heures. Une autre personne a été relâchée car l’infraction reprochée n’était pas caractérisée.

LIRE AUSSI : Acte IX des Gilets jaunes en Seine-Maritime : une deuxième partie de journée sous tension

Enfin, un dernier avait été pris en charge par les pompiers à cause d’une plaie au cou subie « au moment de la dispersion », explique une source judiciaire, mais dont l’origine exacte est inconnue. Juste avant, l’homme avait été filmé en train de jeter des galets sur les forces de l’ordre, accroché à une rambarde car trop ivre.

Amende de 135 euros, fichage... ces infox qui ont circulé chez les Gilets jaunes à Bourgtheroulde

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Plusieurs rumeurs concernant notamment une amende de 135 euros ont circulé parmi les Gilets jaunes venus à Grand Bourgtheroulde, qui accueillait Emmanuel Macron, mardi 15 janvier 2019.

Plusieurs rumeurs concernant notamment une amende de 135 euros ont circulé parmi les Gilets jaunes venus à Grand Bourgtheroulde (Eure), qui accueillait Emmanuel Macron, mardi 15 janvier 2019. (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

La venue d’Emmanuel Macron dans la commune de Grand Bourgtheroulde (Eure) pour le lancement du grand débat national s’est faite sous haute surveillance, mardi 15 janvier 2019. Durant la journée, plusieurs rumeurs et infox ont circulé concernant la façon dont les forces de l’ordre ont encadré les manifestants venus « accueillir » le président.

LIRE AUSSI : La première étape du grand débat national s’achève dans l’Eure : revivez notre direct

Pas d’amende de 135 euros pour port de gilet jaune

C’est certainement la rumeur qui a le plus fait réagir les internautes et manifestants sur place. Dans un tweet, la journaliste du Monde Aline Leclerc affirme que « les Gilets jaunes reçoivent l’ordre de retirer leur filet sous peine de 135 euros d’amende ». 

Comme nous l’explique Me Étienne Lejeune, avocat au barreau du Havre, un tel montant « se rapporte à une contravention de 4e classe ». Ce type de contravention sanctionne ordinairement des infractions routières : circulation en sens interdit, conduite en état d’ivresse, refus de priorité, non respect d’un feu rouge ou d’un stop, dépassement dangereux, etc.

Le site CheckNews a contacté la préfecture de l’Eure qui a assuré ne pas avoir donné de directives visant à donner des amendes aux Gilets jaunes. De même, de nombreux membres du dispositif de sécurité ont fermement nié, auprès de nos journalistes sur place, la mise en place de telles directives.

Seul le journal France-Soir affirme avoir eu confirmation de telles consignes par la compagnie de gendarmerie de Grand Bourgtheroulde.

CheckNews précise par ailleurs que la journaliste du Monde n’a pas été témoin directe de la scène décrite. Elle rapporte en réalité les propos d’une consoeur de RMC qui n’a elle-même pas entendu le montant de 135 euros. Les seuls témoignages en ce sens sont donc ceux de Gilets jaunes. « Le gilet jaune en question confirme qu’un gendarme l’a menacé d’une amende de 135 euros car son gilet jaune montrait qu’il appelait à une manifestation interdite. Ce montant ne correspond pas à ce que prévoit le Code pénal », insiste CheckNews.

En somme, aucune amende de 135 euros n’existe, dans les textes de loi, pour interdire la participation à une manifestation et encore moins pour le port d’un Gilet jaune. Me Lejeune conclut :

Une peine ne peut être justifiée que par un texte. Nul crime, nulle peine sans loi, c’est le principe de légalité des peines en droit pénal français. 

Les gendarmes ont-ils pris des photos de pièces d’identité ?

Dans le même tweet, la journaliste du Monde Aline Leclerc affirme que « les gendarmes ne font pas que vérifier les pièces d’identité, ils les prennent en photo ». Cela a suscité l’indignation d’internautes qui craignent un fichage illégal des manifestants. Sur la photo qui accompagne le tweet, difficile de déterminer si le militaire prend bien une photo de la pièce d’identité puisque le téléphone tenu par le gendarme est flou. 

Il faut toutefois rappeler que depuis 2017, les gendarmes de Normandie sont équipés du système NeoGend qui leur permet, entre autres, avec leur smartphone de scanner les pièces d’identité lors de contrôles pour vérifier par exemple si l’individu contrôlé est recensé au fichier des personnes recherchées. L’usage de ce dispositif, et l’absence d’infraction pour port de Gilet jaune ont été confirmés par la Gendarmerie nationale.

Me Lejeune rappelle par ailleurs que « les services de police ou de gendarmerie peuvent procéder à des contrôles d’identité et si la personne n’est pas en mesure de justifier son identité immédiatement par un document officiel elle peut être emmenée au commissariat et retenu pour vérification pendant un maximum de quatre heures ».

LIRE AUSSI : NéoGend : l’arme (numérique) du futur pour les gendarmes et policiers de Normandie

Légal ou pas de manifester à Grand Bourgtheroulde ?

Depuis début janvier 2019, des arrêtés préfectoraux interdisent « toute manifestation ou rassemblement, notamment dans le cadre du mouvement dit des gilets jaunes » dans une vingtaine de communes de l’Eure, dont Grand Bourgtheroulde. Rebondissement le jour même de la visite d’Emmanuel Macron dans le département, la quasi totalité de ces arrêtés ont été suspendus par le tribunal administratif de Rouen, comme le relate sur Twitter Me Aïnoha Pascual, avocate à Paris.

Tous les arrêtés ont été suspendus sauf celui concernant Grand Bourgtheroulde, détaille l’avocate. Cela n’a pourtant pas empêché plusieurs centaines de Gilets jaunes de se réunir dans la commune. Ces manifestants « illégaux » ne risquaient pas une très forte amende, comme nous l’explique Me Étienne Lejeune :

La participation à une manifestation interdite est punie d’une contravention de 1° classe c’est-à-dire 11€ (amende forfaitaire et 38€ montant maximal…), prévu par l’article R610-5 (violation d’un arrêté d’interdiction de manifester mais ils ont été levés…).

En revanche, les organisateurs, si tant est qu’il y en ait, de cette manifestation risquent gros s’ils sont identifiés, jusqu’à six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende.

D’après la préfecture de l’Eure, interrogée peu avant 19 heures, seules deux interpellations étaient recensées en marge du déplacement présidentiel. On en ignore pour l’heure les motifs. 

Val-d'Oise. Les malfaiteurs condamnés après avoir agressé et séquestré le septuagénaire à Génicourt

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Les deux individus ont été déférés vendredi 11 janvier devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour enlèvement, séquestration, extorsion et escroquerie.

Les deux individus ont été déférés vendredi 11 janvier devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour enlèvement, séquestration, extorsion et escroquerie.

Surpris par ses ravisseurs en regagnant son domicile de Génicourt (Val-d’Oise), le septuagénaire avait été roué de coups puis séquestré. Avant d’être retrouvé dans un bois après avoir été balancé dans le coffre de sa voiture. A

près un an d’enquête, les gendarmes de la brigade de recherche de Pontoise avaient interpellé les deux malfaiteurs en décembre dernier. Déférés vendredi 11 janvier devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour enlèvement, séquestration, extorsion et escroquerie, ils ont été condamnés à deux et trois ans de prison ferme.

Une arme sur la tempe, l’oreille entaillée

Le 25 novembre 2017, il est 23h lorsque la victime, âgée de 74 ans, rentre chez elle et s’aperçoit que l’électricité de son domicile est coupée. C’est alors que surgissent deux individus. Ces derniers lui portent plusieurs coups avant de le ligoter, puis de lui placer un ruban adhésif sur la bouche et un sac sur la tête. Le cauchemar du Génicourtois ne fait que commencer.

Ses agresseurs le menacent avec une arme de poing, posant le canon sur sa tête et lui entaillent même l’oreille avec un couteau afin qu’il donne le code de sa carte de crédit.

Ils l’avaient finalement fait monter de force dans son Audi A3 avant de l’abandonner à hauteur du bois de Baillet-en-France et prendre la fuite avec son véhicule. Le septuagénaire avait été retrouvé en état de choc par des automobilistes. Transporté au centre hospitalier d’Eaubonne, il s’était vu prescrire 21 jours d’Itt.

 Coffre-fort

À l’audience, les deux auteurs, qui ont reconnu les faits, ont expliqué avoir agi sur ordre de deux autres personnes dont ils n’ont pas donné l’identité. Ils devaient s’emparer de l’argent stocké dans le coffre-fort de la victime. Un coffre-fort qui n’existait pas.

 

Un chien Malinois est recherché près de Grandvilliers

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Hiro est un chien Malinois très gentil.

Hiro est un chien Malinois très gentil. (©Le Réveil de Neufchâtel )

Qui a vu Hiro ? C est un chien Malinois qui a disparu il y a quelques jours près de Grandvilliers (Oise). Il a été aperçu aux alentours de la commune d’Elencourt (Oise). 

La propriétaire le décrit comme un animal très gentil et pas agressif. 

Hiro est identifié. N’hésitez pas à le signaler si vous l’apercevez. 

Landes : l'opération de communication insolite du maire d'Ychoux permet l'arrivée de trois médecins

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Il y a trois mois, le maire d'Ychoux (Landes) voulait prendre un arrêté pour interdire à ses habitants de tomber malade.

Il y a trois mois, le maire d’Ychoux (Landes) voulait prendre un arrêté pour interdire à ses habitants de tomber malade. (©Photo illustration Le Républicain Sud-Gironde)

Face à la menace de ne plus avoir de médecins sur sa commune, le maire d’Ychoux (2.100 habitants), dans les Landes, voulait prendre un arrêté pour interdire à ses administrés de… tomber malades.

Le maire, Marc Ducom, avait trouvé, en octobre dernier, un moyen original pour tirer la sonnette d’alarme face au départ en retraite des deux médecins généralistes de la commune.

À lire aussi / Landes : une personne percutée par un train à Morcenx, une enquête ouverte

Trois médecins ont dit oui

Trois mois plus tard, il semble que son opération de communication ait porté ses fruits puisque trois médecins ont dit oui pour rejoindre la commune, rapporte France 3 Nouvelle Aquitaine.

La mairie se dit prête à quelques efforts supplémentaires pour aider les praticiens.

Les professionnels sont attendus en mai prochain.

Châteaubourg : un autre enfant abordé par deux individus sur le chemin de l'école

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Les gendarmes ont interpellé trois hommes.

Les gendarmerie de Châteaubourg mène une enquête sur deux individus qui ont abordé une jeune fille dans la rue, mardi 15 janvier. (illustration ©Les Nouvelles de Sablé)

Mardi 15 janvier, la Ville de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine) a lancé une alerte à destination des parents via son site Internet et sa page Facebook. Vers 8h10, une jeune fille a été abordée par deux individus qui se trouvaient sur son chemin.

Un fait similaire avait déjà été signalé vendredi 11 janvier par la mairie. Un enfant avait été approché par un individu suspect.

A LIRE AUSSI : Jeune abordé par deux individus : la Ville de Châteaubourg met en garde les parents

Patrouilles renforcées

Cette fois, d’après la mairie, « ces individus ont tenté (demande orale) de récupérer le sac de cette jeune fille ». Une déposition en gendarmerie a été faite par la famille. Une enquête est en cours et des mesures de vigilance particulières ont été prises. Les patrouilles seront renforcées dans la ville.

La jeune fille, suivie sur quelques mètres par les deux individus, a eu l’excellent réflexe de courir, d’entrer immédiatement dans son établissement scolaire puis de faire part de cet incident à ses professeurs. »

Grands, minces et avec une barbe naissante

D’après les éléments transmis par la gendarmerie de Châteaubourg, les deux individus sont grands, minces, avec une barbe naissante. Quant à leur véhicule, il est bleu et de type C3, 106, 206 ou 306.

Les personnes ayant des éléments à signaler peuvent prendre contact avec la gendarmerie en composant le 17.

[VIGILANCE : informations à l'attention des parents]Aujourd’hui, mardi 15 janvier, vers 8h10, une jeune…

Publiée par Ville de Châteaubourg sur Mardi 15 janvier 2019

Cherbourg-en-Cotentin : une cagnotte solidaire pour les obsèques d'Erwan

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Erwan Sainte Colomme.

Erwan Sainte Colomme. (©DP)

Les proches d’Erwan Sainte-Colomme, un jeune Cherbourgeois de 24 ans, retrouvé mort dans la nuit de vendredi à samedi sur son lit au Foyer des jeunes travailleurs de Saint-Lô, ont lancé hier une cagnotte solidaire sur la plateforme Leetchi.com.

Une cagnotte destinée à soutenir la famille dans ses frais d’obsèques.

Une enquête a été ouverte par les services de police de Saint-Lô en vue de déterminer les causes précises du décès.

Une autopsie a été pratiquée le 15 janvier.

Les résultats n’ont pas encore été révélés.

La famille attend que le corps d’Erwan lui soit restitué afin de pouvoir faire son deuil.

Le lien pour la cagnotte : Pour les obsèques d’Erwan


Toulouse : un alpiniste atteint le sommet de l'Aconcagua (6962m) pour l'association Hôpital Sourire

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Vincent Serra a atteint le sommet de l'Aconcagua (Argentine) à 6962m pour l'association Hôpital Sourire.

Vincent Serra a atteint le sommet de l’Aconcagua (Argentine) à 6962m pour l’association Hôpital Sourire. (©Facebook / Tim Serra)

Ce n’est qu’un tout petit morceau de tissu, avec des inscriptions à la main, qui a flotté au sommet de l’Aconcagua (Argentine), le 16 décembre 2018. Mais pour que cette banderole à l’effigie de l’association Hôpital Sourire puisse atteindre les 6962m d’altitude, un homme l’a embarquée dans son expédition : Vincent Serra.

De 50… à -37°C

Cet alpiniste de 25 ans s’est lancé, le 26 novembre 2019, ce défi un peu fou de partir faire l’ascension de la plus haute montagne, hors sommets asiatiques, « sans agence d’expédition commerciale, ni guide. » Au total, 31 jours d’expédition, aller-retour, pour celui qui est DJ, ancien DJ-résident de l’établissement « La Voile Blanche ».

Parti de la vallée sud-ouest à 2850m, «Tim » Serra, comme il se fait appeler, est passé « par la voie normale » d’ascension. Avec plusieurs points d’étapes, notamment une marche d’approche de 37kms où le mercure a grimpé à 50°C. « Il y a aussi eu deux jours au camp intermédiaire de Confluencia à 3400m pour refaire des globules rouges et m’acclimater. » Sans oublier les tempêtes de neige, les rafales de vents à 250 km/h… et les -37°C qui ont parfois semé d’embûches son parcours.

Hôpital Sourire pour « un juste retour des choses »

Ce Toulousain a franchi petit à petit les étapes en altitude, pour arriver au point de départ de l’ascension finale, à près de 6000m. « Il y a eu beaucoup de doutes la veille, des maux de tête également avec la raréfaction de l’oxygène. » Mais à 5h30, dimanche 16 décembre 2018, il se lance dans un dernier effort pour atteindre son objectif. Après 10 heures d’ascension, Vincent Serra arrive au sommet. Et pose avec la banderole Hôpital Sourire.

Une association qui vient en aide aux enfants hospitalisés au CHU de Toulouse et qu’il n’a pas choisi au hasard. « J’ai subi une intervention chirurgicale à 7/8 ans. Alors pour moi, c’est un juste retour des choses, et c’est ce qui me tenait le plus à coeur. L’objectif était vraiment de partager mon expérience, de ne pas la faire seul. »

un projet auto-financé en intégralité

Malgré son expédition, l’alpiniste n’est pas parvenu à lever de fonds et a financé lui-même l’intégralité de son escapade (environ 3500€) : « Quand j’ai exposé mon projet à des sponsors, tout le monde m’a ri au nez. » Il a tout de même eu recours à du crowdfunding pour financer son permis d’ascension (obligatoire pour atteindre le sommet).

C’est la plus haute montagne gravie par ce Toulousain, qui a réalisé sa première expédition sur les pentes de l’Aneto (3404m, Pyrénées espagnoles) en février 2017 « pour sortir de ma zone de confort ». Quelques mois plus tard, il grimpe le Mont Blanc (4808m).

Une ascension fulgurante pour cet alpiniste, qui a désormais un tout autre objectif en tête : « Pourquoi pas faire un pôle en solitaire. » Mais avec toujours le même credo : « Sous le signe du partage et en emportant une association caritative. »

Loire-Atlantique : Par vengance, l'associé trompé avait incendié le garage auto

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Après savoir été incendié, le garage a été démoli.

Après savoir été incendié, le garage a été démoli. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

Lundi 14 janvier, le tribunal correctionnel de Nantes a condamné un habitant de Haute-Goulaine à deux ans et demi de prison avec sursis, pour avoir incendié lui-même son garage automobile, à Vair-sur-Loire (Loire-Atlantique), le 27 octobre 2017, afin de se venger de son cousin et associé, qui le trompait avec sa compagne et qui voulait l’évincer de leur société.

Dans les jours qui suivirent la réduction en cendres de cet établissement, le co-gérant de cet établissement était passé pour un téméraire. Le trentenaire avait raconté, à l’époque, avoir été victime d’une agression, par des voleurs, parlant « une langue étrangère », alors qu’il revenait prétendument d’une soirée passée à Nantes au Hangar à bananes.

Ses explications ne tiennent pas

Une thèse rapidement mise en doute par les gendarmes. Pour plusieurs raisons : les enquêteurs ne l’avaient jamais retrouvé sur la vidéosurveillance du bar cubain où il était censé avoir passé la soiré, et les employés ne l’avaient pas reconnu sur leurs photos. Puis, les données de son télépéage étaient également en contradiction avec ses déclarations, et ses voisins de l’Hôtel de la Loire avaient relevé que son chien n’avait pas aboyé à la vue des « voleurs ».

Le dépanneur avait pourtant imputé à ses prétendus « agresseurs » un coup de couteau dans la cuisse et une fracture de la main. Le prévenu avait même fait un rapprochement avec des individus « avec un accent arabe », qui seraient venus le dimanche précédent récupérer une voiture saisie par les gendarmes. Que des mensonges. Pour les blessures, il se les étaient faites lui-même.

Acculé, le Goulainais avait finalement avoué vivre une relation « compliquée » avec sa petite amie de l’époque, dont il était amoureux depuis des années et qui était finalement sortie avec lui « à sa grande surprise ». Il avait également admis que son entreprise de dépannage automobile « vivotait », et que son associé de cousin voulait le faire « démissionner sans indemnités ». « J’ai vécu cela comme une trahison : à une époque ma famille l’avait aidé quand il était lui-même dans un contexte compliqué avec sa précédente société », a-t-il déclaré à la barre du tribunal correctionnel de Nantes. « Cela m’a ramené à tous les échecs que j’ai pu vivre à l’école ou dans mes relations amoureuses. »

Un excès de rage

Dans un « excès de rage », le prévenu avait alors mis le feu en plusieurs endroits aux locaux de sa société, après avoir crevé les pneus des voitures de six clients pour faire croire que ses « agresseurs » avaient voulu l’empêcher de fuir. « Il y avait des bouteilles de gaz et une cuve à mazout, qui auraient pu constituer à tout moment une source de mortalité spectaculaire et tout à fait horrible pour les pompiers », a rappelé pour sa part le procureur de la République.

Dans les jours qui avaient suivi, le prévenu avait fait dans la presse un « récit presque héroïque » de cette nuit-là, selon le président du tribunal correctionnel de Nantes : cet ancien scout avait eu « le réflexe de se faire un garrot à la cuisse avec sa ceinture », et avait raconté s’être cassé la main après avoir « frappé à la tête de toutes ses forces » l’un de ses agresseurs.

Il s’était confié a un prêtre

« Moi, au départ, je ne voulais pas répondre, mais les journalistes étaient très insistants, ils appelaient chez mes parents », a-t-il minimisé à la barre. Il a aussi assuré que ses propos avaient été déformés. Entre-temps, le jeune homme s’était confié à un prêtre, « qui connaissait toute la vérité ». Après ses aveux devant les gendarmes, il s’est fait interner un mois en psychiatrie « à (sa) demande », et a suivi une psychothérapie. « Je n’ai pas réagi avec la maturité et la hauteur qu’il aurait fallu… Aujourd’hui, j’essaie de ne pas rejeter la faute sur les autres », retient-il.

Son cousin, pour sa part, ne s’était pas constitué partie civile à l’audience. « Après les faits, ce dernier a effectivement quitté son épouse pour se mettre en couple avec l’ex-petite amie du prévenu », a fait observer le président du tribunal. Le garage, lui, a été entièrement démoli en décembre dernier, après les dernières opérations d’expertise.

Pour cette « mise en scène frauduleuse », le procureur de la République avait demandé huit mois de prison ferme et vingt-deux autres avec sursis. Il a pris les 30 mois mais qu’avec du sursis. Celui qui s’est reconverti, depuis les faits, dans une start-up de livraison de produits bio, devra aussi se plier à une mise à l’épreuve de deux ans : elle l’obligera à suivre des soins et à travailler, pour réparer les dommages causés par ses infractions.

Sur un plan civil, il devra verser un peu plus de 5.000 € de dommages et intérêts à la veuve et aux enfants de son prédécesseur (décédé durant l’enquête) et toujours propriétaire des murs du garage automobile. En revanche, le prévenu n’aura pas à rembourser leur assureur : il a été relaxé pour la « tentative d’escroquerie » à l’assurance.

 

Le jazz à la mode brésilienne avec Mischa à la cave du Moulin de Louviers, jeudi 17 janvier

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La chanteuse Mischa sera à la cave du Moulin de Louviers.

La chanteuse Mischa sera à la cave du Moulin de Louviers. (©DR)

Pour sa première jam session de l’année, le Moulin de Louviers (Eure) invite une artiste du Val-de-Marne, jeudi 17 janvier. la chanteuse, qui a été choriste avant de devenir chanteuse principale, en 2010, est déjà venue à Andé, dont elle a tiré un très bon souvenir. « J’ai trouvé la région très jolie quand on est allés au Moulin d’Andé, très bucolique », confie-t-elle.

Sa venue à Louviers sera pourtant une découverte pour elle, tout comme sa prestation au côté d’un bassiste, Jean-Philippe O’Neill, qu’elle va découvrir peu de temps avant le concert. « On a une répétition la semaine avant », explique-t-elle.

Mais, dans le jazz, « assez souvent on rencontre les autres artistes comme ça, au dernier moment, ça fait partie des standards ». Tout le défi consiste alors à « créer une harmonie rapidement entre les musiciens ».

« Pour moi, la base du jazz, c’est l’adaptation avec les musiciens », avance l’artiste. Un adage qu’elle a su mettre à exécution tout au long de sa carrière, passant d’une chorale gospel à un groupe de soul et de rhythm’n’blues, puis au quartet Quinte et sens, en 2010.

Adaptation musicale permanente

Ses références variées, elle les recherche d’ailleurs dans son jazz. Car, si elle est adepte des reprises « de standards artistiques, aux côtés joyeux, festif et dansant », Mischa souhaiterait aussi faire d’autres rencontres artistiques avec des adeptes d’un « jazz aérien, mélancolique, mais je n’ai pas encore rencontré les musiciens pour jouer ça ».

Cela ne saurait tarder, a priori, pour cette artiste qui ne cache pas son enthousiasme à l’idée de multiplier les formations musicales et les rencontres artistiques.

Jeudi 17 janvier 2019, à la cave du Moulin de Louviers, à 20 h 30, concert de Mischa avec Carles GR (guitare), Nicolas Sabato (contrebasse) et Jean-Philippe O’Neill.

Rives de l’Orne à Caen : un complexe d’escalade débarque avec Climb Up !

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Des modules d'escalade vont être installés aux Rives de l'Orne à Caen (Calvados), sous la marque Climb Up en septembre 2019.

Des modules d’escalade vont être installés aux Rives de l’Orne à Caen (Calvados), sous la marque Climb Up en septembre 2019. (Salle de Bordeaux Mérignac ©DR)

Au centre commercial des Rives de l’Orne à Caen (Calvados), 1+1 font 1. Ou quand deux cases commerciales désormais vacantes fusionnent pour l’implantation d’une nouvelle enseigne sur 900 m2. Alors que la Compagnie du lit a définitivement baissé le rideau lundi 14 janvier 2019, et que l’espace anciennement dédié à une activité de laser game n’est plus occupé depuis septembre 2018, un nouveau concept, unique en centre-ville, pointe le bout de son nez. Son nom ? Climb Up. Cette société basée à Lyon compte une quinzaine de salle en France, alors qu’au moins quatre nouvelles adresses doivent ouvrir en 2019.

« Des débutants aux champions »

Depuis 2007, cette société propose des structures d’escalade, accessibles au grand public, grâce à une grande diversité des parcours conçus pour les « débutants aux champions du monde ». L’ouverture est annoncée pour septembre prochain. La directrice des Rives de l’Orne est ravie de cette arrivée :

C’est une excellente nouvelle pour nous, avec cette marque qui parle aux jeunes dans les villes où elle est déjà implantée et qui correspond donc à notre image. 

Recrutement en cours

Pour son implantation à Caen, Climb Up a déjà lancé sa campagne de recrutement. Cette ouverture dans l’agglomération caennaise, la première pour la marque en Normandie, doit se traduire par la création de dix emplois. Les candidatures peuvent-être déposées sur le site de Climb Up

Grand débat. Une journée relativement calme à Grand-Bourgtheroulde

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Les manifestants occupent les abords d'un rond-point à proximité d'une moyenne surface à la périphérie de Bourgtheroulde.

Les manifestants occupent les abords d’un rond-point à proximité d’une moyenne surface à la périphérie de Bourgtheroulde. (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

Mardi 15 janvier 2019, ils sont arrivés de très bonne heure pour certains aux environs de Grand-Bourgtheroulde.

Tous les accès au bourg étant verrouillés par un imposant service d’ordre, les manifestants se sont repliés en divers points à la périphérie du bourg.

A l’exception de quelques rares gilets jaunes présents en centre-ville, les autres ont investi les ronds-points.

Dont un situé à proximité d’une moyenne surface qui a rapidement baissé le rideau.

Une singulière apparition

Dans cette foule calme et bigarrée, la présence d’un prêtre en soutane n’est pas passée inaperçue.

Le curé intégriste du Planquay, près de Thiberville.

Le curé intégriste du Planquay, près de Thiberville. (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

L’abbé Michel, le très controversé curé intégriste de la paroisse du Planquay était présent.

Ceint d’un gilet jaune il a passé sa journée parmi les manifestants.

Avec ce qu'ils ont pu récupérer aux alentours les manifestants ont allumé un feu

Avec ce qu’ils ont pu récupérer aux alentours les manifestants ont allumé un feu (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

En fin matinée les manifestants ont allumé un foyer.

Plus pour se réchauffer que par bravades vis-à-vis des forces de l’ordre.

Les esprits ne s’étaient pas encore échauffés sur ce rond-point où convergeaient de plus en plus de manifestants.

Et ce contrairement au centre-ville, où des heurts assez violents opposaient alors quelques gilets jaunes infiltrés aux gendarmes mobiles déployés aux abords de la mairie.

Les premiers mouvements de foule se sont produits en milieu d'après-midi.

Les premiers mouvements de foule se sont produits en milieu d’après-midi. (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

En revanche peu de temps après l’arrivée supposée d’Emmanuel Macron à Grand-Bourgtheroulde, des petits groupes manifestants ont commencé à bouger.

Un jeu du chat et de la souris s’est instauré entre forces de l’ordre et quelques manifestants.

Pour certains très vindicatifs.

La tension est montée d’un cran.

Une poignée de gilets venue visiblement pour en découdre avec les forces de l'ordre.

Une poignée de gilets venue visiblement pour en découdre avec les forces de l’ordre. (©Gilles Motteau/Le Courrier de l’Eure)

Les gendarmes mobiles ont fait usage de gaz lacrymogène.

Rapidement la tension est retombée.

Manifestants et gendarmes ont repris leurs positions initiales.

Sans parler de dialogue, les uns et les autres ont échangé dans le calme.

La nuit est tombée peu à peu sur Grand-Bourgtheroulde mettant un terme, sans plus de violences, à la manifestation. 

A noter toutefois deux interpellations suite aux échauffourées dans le centre-ville.

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